Marc baille de plus en plus souvent, je propose à Julien de rentrer. On se lève, se fait la bise pour partir, et on se dirige vers la voiture. Julien monte côté passager, et je lui dis que j’ai oublié mon portefeuilles, qu’il m’attende dans la voiture le temps que je le retrouve. Vu son état de fatigue je compte sur le fait qu’il s’endorme ou au moins somnole.
Je rentre chez Sophie et Marc sans frapper et retourne dans le salon. Tout prétexte trouvé si je croise Marc, j’envoie un SMS à Sophie.
– Je t’attends dans le salon, fais vite, je ne sais pas combien de temps Julien va patienter ! lui dis-je par SMS
Je les entends dans la cuisine, remplissant le lave-vaisselles. J’entends Sophie dire un truc, puis elle arrive dans le salon. Elle me fait signe de silence en mettant un doigt sur sa bouche, et me désigne le jardin. J’y vais donc et l’y attends.
Quelques secondes plus tard, elle arrive. Elle a la jupe complètement relevée et marche vers moi dans une démarche aguicheuse. Je l’att**** par la taille, l’embrasse, et glisse ma main entre ses cuisses. Elle est trempée. On est dans l’ombre, face à la porte vitrée. Marc est toujours dans la cuisine.
J’aide Sophie à retirer son haut, dégrafe son soutif, et commence à lui sucer les seins tout en les malaxant. Le risque nous excite au plus haut point, tous nos sens sont aux aguets. Il y a deux accès au jardin : la porte vitrée que nous ne quittons pas des yeux, et un portique qui donne sur la rue où je suis garé.
Sophie commence à me masser la queue, je lui facilite la tâche en la sortant, et alors qu’elle commence à me branler je retourne m’occuper de sa chatte ruisselante. Je la retourne et la positionne face à un pilier. On a toujours vue sur le salon par la porte vitrée. Je sors ma queue et la frotte contre son sexe, puis ne résistant plus, m’enfonce d’un coup sec dedans, lui arrachant un cri. On arrête tout mouvement, de peur d’avoir été entendus. Je prévois de m’éclipser par le portique si Marc revient, Sophie aurait le temps de se rhabiller. Aucun bruit, je commence à la limer. Je baise Sophie, seins nus dans son jardin, pendant que Marc range. Au bout de quelques secondes ou minutes, on voit Marc arrivé dans le salon. Instinctivement j’arrête mes mouvements, il ne nous voit pas de là où il est… en plus on est dans le noir. Il commence à ranger les restes de la soirée sur la table du salon. Il est visiblement très fatigué. Je reprends mes mouvements et continue de baiser Sophie, qui gémit de moins en moins discrètement… Pendant que Marc s’affaire, mon pouce se positionne sur la rondelle de Sophie, toujours appuyée au pilier. Je rêve de l’enculer pendant que Marc continue de ranger. Marc a beau nous avoir raconté pleins d’aventures qu’ils ont eu, jamais la sodomie n’en a fait partie. Mon pouce masse sa rondelle doucement, pendant que je la baise tout en longueur. Puis je masse un peu plus intensément, elle ne refuse pas ce traitement. Mais j’ai pas l’impression qu’elle soit une adepte de ça, peut être même n’a-t-elle jamais essayé ! Je regarde alors son anus, tout serré, j’arrête de la baiser pour me baisser, écarter ses fesses, et cracher dessus. Sophie a l’air folle, super excitée, je pense qu’entre la situation et l’alcool, elle est vraiment déchaînée. Je me relève et remet ma queue dans son sexe brulant. En jetant un œil au salon on ne voit plus Marc.
Sophie s’inquiète, s’il la cherche il pourrait regarder par une fenêtre en haut et peut-être nous entendre. On arrête notre baise un moment, elle remet son haut, laissant son soutif dehors. Sa tenue fait vraiment salope pour le coup, surtout son air qui attend la bite avec gourmandise… Je la trouve plus qu’érotique sur le moment, j’ai vraiment envie de la sodomiser. On rentre discrètement dans le salon et on s’approche du canapé. On entend rien, pas un bruit. Sophie appelle alors Marc. On entend un gémissement, provenant du canapé, Marc s’est endormi dessus. Sophie lui propose de monter dans leur chambre, mais il l’envoie bouler, de manière désagréable. Il a pas l’air bien, il a trop forcé sur l’alcool. Alors que Sophie lui parle, je relève sa jupe. Elle est appuyée sur le dossier du canapé, Marc ne peut voir que sa tête. En risquant un coup d’œil je vois qu’il est sur le ventre, et qu’il a vomi sur la moquette. Je n’y tiens plus, j’utilise la mouille de Sophie pour lubrifier son anus, et présente mon gland. Elle continue de dire à Marc qu’il serait mieux en haut, sa main vient me branler doucement, m’encourageant à continuer. Je rentre mon gland avec difficulté, pendant qu’elle parle, elle étouffe difficile un cri. Je ne bouge plus, laissant le temps de s’habituer. Puis je sors et rerentre. Elle a arrêté de parler, elle me tend son cul maintenant complètement, la tête enfouie dans les coussins du canapé. Je l’encule de plus en plus profondément, de plus en plus bruyamment.
Quand on entend la porte vitrée s’ouvrir !
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