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baisée par le fils de mon amie

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Petit coup de sonnette à ma porte. Je n’attendais pourtant personne en ce début d’après midi. Je pensais immédiatement à un représentant venu me déranger pour me vanter les mérites de dieu sait quel produit inutile. Je ne bouge donc pas de mon canapé ou je me suis mis à l’aise pour me reposer. J’entends tambouriner à ma porte et une voix qui m’était familière me demanda alors si j’étais là. Je me levais donc d’un bond de ma position allongé, malgré mes cinquante deux ans, je reste encore relativement bien conservé de forme et de corps. Je vais ouvrir ma porte d’entrée.

J’eus la surprise de trouver David sur le seuil de ma porte. David est le fils de ma meilleure amie. Elle a le même âge que moi et David est son fils aîné, il entre dans sa vingt deuxième année. Je suis très surprise de le voir ici. En fait il m’annonce que sa mère lui as demandé de m’apporter les boites en plastiques que j’avais commandé lors d’une réunion entre femmes. Ce garçon a eu la gentillesse de faire un détour pour me les emmener.

Je lui proposais d’entrer boire un verre pour le remercier, mais il refusa poliment. Devant mon insistance, il me suivit alors au salon. Je lui servis un sirop et je me suis assise face à lui. Il avait un regard bizarre contrairement à d’habitude. Sapristi, je lui avais ouvert en nuisette très transparente et ce coquin était en train de me reluquer la poitrine. Je m’excusai auprès de lui de l’avoir reçu dans une telle tenue, et le pria de m’attendre, le temps que je passe une tenue plus décente.
Il me demanda de n’en rien faire, que j’étais très bien comme ça, et que c’était un véritable plaisir de pouvoir me regarder. Il avait rougit en prononçant ses mots. Je dois avouer que je sentis également le feu aux joues de savoir que je pouvais encore, à mon âge, faire de l’effet à un beau jeune homme comme David.

Devant ma gène, il en profita pour prendre l’avantage. Il me demanda si cela ne me dérangeai pas de m’en faire voir un peu plus. Joignant le geste à la parole, il se leva pris ma main, et me fit mettre debout. J’avais honte d’être ainsi exposé à son regard, mais en même temps c’était si bon d’être regarder comme une femme par un homme de cet âge. Il me dit je peux en saisissant le bas de ma nuisette déjà très courte et en la remontant. J’avais en effet très envie qu’il me l’ôte pour qu’il puisse mieux me regarder, me fouiller du regard et pourquoi pas toucher mon corps encore pas trop mal conservé. Je ne dis, ni ne fis aucun mouvement, aucun son ne sortis non plus de mes lèvres. Il a du prendre ça pour un accord tacite car il releva ma nuisette afin de me la quitter.

Je l’aidais dans sa tache relevant les bras afin qu’il puisse me l’enlever totalement. J’étais honteuse d’être ainsi nue comme un vert, offerte à son regard de braise. Un frisson me parcourut tous le corps lorsque sa main à saisit l’un de mes seins. Ils ont encore une assez bonne tenue, certes ce n’est pas celle de mes vingts ans, mais tout de même je pouvais en être fière. Mais pour l’instant je ne me sentais pas fière du tout, non je me sentais comme sa chose soumise à son bon vouloir. Il pouvait faire de moi tout ce qu’il souhaitait, je ne voulais, ni ne pouvais lui opposer aucune résistance. J’étais totalement sous sa coupe.

Sa main fit ensuite place à sa bouche sur mon sein, et il me titillait le téton avec ses dents, puis le lécha pour mieux le remordre ensuite. Cette caresse que prodiguait cette bouche sur mon nichon commençait à être des plus agréables. Je bombais ma poitrine en avant pour mieux lui l’offrir. Tandis qu’il continuait de jouer avec mes seins, un de ses doigts est allée explorée mon sexe. Un de ses doigts habile se frayait un chemin à travers ma toison pubienne, mes grandes lèvres pour atteindre enfin mon clitoris. Dès qu’il eut fait quelques mouvements sur mon petit bouton, je ne pus contenir des gémissements de plaisir.

Voyant que j’étais on ne peut plus réceptive à ses caresses, il trempa l’un de ses doigts dans ma vulve humide afin de récolter ma cyprine. Il revient ensuite titiller mon bouton avec son doigt lubrifié par ma mouille. Son majeur pouvait bouger à loisir grâce à ce lubrifiant naturel, il glissait sur mon clitoris me donnant encore plus de plaisir que si il m’avait titiller le bouton à sec. Le bougre savait y faire et comment s’y prendre pour faire du bien à une femme. J’obtiens ainsi un orgasme très rapidement, et je pouvais sentir mon sexe s’humidifier encore plus qu’il ne l’était.

Je n’en pouvais plus, je tenais à peine sur mes jambes. Je m’agenouillais devant ce bel homme qui aurait pu être mon fils mais que je désirais tant pourtant. Avec des gestes timides, je dégrafais son pantalon, puis je le fis descendre le long de ses cuisses. Il ne portait rien en dessous. Je pus alors découvrir pour la première fois son phallus. Il était raide. Je fis courir mes doigts intimidé le long de sa hampe. Puis je commençais à le masturber d’une façon un peu gauche. Ce n’est pas cette caresse à laquelle ce jeune homme aspirait. Il me le fit comprendre en plaçant une main sur mes cheveux, et en me dirigeant doucement la tête en direction de son pénis bandé.

Je compris alors que cet homme souhaitait que je lui fasse un pompier. Une fellation, ou une pipe comme disent les jeunes. Pendant que ma tête se laissait guider en direction de son sexe, j’ouvrais la bouche en grand afin de laisser pénétrer son sexe violacé et gonflé à l’intérieur de ma bouche. Son contact avec ma langue me mit en émoi, et je fis tourner ma langue rose autour de ce sexe, pendant que je m’appliquai à lui aspiré son pénis en faisant des mouvements d’avant en arrière avec ma tête. Il prenait beaucoup de plaisir car il poussait des râles rauques et très masculins. Ce qui m’humidifiait le sexe encore plus.

Après quelques minutes, j’arrêtais de le sucer, et malgré ma gène qui n’avait toujours pas disparu, je pus lui demander en prononçant d’une voix faible et timide, de venir en moi. J’étais allongé sur le sol comme une vulgaire catin, mais cette situation était pour moi on ne peut plus excitante. Il sortit un condom qu’il plaça autour de sa verge, me faisant patienter ainsi de longues secondes, qui était une véritable torture tellement j’avais un besoin intense d’avoir son sexe en moi.

Il s’allongea de tous son long sur mon corps. Je saisis son sexe du bout de mes doigts, et c’est moi qui l’introduisit à l’intérieur de mon intimité. D’un simple coup de rein, il me pénétra très profondément. Il n’avait aucun mal à entrer grâce à l’abondance de ma mouille du à une excitation telle que de mémoire, il ne me semble pas avoir autant désiré un pénis de ma vie de femme. Il commençait alors à s’agiter en moi. De l’avoir tant attendue, et tant désirée, chaque coup de rein me faisait un bien fou, et me faisait monté un peu plus haut jusqu’à atteindre très rapidement le septième ciel.

J’ai obtenu deux orgasmes successifs avant qu’il n’éjacule en moi. Me laissant pantelante sur le sol. Il me donna un baiser après s’être rhabillé. Il me demanda s’il pouvait passer de nouveau un jour pour me rendre visite. Il avait accompagner sa phrase d’une geste osé, celui de me frotter la vulve du plat de sa main. De cette façon, pas de doute sur ses intentions. Il voulait bien revenir pour profiter à nouveau de moi et de mon corps. Je lui souris en lui répondant avec grand plaisir. Il me précisa qu’il ne savait pas quand il pourrait en revanche car son ami était souvent avec lui et il fallait qu’il trouve une bonne excuse pour s’en débarrasser. Je me surpris à lui dire, qu’il pouvait venir tous les deux.

Il fut également surpris par ma réaction, mais manifestement ce fut une agréable surprise. Il me sourit, d’un air vraiment coquin et me dit, très bien on viendra tous les deux pour te saluer comme il se doit. Il passa de nouveau sa main sur mon sexe. Pour ma part, je vous assure que je me suis surprise aussi. C’est avec une certaine appréhension que j’attends aujourd’hui leur visite éventuel, mais c’est aussi avec une des plus grandes excitations de ma vie. D’autant que ce sera pour moi une grande première de me faire prendre par deux hommes qui plus est d’environ trente ans de moins que moi. Je crois bien que je suis ce que les gens appelles aujourd’hui une cougar, ou bien une mangeuse d’homme, et je dois vous confesser, que cette situation est loin de me choquer, bien au contraire, cette situation est des plus plaisantes pour moi.

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