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Une vie

Une vie



Je débutais comme secrétaire dans une boîte. Je ne connaissais personne mais une collègue n’a pas tardé à m’invitée, pas à boire un verre, mais à venir danser avec elle le samedi suivant. Elle a insisté plusieurs fois et j’ai fini par accepter.
On s’est retrouvées là-bas. J’ai d’abord cru que c’était une boîte pour lesbiennes mais il y avait quand même quelques mecs.
On a pris un verre, puis deux, puis trois et la tête à commencé à me tourner et j’ai fini par accepter de faire une danse avec ma collègue. Elle me serrait contre elle et elle écrasait ses seins contre les miens. J’avais envie de me décoller parce qu’en plus il faisait chaud et j’étouffais. A la fin de la danse, je me suis éclipsée dans les toilettes de la boîte.
J’étais maquillée et je ne pouvais pas me passer de l’eau sur le visage. Ma collègue a fini par me rejoindre. Je me suis réfugiée dans une cabine mais elle m’a suivie et elle m’a demandé si elle me fait peur. J’étais terrifiée. Elle m’a coincée contre la tinette et elle a essayé de m’embrasser et je me suis débattue mais j’avais peur.
J’ai fini par me laisser faire. C’était la première fois que j’embrassais une femme. Ses mains étaient comme des sangsues et elles se glissaient sous mes vêtements puis ses doigts ont agrippé mes seins et les autres doigts se sont glissées dans ma petite culotte et là, j’ai lâché prise.
Moi à qui il fallait des heures pour me donner un orgasme, j’ai joui en cinq minutes puis ma collègue m’a dit que je dois faire ma part. Elle s’est penchée sur la tinette après avoir relevé le bas de sa robe puis elle m’a dit de lécher. Elle n’avait pas de culotte et son clitoris était tendu et la rosette de son anus était magnifique. Je me suis agenouillée et j’ai commencé à lécher.
Quelqu’un est entré dans les toilettes et on a fait silence et je me suis arrêtée de lécher. Ma collègue écrasait ses fesses sur mon visage et je voyais bien qu’elle le faisait exprès puis la personne est ressortie des toilettes. Ma collègue voulait mes mains et elle a passé ses doigts entre mes doigts. J’ai recommencé à la lécher.
Tout à coup, elle s’est mise à uriner un peu et je lui ai dit de faire attention. Elle m’en avait mis sur le visage. J’ai continué mais elle a recommencé et je me suis fâchée. Je suis sortie de la cabine et je suis retournée dans la salle. Là, je pouvais me protéger d’elle. Un type m’a aborder pour une danse mais j’ai refusé et il m’a traitée de pute.
Ma collègue m’a rejointe. Elle a voulu me payer un autre verre et j’ai accepté. Elle m’a dit qu’on est pareilles. Je ne voulais pas comprendre.
– T’es gouine, mais tu veux pas l’admettre, a-t-elle ajouté !
Je pensais à mon père. Quand il entendait parler d’homosexuels, il les vouait aux gémonies et il les traitait de malades qui devraient se faire soigner. Quant à ma mère, elle m’avait confiée un jour qu’elle avait eu une aventure avec une femme avant de rencontrer mon père.
C’était bien la preuve que je tenais de ma mère. Ma collègue m’a pelotée devant le bar. J’ai eu l’impression que tout le monde nous regardait. Elle me serrait contre elle et elle me caressait les fesses puis elle m’a dit qu’il faut que je vienne ce soir chez elle. Je savais ce que ça voulait dire. J’ai appelé ma mère pour lui dire que je rentrerai tard. Elle m’a demandé si j’ai trouvé quelqu’un et comme j’hésitais à lui répondre, elle m’a dit de lui faire mettre un préservatif. J’ai raccroché.
A deux heures du matin, je suis partie chez elle avec ma collègue. Tout le long du chemin, elle n’a pas arrêté de me tripoter et elle m’a dit tout ce qu’on allait faire ensemble. Nous sommes allées au lit pour faire des caresses mais on a arrêté au bout d’un quart d’heure. Ma collègue a sorti un gode ceinture du tiroir de sa commode et elle l’a mis puis elle a voulu que je le lèche. J’ai cru qu’après ça elle me prendrait. Je me suis mise sur le dos et j’ai relevé les jambes mais c’est dans le trou du dimanche qu’elle s’est enfoncée en me disant qu’elle m’encule.
C’était bien ce qu’elle faisait. Je n’avais plus qu’une solution, me masturber. Ma collègue me tenait solidement par les hanches. Elle n’arrêtait pas de parler. Elle me soûlait de paroles et moi, je me laissais faire et j’ai fini par me donner un orgasme. J’avais mal à l’anus, mal au bout des seins quand ma collègue a arrêté. Après ça, je me suis endormie du sommeil du juste pour me réveiller le lendemain à dix heures du matin. Je suis retournée chez mes parents.
Le lundi, je suis allée travailler. Ma collègue n’arrêtait pas de passer dans le couloir comme si elle me surveillait. A midi, elle m’a rejoint à la cantine pour me proposer de partir en week-end avec elle. J’ai prétendu que j’avais une réunion de famille mais ce dimanche-là, j’avais rendez-vous avec le destin.
Mon anniversaire était la semaine suivante et mon parrain est venu me voir pour m’offrir un cadeau. Il avait toujours été très gentil avec moi. Il m’avait acheté un beau châle et ça a plu à tout le monde. Un peu plus tard, je suis montée dans ma chambre. Il m’a suivi puis il a refermé la porte derrière lui.
– J’ai ça aussi, m’a-t-il dit en me tendant une petite boîte !
Je l’ai ouverte et je n’ai pas eu de mal à comprendre ce que c’était que cette petite fusée. C’était un plug anal. Il a ajouté qu’il était sûr que ça me plairait. Moi, je savais bien que je ne lui avais jamais donné l’impression que j’aimais ça. Il a voulu que je le mette mais au moment de l’enfoncer dans mon anus, mon parrain m’a dit que ce serait lui et il m’a enfoncé le plug puis il l’a ajusté et il en a profité pour m’embrasser sur les fesses.
Quand je me suis retournée, j’ai vu qu’il avait sorti sa bite et il a voulu qu’on fasse l’amour. Son argument était que j’étais sa nièce et qu’il m’avait fait plein cadeau jusque-là et qu’il méritait bien une récompense.
Je n’ai pas osé refuser. J’avais déjà vu la bite de mon père en érection et la sienne m’a semblée plus grosse et plus longue. Je me suis assise sur la barre du pied de mon lit et mon parrain s’est enfoncé dans mon vagin. C’était comme une grace. Une bénédiction même si ce n’était pas la première fois qu’une bite me pénétrait.
Quand il m’a demandé de lui montrer mes seins, j’ai obéi. Il les a embrassés et il m’en a mordillé les mamelons. Je ne voyais pas le temps passer.
– Hin ! Hin ! Hin, faisait mon parrain en respirant ! Tout à coup, son sperme a envahi mon vagin et j’ai joui quelques secondes après.
Mon parrain m’a encore dit que l’été prochain, je viendrais passer un mois chez lui.
– Il faut que je te baise et personne d’autres, a-t-il encore ajouté ! Tu verras, je t’apprendrai plein de choses !

Tout ce qu’il m’a appris, c’est à être enceinte. C’était la première fois que je prenais la pilule et j’ai sans doute raté un jour. Toujours est-il que j’ai découvert ma grossesse en rentrant chez mes parents. Mes parents ont toujours été des culs bénits et il n’était pas question que j’avorte. J’ai avoué à mes parents et je leur ai aussi avoué que le futur papa était mon parrain.
Mon père a dit qu’heureusement, mon parrain est pas mon oncle. J’ai su plus tard que mon mari était un ami de mon père. J’étais enceinte de huit mois quand nous sommes passés à la mairie et à l’église. Ma mère était consternée par ce qui leur était arrivé mais ils avaient échappé à la fille-mère.
Au début de mon mariage, j’ai regretté d’avoir été forcée à épouser un type deux fois plus âgé que moi mais, finalement, vu l’expérience qu’il avait, j’ai pensé que c’était ce qui pouvait m’arriver de mieux et puis, ces neuf mois, surtout les quatre derniers, ont été les plus beaux de ma courte vie.

Dieu fasse que la suite de ma vie soit aussi belle.

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