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Alice et moi 3

Alice et moi 3



Alice et moi 3
Le lendemain, j’arrive devant chez Alice à 21h comme nous l’avons convenu. Le portail est déjà ouvert. J’entre et gare ma voiture. Elle ne veut pas que les voisins me voient car le portail se referme immédiatement après mon passage. Lorsque je frappe à la porte, elle m’ouvre de suite et referme tout aussi vite. Je la regarde. Elle porte une nuisette très courte qui couvre à peine ses fesses généreuses et qui cache à peine ses petits seins. Je m’approche d’elle et je l’embrasse. Je pose mes mains sur ses hanches. Puis ma main droite monte malaxer ses seins tandis que ma main gauche descend vers son cul. Je lui ai ordonné de ne plus porter de culotte et je veux vérifier si elle m’a écouté. En passant ma main sous sa nuisette, j’entre immédiatement en contact avec la douce peau de son cul. Je la félicite de m’avoir écouté puis je tire doucement ses cheveux vers le bas pour l’obliger à se mettre à genoux.
Cette fois elle n’est pas rétissante pour me sucer. Elle ouvre d’elle même ma ceinture puis elle baisse mon pantalon et mon boxer. Enfin elle englouti ma bite. Elle me suce du mieux qu’elle peut mais elle n’est pas des plus douées. Malgré tout, je la laisse faire quelques minutes. Soudain je place mes deux mains derrière sa tête et j’appui dessus. Cela l’oblige à avaler entièrement ma bite. Elle manque de s’étouffer et de vomir mais je continue de faire des va et viens dans sa bouche. Voir ma bite glisser entre ses jolies lèvres, sentir la chaleur de sa bouche et la moiteur de sa langue m’excite au plus au point ! De la bave et du pré sperme coulent lorsque ma bite se retire de sa bouche.
Je me place derrière elle. Je la pousse pour qu’elle se mette à quatre pattes. Dans ses yeux, je sens l’excitation et le plaisir. Je relève sa nuisette sur ses hanches et je découvre sa chatte qui dégouline. Je me mets à genoux derrière elle et d’un coup profond et sec, j’enfonce ma queue dans sa chatte. Elle pousse un hurlement de plaisir. J’espère que ses filles dorment bien ! Je la culbute violement. Je tire ses cheveux pour qu’elle se cambre encore plus. Sous les violents coups de bite, sa nuisette commence à redescendre sur son cul. Je la repose sur ses hanches et je pose une main dessus. Je la culbute de plus en plus fort. Je suis hyper excité par la vue de son gros cul qui rebondi à chaque fois que mon corps tape dans le sien. Et je le suis aussi parce que je sais que bientôt, je vais lui dépuceler son cul ! Soudain, Alice est prise d’un orgasme et s’écroule sur le sol. Ma bite est toujours bien dure.
J’agrippe Alice par le bras pour l’aider à marcher et je lui demande de nous amener dans sa chambre. Lorsque nous y entrons, je la balance sur le lit conjugal. Je me place à cheval sur elle et je frotte ma bite sur son visage. Puis je la frotte sur ses petits seins. Malheureusement, ils ne sont pas assez gros pour une branlette espagnole. Je me penche alors sur elle pour l’embrasser de nouveau. J’aime le gout de ses lèvres. Mes mains touchent ses épaules et font glisser les bretelles le long de ses bras. Puis c’est le long de son ventre que je la fait glisser. Elle se tortille pour m’aider à la déshabiller. Lorsque j’ai fini, pour la première fois depuis que je la baise, je vois Alice entièrement nue. Voir son corps généreux entièrement nu me rend fou. Je sais que je vais l’enculer. Mais avant je veux bien la préparer. Même si elle n’est qu’un jouet pour moi, je ne tiens pas à la faire souffrir (même si elle aime la v******e).
Je la tire par les jambes sur le bord du lit. Je me déshabille moi aussi sous le regard de vicieuse d’Alice qui n’en perd pas une miette. Je me place ensuite entre ses cuisses pour poser ma langue sur son clito. Elle gémit et me dit que jamais son mari ne lui à fait ça (mais qu’est ce qu’il est con de ne pas profiter d’un tel corps !). Alice est tellement trempée que j’enfonce directement deux doigts dans sa chatte pendant que je continue de lécher son clito. Je dévore ainsi cette mère de famille en manque dans son lit conjugal alors que ses filles dorment à seulement quelques mètres d’ici. Après dix bonnes minutes de dégustation vaginale, il est temps de passer à l’anal. Je retourne Alice sur le ventre. Je pose mon visage contre son superbe cul. Il a beau être gros, il est aussi assez ferme. Ma langue lèche les deux délicieux globes avant que ma langue n’arrive sur son petit trou. Je la sens se contracter à ce contact. Je replonge un doigt dans sa chatte pour bien l’humidifier. Il ressort plein de mouille et je viens le placer à cote de ma langue qui s’enfonce de plus en plus dans son petit trou. Lentement, mon doigt s’enfonce dans son cul. Elle pousse de petit gémissement. Je la prépare ainsi pendant quelques minutes. Il est maintenant temps de la dépuceler !
Je me lève et la fait mettre en levrette sur le bord du lit. Je présente ma bite à l’entrée de son cul. Elle me regarde et me dit qu’elle n’est plus sur de vouloir le faire. Je réponds qu’elle n’a pas le choix et je lui mets une fessée. Je m’accroche à ses hanches et j’enfonce ma bite dans son cul. Elle est hyper étroite mais je décide d’avancer lentement jusqu’au bout. Elle pousse des gémissements dans lesquels se mêlent de la douleur et mais aussi peu de plaisir. Mais la douleur est la plus forte. Elle tourne la tête vers moi et je vois des larmes couler sur ses joues. Mais j’ai tellement envie de baiser ce cul depuis la première fois où je l’ai maté au sport que je ne m’arrêterai que lorsque je l’aurais rempli. Je vais de plus en plus vite et mes pénétrations sont de plus en plus violentes. Pendant plusieurs minutes, je déchire Alice à chaque pénétration mais progressivement, je sens son cul se dilater et devenir de plus en plus accueillant pour ma bite. Même au son de ses gémissements, je sens que le plaisir a pris le dessus sur la douleur. Je défonce ce gros cul à grands coups de bite comme un dingue. Mon bassin claque contre son cul dans un bruit hyper excitant. Mais son cul reste hyper étroit et à chaque pénétration, ma bite est fortement serrée par le cul de cette bourgeoise en manque. Finalement je me vide les couilles dans son cul. Alice n’a pas encore jouis par le cul mais elle s’effondre sur son lit lorsque je me retire.
Je dépose un baiser sur son front puis je me rhabille. Alice veut me raccompagner jusqu’à la porte mais elle a trop mal au cul pour marcher. Elle reste donc allongée sur son lit. Je lui promets de très vite la rebaiser. Je l’aurais bien fait de suite mais elle n’est pas en état et demain matin, il faut que je sois parti avant le réveil de ses filles. Lorsque je quitte la pièce Alice me regarde droit dans les yeux et me dit merci pour l’avoir baiser comme une salope.
Dès la séance de sport suivante, j’ai de nouveau enculé Alice dans les toilettes. Je la baise à chaque séance. Elle se débrouille toujours pour s’isoler de sa copine qui vient avec elle. Je vois qu’Alice adore la manière dont je la baise et elle va même m’avouer qu’elle veut aller plus loin dans la perversité et la soumission. Puisqu’elle le demande, je ne vais pas la décevoir. N’hésitez pas à me contacter ou à rejoindre le groupe Facebook : Fans des histoires de Jerinak.

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