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Bourgeoise et migrant-4

Bourgeoise et migrant-4



Oh ! Mon dieu !
Je suis peut-être fautive. J’ai perdu moussa !

J’étais trop confiante. Après la première fellation, que je lui ai courageusement prodiguée, il était encore plus débordant d’affection les jours qui ont suivi. Au point que je lui ai offert, chaque fois qu’il dirigeait ma tête vers son sexe, des succions de son gland de plus en plus fortes et prolongées, écartant ma tête au dernier moment, quand son explosion giclait avec force en quantité impressionnante !
Il y en avait partout sur le couvre-lit, au point que j’ai pris une serviette pour couvrir sa tige quand il vidait pour moi ses belles couilles. Puis, à sa demande, j’ai remplacé la serviette par ma culotte. Çà lui rappelait la première fois, quand le l’avais surpris, le premier jour de notre amour. Je me suis habituée à cette pratique, çà lui plaisait tellement ! Finalement ce n’est pas si déplaisant avec la pratique !Et depuis lors, nous avons été amants, il m’a fait monter au septième ciel tant de fois ! Çà a duré une année de bonheur, de rajeunissement !
Mais voilà, il s’est si bien intégré que j’aurais dû me méfier. Il est jeune, grand et costaud, les jeunes femmes le regardent, et Anne-Marie, sans vergogne, l’a dragué à un cours de salsa. Devançant un essaim de jeunes filles férues de danse africaine qui le convoitaient ! L’âge, qui avance inexorablement, est impitoyable ! Il ne m’a pas fuie, comme souvent font les hommes, il m’a annoncé la fin de notre aventure, avec des milliers de remerciements, des compliments, mais que la pilule fût amère !
Je suis allée me réfugier auprès d’Yves, mon mari, dans le lit conjugal. Je lui ai offert une fellation, il a été très surpris et puis m’a fait des tonnes de câlins, m’a félicitée, amenée au restaurant avec apéritif au champagne. Il a calmé ma déception, m’a consolée, nous avons repris les folies sensuelles de notre jeunesse. Quelle chance d’avoir un mari solide, malgré toutes ses imperfections et tous les reproches qu’il mérite, ce cochon !
Et Yves m’a invité un soir pour aller « en boite » qu’il connait bien dans le quartier de la république. C’est un ancien lupanar, reconverti pour rencontres libertines !
Il connait bien les tenanciers, nous avons été dirigés dès l’entrée vers une chambre tapissée de miroirs, dont un petit sans tain, pour épier la chambre voisine. Yves est super bien renseigné, car au bout de 10 minutes, on a vu un couple rentrer dans la chambre. J’ai failli m’évanouir. Mon Moussa était là, tout près avec la jeune Anne-Marie ! Elle est grande, blonde aux yeux bleus, allure scandinave (sa mère est allemande). En robe blanche plutôt moulante, laissant apparaitre les reliefs de sa culotte et de son sous tif . Elle quitte immédiatement son boléro gris clair et va se coller contre mon Moussa, attire sa tête pour un long baiser sur la bouche. J’ai failli vomir en voyant les longs doigts noirs de Moussa sur les fesses de la robe blanche, et ses grandes mains qui plaquent la femme contre son ventre, et son sexe !
Combien j’ai adoré ses caresses et ses massages sur mes fesses ! Il commençait ainsi à me rendre ivre de plaisir, l’envie d’être pénétrée montait, montait, mon ventre s’ouvrait ! Les larmes aux yeux, je ne peux détacher mon regard, je souffre, mais je veux savoir. Et Anne-Marie lâche la bouche de Moussa, elle ouvre un petit sachet, et vide une ligne de poudre blanche sur la plaque de verre du chevet. C’est de la cocaïne ! Elle « sniffe un rail » et boit un verre de coca-cola. Yves met sa main sur ma bouche, son regard m’intime de ne pas faire de bruit.
Moussa ne s’est pas drogué, il est en érection dans son beau slip blanc que j’avais amoureusement acheté. La femme ne tarde pas à le lui faire descendre le long des cuisses, elle libère le membre hyper cambré. Qu’il est beau ainsi ! Elle s’en empare, le porte à sa bouche et entame la succion du gland. Je veux voir comment elle s’y prend, maintenant je suis curieuse de voir le spectacle… Mon ressentiment amoureux s’estompe, Yves me caresse.
Et vlan ! Le portable de mon mari sonne : Il est obligé de se rendre à une inspection des dispositions « urgence incendie » des immeubles construits. Il s’habille précipitamment et part…
Puis voilà qu’entrent dans l’alcôve des voyeurs, Mamadou et Djibrill ! Je suis encore nue, je soupçonne mon coquin de mari d’avoir provoqué cette présence, pour ne pas me laisser seule avec mon chagrin. Il est exagérément libertin. Il a voulu me faire un clin d’œil, car il est notoire que ces deux là pratiquent une ardente amitié masculine. Je passe ma robe sur ma nudité et je les embrasse. Ils sont joyeux et proposent de me masser pour adoucir mon chagrin. Je suis à plat ventre sur le divan, robe relevée. Mamadou verse de sa fiole un filet d’huile entre mes fesses, et oint ses mains. Le coquin sait très bien que j’adore être érotisée par cette partie de mon corps. Il caresse, il masse, il masse, mon ventre s’échauffe, j’émets quelques gémissements étouffés, son doigt s’aventure dans ma raie, taquine l’entrée de mon anus. Je commence à perdre les pédales, je vois son sexe en érection, et la bouche de Djibrill qui suce son gland. Je suis fascinée ! Et le doigt de Mamadou qui s’est introduit dans mon derrière ! Il me dit doucement : » Relâche, relâche toi, on t’aime »
Debout contre le canapé, Je regarde à travers la glace sans tain, Anne-Marie sur le dos, jambes écartées, ses mains crispées, comme pour griffer, le grand dos noir de Moussa. Il l’à pénétrée, mon ventre reçoit un coup de froid, c’est fini je pense : « Adieu Moussa ! »
Yves avait insisté et m’avait demandé de ne pas chercher à me venger. Dans cette chambre, je vois un autre jeune homme, noir lui aussi, accouplé à une jeunette blanche que ne connais pas. Le tenancier rentabilise sa chambre. Mon Dieu ! Quel endroit de perdition!
Je ressens toujours le doigt de Mamadou au bord de mon anus. Il me penche sur le bord du divan, sa verge tendue caresse mes fesses, s’aventure dans ma raie, caresse l’entrée de l’anus. Ses mains empoignent mes seins, Djibrill présente sa verge bandée devant ma bouche, Mamadou a poussé sa verge noire à l’entrée de mon anus, je sens sa pression. Je ne sais plus où je suis, mes lèvres effleurent le gland de Djibrill, qui emprisonne doucement ma tête et la tire vers son membre. Alors je crois tomber sous la poussée de Mamadou. Il rentre, pousse encore, je suis sodomisée, prise. Il peut continuer, je serais passive jusqu’à ce que son éjaculation s’écoule dans mon rectum.
Et Moussa est toujours couché sur Anne-Marie. Je sais qu’il va durer, il est endurant avec elle aussi. J’entends les cris étouffé par les miroirs, Ouiiii ! Ouiii elle prend des orgasmes répétés! Mes larmes jaillissent, je fonds en pleurs, c’était trop beau, je suis jalouse, catastrophée. C’est l’automne :
Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres,
Adieu vive clarté de nos étés trop courts.
Merci Baudelaire !
De ma fenêtre sans tain, encore du spectacle : La jeune femme accompagnée par les deux nouveaux africains a tiré un drôle de numéro. Celui qui la caresse, nu maintenant, présente une énorme paire de testicules. C’est comme un taureau, çà pend, on dirait un petit ballon de rugby, mais tout noir, la peau ridée! L’homme est pourtant jeune, quel réservoir ! la chose tape contre le ventre de la fille, il s’excite, l’embrasse et sa verge se raidit lentement. Curieusement, elle n’est pas énorme, l’ensemble manque d’harmonie. Je fais signe à Djibrill, et Mamadou, ils sont admiratifs, chacun prend une de mes mains et les porte sur leur verge tendue. Je n’ai pas envie de faire la double fellation qu’ils implorent, mon regard est trop aimanté par ce qui se passe à coté.
Manifestement, Anne-Marie et l’autre jeune femme montent au septième ciel chacune d leur côté, leurs faces exaltées sont explicites.
Yves lève notre camp, nous descendons prendre un verre en bas. Notre groupe, trois femmes accompagnées de sept hommes, dont six jeunes africains, font retourner les têtes, chacune connaissant les chambres d’où nous venons..
Alors que nous sirotons nos boissons, je sens le regard d’Anne-Marie intensément posé sur moi. Peut-être la drogue continue-elle un peu son effet, les yeux sont écarquillés et gentils, amoureux. Je comprends qu’elle veut me parler. Ses grand yeux me fixent intensément et elle a envie de moi elle a rapproché son siège me passe la main dans le dos. C’est une tendre caresse !
Elle me raconte qu’elle a un soir rencontré Moussa place de la République à Paris, près d’ici ; La soirée était « Gros Câlin debout » pour danser, salsas, tangos, kizomba, zouk, zumba. Beaucoup de couples improvisés : Mélanges jeune homme black femme blanche, sur cette immense esplanade, sur des rythmes africains, elle a été prise dans le mouvement, l’ambiance, et s’est laissée aller contre le corps athlétique de Moussa, puis s’est donnée à lui la même nuit.
Il lui a fait découvrir des orgasmes qu’elle n’avait connus avec aucun homme auparavant. Je sais bien qu’au lit il est super du fait de son endurance…Ah ! Oui !
Elle me demande pardon de m’avoir pris mon amant.
Sa caresse descend vers let bas mon dos, elle veut que l’on se retire ensemble pour faire l’amour. C’est agréable ce flirt féminin. Je finirais par succomber, mais ma raison me dit : Attention aux effets persistants de sa drogue !
Je lui donne rendez-vous pour faire un shopping demain, en espérant qu’elle sera assainie après une nuit de sommeil calme.
Elle avait réservé une chambre à l’hôtel pour me montrer ses achats, de la lingerie fine, très seyante. Elle a passé une nouvelle culotte, nous nous sommes caressées et embrassé. C’était agréable les caresses et le contact des peaux de femmes.
Nous avons parlé de nos petits secrets, confidences sur l’oreiller…
Nous avons décidé d’aller ensemble voir un ex d’Anne-Marie, annoncé comme passionnant : Abdoul le camerounais, un souteneur de femmes blanches, dans son repaire du Nord de Paris.

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