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exhibition maritime

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Exhibition maritime
Nous avons un voilier depuis longtemps.
Il y a quelques temps, nous prenions un verre avec deux copains de mon homme qui les a invités à venir naviguer. Un des deux a demandé si j’étais d’accord. Pierre a répondu que j’étais très obéissante. Je connais assez que pour savoir que cela présage une journée « fun ».
Sur le ponton, la tenue standard c’est polo, pantalon de toile. Un bikini y est aussi rare que dans une église. Je jour là, Pierre m’a fait mettre un bikini noir, soutif minuscule, string, et un short. Avant que les invités n’arrivent, il m’a envoyé à la voiture. Tout un ponton à parcourir, une passerelle à gravir, un parking à traverser. C’est un jour de semaine, même si on est en été, donc il y a peu de monde, ouf.
Ils sont arrivés. Je les trouve très câlins quand ils font la bise. Au moment où on va lâcher les amarres, Pierre me dit de retirer le haut. Il est fou, je dois me promener sur le pont pour défaire les nœuds sur les taquets, rentrer les amarres. Il veut que je le fasse seins nus. Je commence à m’exécuter. Le calvaire n’est pas fini. Comme d’accoutumée, un voisin sympa vient tenir le balcon avant du bateau pour éviter qu’il ne bouge quand tout est largué et que l’on va commencer la manoeuvre. Il mate mes seins tout à son aise. Il a un âge où le spectacle doit lui suffire mais le remercier, penchée au dessus du balcon pour récupérer l’amarre, les seins pendant et ballotant, c’est troublant.
Pierre donne le coup de marche arrière et on se dégage du ponton. Ma tâche suivante c’est rentrer les défenses et lover les amarres. Les deux copains restent assis mais me regardent avec un plaisir évident.
Au moment où je vais quitter le cockpit pour faire mon boulot, Pierre me dit de tirer le short. Il est fou. J’obéis mais je sais que je vais devoir faire le tour du bateau sur le pont, en string, mes fesses à l’air et que comme ça prend du temps, Pierre va tourner dans le bassin du port jusqu’à fin d’exécution, pour ne pas prendre de risque de perte d’équilibre. Je me concentre sur ma tâche pour éviter de voir si sur d’autres bateaux des mateurs se régalent. Les deux copains quand je reviens ont le culot de dire qu’ils trouvent que j’ai un beau cul…
On se dirige vers le chenal. Je vais devoir m’occuper de l’enrouleur de grand-voile. Je suis dans le cockpit, debout près de la descente attendant qu’il me dise que je peux envoyer. Je suis penchée en avant, derrière la capote qui couvre la descente, mes fesses offertes aux regards des passagers. Pierre me dit d’ôter le string. Il est complètement fou. J’obéis et reprends la position. J’ai maintenant mon abricot offert. J’envoie la voile et je borde, au winch, les seins secoués par l’effort.
Dans le chenal, je m’assieds. J’ai le choix, sur tribord, tous les gens qui sont sur l’estacade Ouest me verront mais de loin et avec un angle faible et donc un peu cachée par la banquette opposée et l’hiloire. Sur bâbord, les passants rares de l’estacade Est me verront de plus près avec une vue plongeante. Ils sont rares mais seraient servis. Si je me mets à la barre, je suis cachée par devant par la colonne de barre et de l’électronique mais ceux qui suivent verront mes fesses. Je prends bâbord. L’estacade est calme mais des gens quand même regardent, surpris, et j’en vois qui prennent des photos. On arrive en mer. La mer est un peu houleuse. Il y a eu du vent les jours précédents. Mon voisin commence à me peloter. Vu le tangage, baiser dehors c’est s’assurer des bleus partout. Pierre me fait signe de descendre. Au moment où je m’apprête à enjamber le seuil de la descente, mon voisin passe sa main entre mes jambes, juste sur ma fente.
On arrive en bas, lui et moi. Je me mets sur le dos, sur la table du carré, posant les chevilles sur ses épaules. C’est génial de faire l’amour avec le tangage. La tête monte et descend au rythme des vagues. Le mouvement fait aussi glisser d’avant en arrière et d’arrière en avant. Plantée sur une queue c’est troublant. Superbe orgasme, rapidement atteint. Il me maintient sur la table pour éviter ma chute pendant que le deuxième nous rejoint et reprend le travail. Je redécolle.
Nous ressortons. Je passe une partie de la journée nue sur le pont, m’activant à régler les voiles. Je me sens bien.
On revient vers le port. Je me demande quand je pourrai me rhabiller. Pierre a l’air de ne pas considérer la chose. Toujours nue. Au retour, assise à tribord, peu me voient. Je rentre la toile au niveau du parc Baudouin où il y a toujours une dévente.
Il me dit de mettre la chemise qui pend en bas, près de l’équipet de la cabine arrière. Je la mets. Je suis vêtue pour aller mettre les défenses et placer les amarres à leur poste mais c’est très très court.
On arrive au ponton, je dois sauter pour aller amarrer. Je prie que personne ne regarde parce qu’en sautant, ma chatte va prendre l’air. Un voisin arrive pour prendre le balcon et immobiliser le bateau. J’espère qu’il n’a rien vu mais fixer les amarres devant lui, la chemise au ras de la foufoune c’est gênant.
Je remonte à bord, on prend le dernier verre avec eux et ils repartent. À peine partis, Pierre m’entraîne en bas et me saute sur la table lui aussi.
C’est ça la vie à bord…

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