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Découverte de la soumission 12

Découverte de la soumission 12



Je suis dans ma voiture, sur le chemin de retour, cette journée est folle, mon cul est toujours rempli du plug, la pommade est géniale. Je n’ai aucune sensation de brûlure.
J’ai quand même pris une sacrée fessée.
J’arrive chez moi, mon Épouse est dans le jardin avec sa copine CORINE, je les entends rire depuis l’entrée.
Elles se connaissent depuis l’école primaire, Elles partagent tout depuis toujours. C’est son amie d’enfance.
J’embrasse CORINE, elle est contente c’est le week-end.
Je m’approche de mon Épouse, elle a les yeux brillants de désir. Elle se jette sur ma bouche, m’embrasse, me chuchote à l’oreille, qu’elle a pensé à moi toute l’après-midi.
Je passe un moment, avec elles, partage un verre, elles sont déjà à l’apéritif, la bouteille de blanc est bien entamée.
STÉPHANIE m’explique que CORINE ne reste pas, elle a un « plan cul » ce soir. Elles sont toutes excités.
Je les laisse.
Je vais me doucher. L’eau chaude me détend. Je suis excité moi aussi.
Je m’examine dans le miroir, le plug est toujours en place. Je suis surpris de le supporter aussi bien. C’est la première fois que je le garde aussi longtemps. Le sortir est plus facile que je j’imaginais. Il est propre, je me fais un lavement, par sécurité, l’eau sort propre.
J’observe mon corps, il y a peu de marques, ma peau est un peu plus rouge au niveau des fesses, mais pas de traces bleues ou violettes comme j’ai pu craindre tant mon cul me brûlait tout à l’heure.
Une bonne dose de lubrifiant, mes doigts rentrent tout seul. J’enfonce quatre doigts, je suis vraiment très ouvert. Un frisson de plaisir me parcours tout le corps. Je suis de plus en plus sensible, du cul. Je remets le plug. J’imagine qu’elle souhaite le sortir elle même.
Une demi-heure plus tard, propre, rasés de partout, habillé, d’un short de d »un tee-shirt, je retrouve les filles.
CORINE est sur le départ, elle doit repasser chez elle pour se préparer pour son « rencard ».
Mon Épouse l’a raccompagne à sa voiture.
Sur le pas de la porte, CORINE se retourne et lance en me regardant, avec un petit sourire coquin.
_A très bientôt « mon petit juju ».
Oups, elle est au courant. Qu’est-ce que mon Épouse lui a dit ?
En même temps elles se disent tout.
Je prends tout d’un coup conscience, que mes phantasmes, mon intimité, mes désirs secrets, ne sont plus du tout secrets.
Quelles vont être les conséquences ?
Je veux bien assumer mes penchants de soumis. Mais si tout le monde est courant ? Je vais passer pour quoi ?
Mon Épouse reviens plusieurs minutes après, elles avaient encore pleins de choses à se raconter sûrement.
Elle je jette dans mes bras, elle est très caline et très chaude. Ses mains me touchent partout, elle vérifie que ma queue n’a pas de contrainte, elle est ravie de la sentir durcir sous ses doigts. Elle descend plus bas,passe entre mes fesses, se réjouit que mon petit trou est toujours décoré.
_Ce week-end tu es tout à moi. J’ai envie de faire beaucoup de choses très très cochonnes. CORINE m’a donnée plein d’idées.
_Comment ça ?
_Tu sais bien, CORINE à beaucoup d’expérience, elle collectionne les hommes et même les filles.
_Mais, tu lui as tout raconté ?
_Bien sûr mon Amour, on se dit tout tu le sais bien.
_Mais, comment je vais faire maintenant devant elle ?
_Comme d’habitude mon juju, ne t’inquiète pas elle te trouve génial, d’ailleurs je lui est passé ton film. Elle doit revenir dimanche nous le ramener.
_Mais mon amour c’est quand même très très personnel et intime.
_Tu es si fabuleux et si beau, en plus toutes tes collègues l’on vu. Ne t’inquiète pas, tu dois être content, une femme de plus va découvrir qui tu es vraiment
Et puis elle t’a déjà vu nu, alors ne fait pas ton pudique.
Je sais que tu adore ça, regarde ta queue. Tu bande très dur, mon juju.
_Oui c’est vrai, mais quand même. Qu’est ce qu’elle va penser de moi ?
_Juste ce que tu es, un mâle soumis qui adore lécher des petites culottes et se branler en reniflant leur parfum.
Et puis arrête de te plaindre, c’est toi qui l’a voulu, alors assume.
Je ne veux plus en entendre parler. OK.
A part ça, ta journée ? Pas trop douloureuses tes fesses?
_Sur le moment si. Mais la pommade est très efficace, plus de douleur, presque plus une trace.
_Tu sais mon juju, j’ai eu peur, quand PATRICIA m’a parlé de ce qui était prévu pour la journée, j’ai fallit refuser qu’elles te fassent subir tout ça. Mais heureusement, je suis venue, trop toride, très excitant. Je ne pensais jamais prendre autant de plaisir.
Au fait comment va ton trou du cul?
Tu as gardé le plug depuis midi ?
_Oui, c’est la première fois que je garde le plug aussi longtemps. Je me sent tout ouvert. Et je n’ai pas mal, j’ai juste remis du lubrifiant cet après-midi.
_Tant mieux car j’ai prévu un super truc. PATRICIA m’a parlé d’un magasin en ville. Nous sommes attendus en fin de soirée.
_on va manger en ville ?
_Oui.
Avant de partir, elle a voulu jouir. Un petit coup vite fait bien fait. Comme elle dit.
Elle est toute mouillée, une vraie fontaine. En quelques coups de langue, elle jouie une première fois, mais c’est à quatre pattes qu’elle réclame ma bite.
_Baise moi fort, j’adore quand tu me prends en levrette.
Elle n’a pas voulu que j’éjacule, en même temps j’ai joui il y a quelques heures.
Ce qui est bien car je suis très dur, et je peux contrôler mon érection.
Deux orgasmes plus tard, nous sommes en ville.
Elle rayonne, jouir l’a rend encore plus belle.
Restaurant japonais, déambulation dans la ville. Je me laisse guider.
Elle s’arrête devant une petite devanture, à peine éclairée.
Un mannequin habillé d’un corsé noir, au milieu, un ensemble rouge de dessous féminin épinglé sur un côté, une paire d’escarpins aux talons vertigineux de l’autre. Une porte sans poignée à l’extérieur.
STÉPHANIE semble hésiter.
Je lui fait remarquer que c’est un peu glauque.
_C’est le bon numéro, la bonne rue, si si c’est là. Sonne.
Quelques secondes après, une voix féminine demande demande la raison du dérangement.
Mon Épouse répond.
_C’est STÉPHANIE et juju on vient de la part de PATRICIA.
_Entrez, au fond du couloir dernière porte à droite.
La porte s’ouvre, une vielle ampoule éclaire faiblement un long couloir sombre.
La porte est entrouverte.
Une voix féminine nous prie d’entrer.
La surprise est totale, nous entrons dans une pièce illuminée.
Des dizaines de robes, jupes, corsés, cuissardes, bottes, chaussures, chapeaux habillent des mannequins, des tenues très féminines et très sexy.
C’est vraiment beau.
Ça brille, les couleurs noires, rouges, violettes, roses,blanches, bleues formes un ensemble surprenant. Les matières sont des mélange de cuir, de velour, d’une sorte de plastique mat et parfois brillant.
STÉPHANIE est aussi surprise et fasciné que moi.
On prend soudain conscience, que la personne qui nous a ouvert est derrière nous. L’on se retourne en même temps.
Une femme nous observe, elle semble amusée.
_bonjour Madame,
J’ai parlé le premier.
_Bonjour STÉPHANIE, bonjour juju, bienvenue chez moi, bienvenue à « l’atelier des délices ».
Je suis Maîtresse M
Elle s’approche de mon Épouse, elles se font la bise, elle se tourne vers moi, me détaille de la tête aux pieds.
Je m’approche prend délicatement la main qui m’est tendue, dépose un baisser.
_Bonjour Maîtresse M.
Je suis subjugué par son charisme.
Elle n’est pas très grande, elle doit avoir entre 50 et 60 ans, ses cheveux sont longs et argentés. Elle porte un chemisier blanc brillant sous un ensemble crème. Une veste cintrée, un pantalon à pince. Des chaussures blanches à talons.
_Alors voilà le joli petit couple amoureux dont m’a parlé PATRICIA. Elle m’avait avertit de votre venue. Je suis ravie de vous recevoir. Venez, suivez-moi.
On traverse une autre salle, des grandes tables couvertes de tissus, des mannequins, des patrons, des ciseaux,… c’est un atelier de couture.
On arrive dans un petit salon, la décoration est rococo. Des dorures et des moulures partout.
Sur la table une cafetière italienne fume.
_Le café viens d’être fait, voulez-vous le partager avec moi ?
Juju il paraît que tu as l’habitude maintenant.
Sert nous, je te prie.
La table est basse, je me met à genoux pour être à la bonne hauteur, je sert le café. Je présente la première tasse à Maîtresse M, puis à mon Épouse. Qui se sont installées dans de grands fauteuils.
Je reste à genoux prêt de mon Épouse.
PATRICIA ne m’avait pas menti, tu as un grand potentiel. Mais elle avait oublié de me parler de vous ma chère, vous êtes charmante.
Alors que puis-je faire pour vous ?
Mon Épouse a l’air aussi impressionnée que moi. Elle hésite à parler. Il y a un petit malaise.
Devant son hésitation notre hôtesse saisie une petite clochette sur la table et la fait tinter. Quelques secondes plus tard, sortie de nulle part une femme magnifique habillée d’une combinaison intégrale noire,dans une matière moulante et brillante, s’approche de la table.
_Je vous présente Anna, ma soumise. Accompagne ce cher Juju au boudoir et installe le sur le cheval.
Nous serons plus à l’aise pour parler toutes les deux, entre filles.
Ne vous inquiétez pas pour votre Juju, il ne risque rien, je vous rassure nous le retrouverons plus tard.
Je me lève, embrasse mon Épouse.
La femme me demande de la suivre. Un dernier regard vers mon Épouse pour voir la même inquiétude sur son visage.
Nous traversons plusieurs pièces très différentes, on descend des escaliers en colimaçon, on suit un long couloir fermé par une porte en fer. Elle ouvre avec une grande clef pendue à sa taille. La pièce est immense, toute en pierre. C’est une sorte grand tunnel. Le plafond est voûté, lui aussi en pierre. C’est un ancien chai,
Je marche toujours derrière la femme en noir, je suis impressionné.
Des objets disparates, des meubles tous plus impressionnant les uns que les autres, en bois, en fer. Je suis incapable de dire ce que c’est et à quoi ils peuvent servir.
Je reconnais un pilori, une grande roue, une croix en X, des sortes de chevalets, un fauteuil médical, une grande table en bois, des cordes, des chaînes, des poulies.
L’angoisse qui est présente depuis que j’ai quitté STÉPHANIE, monte d’un cran. Au milieu de la salle, un grand poteau trône sur une estrade. Sur un côté, des chaises et des fauteuils forme un salon autour d’une table basse. Une grande douche toute carrelée dans un coin, des toilettes. …
Je suis où ? Je n’ai jamais imaginé qu’un endroit pareil puisse exister.
Un donjon de torture du moyen-âge, avec tout le confort moderne.
Je crois que je tremble, je frissonne. J’ai vraiment très très peur.
La femme me parle, je ne comprends pas ce qu’elle dit. Je suis paralysé. Elle me touche le bras, le visage, ses gestes sont très doux.
Je comprends qu’elle me parle mais je n’entend pas ce qu’elle dit.
Elle me serre dans ses bras, elle reste longtemps ainsi. Mon coeur commence à ralentir, je me sens mieux, elle me rassure, sa voix est douce, ses paroles sont aimables.
Je comprends enfin sa demande, je dois me dévêtir. J’obei.
Elle fixe de gros bracelet en cuir sur mes poignets et mes chevilles.
Je n’ai pas froid, je me retrouve nu devant une femme que je n’avais jamais vu un quart d’heure avant, tout cela semble si naturel pourtant.
Je n’ai plus peur. J’arrive enfin à parler.
_Excusez-moi Madame, ou sommes nous ?
Elle me répond avec une voix suave.
_Dans la salle de jeux de Maîtresse M.
_Mais moi, qu’est-ce que je fais ici ?
_Tu es la pour prendre du plaisir et satisfaire Maîtresse M et ton Épouse.
La réponse n’a aucun sens pour moi, je ne connais pas cette Maîtresse M.
J’accompagne quand même la femme qui m’amène quelques mètres plus loin devant une sorte de petit canapé en cuir sans dossier mais beaucoup plus haut.
_C’est un cheval d’arçon. Allonge toi sur le ventre au milieu.
Je fais ce qu’elle me dit, elle attache mes bracelets au sol par des mousquetons, mes jambes sont grandements écartées et fixées aussi au sol . Je me suis laissé faire sans résister.
Je suis à présent attaché dans une position qui dévoile tout. Mon Rose Bud doit briller. La femme reviens vers mon visage, elle me remercie et me félicite pour mon aide et mon obéissance.
Elle me demande d’ouvrir grand la bouche, elle enfonce un objet en plastique qui me rempli la bouche, le fixe avec des lanières derrière ma tête.
_Tu peux le mordre très fort, c’est très résistant et parfois ça fait du bien.
Elle m’enfile ensuite la tête un bonnet en cuir qui me couvre les yeux.
J’entends ses talons s’éloigner. La porte s’ouvre et se ferme, la clef tourne dans la serrure.
Qu’est ce que je fais la ?
Je suis dans la même position que dans le film de Tarentino « Pulp Fiction » sauf que ce n’est pas un film. Je ne rêve pas.
Je n’essaie même pas de forcer pour me détacher, je sais que c’est impossible.
La position n’est pas désagréable. Je suis juste très vulnérable,sans aucune possibilité de bouger ou me cacher.
C’est la première fois que je suis attaché avec des vraies fixations. On avait déjà joué avec mon épouse, mais la ce ne sont pas des foulards.
Combien de temps je suis resté seul, dans le silence et dans le noir ?
Ma vue a disparu, je suis focalisé sur le seul qui reste, l’ouïe.
Les seuls bruits viennent d’une lointaine ventilation.
Ma bouche me tire, je bave, elle a dit que je pouvais modre dans ce bout de plastique, pourquoi ?
Soudain un bruit de serrure, la porte s’ouvre. Des pas s’approchent. Des voix féminines, je reconnais mon Épouse, une autre voix , et la voix de Maîtresse M.
Je les entends parler des installations, des différents objets et instruments.
Une odeur de café effleure mes narines. Elles se sont installées au salon, elles papotent.
L’attente est si cruelle, si excitante en même temps.
De la ou elles sont, elles ont une vue imprenable sur mon cul et mon sexe.
Qu’ont elles prévu ?
Mon Épouse est complice, elle m’a entraîné ici. Pourquoi ?
Soudain un bruit sec, je reconnais un bouchon de champagne, des rires, des verres qui tintent.
L’angoisse revient, je n’arrive plus à calmer les battements de mon coeur. J’ai vraiment très peur, je suis dans une cave entouré des pires objets de torture, sans savoir ce qui m’attend.
Je n’ai même pas entendu les pas se rapprocher.
Une main me caresse les fesses, on retire le plug, j’ai l’impression que mon cul reste grand ouvert.
Des mains me caresse le trou, des doigts rentrent à l’intérieur, ils m’ouvrent le cul. Je me sent écarté, fouillé. Un liquide épais et froid coule au fond de mon trou. Un objet rentre, c’est un gode,il est long mais fin.
Pas un son pas une parole n’a été prononcé.
Soudain le gode prend du volume, je le sent grossir, il me rempli. Je suis écarté, ouvert, comme jamais.
Je commence à gémir, les sons qui sortent de ma bouche sont des gargouillis informes.
Mon cul est dilaté, je hurle, la douleur est sourde, j’ai l’impression d’être déchiré, écartelé, empalé. Mon ventre se gonfle, il est rempli, et ma queue durcie, je bande.
Une main puis deux ont saisit ma queue.
On me branle, ça devient chaud et humide, ma queue est aspirée. On me suce?
Je transpire à grosse goutes, mon coeur s’emballe.
la douleur dans mon cul devient presque insupportable, en même temps elle est associée au plaisir de la felation.
Je ne pense plus. Je ressens simplement, je m’abandonne totalement.
Les sensations sont si contradictoires, si diamétralement opposées, et si puissantes.
Le gode à arrêté de grossir. Tout mon corps se détend, mon coeur ne s’emballe plus, ma respiration reprend un rtyme plus lent.
J’ai dans mon cul un objet énorme, et ma queue ne m’a jamais semblée si dure et si grande.
Le temps c’est arrêté, je respire doucement, je transpire à grosses goûtes.
Toutes mes sensations se résument à un pieux brûlant qui me déchire au plus profond de mon corps. Jamais je n’ai eu aussi mal. Je ne comprends pas pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fais ? Pourquoi on me fait subir cette torture et en même temps ce plaisir immense avec ma queue qui est aspirée, mes couilles sont malaxées, étirées, caressées.
Deux mains me caresse les fesses, elles se posent sur mes hanches, me saisissent fermement, puis tout doucement, le gode se met à bouger, il sort un peu puis re-rentre, ça n’arrête pas. C’est un mouvement très doux, qui s’amplifie, je ne peux pas bouger, les mouvements sont de plus en plus grands.
le gode sort presque en entier et rentre au plus profond. Ça me paraît gigantesque, tant le diamètre que la longueur.
Le contact des cuisses qui me touchent me fait frissonner.
La bouche qui aspire ma queue semble vouloir m’avaler en entier, et aspirer la moindre goûte.
Ma prostate est stimulée d’une façon inimaginable.
Je ressens pour la première fois mon corps de l’intérieur.
L’objet m’envoie une explosion de sensations.
Mon plaisir monte comme une vague sur le rivage. C’est un sunami qui me submerge qui part et reviens sans interruption, rien ne peut l’arrêter.
J’ai l’impression que cela dure des heures, je suis baisé, défoncé, enculé, branlé et sucé.
Ma jouissance arrive inexorablement, elle est d’une force, d’une puissance sans nom. Tout mon corps joui. Les stimulations ne s’arrêtent pas.
Je ne comprends plus rien, ma conscience s’envole, je délire, je tremble, je hurle, je crie, j’ejacule je joui encore et encore, puis plus rien.
J’ai perdu connaissance…
Mon Épouse m’embrasse, je suis allongé sur un lit.
Je suis au paradis?
une sensation de plénitude, un bonheur absolu. Je retombe inconscient.
Je ne sais combien de fois, je me suis réveillé puis rendormi.
La lumière est tamisée, une musique classique raisonne. Mon Épouse, Maîtresse M et PATRICIA discutent à côté de moi une coupe de champagne à la main. Tient, PATRICIA est là. J’essaie de parler, ma bouche est douloureuse, aucun son ne sort. Je tente de bouger, mes mains, mes bras mes jambes. Oui , mes membres m’obeissent enfin, ils sont libres aucune entrave.
Mon cul me fait mal, une douleur profonde et sourde vient de l’intérieur de mon ventre.
Mes mouvements ont attiré mes voisines, j’arrive à bouger, je m’assois sur le lit, les jambes dans le vide. Mon Épouse me serre fort dans ses bras. Elle pleure, elle est n’arrête pas de me dire qu’elle m’aime.
PATRICIA s’approche à son tour. Elle semble heureuse, elle me sourie. La femme en combinaison noire est à côté, elle me propose un verre d’eau.
Je reprends petit à petit pieds avec la réalité.
Peut à peut la conscience de ce qui m’entoure reviens.
Je suis toujours dans la grande salle en Pierres. Il y a 4 femmes autour de moi.
Je suis toujours nu, mon corps est lourd et douloureux.
Je ne sais pas ce qui s’est passé.
_ça va mon Amour ? Comment te sens tu ?
_Je vais bien mon Amour, ça va. Qu’est-ce qui c’est passé ? Pourquoi je suis sur un lit?
Bonjour Madame PATRICIA.
Merci Madame pour le verre d’eau, puis je en avoir un peu plus s’il vous plaît ?
Les mots sortent tout seul, je pense à voix haute.
Mon Épouse pleure, elle me serre dans ses bras, m’embrasse. Je la rassure lui rend ses baisers, je la serre fort à mon tour contre moi.
_je vais bien mon Amour même très très bien.
_Mon petit juju, tu es surprenant, je n’avais jamais vu ça avant toi.
Je regarde PATRICIA, elle me sourie.
_Je ne comprends pas, je ne sais pas de quoi vous parlez Madame PATRICIA.
C’est Maîtresse M qui prend la parole.
_Mon petit juju, tu viens de vivre l’expérience de la petite mort. Pour être un peu plus claire, tu as eu un orgasme d’une v******e peu commune.
Je ne sais pas quoi dire. Je me sens si apaisé, si bien. La vie est belle.
_Merci. Je ne sais pas comment le dire autrement. Merci Mesdames.
_Merci à toi juju, tu as été absolument fabuleux. Tu m’a encore surprise. STÉPHANIE à beaucoup de chance.
Ses paroles me touche mais je ne comprends pas vraiment pourquoi elle me trouve fabuleux.
_Madame PATRICIA, merci pour votre compliment mais je ne comprends pas, je n’ai rien fais.
_Mon petit juju tu comprendras mieux quand tu verras les images.
_Mesdames, juju, il commence à se faire tard je vais devoir vous laisser, je vous remercie pour cette soirée délicieuse, STÉPHANIE, ce fut un régal de vous rencontrer.
Votre Amour à tous les deux fait plaisir à voir. Juju savoure bien ta découverte de la soumission, tu as encore beaucoup à offrir aux femmes qui t’entourent et qui t’aime.
PATRICIA on se voit très bientôt.
ANNA raccompagne nos invités.
Avec une classe infinie Maîtresse M, s’est éloignée, elle a disparu derrière une immense armoire.
ANNA comme par magie me présente une grande cape noire qu’elle installe sur mes épaules, je me lève, mes jambes trembles, STÉPHANIE et PATRICIA me soutiennent,je suis épuisé, tout mon corps est une courbature sans douleur. Le chemin de retour est différent, des couloirs, des escaliers, des couloirs la voiture de PATRICIA est là dans un parking.
Je m’installe à l’arrière, STÉPHANIE est devant. Je m’endors enroulé par un cocon de douceur de légèreté, et de chaleur. Une deuxième peau. Cette cape est fabuleuse.
je suis réveillé d’un baiser, les lèvres sont chaudes, elles me chantent qu’elles m’aime.
J’ouvre les yeux STÉPHANIE me regarde, elle est heureuse.
_Bienvenue chez nous mon Amour.
La voiture est devant la maison, le soleil commence à se lever.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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