J’ai commencé à me caresser entre les cuisses alors que je n’avais pas 10 ans. J’en ai maintenant 30 et cette habitude n’a jamais cessé. J’adore me masturber et me faire jouir avec mes mains et divers objets. Adolescente j’utilisais une cuillère à soupe maintenant je suis bien équipée en gods de qualité. L’orgasme que ça me provoque est vraiment intense car je fais monter le plaisir très progressivement en utilisant toutes mes zones sensibles. J’ai appris à jouir en silence et dans toutes sortes de positions pour pouvoir le faire même dans des lieux fréquentés voire carrément publics. J’ai été brièvement en couple avec un garçon gentil qui me faisait l’amour normalement mais sans talent. Trop habituée à ma pratique solitaire je n’arrivais pas à me lâcher complètement et je me masturbais en douce dès qu’il s’était endormi. Parfois même excitée par un coït trop court j’allais me masturber aux toilettes avant de revenir dans le lit.
Maintenant je vis seule. Ma pratique manuelle me satisfait et je me masturbe plusieurs fois par jour avec au moins une fois jusqu’à l’orgasme. Je me caresse tous les jours le matin dans la douche après le petit déjeuner mais juste pour me réveiller les sens. Il m’arrive souvent de me masturber au travail soit discrètement sous mon bureau et mes collègues autour ne s’en rendent pas compte. Des fois quand je veux vraiment jouir je vais aux toilettes et j’ai un sextoy vibrant dans mon sac à main. Le soir je me détends après le repas en regardant la télé et quand l’envie monte je mets un film porno montrant des femmes qui se font jouir entre elles. Mes orgasmes du soir sont les plus fort car je suis tranquille, je peux étaler mon corps, ou me mettre en levrette et je ne reste pas silencieuse surtout quand mon plus gros god m’écarte l’anus.
De temps en temps je partage ce moment intime avec un autre partenaire, le plus souvent une femme pour qu’elle me suce. Ma dernière conquête est une étudiante stagiaire dont je suis la tutrice au travail. Après une semaine de stage nous avions fait connaissance et elle me plaisait bien. Je lui ai proposé de sortir le samedi soir. Nous nous sommes retrouvées pour diner au restau toutes les deux. La discussion m’a montré qu’elle avait peu d’expérience à part une aventure sans lendemain avec un garçon à la fin du lycée, aventure semble-t-il peut satisfaisante pour elle. Je lui ai expliqué mon parcours et sembla très intéressée. Après le restau je lui ai dit « je t’emmène danser » et elle était ravie. Sans le lui dire je l’ai emmenée dans une boite lesbienne que je connaissais. Elle fût intriguée mais accepta de danser avec moi entourée de couples féminins. Enfin presque car certaines danseuses dégageait beaucoup de virilité avec leur muscles, leurs tatouages et cheveux ras.
Lors d’un slow je l’ai serrée de près avec mes mains sur ses hanches et mes seins frottant les siens. Elle a mis sa tête sur mon épaule en fermant les yeux puis m’a mis ses bras autour des épaules. Nous nous sommes embrassées et ma langue a explorée sa bouche. Elle m’a dit doucement dans l’oreille « je suis bien avec toi ». Discrètement j’ai mis une main entre nous sur son sexe que j’ai massé doucement et elle a ondulé du bassin pour m’aider.
A la fin de la danse je l’ai emmenée aux toilettes. J’ai retroussé sa jupe, baissé sa culotte à mi-cuisses et je l’ai caressée en l’appuyant conte le mur. Elle a rapidement écartée les cuisses en disant « j’ai jamais fait ça mais c’est très bon ». Je l’ai caressée doucement longuement pour qu’elle sente bien monter le plaisir. Quand elle n’a plus pu tenir elle a joui bruyamment en étant secouée de spasmes. Puis elle m’a embrassée en me redonnant sa langue à sucer. Je l’ai aidée à se réajuster nous sommes allées finir nos consommations. Je lui ai proposé de venir finir la nuit chez moi.
Je me suis couchée sur mon lit toute nue jambes écartées et je lui ai dit « c’est mon tour, fait moi jouir avec ta langue ». Elle était timide et inexpérimentée. Je l’ai guidée pas à pas. On a joué longtemps et quand mon orgasme est survenu sa puissance m’a sidérée et elle aussi.
Pour continuer je l’ai caressée partout en lui faisant découvrir des zones sensibles qu’elle ignorait et je l’ai refaite jouir en utilisant un god vibrant. Nous avons fini la nuit en dormant ensemble enlacées. Nous avons remis ça les samedis suivants jusqu’à la fin de son stage et elle a eu une très bonne appréciation de son tuteur. C’était il y a quelques années et je sais que maintenant dans la région où elle travaille, elle vit avec une femme.
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