Mon énorme fantasme.
Je suis avec Alain depuis presque 26 ans. Nous avons tous les deux 46 ans. Mon homme est hétéro mais moi je suis bie. Lui 1,83 athlétique et moi 1,70 assez charmante avec de gros seins 95D.air de seins. L’été j’aime assez m’habiller court et sexy sans faire pute pour autant . Je sais que j’attire le regard des hommes et de certaines femmes. J’aime les décolletés qui mettent en valeur mes seins et je m’amuse à voir les hommes qui ont du mal à me regarder dans les yeux. Je sais je suis un peu salope.Je me prend souvent quelques réflexions salaces qui ne manquent pas de m’exciter ainsi qu’Alain. Nous avons une sexualité très épanouie bien qu’insuffisante pour moi. Alain adore quand Je joue la pute et que je me pavane telle une salope en manque de queues. Il aime m’insulter dans ces moment de jeux dans l’intimité. Il aime m’humilier en m’écrivant sur la peau au feutre des mots du genre « garage à bites », « pompe à foutre », « salope offerte », « grosses pute », « chienne » etc J’aime mer faire attacher et malmener et me prendre des grands coups de butoir dans la chatte. Il voudrait m’exhiber sur internet ou me faire du chantage. « Si jamais tu ne suces pas tous les mecs dans les chiottes du bar, ou tous les routiers de l’air de repos j’envoie les photos et les vidéos à ta famille, tes amis, tes collègues de bureau et tout ton facebook. » Dans l’idée je trouve çà plutôt excitant mais je préfère en rester au fantasme et ne pas accéder à ces désirs. Mais l’idée de me livrer à des inconnus lui trotte toujours dans la tête. C’est vrai que j’adore pomper des queues, çà a toujours été une vraie passion chez moi. Je suis même assez experte en gorges profondes. Pour imiter un bukkake, et exciter mon homme, je me renverse du lait concentré sur le visage et sur les seins. Le lait concentré à la même texture que le sperme. J’adore m’en renverser sur le corps et sur le visage, imitant des jets de foutre. Donc, depuis quelques temps, Alain fantasme à l’idée de me voir avec d’autres hommes en même temps.
« Chérie, de te voir te faire prendre, soumettre et défoncer par d’autres m’exciterait au plus au point. J’ai toujours souhaité te partager et t’offrir comme une salope à une bande de mecs qui te défoncerait, t’humilierait et te montrerait que t’es une chienne en chaleur. »
Depuis longtemps nous en parlons, Ce qui me trouble énormément mais je ne veux pas franchir le pas. J’avais fais la bêtise de lui parler de ce fantasme une foi et il n’en fallait pas plus pour que l’idée dans son esprit pervers fasse son chemin. Nous imitions parfois la situation quand je lui demandais d’alterner entre sa bite et des godes ou il me demandait d’imaginer la situation si j’avais plusieurs queues pour moi toute seule. Il m’écrivait parfois des récits porno en sms, quand j’étais au boulot. Il y narrait mes exploits imaginaires quand je suçais des tonnes de bites dans des chantiers où des boites à putes et que je finissais recouverte de sperme. Dans ses affabulations, tantôt J’étais prise en sandwich par des militaires, tantôt je suçais toutes les queues des spectateurs dans un cinéma ou bien je prenais une douche de sperme dans un bar. Il insiste de plus en plus et dernièrement, Il m’a proposé des rencontres avec des amis pour livrer à eux. Il m’a aussi soumis l’idée de tester des boites libertines et de m’inscrire sur un site de rencontre en ligne pour trouver des gens intéressés pour sauter une salope comme moi. Alain, à ma grande surprise, c’est décidé. Je n’ai pas eu le choix. Il m’a mis devant le fait accompli et il était difficile de faire marche arrière. Me connaissant, Alain savait au fond de lui même que je ne protesterait que pour la forme. Donc un soir en rentrant à la maison, quelle n’a pas été ma surprise de voir que mon homme avait invité 5 mecs, dont un black. A mon arrivée malgré ma surprise, je suis présentée par mon mari. puis autours de verres d’apéro, Alain, devant moi, commence à leur exposer les règles.
« C’est un première pour Michèle messieurs. Je vous demanderais d’être sympas, attentionnés pour une première fois. Commencez doucement, allez-y ensuite plus « bestialement » et je souhaite que vous finissez en l’arrosant de sperme. »
J’étais rouge de honte mais ils étaient sympas et semblaient tout à fait comprendre. Nous commencions à être pas mal alcoolisés Je percevais les regards lubriques des mecs sur mon décolleté. La conversation a très vite dérapé et les hommes commencèrent à parler de cul, des expériences de chacun pour déboucher sur le gangbang. Même si je devinais la suite, Je prenais du plaisir à les écouter en parler. Je me suis mise aussi à parler de mes expériences où lors de vacances, je suçais tous les soirs un gars différents. Puis la main du type à sa gauche commença à m’effleurer la cuisse. Prise dans l’ambiance et l’alcool aidant, je décroisais les jambes pour que le mec remonte plus haut. Le mec à ma gauche fit la même chose puis commença à me caresser l’épaule pour descendre malaxer fermement mon sein. Je regardais Alain qui avait un sourire satisfait en lui lançant un regard qui exprimant « ah, tu l’as fais mon salop ! » Les deux mecs n’arrêtaient pas de me tripoter et je commençaient à bander. Je voyais également que les autres avaient sorti leurs queues et se caressaient doucement. Avec l’alcool que j’avais bu, je fût prise d’une furieuse envie de pisser. Je parti rapidement aux toilettes. Je les entendais continuer à parler de cul et certains firent des compliments à Alain sur la petite salope qu’il avaient à leurs dispositions. Alain m’accueillit avec un :
« Ah, je l’ai bien dressée cette salope ! »
En effet, j’en avais profité pour me changer. J’apparaissais devant ces mâles en escarpins aux talons très fins et hauts, une robe sexy qui dévoilait trop de mon anatomie exposée à toute l’assemblée. Mon décolleté ne cachait pas grand chose et ils pouvaient voir ma poitrine prête à sortir de la robe. Je faisais vraiment très salope ainsi vêtu. Je voyais les mecs en train de baver sur moi.
« Tu es magnifique ma petite pute ! »
Je vint me rasseoir au même endroit entre les deux mecs sur le canapé et là toutes les flatteries fusaient.
« waouh, t’es vraiment trop bonne comme ça ! »
« Dis donc t’as vraiment des nichons superbes ! »
« Putain t’as de la chance d’avoir une salope pareille ! »
Les deux mecs ont recommencé à me peloter les seins. Ils pétrissaient mes deux obus aux travers de la robe sans douceur. Un fit sortir un téton qu’il commença à titiller et à lécher puis à le pincer en m’embrassant au creux du cou. J’étais ivre et désinhibée, je prenais des initiatives. Pendant qu’on s’occupait de mes nibards, j’ai commencé à masturber mes 2 mâles en rut. Un troisième est arrivé derrière le canapé, la bite à l’air et me présenta devant la bouche sa queue dressée. Comme une bonne salope, je ne me fit pas prier et commençais à le sucer. Alain se délectait de me voir face à lui en train de sucer un mec pendant que chacune de mes mains branlait une bite. Les deux autres n’étaient pas en reste, ils ont sorti leur engin et on commencé à se branler sur le spectacle qu’offrait une telle chienne, qui semblait affamée de bites. J’alternais entre les queues pendant que mes deux gros seins étaient sortis de la robe et que des mains s’employaient à les tripoter. Des doigts me fouillaient la chatte. Les bites s’enchainaient dans ma bouche de pompeuse de queues. Mes mains branlaient les queues que je ne suçais pas. Ils me giflaient parfois les joues les seins ou les fesses, me gratifiant d’un :
« Chiennasse ! Salope t’es vraiment qu’une pompe à jus, t’as du en sucer des kilomètres de queues pour sucer comme ça ! »
Il avaient raisons et ces termes insultant et vulgaires m’électrisaient.
« Quel garage à bites cette putain ! Elle t’avale nos chibres en entier ! »
Plus les insultes étaient salaces plus j’étais excitée. Mon mari avait sorti sa que et se branlait gentillement devant le spectacle que je lui offrais.
« Allez sort ta langue pour venir me lécher les couilles. C’est bien t’es une bonne chienne. T’auras droit à tout mon jus ! »
« Putain ! J’vais la couvrir de sperme cette pouffiasse ! Allez ! Dis le que t’es une salope ! Dis le qu’ t’aimes les queues ! Pus fort salope ! On t’entend pas. ! »
« OUIIIIII !!! Abusez moi ! J’suis vot’salope, vot’vide couilles, une éponge à foutre. Videz vous sur moi remplissez moi ! »
J’étais dans un vrai délire. Mon mari en était estomaqué, il ne m’avait jamais vu comme çà. Il savait que j’étais une salope mais là, à ce point, se lâcher comme ça, dès le premier soir. On me retourna, à genoux sur le canapé. On remonta le bas de ma robe jusqu’aux hanches et présentant ma croupe encore moulé dans mon string, j’étais prête à me faire défoncer. Je continuais à sucer une queue les mains malaxant les couilles pendant que mes deux gros obus se balançaient au rythme des coups de queue que m’imposait le type. Il me baisait littéralement la bouche. Il me maintenait la tête avec sa main. Il ne mit pas longtemps à jouir, soit trop excité soit car cette pompe à bites que j’étais, faisait bien son travail. Il me déchargea sur le visage. Le sperme coulait de mon front jusqu’au cou.
« Tiens prends ça s’pèce de banque à sperme ! » Cria t’il en jouissant.
Le sperme alla s’écraser sur mon visage en différents jets épais. La douche de sperme tant souhaité par mon homme commençait. Une des mecs se positionna derrière moi, tira mon string sur le côté, claqua ma chatte trempé et posant son sexe contre ma chatte suintante y enfourna sa bite d’un coup jusqu’aux couille. Je fut surprise mais ne pouvais dissimuler que j’adorais cet assaut. De la cyprine coulait de l’orifice d’où rentrait et sortait la grosse queue. Maintenant je me faisais prendre par les deux bouts. Une bite me baisant la bouche l’autre la chatte. Chacune de mes mains branlait une bite. On me tira le string le long des jambes. On enleva ma robe pour me mettre complément nue. Le black approcha sa queue de mon visage. Je souris et tendant la langue, j’attendais les jus de cet homme tel une bonne pute. Le black m’inonda la gueule. Çà sortait par torrent se rependant sur mes cheveux, ma bouche, mon visage et dans les yeux. Çà coulait sur mes gros seins. Le mec se finit dans ma bouche. J’avalais tant bien que mal sa crème onctueuse et odorante. J’ avais la bouche remplit. Il sortit on téléphone portable et me dit :
« Maintenant avale tout sale chienne ! »
Loin d’être choquée, j’obtempérais, malgré tout honteuse. Le salop en même temps me filmait. Je donnais alors l’image d’un tel état de dégradation. J’étais couverte de sperme et continuais à pomper des queues. Le mec qui me pilonnait la chatte, me donnait de violentes claques sur les fesses qui me chauffaient. J’eus alors un orgasme violent.
« Alors petite salope ! T’aime ça t’faire défoncer, sale morue ! Tu la sens ma grosse queue dans ton petit trou de pute? »
« Oh, oui venez m’péter le cul avec vos grosses bites, j’veux être remplie par tous les trous ! Videz vous sur moi. Je mouille comme une pute ! »
« T’inquiète petite salope on va s’occuper d’ton cul ! Pour l’instant, bouffe moi le cul sale chienne, lèche moi le trou du cul ! »
J’hésitais quelques secondes puis j’obéis, comme la bonne grosse pute soumise que je suis. Il se retourna d’un coup me pris la tête avec les deux mains et fourra sa queue au plus profond de ma gorge pour déverser tout son foutre. Il semblait y en avoir des litres, tant et si bien que je ne put tout avaler. Sa semence ressortait des commissures de mes lèvres, venait perler sur mes seins et couler le long de mon menton.
« Allez on avale tout sale pute et on dit merci ! »
« Oh merci. »
« Et maintenant on me nettoie la queue salope ! » Repris le type.
Un autre vint placer sa bite devant ma bouche et je l’aspirais comme une bonne pute. Les bites se succédaient dans ma chatte. Ils m’ont pris dans tous les sens. Alain s’approchait de temps en temps pour me faire bouffer sa queue puis s’éloignait un peu pour regarder la scène. Il avait sorti son appareil photo et je filmait la scène. Les autres aussi mitraillaient de photos et de vidéos. Ils les envoyaient à leurs potes. Puis le black à ma grande stupeur, se plaça à l’entrée de mon œillet et après avoir inséré quelques doigts à l’intérieur de l’orifice il me planta son énorme bite. Çà avait du mal à rentrer et je criais d’arrêter Sa bite était très impressionnante, épaisse et longue, toute veineuse. Quand il l’avait foutu dans ma bouche. j’avais mes joues déformées par la taille de l’engin. Un autre gars vint se placer en dessous et m’enfourna sa bite dans la chatte. C’était une première pour moi qui avais déjà du mal avec la sodomie. Les trois autres retrouvèrent la forme et se présentaient devant ma bouche. Les commentaires allaient bon train.
« Bourre la cette pute, éclate le cul de cette pouffiasse ! »
« Défonce lui le cul à cette connasse ! »
Je criais de douleur et de plaisr comme une vraie truie quand ma bouche n’était pas investit par une queue ou une autre. On me palpait et me claquait les seins, on abusait de moi et le pire c’est que j’y prenais plaisir.
« Alors pétasse ça fait quoi d’être un objet à queues ? Un gouffre à sperme ? » Me demanda Alain.
Je détournais un instant le regard vers mon vicieux mari et reprenant mon souffle :
« C’est trop bon chéri de me faire soumettre dans ces conditions. »
« Je vais jouir dans ton cul, salope ! »
Des filets de sperme coulaient tout le long de mon trou. J’étais remplie de foutre et j’adorais ça. Je poussais à nouveau un grand râle. Mon corps se raidit, frappé par un orgasme foudroyant. Le black se retira et laissa mon trou du cul dilaté rempli de sperme qui coulait.
« T’es vraiment une chienne en chaleur. Putain ! J’vais t’emmener dans une cave de la cité pour te faire sauter par tout le bloc tu vas aimer ! »
L’idée devait exciter mon homme à la pensée de m’offrir à une vingtaine de racailles qui abuseraient de moi et m’humilieraient comme il se doit. A peine, la bite du black sorti de mon cul qu’un autre s’engageait déjà dans la voie. Je poussais un petit crie mais la scène était beaucoup moins impressionnante tant l’engin était de taille inférieure. On m’encula comme ça une bonne demie heure, et j’hurlais de plaisir. Ils me retournèrent dans tous les sens, me baisèrent par tous les orifices. On ne me laissait aucun répit. Les mecs se succédaient et me limaient la chatte, me bourrant sauvagement dans tous les sens. Un mec sort de mon cul pour m’enfoncer sa bite dans la bouche. Je lui bouffe comme une salope, le pompant et le branlant avec vigueur, en lui malaxant les couilles. Un autre vint placer sa bite aussi dans ma bouche. Les deux bites faisaient du va et viens simultanément dans ma bouche distordue qui ressemblait à tout sauf à une bouche. Après ma bouche, se fut le tour de ma chatte, le premier mec n’eut pas trop de mal à insérer sa queue dans le trou largement lubrifié. L’autre mec se plaça à coté du premier et me pénétra aussi. J’avais deux queues qui m’éclataient la chatte.
« Alors sale pute ! Çà fait quoi de se faire fourrer par deux grosses queues salope ? »
Je ne pouvais répondre, un des autres mecs étant en train de me fister la bouche.
J’étais là, à quatre pattes, me se faisant défoncer par deux bites. J’hurlais de plaisir et me libérais des queues dans ma bouche.
« Alors pompe à foutre je t’ai posé une question ! T’aimes ça t’ faire péter le cul par deux queues ? »
Complètement dépassée par les évènements, je restais sans voix.
« Je veux boire votre foutre et vous videz les couilles. Je suis une pompe à sperme ! »
Toujours par terre, on me mit à genoux et tous se placèrent autours de moi. J’étais anéantie, prête à m’évanouir. Six bites m’entouraient pour me recouvrir de foutre.
« Quelle garce quand même ! »
J’étais comme ça à poil, à genoux par terre comme une chienne, maculée de foutre des éjaculations précédentes. Le cul cambré comme si je cherchais encore une queue pour me faire défoncer la rondelle. J’étais en position pour ma douche de sperme. En plus, je tirais la langue. Le premier jet ne m’y pas longtemps à venir me recouvrir le visage. Deux autres avaient sorti leurs appareils photos et mitraillait la scène. Je ne disais rien comme un bon réceptacle à foutre. Le sperme s’abattait sur moi de partout. J’étais couverte de partout et devais finir de nettoyer les queues avec ma langue. J’avais des hauts le cœur tant çà devenais écœurant par l’odeur et la quantité. Mais en bonne salope je continuais à lécher. Le sperme ruisselait, mon visage était recouvert d’une crème épaisse ainsi que mes gros seins. Des torrents de foutre s’abattait sur moi. Bêtement je souriais, satisfaite et insatiable. Alain continuait de filmer la scène. Au fur et à mesure que chacun éjaculait, les gars qui avaient déchargé se rhabillaient et partaient. Le premier avant de partir demandât à mon mari s’il pouvait lui laisser son numéro de téléphone. Que les gars du chantier dans lequel il bossait ne seraient pas contre de se taper une grosse salope aussi chienne que moi. Je fus soulagée en entendant mon homme lui répondre :
« Non désolé mais cette chienne m’appartient. »
Mais se fumier pris quand même le numéro.
« Quelle salope ! » dis le gars en prenant une dernière photo avant de partir.
Les autres lui emboitèrent le pas. Ils tapotèrent leurs queues sur mon visage. Comme un au revoir. Le black me gifla me demandant :
« J’espère qu’on pourra remettre çà avec toi ma salope ! Mon idée de gang bang dans la cité tient toujours. »
Alain lui répondit :
« Je te promet de te tenir au courant. »
Quand la porte fut refermée et le dernier partenaire parti, Alain me demandât :
« Alors ma salope chérie, tu as aimé ? »
J’étais recouverte de sperme et je bredouillais :
« Je crois que j’ai jamais autant jouie mon chéri. »
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