Ca y est, c’est enfin le grand jour. Depuis le temps que j’attends ça ! Ce couple bien coquin à qui j’aime rendre visite…ça fait si longtemps. J’échange régulièrement avec lui, on discute de sa femme et ça nous fait bander tous les deux. Et étrangement, surtout quand on est au boulot. On se déconcentre mutuellement. Lui, c’est Florent. Un peu plus jeune que moi, père de famille, super sympa et à l’écoute. Clairement coquin et candau, je ne compte plus les nombreuses fois où nous avons été vicieux en parlant de scénario impliquant sa belle Emilie. En revanche je me souviens bien plus précisément du nombre de fois où je les ai vu tous les deux. Trop peu à mon goût, souvent je me dis que j’aurais bien aimé être leur voisin. Les occasions pour nous voir auraient été plus nombreuses. Ces deux visites chez eux se sont toujours extrêmement bien passées. Dès notre première rencontre j’ai été sous le charme de ce couple complice et amoureux. Dès notre première rencontre j’ai pu mesurer à quel point Florent aime aussi rester en retrait et observer. Et quel effet ça lui fait de nous voir sa femme et moi. Dès notre première rencontre, j’ai surtout pu prendre mon pied. Découvrir le corps d’Emilie a été tellement bon. Je me souviens de mes mains qui se posent sur elle, nos bouches qui se rapprochent, la douce humidité de son entre-cuisses et ses gémissements divins qui n’ont eu de cesse de m’exciter. Enfin, dès notre première rencontre je me rappelle avec délectation que Florent m’a tout offert de sa femme. De me replonger dans ce souvenir d’Emilie empalée sur la queue de son homme, me tendant son cul pour m’inviter à la prendre en même temps…ça y est je suis à l’étroit dans mon boxer.
Aujourd’hui donc, je suis sur la route en direction de Roanne. Sourire aux lèvres, je vais rejoindre mes deux coquins. Dans ma tête se bousculent tellement d’images et d’idées. Difficile de rester concentrer sur la route, surtout quand je pense de nouveau à ce scénario rédigé directement pour la belle Emilie…
Assis dans le salon, nous sommes, Florent et moi, en chemise et pantalon. Classe mais pas trop. Toi, tu es élégante, sexy en robe courte avec des talons. Toujours aussi ravissante. Mes yeux ne peuvent s’empêcher de t’observer. Je me demande d’ailleurs si tu portes une culotte… La soirée passe, nous discutons et rions, on a un peu bu mais pas trop. Je sais que l’alcool libère encore plus tes envies mais attention, je sais aussi que ta limite de tolérance est basse. Tu as dû boire 3 verres de rosé, je sens que tu es parfaitement décontractée. Tu as également senti depuis quelques minutes notre excitation plus prégnante à Florent et moi. Assise entre ton homme et moi, tes mains se font plus baladeuses, tu caresses nos cuisses. Je croise ton regard et commence à percevoir le changement, tu enclenches le mode coquine. Lentement Florent et moi nous rapprochons de ton cou pour y déposer de longs baisers. Je sens ta peau frissonner. Ma main vient caresser ta cuisse, remonte sur ton ventre et ta poitrine. Je redécouvre ton corps et j’ai tellement de plaisir à le caresser. Ton rythme cardiaque s’est accéléré. Florent et moi avons désormais nos mains sur le haut de tes cuisses, ta robe est remontée et pour mon plus grand plaisir je constate que tu ne portes rien en-dessous. Je te caresse et sens que tu mouilles. J’adore. Ton rythme cardiaque s’accélère encore davantage, ces mains qui te fouillent ne te laissent pas insensibles. Nous écartons tes jambes et je viens m’agenouiller devant toi. Quel délice de venir poser ma langue. Te lécher et sentir ton excitation de plus en plus présente. Tu commences à gémir et Florent ne cesse de t’embrasser en malaxant tes seins. Je te remonte les jambes afin que tu m’offres encore plus ta petite chatte à déguster. J’en profite pour glisser ma langue un peu plus bas aussi, sur ton petit trou, juste quelques allers et retours pour te procurer cette douce sensation.
C’est au tour de Florent de venir jouer avec ton clito. J’en profite pour me déshabiller, tu m’aides en enlevant ma ceinture et en baissant mon pantalon. Je n’ai pas le temps d’ôter mon boxer que ta main vient déjà saisir ma queue. Je croise ton regard et comprend que ça y est, tu es plus que chaude. Tu as envie de sexe et tu nous le montre. Tu commences à me branler lentement, Florent est toujours la tête coincée entre tes jambes et tu gémis de plus en plus « elle est trempée » lâche t-il. D’entendre qu’il parle de toi à la 3ème personne t’excite encore plus. Ta bouche se rapproche et tu mets un coup de langue sur mon gland. Puis tu la lèches de bas en haut avant de l’engloutir dans ta bouche. Hummm j’adore. Cette sensation, d’être dans ta bouche, croiser ton regard coquin, entendre tes gémissements étouffés. Ce talent que tu as. Je m’entends même dire « Florent, tu l’as vraiment bien entrainée, elle suce tellement bien…dis-moi qu’elle te le fait tous les jours ». Tes lèvres autour de mon gland pendant que ta main me branle, j’aime trop ça. De temps à autre tu viens glisser ta langue sur mes boules. Tu les lèches bien tout en me masturbant au-dessous de ton visage. Puis tu prends de nouveau ma queue bien en bouche. Ma main sur ta tête et mes mouvements de bassin impriment le rythme.
Florent se relève et t’indique de te mettre à l’aise. Il t’enlève ta robe et je découvre ton corps délicieux. Comme happée par cette magnifique vue, ma main vient se poser sur tes seins, je ne résiste pas à l’envie de venir les embrasser, les lécher. Je me place debout derrière toi un court instant pour t’embrasser le cou tout en caressant tes seins. Entre temps Florent s’est dévêtu. Ton regard est immédiatement porté sur sa queue, raide et fière. Comme d’habitude, la situation lui plait énormément. Tu l’invite à se rapprocher de toi, tu t’agenouilles devant lui et entreprend de lui faire une fellation. Je me délecte de ce spectacle, Florent aussi visiblement. Il tient ta tête et donne le rythme. Je le rejoins. Tu es désormais à genoux entre nous deux et tu prends une bite dans chaque main. C’est à peine si tu peux respirer, ta bouche est constamment occupée. Florent et moi ne nous faisons pas prier pour te l’enfoncer bien correctement dans la bouche. Il te lâche « c’est bien petite chienne, continue à bien nous sucer » J’ajoute « deux queues pour elle, ça lui semble si naturel … On dirait qu’elle a fait ça toute sa vie. ». « C’est clair, elle sait bien faire. Une vraie salope affamée. Hein chérie ?». Et là, sans même nous regarder, en retirant quelques secondes la queue de Florent de ta bouche « oui j’aime trop ça… je pourrais en sucer plusieurs par jour » et aussitôt tu la remets en bouche.
Je profite que tu sois bien occupée avec le sexe de ton homme pour att****r la boîte de préservatifs. Je te mets à 4 pattes et entreprends de m’occuper de ta petite chatte avec ma main. Tout en me branlant un peu, je caresse ton clito. Tu es toute mouillée, on entend d’ailleurs le bruit provenant de ta chatte. Je sens couler ton humidité lentement le long de mes doigts et me prend l’envie de venir enfoncer mon index. Il rentre si facilement. Assez vite je mets deux doigts, ton plaisir est décuplé. Mes doigts te fouillent littéralement. D’abord lentement puis bien plus rapidement. Tu stoppes un instant ta fellation, seule ta main continue à serrer la queue de Florent. Tu profites quelques secondes de cette sensation entre tes cuisses. Quelques gémissements et ton bassin en mouvement témoignent de cette envie que tu as de te faire prendre. Florent se recule un peu, prend ta tête et t’embrasse à pleine bouche. Je croise son regard complice qui me dit « vas y elle est prête ». Dans ma tête je me dis « bien prête à se faire prendre. A 4 pattes comme une petite chienne, je vais la faire gémir tout en me branlant bien dans sa chatte ».
Ne tenant plus non plus, j’enfile un préservatif et présente mon gland à l’entrée de ton orifice humide. C’est le moment que je préfère, ce moment où tu es en attente de ma queue. Je sens ton envie. Ton cul bien tendu en arrière, ta chatte ruisselante et bien ouverte. Je me positionne et te pénètre lentement. Hummm cette sensation d’être en toi. Bien sûr la capote empêche de sentir ta chaleur humide correctement, mais de me glisser en toi lentement…je vois ma queue disparaître en toi j’adore ça. Je me délecte de cette vue de ton petit cul, ta tête sur le côté sur l’oreiller. Cambrée ainsi, quel spectacle. Je fais quelques allers et retours, mes couilles commencent à venir claquer contre tes fesses. Florent a pris sa position d’observateur et se branle. Toi aussi tu l’as vu et ça t’excite encore plus de le voir bander pendant que tu te fais baiser par un autre. Tu lui lances un regard d’allumeuse ; il se rapproche de toi et t’embrasse. Puis plus sauvagement il te tire les cheveux en te susurrant à l’oreille « j’aime quand tu es salope comme ça. Vas y profite, lâche toi ». De mon côté je tiens fermement tes hanches et te mets des coups de bassins de plus en plus prononcés. Pour t’encourager je te mets une première fessée. Tu gémis de plaisir. Une seconde fessée te fait redresser la tête « encore. Encore vas y ». Ca m’excite tellement de t’entendre réclamer. Cette fois-ci j’appuie plus encore une série de 3 fessées et immédiatement viens te prendre les cheveux en me penchant sur toi « c’est ça que tu aimes alors ? Que je te mette des fessées comme à une petite chienne ? ». « Oui…j’aime ça. Je suis une petite chienne ». Humm d’entendre ça me fait bander encore plus. Je ne résiste plus, je te baise bien plus fort. Je tiens tes hanches et te baise sauvagement. Je me fais ta chatte comme si je voulais me vider et que tu n’étais qu’un trou bon à ça. Intérieurement je me dis que j’ai de la chance de te baiser sous les yeux de ton homme. Un petit cul comme le tien, si joliment présenté à 4 pattes. J’ai envie que tu sois ma chienne à moi le temps d’une soirée. Ma pute à qui j’ai envie de procurer beaucoup de plaisir jusqu’à épuisement.
Mon excitation est clairement montée d’un cran. J’en veux pour preuve tes fesses rougies par les claquements de mes mains. Je me retire lentement et recule. J’aime aussi quand Florent se fait plaisir avec toi et lui lance un « à ton tour vas y ». En temps normal c’est le mari candau qui dit ça mais ce soir j’ai envie que tu sois mienne en partie. Pendant que ton homme prend ma place et que, tout aussi sauvagement, ses coups de reins te font gémir, je m’assieds devant toi, enlève la capote et te donne ma queue à sucer. L’occasion pour moi de voir ton regard … et là je comprends. Je comprends que tu es bien, parfaitement bien. Que ce soir tu as envie de plus, tout comme moi. Que ce soir tu n’es plus juste la femme de Florent mais bel et bien notre salope à tous les deux. Que tu as envie qu’on te traite ainsi, qu’on profite de toi comme un objet sexuel à notre merci. Ma queue bien enfoncée dans ta bouche, et pensant à tout ça, je ne résiste pas à l’envie de te tenir la tête. Je t’empêche de bouger et t’ordonne simplement d’ouvrir la bouche, ce que tu fais volontiers. Allongé sous toi je commence à bouger mon bassin. Comme il y a quelques minutes où j’étais derrière toi, sauf qu’à cet instant c’est ta bouche que je baise. A la limite de l’étouffement tu sens ta bouche pleinement occupée. N’arrivant même pas à avaler ta salive je la sens couler le long de ma queue jusqu’aux couilles. J’adore ça. Ca fait maintenant bien 5 minutes que tu te fais prendre à 4 pattes par deux mecs ultra excités qui se font tes trous. Sur cette période de 5 minutes je n’ai pas arrêté de te complimenter et t’encourager à continuer.
Florent se retire et observe quelques secondes sa femme en train de sucer une queue d’un quasi inconnu. Il me jette un regard, clin d’œil et quitte la pièce. Je ne sais pas ce qu’il a en tête, ça me perturbe un peu mais je chasse ce trouble en me concentrant sur toi. Qu’est-ce que tu es belle et bandante quand tu suces ma bite. Je relève ta tête, je sens que tes mâchoires ont besoin de repos. « ça te plaît ? Offerte ainsi, soumise ? » « oui j’adore ça…et ça peut être encore plus tu sais » . Il se passe mille trucs dans ma tête, j’aime trop t’entendre dire ça. « ce soir j’ai envie que tu sois à moi, ma petite chienne soumise » ; « oui j’ai envie aussi ». Je souris « reste à 4 pattes, tout à l’heure je voyais ton petit trou… j’avais trop envie. Laisse-moi te le prendre. J’aime tellement ton petit cul, il faut absolument que je me le fasse ». A ton tour tu me souris « vas-y. Prends-moi par derrière, sodomise moi. Je suis ta chienne, tu fais ce que tu veux de moi ». Encore un peu frustré de ma sensation de tout à l’heure, je te dis « ok, je vais t’enculer petite salope. Mais à ma manière ». J’att**** le lubrifiant que Florent avait laissé sur le meuble et en prend une noisette sur le bout des doigts. Je l’étale sur l’entrée de ton orifice, lentement, puis j’insère un doigt. A peine le temps de songer à Florent qui n’est pas encore revenu, me voilà en train de te mettre 2 doigts dans ton petit trou. Cette sensation, tout serré, j’adore. Tes gémissements de plaisir m’incitent à continuer. Je sais que tu as l’habitude de te faire prendre par-là. Florent n’est pas le dernier à avoir envie de se faire ton cul et je le comprends. Mes doigts parviennent à dilater ton anus, je les retire et j’observe ce trou qui s’est agrandit et commence à se refermer. Humm quelle vue. Je replonge mes doigts et fais quelques allers et retours. Mon autre main, pleine de lubrifiant elle aussi, me sert à me branler. Je n’arrête pas de penser à ce que je vais faire et ça m’excite trop. Je suis méga dur et impatient. Je sais que je n’ai pas le « droit ». Mais après tout, ce soir Emilie, tu es à moi aussi. J’ai envie que tu m’appartiennes encore plus. Je me redresse pour venir au-dessus toi. Mes doigts se sont retirés, tu ne sens plus rien. Juste que tu es bien ouverte, offerte, prête à te faire sodomiser par ton amant d’un soir. Tu brûles d’envie de me sentir en toi, tu es fière aussi de t’être libérée ainsi à ton amant. Tu n’as pas le temps de prolonger ta rêverie que tu sens quelque chose de plus gros que des doigts s’enfoncer en toi. Tu grimaces un peu, tu étouffes un gémissement. Ca se retire, tu respires. Tu sais que ça va aller de mieux en mieux. De nouveau tu sens que je m’enfonce en toi. Cette fois, c’est plus profond. Je ne suis pas complètement en toi mais tu te sens déjà bien remplie. Bien prise. « je fais tellement salope dans cette position. A 4 pattes, j’offre mon petit trou à mon amant. Ca me fait tellement mouiller … faudrait que Florent voit ça. Ca va tellement le faire bander de me voir comme ça » tu te caresses pendant que ma queue te pénètre plus profondément. Ca y est, tu ne grimaces plus. Bien au contraire tu es beaucoup plus excitée. Tu es comme ailleurs, dans un autre monde. Il y a quelques minutes tu suçais une queue pendant qu’une autre te baisait. Maintenant tu te fais sodomiser pendant que tu te caresses. Ca fait tellement salope, tu as un peu honte mais en même temps ça te fait tellement de bien, de plaisir que tu ne fais que profiter. Tu n’as pas envie que ça s’interrompe. Alors que tu as la tête bien enfouie dans l’oreiller tu m’entends dire « vas y écarte tes fesses avec tes mains. Montre moi à quel point tu as aimes que je te sodomise. Allez offre moi ton cul encore plus ma petite salope ». Tu t’exécutes et tire bien sur chaque côté de tes fesses pour permettre à ma queue de venir entièrement en toi. » C’est à ce moment-là que tu réalises que quelque chose d’étrange se produit. Cette sensation de ma queue en toi. Tu la sens si bien. Comme si… oui comme si c’était ma queue au naturel, rien pour gâcher le plaisir du contact de deux peaux. Tu n’as pas le temps de cogiter, je te dis « alors ça te plait hein ? Tu sens comme c’est mieux comme ça, à ma façon ? J’étais trop frustré tout à l’heure de ne pas pouvoir sentir ton humidité à même ma queue. Ce soir tu es à moi, ma chienne. Et je te baise comme ça, sans capote, en signe d’appartenance totale ». Intérieurement tu te dis que c’est un truc de fou, ta raison tente de s’interposer et te dire que tu ne devrais pas. Puis tu te surprend à penser « en même temps je suis trop bien là, bien prise. Tellement de plaisir, je n’ai pas envie que ça s’arrête c’est trop bon. Et Florent si il voyait ça ? On a plusieurs fois parlé de son fantasme de me voir me faire prendre sans capote. Ca l’a toujours excité mais nous n’avons jamais franchi le pas, à froid comme ça je ne voulais pas. Je voulais que ce soit lui uniquement, pas mon amant. Sauf que…oui c’est vrai quand il me baisait et me racontait ça, dans le feu de l’action ça me plaît. Je m’imaginais que ce n’était plus lui mais un inconnu. Que la queue que je sentais en moi et qui jouissais en moi ce n’était pas lui. Et…humm comme ça m’excite. Il n’y a vraiment que les vraies salopes qui font ça.
Tes tergiversassions sont interrompues par le retour de Florent dans la chambre, sourire aux lèvres « alors vous deux. Julien je te laisse 5 minutes avec ma femme et tu en profites pour l’enculer hein » dit-il joyeusement. Le voyant ainsi réapparaître toujours en pleine érection et souriant je me sens parfaitement et étonnement décontracté. Il vient s’asseoir devant toi et t’embrasse. Il te glisse quelques mots à l’oreille « tu es belle mon amour, et tu m’excites terriblement. Merci d’être comme ça et de me rendre heureux » Ton regard interrogateur l’invite à continuer : « je vous voir depuis tout à l’heure, par la fenêtre dehors. Tu peux pas savoir comme c’est difficile de résister. Quand je l’ai vu te prendre sans capote une partie de moi m’intimait de m’interposer mais une plus grande partie de moi encore me disait d’observer. Tu n’as pas idée comme je bandais de voir ça. Putain c’est trop bon…tellement bon que j’ai giclé une première fois. » En entendant ça, le soupçon de culpabilité que tu pouvais avoir s’est totalement volatilisé et ton désir n’en est que plus décuplé. D’imaginer ton homme jouir parce que ton amant te sodomise sans capote…humm c’est comme un déclic, tu es transportée plus loin encore. Et Florent de poursuivre « ce soir tu t’offre complètement à ton amant et j’aime ça. C’est comme ça que j’aime te voir aussi. Vas-y fais la salope, sois sa chienne encore et fais-moi jouir dans ta bouche. Je veux te voir m’avaler pendant qu’il te prend par derrière ». Tu ne te fais pas prier et tu commences à le sucer goulument. Tu es tellement excitée, tu ne sais plus où tu es. Tu te sens remplie par derrière et devant en même temps, tu imagines ces deux queues qui s’enfoncent en toi, ressortent et reviennent. Tu te dis avec fierté que tu es la reine des salopes. A te faire limer ainsi le cul par ton amant, au naturel en plus. Tu connais parfaitement ton homme, tu sais qu’il est au bord de l’explosion, tu sens sa queue durcir. C’est l’ultime instant qui précède sa jouissance. Ton moment préféré, le travail accompli tu vas avoir ta récompense. Il va t’en mettre plein la bouche. Son sperme bien chaud…humm ça y est, il jouit. Tu te sens inondée de cette chaleur épaisse. Son râle ne s’y trompe pas, il vient d’avoir un autre orgasme et toi ton premier. La sensation par derrière, ton homme heureux de te voir comme ça, c’en est trop pour ton cerveau qui se décharge de tout un tas de trucs, tu ne sais pas quoi mais qu’est ce que c’est bon. Ton corps entier est parcouru de frissons, tu n’es plus avec nous. Tu reprends légèrement tes esprits. Tu regardes ton homme droit dans les yeux, tu ouvres ta bouche pour lui montrer que tu as bien tout gardé et tu avales. Florent se retire et tu l’entends m’encourager « vas y Julien, défonce là bien. Fais-toi son cul il est à toi. Elle aime ça, je ne l’ai jamais comme ça, elle est en train de kiffer comme jamais ». Je sens que je ne suis pas loin. Non seulement ça fait plusieurs minutes que je me branle dans ton petit trou serré mais en plus, de savoir que je suis à même contre ta peau, que j’ai pas de capote.. et que Florent aime voir ça. Il m’encourage même à me lâcher. Humm je suis pas loin de gicler je le sens. Dans ma tête il se passe plein de choses. Est-ce que je me retire et je jouis sur tes seins ? Sur tes fesses ? Est-ce que… je fini là, au fond de ton trou ? Purée ce serait trop bon de te remplir. J’en meurs d’envie. J’étais encore en train d’hésiter lorsque tu me dis « vas-y baise ta chienne. T’arrête pas c’est trop bon. Ca me plaît d’être ta salope, ta pute, ta soumise. Vas-y fais toi plaisir, jouis. Rempli-moi même si tu veux. Oh oui rempli-moi…j’ai envie de sentir ton sperme chaud » mes coups de bassins se font de plus en plus rapide, tu te caresse comme une folle, tu glisses tes doigts dans ta chatte. Tu es tellement trempée. Tu te cabres de plus en plus, tu t’offres complètement. Tu gémis en continu, soulevée et transportée par tous ces plaisirs, ces fessées que je te mets, les mots de Florent qui m’encourage à baiser encore plus fort sa femme. Je ne tiens plus, ton cul serré est tellement bon, je suis tellement excité que je ne contrôle même pas ce qui se passe. Un truc de fou, je suis en train de baiser la femme de Florent, je me fais son cul et je vais… ooohhh oui je le rempli. Oh putain comme c’est bon. Tout ce sperme qui sort et te rempli le cul. Ca ne s’arrête pas, j’ai l’impression de t’en mettre des litres. Je t’entends toi aussi gémir. Tu t’es certainement fait jouir au moment même où j’éjaculais en toi. Je fais encore quelques allers et retours, lentement, juste pour bien en sortir les dernières gouttes. Je transpire, j’halète et cherche mon souffle. Je me retire et tombe sur mes genoux en gardant la vue sur ton petit trou qui se referme. Rolala comme j’aime. Je suis à peine conscient de ce qui vient de se passer. Et là je vois mon foutre qui commence à sortir de toi. Humm comme c’est excitant. Je me sens vidé et fier. Florent s’est rapproché aussi pour voir ça. Il sourit. Enfin, il voit sa femme se faire remplir par son amant et ça lui plaît beaucoup. Tu changes de position et t’allonges sur le dos. Epuisée. Florent et moi nous allongeons à côté de toi. Je te caresse le ventre, les cuisses, t’embrasse l’épaule. Florent et toi vous embrassez à pleine bouche. Amoureux. Tu l’entends te dire « merci » et tu souris.
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