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Ma mère

Ma mère



La peur commence à envahir ma mère lorsqu’elle entend les pas se rapprocher. Elle sent sa gorge se nouer, ses entrailles lui faire mal. Je rappelle qu’elle est dans une espèce de hangar et qu’elle ne peut bouger. Elle se retrouve totalement nue, maquillée comme la dernière des prostituées et est empaquetée par du film comme un poulet sous vide que l’on trouve dans un rayon de super marché. Elle peut respirer grâce à deux trous au niveau de ses narines. Son corps voluptueux est allongé, les bras le long du corps sur un socle de polystyrène qui épouse parfaitement ses formes comme s’il était prévu pour elle et depuis très longtemps. Sur sa grosse poitrine compressée par le film transparent, au niveau de son téton droit, on peut voir une étiquette avec écrit dessus : Colis à livrer pour trois heures quarante-cinq. Ma mère ressemble donc à un produit emballé destiné à être consommé. Elle n’arrive pas à se dégager car le film est tendu au maximum. Ses efforts sont vains et elle sent les battements de son cœur s’accélérer.

Les pas se rapprochent. Sa respiration se fait de plus en plus rapide. Son ventre se soulève de plus en plus rapidement car la pression du film et ses gros seins gênent sa respiration et la force à avoir une respiration abdominale. La sueur envahit son corps et elle a envie de crier à l’aide. Mais elle sait au fond d’elle même que cela ne sert à rien.

D’ailleurs, il est beaucoup trop tard. Les personnes sont dans le hangar maintenant. Ma mère s’affole et tente de s’extirper du colis mais rien à faire. Elle est belle et bien prisonnière. Résignée, elle attend son sort. Les personnes sont des hommes au son de leur voix. Elle ne peut les voir car sa tête est allongée et immobilisée.

Une forte odeur de tabac envahit la pièce et elle se sent hissée par ses ravisseurs. Ils sont deux, l’un à l’avant et l’autre à l’arrière. Ma mère se sent transportée par ces deux salauds qui en profitent pour faire des commentaires salaces à haute voix sur elle :

-Eh ben, ils ont fait fort. Je me demande où ils sont allés chercher cette pute. T’as vu ses nibards un peu. Je n’ai jamais vu ça.

L’autre :

-Ouais, en plus il paraît qu’elle est avec son fils.

-Quoi? Elle est mariée?

-Ouais et même que c’est une bourge. Regarde, cette salope n’a même pas enlevé son alliance.

L’homme qui la transporte a un regard à la fois méprisant et pervers.

-Eh ben, tu peux être fière de toi sale pute. Cocufier ton mari comme ça! Faire la pute alors que t’es une bourgeoise plein de fric!

-Bah, après tout, c’est bien qu’elle fasse la pute. Avec cette paire de nichons, elle a du faire plus d’un heureux ça c’est sûr.

-Et son fils?

-Alors lui c’est un sacré pervers! il paraît que c’est lui qui a mis sa propre mère sur le trottoir en la faisant boire. Visiblement, quand maman boit trop, elle se lâche, hein?

-Mettre sa propre mère sur le trottoir, je n’ai jamais vu ça mais à mon avis elle devait être consentante.

-Ça tu peux le dire. Elle est même allée racoler complètement à poil.

Ma mère ne réagit pas et se laisse transporter vers la fourgonnette de tout à l’heure. Sa peur s’amenuise peu à peu et laisse place à de la curiosité. Elle se demande ce que l’on va faire d’elle. Une fois dans le fourgon, les hommes ferment les deux battants et démarre le véhicule. Ils conduisent prudemment et ma mère n’est pas malmenée. Visiblement, ils sont au petit soin avec leur marchandise.

Au bout de vingt minutes, le véhicule s’arrête. Les deux hommes sortent maman empaquetée et pénètrent dans une espèce de tunnel humide qui ressemble à une cave. Les parois sont tapissées de toiles d’araignée. Il y règne une odeur de pourriture et de renfermé. Ma mère ne comprend pas trop ce qui se passe mais elle sent que l’on se rapproche de la destination car il y’a de la chaleur et elle distingue des reflets de lumière sur le plafond poisseux.

Enfin, ils arrivent dans une pièce éclairée et ils déposent maman à plat sur une table. C’est à ce moment que ce salaud de proxénète entre. Je suis avec eux et tenu par l’épaule par le hooligan.

-Bon, asseyez le fils sur la chaise là et attachez-le. Il faut qu’il voie tout! Consigne de vous savez qui.

Les hommes acquiescent. Une forte pression me force à m’asseoir et l’on me ligote à la chaise orientée sur la table où maman est allongée. Il y’a un grand miroir sans teint sur le mur avec je suppose derrière, plein de pervers qui ont dû payer pour voir ma mère. On entend une voix rauque et déformée à travers un micro :

-Le paquet devait être là à trois heures quarante-cinq et il est bientôt quatre heures du matin.

Le proxénète semble embarrassé et s’excuse. Deux hommes en blouse blanche et avec des masques de médecin surgissent avec leur mallette en cuir et une balance qu’ils posent sur la table. Ils semblent de véritables médecins et ils ont un air sérieux. La voix rauque dit :

-Défaites le paquet maintenant.

Le basané et le hooligan se ruent sur le colis et déchirent le film. Ils dégagent ma mère de sa prison et l’assoient sur le rebord de la table. Elle semble rassurée que je sois là. Les médecins commencent à se rapprocher d’elle et l’examinent en palpant son corps et surtout ses énormes seins. Ensuite, ils lui ouvrent grand la bouche et à l’aide d’un miroir, constatent sa dentition parfaite. Ils semblent satisfaits de ces belles dents blanches entretenues et restent longtemps à mater le fond de sa gorge. Ils soulèvent ses lèvres pulpeuses au beau rouge à lèvre écarlate. Elle a dû se faire injecter du collagène pour rendre sa bouche plus attrayante. On lui regarde ses oreilles parfaitement propres. On la met debout et on la mesure. Elle fait 1m64. Elle est pesée également. Un médecin prend un stéthoscope et le pose sur son gros sein gauche. Il écoute son cœur qui bat la chamade à cause de la peur ou peut-être de l’excitation provoqué par la situation : allez savoir. Le stéthoscope est posé sur son dos et on la force à respirer fort. Elle sent le contact froid de l’appareil et elle trouve cela désagréable. Ensuite, on lui tâte le pouls puis prend sa tension. Cela semble très satisfaisant et les médecins se retournent vers le miroir. On la fait se pencher et chacun de ses nichons est pesé sur une petite balance. Je ne peux voir le résultat mais ils semblent vraiment abasourdis du poids faramineux de cette énorme paire de loche.

Un tapis est posé par terre et ma mère est mise à quatre pattes, position qu’elle adopte de plus en plus souvent d’ailleurs. Là, le médecin sort un gode qu’il lui met dans la bouche. Il fait des va et vient dans la bouche de ma mère qui instinctivement pompe l’objet avec ses lèvres charnues. Le médecin prend des notes, plein de notes : on dirait qu’il mesure la capacité de maman à faire des fellations. Il sort un deuxième gode qu’il met de côté. Ils tournent maman vers le miroir et là, lui écartent les cuisses pour voir son sexe bien entretenue. Il est rasé en triangle. Ils écartent largement les lèvres en exhibant le clitoris. Ils le regardent longuement et prennent des notes. Puis ils exhibent le sexe de ma mère vers le miroir avec un air satisfait. L’un écarte le plus possible les cuisses de maman tandis que l’autre lui tend les lèvres. Ma mère coopère largement à cette séance perverse. Elle écarte les cuisses le plus possible. Elle est remise à quatre pattes, sa position préférée. Son cul se retrouve en face du miroir maintenant. Là, à deux, ils commencent à regarder cet anus de femme facile. Ils tirent sur ses deux fesses et échangent quelques paroles. Ils regardent son trou du cul pendant cinq bonnes minutes. Ils l’exhibent à nouveau vers le miroir en écartant bien les fesses.

Puis, l’un des deux médecins ramasse le gode et l’introduit dans l’anus de la femme. Ma mère gémit. Ils commencent à la ramoner. Le gode pourtant énorme est rentré avec une facilité déconcertante dans cet anus si souvent sollicité. Ma mère ondule du cul et gémit de bonheur. L’homme accélère le mouvement et le gode rentre et sort comme chez lui. La conclusion est que l’anus de cette femme a été ramoné un nombre incalculable de fois et par bien des hommes. La taille du gode qui fait une bonne dizaine de centimètres de diamètre est rentré beaucoup trop facilement. Ils n’en croient pas leurs yeux. Là, celui qui prend des notes n’en peut plus et cède, malgré tout son professionnalisme. Il sort sa queue et se masturbe fébrilement devant cette femme vraiment trop salope. Pourtant, il en a vu des clientes se déshabiller devant lui. Même si cela n’était nécessaire, il trouvait toujours un prétexte pour les mettre nue. Ce salopard utilisait le risque du cancer du sein pour dépoitrailler ses clientes et les peloter, souvent pour le plus grand plaisir de celles-ci. Cela s’est même terminé par des séances spéciales de baise avec des clientes échauffées par ce massage mammaire.

Mais là, cette femme le dépasse et il ne peut que se branler lamentablement. La vue de cette femme aux seins énormes l’excite au plus haut point. Trop pute et bien trop salope pour qu’il puisse se retenir, il éjacule sur sa mallette inondant de foutre tout son matériel. Les deux médecins remballent tout en laissant ma mère à quatre pattes en train de se goder le cul en gémissant. Ma mère semble très en forme selon leur diagnostic. De toute façon le moindre de ses orifices a été exploré minutieusement (sa bouche, ses oreilles, ses narines, son anus et son vagin) et son corps n’a plus de secret pour eux. Ils mettent de côté leur mallette et sortent pour chercher quelque chose. Ma mère continue à se goder toujours avec ardeur. Ses énormes seins pendent lourdement et ballottent car elle est à quatre pattes. Elle n’arrête pas de faire des va et vient avec cet objet.

Le basané et le hooligan luttent pour ne pas se jeter sur cette femme en chaleur qui est ma propre mère. Le hooligan qui depuis le début se focalise sur l’opulente poitrine de maman, est sans doute le plus frustré. Il ne peut que reluquer avec envie les énormes mamelles qui bougent.

Les médecins sont de retour avec une nouvelle mallette noire. Ma mère est relevée puis allongée sur la table. Elle se laisse manipuler très facilement et semble coopérer avec plaisir à cette mascarade. Je n’avais pas remarqué qu’il y’avait des espèces de lanières. Ses mains et ses pieds sont ligotés par les deux médecins. Ma mère se retrouve donc nue, allongée et attachée sur cette table les bras et les jambes en croix. Ses cuisses sont écartées et attachées de telle façon que son sexe soit exhibé le plus facilement possible.

Là, trois hommes avec des caméras rentrent dans la pièce. Ils se posent tranquillement autour de cette femme nue, à gros seins et à leur merci. L’un se place au niveau de son sexe, l’autre entre ses seins et sa tête. Enfin le dernier se décale un peu pour avoir une vue d’ensemble de tout son corps.

Ma mère ne peut bouger et son corps est donc à la merci de ces pervers qui ne vont pas hésiter à filmer le moindre de ses supplices. La table est bien sûr orientée vers le miroir derrière lequel il doit y avoir une belle brochette de pervers. La voix déformée dit :

-A présent il va falloir punir cette femme dépravée qui a osé cocufier son mari avec la complicité de son fils.

Maman et moi nous regardons un peu paniqué. Un médecin sort un martinet et le tend au proxénète. Celui-ci s’en empare avec une joie non dissimulée et fait le tour de la table où est attachée ma mère. Puis il dit :

-Alors, salope! On m ‘a raconté une certaine soirée sur Nantes. On fait la pute dans mon dos et dans sa propre maison en plus.

Ma mère est stupéfaite. Comment peut-il être au courant. Il rajoute :

-Eh oui, je suis au courant de tout. Tu me prends pour un con mais ça, tu vas le regretter.

Il commence par lui fouetter les pieds. Ses coups sont calculés pour ne pas provoquer la moindre blessure. Martine gémit de douleur. D’abord son pied gauche, puis le droit. La douleur est forte surtout au niveau de ses orteils.

-Ton calvaire n’est pas terminé et tu n’es pas au bout de tes surprises, salope!

Là, il lui fouette les cuisses. Ma pauvre mère ne peut s’empêcher de contenir sa douleur et des larmes perlent à ses yeux.

-C’est une honte de voir une femme se comporter comme toi. Tu es vraiment la honte de la gente féminine. Tu ne penses pas à celles qui sont obligées de faire cela pour survivre.

Un proxénète qui fait la morale, on aura tout vu. Là, le proxénète lui fouette les aisselles et les bras tout en faisant le tour de la table. Tout est calculé chez lui. Il ne force pas mais procure une certaine douleur.

-Ce soir est un nouveau jour pour toi. Tu vas devenir encore plus qu’une putain.

Cette fois, il se met à lui fouetter ses énormes seins et au niveau des tétons. Il se sert des auréoles brunes comme cible. Ma mère, sensible des seins, ne peut s’empêcher d’hurler tout en pleurant. La séance reprend du début et le proxénète s’applique à bien la fouetter sans la marquer. Ce salopard prend du plaisir à torturer cette femme à sa merci. Visiblement, il préfère ça que de la baiser : un vrai pervers psychopathe. La séance de fouet se poursuit pendant cinq bonnes minutes. Ses pieds, ses cuisses, son ventre, ses bras et même sa grosse poitrine n’échappent pas aux fines lanières. D’ailleurs, il s’acharne bien sur cette dernière car il s’est aperçu qu’elle était sensible des seins. La poitrine martyrisée, ma mère ne peut s’empêcher de retenir des larmes. Ses seins si énormes et qui lui procurent tant de plaisir (et à ses innombrables partenaires) la font souffrir horriblement. Elle aimerait tant les recouvrir de ses mains pour calmer la douleur mais elle ne peut pas. Elle est obligée de subir la morsure de ces coups sans qu’elle ne puisse rien faire.

Moi, je suis écœuré de voir ce salaud fouetter cette poitrine qui m’a jadis allaité. Elle se tortille de douleur mais elle sait que ce n’est pas fini et qu’il lui faudra endurer peut-être bien pire. Ce salopard de pervers connaît le truc et de temps en temps, il jette un œil au grand miroir. Il continue à fouetter ces gros nichons comme pour punir cette femme de les avoir si gros. Un des médecins a préparé un rasoir et de la mousse. Comme la dernière fois, Le proxénète va lui raser la chatte pour humilier cette femme bourgeoise qui ose faire la pute pour son plaisir.

Des bougies sont sorties. Une fois chaude, il verse la cire sur les seins de ma mère qui gémit de douleur. Les bougies sont ensuite installées sur chacun de ses tétons et se consument peu à peu tandis que le médecin pervers rase la chatte de la femme. Le proxénète n’interrompt pas son fouettement vicieux et vu que les gros nibards de ma mère sont occupés par les bougies, il se rabat vers ses cuisses. La cire finit par lui couler sur les tétons et envahit ses larges auréoles brunes. Le liquide chaud coule sur les énormes globes mammaires et ma mère ne peut s’empêcher de gémir à nouveau.

Les trois hommes filment toujours et semblent subjugués par tant de sadisme. Le proxénète se dirige entre les cuisses de ma mère et lui enfourne le manche de son martinet dans le vagin. Puis il fait des allers retours. Heureusement qu’elle a eu énormément de relation et, au lieu de lui faire mal, cela lui procure du plaisir. Elle éprouve à la fois de la douleur et du plaisir. Le proxénète s’amuse avec son martinet pendant trente secondes et voyant ma mère prendre son pied, il décide de poursuivre.

Une fois les petites bougies consumées, nouvelle séance de fouet et en particulier sur les seins et les cuisses. La voix déformée ordonne :

-Fouettez-lui le cul à cette salope. Puis godez là à nouveau.

Ma mère est détachée et retournée, heureuse de passer à autre chose car la douleur au niveau de ses seins devenait insupportable. Elle est à plat ventre sur la table maintenant, son cul bien exposé. On a l’impression qu’elle est allongée sur deux ballons de baudruche tant ses seins sont énormes. Le proxénète lui fouette les fesses tandis qu’un médecin prépare le gode. Il l’insère dans son anus tandis que le proxénète lui enfourne à nouveau le martinet dans la chatte en disant :

-Allez, maintenant tu vas marcher à quatre pattes comme cela.

Ma mère s’exécute et se met à marcher à quatre pattes avec un gode dans le cul et un manche de martinet dans la chatte. La scène ne la choque pas le moins du monde. Moi, je suis dégoûté par tant de perversité. La voix se fait entendre à nouveau :

-Ça suffit! le temps passe et on a des choses à faire.

Ma mère est relevée et on lui enlève les objets de ses orifices. On lui nettoie soigneusement la poitrine de la cire. Un des médecins sort une bouteille.

-Un rafraîchissement avant de poursuivre.

Ma mère est un peu exténuée et assoiffée après cette séance plus ou moins sado maso. Elle s’empare avidement de la bouteille et boit au goulot. Ma mère dit :

-HHMMhh! Drôle de goût mais c’est délicieux. Il y a de l’alcool mais avec … on dirait du…

-Photos

Le médecin la coupe :

-Oui, un cocktail d’alcool fort, de fruit et beaucoup…de sperme!

Ma mère, surprise mais dans le bon sens du terme, porte le goulot à sa bouche et se gorge de ce liquide précieux. Le médecin rajoute :

-Des gens se sont masturbés en sachant que vous le boiriez madame.

Ma mère répond :

-MMh! j’adore cela! désormais vous m’en donnerez deux bouteilles par semaines.

La voix derrière le miroir dit :

-Mais tu es vraiment qu’une salope. Ce n’est pas croyable. Très bien mais il va falloir le gagner ton cocktail de foutre. Tu feras des films de cul.

Ma mère répond sans hésiter :

-Mmh…oui, je ferai ce que vous voudrez du moment que j’ai cette délicieuse boisson

-Tu vas commencer dès maintenant!

L’alcool fait son effet et peu à peu, les inhibitions de ma mère s’estompent. Elle commence à prendre ses deux énormes seins et à les malaxer de façon provocante. La voilà qui demande à se faire baiser ici et sur le champ. Instinctivement, elle se met à quatre pattes et attend honteusement la venue de ses partenaires. Le proxénète, le regard lubrique et vicieux se précipite sur elle :

-Lève ton cul que je le fouette, tu ne mérites que cela.

C’est avec stupéfaction que je vois ma mère, le regard ivre, obéir et offrir ses fesses à ce salopard qui se remet à la fouetter de plus belle. Elle a mal mais semble prendre du plaisir à se faire punir de la sorte. On entend des bruits de pas qui se rapprochent. Ce sont les partenaires volontaires pour s’occuper de ma mère qui ne se rend pas compte qu’elle va devenir la plus dépravée des actrices de porno underground. Les caméras n’ont pas cessé de tourner et chaque dépravation de Martine est enregistrée.

La voix ordonne :

-Relève-toi salope, que ces jeunes te reluquent.

Ma mère obéit, totalement soumise au plus haut point. Elle offre son corps aux regards lubriques de l’assemblée. Il y a une dizaine d’hommes de toutes races qui sont entrés. Ils ont ramené une quantité d’alcool incroyable. La salle devient tout d’un coup très petite. Ils regardent avec envie cette femme mûre et nue.

Mais une petite description de ma mère s’impose. Elle mesure environ 1m64. Elle est coiffée au carré avec des cheveux teints en noir. Ils lui arrivent à la moitié du cou. Ses yeux sont de couleur noisette et ils peuvent voir qu’elle est outrageusement maquillée. Ses lèvres sont pulpeuses recouvertes d’un beau rouge à lèvre. Son visage ressemble un peu à la présentatrice Evelyne T. Tous se focalisent sur son énorme poitrine aux larges auréoles brunes. Cette même poitrine qui nous a allaitée jadis, ma sœur et moi est maintenant devenue un objet de luxure. Malgré la douleur provoquée par les lanières du martinet, ses tétons pointent dur. Heureuse d’être ainsi désirée, elle se cambre afin que ces hommes puissent profiter de la vue de ses loches. Ils regardent son cul et son sexe rasé. Ses jambes sont superbes et bien entretenues. Cette bourgeoise aux gros seins est vraiment l’incarnation de la salope absolue et ils sont tous heureux d’avoir été invités à pouvoir profiter de ce corps voluptueux.

Le proxénète en profite pour confirmer que c’est une bourgeoise, qu’elle est ma propre mère et qu’elle n’hésite pas à se dépraver sous les yeux de son fils. Ils commencent à me regarder avec un air de satisfaction. Moi, je n’ose lever les yeux vers eux tant j’ai honte surtout qu’ils ont tous remarqué la bosse sur mon pantalon. Et oui, ils me considèrent comme un pervers qui a la gaule à voir sa mère se comporter comme la dernière des salopes.

Puis, peu à peu, ils s’intéressent à nouveau à Martine. A leur regard, on devine qu’ils ne la ménageront pas et lui feront faire les pires choses, les plus dégradantes. De toute façon, elle est pour eux juste un objet sexuel. La voix indique :

-Bon, que le tournage commence!

Ma mère est debout entourée par les hommes. Gros plan sur ses nibards où une paire de main se met à les peloter sans ménagement. On a l’impression qu’il malaxe deux gros ballons à eau de plus d’1 litre chacun. Un autre passe derrière elle et lui prend les fesses qu’il pelote avec bonheur. Sur sa gauche, un autre gars lui att**** la tête et lui roule un patin baveux. Le cameraman fait un gros plan sur les deux bouches dont les langues se mêlent. Il en profite pour la doigter tandis que celui de derrière explore son anus avec son index. Ses gros seins sont pelotés, tirés et malaxés par des dizaines de mains.

J’entends des bruits de bouteilles de bières et je peux voir d’autres gars en train de se saouler. Ma mère est toujours pelotée sans relâche. Sa bouche, son sexe et son anus sont explorés par des doigts experts. Ses énormes seins sont malaxés puis gobés par des bouches avides. Pendant que ses assaillants explorent son corps, Martine ne perd pas son temps et malaxe de ses deux mains les testicules bien remplis de ses agresseurs. Elle ne désire qu’une chose : sentir au fond de ses entrailles la semence de ces hommes pervers.

Elle est amenée sur la table est allongée sur le dos. Chacun de ses bras est maintenu par un gaillard vigoureux. Ses jambes sont saisies par deux autres hommes puis largement écartées afin d’exhiber son sexe imberbe. Le caméraman s’approche et fait un gros plan tandis que le proxénète introduit ses doigts dans la chatte humide lubrifiée depuis longtemps. Il écarte les lèvres et exhibe ce sexe de bourgeoise. Le caméraman en profite bien pendant une quinzaine de seconde. Pendant ce temps, le hooligan n’en pouvant plus, s’est jeté sur elle et se rue sur ses seins qu’il lèche avec une ardeur incroyable. Il grimpe sur elle et baisse son pantalon. Excité au plus haut point, il enfourne son sexe entre les deux gros nichons de ma mère. Heureux de sentir les énormes globes mammaires rouler autour de sa queue, il pousse des râles de bonheur tout en faisant fi de la caméra. Tant pis si on le voit se taper une branlette espagnole entre les seins de cette prostituée aux gros seins. Croyez-moi, il prend son pied ce pervers et se retient d’éjaculer afin de faire durer le plaisir.

Un autre homme a commencé à la baiser. Sa queue pénètre maman à grand coup de boutoir. Son corps est secoué. Elle est à la fois baisée et subit une branlette espagnole. Comme elle est allongée, deux gars en rut se sont postés au niveau de son visage et sortent deux énormes sexes gonflés à bloc. Ma mère n’a d’autre choix que de les sucer allongée et chacun leur tour. Elle est frustrée de ne pouvoir utiliser ses mains car ses bras sont maintenus par deux solides gaillards tout comme ses jambes d’ailleurs. Là, le hooligan et les deux gars éjaculent sur ma mère. L’un a explosé sur son visage tandis que l’autre s’est lâché dans sa bouche pendant la fellation. Elle sent aussi du foutre inonder son énorme poitrine. Celui qui la baisait s’est lâché aussi et la semence se répand en elle. La sueur a envahi son corps, elle est prête à se faire baiser à la chaîne maintenant.

De toute façon, d’autres hommes arrivent sans cesse et font la queue pour avoir leur dose de sexe. Pour patienter, ils se saoulent avec l’énorme quantité d’alcool disponible. Rassurez-vous, tous sont sûr de baiser cette femme et ce, devant les caméras. Ils sont sûr aussi moyennant une certaine somme, de pouvoir avoir une copie de ce film avec pour seule héroïne porno, ma propre mère.

La séance se poursuit et ma mère est assaillie par tous ces hommes en rut et alcoolisés. Certains s’acharnent sur ses énormes seins, d’autres préfèrent se vider les couilles en la baisant tout simplement. Elle est obligée de tailler des pipes allongée car elle est toujours maintenue sur la table. Les caméramans en ont profité pour faire des gros plans sur sa chatte se faisant ramoner sans cesse et sur sa bouche en train de sucer ces hommes sans relâche. Elle en a presque mal à la mâchoire.

De temps en temps, on lui fait couler un peu d’alcool dans son gosier insatiable pour la récompenser et la désinhiber davantage. A peine a-t-elle finit de pomper une queue qu’une autre la remplace. Son visage est recouvert de foutre et elle n’a pas le temps de tout avaler. Ses gros seins sont maculés de sperme comme jamais. Certains se sont branlés sur elle trop impatients et trop excités. Elle en a sur les cuisses, les hanches et sur son ventre. Ses beaux cheveux sont tout collants la rendant méconnaissable. Le pire, c’est que le défilé continue sans cesse. Des hommes rentrent, se vident les couilles puis repartent laissant place aux autres. Au bout de deux bonnes heures, ma mère est recouverte de sperme de la tête au pied mais heureuse d’être ainsi ensemencée.

Pourtant, ce n’est pas terminé pour elle car la voici enfin retournée. Elle est allongée sur le ventre mais sur le bord de la table. Son cul est donc bien exposé. Elle se laisse manipuler comme un jouet à la disposition de ces pervers. Le basané n’attendait que ça après s’être retenu de se masturber devant ces hommes baisant cette femme aux gros seins. Lui, ce qu’il aime, c’est la sodomie. Et d’ailleurs il ouvre le bal en écartant les fesses de Martine pour exhiber son anus si souvent pénétré. Tout le monde profite du spectacle. Puis, il baisse son pantalon et encule sauvagement ma mère sur cette table. Il y va à grand coup de rein. Préparée par les godes, ma mère ne sent rien et se contente d’accompagner le va et vient en ondulant son cul. Elle sent néanmoins la grosse verge lui ramoner les intestins et l’idée de savoir être possédée de la sorte lui arrache un gémissement de plaisir. Le basané excité au plus haut point la prend par les cheveux et l’insulte en la traitant de putain, de sale bourgeoise, de salope aux gros nichons. Ses coups de reins sont violents et le corps de ma mère a des soubresauts. Puis en un long râle, il se libère de son foutre qui envahit les entrailles de Martine. Il se retire et aussitôt, c’est la ruée.

Ma mère est mise à quatre patte et la voilà se faisant enculer à la chaîne. Sa bouche si experte est à nouveau sollicitée. Elle est à quatre pattes, recouverte de sperme se faisant enculer tout en suçant des hommes. Le défilé continue et semble même s’accentuer. Ma mère ne ressemble plus à rien tant elle est recouverte de foutre mais elle continue, infatigable. L’alcool tout comme le sperme coule à flot.

La situation commence à dégénérer et elle est prise de toute les façons possibles et inimaginables, livrée aux perversions les plus ignobles de ces hommes dont le nombre ne cesse de croître. Je vois ma pauvre mère réduite à servir de fosse d’aisance à ces salauds de pervers. Elle a droit à plusieurs séances de fouet avec en prime quelques gifles. On lui introduit plusieurs objets dans la chatte et dans le cul, la forçant à se promener à quatre pattes dans la salle sous les regards approbateurs de la foule masculine. Tous ont du plaisir à voir cette bourgeoise se promener nue avec des bouteilles enfoncées au plus profond de ses entrailles. Ses seins lourds, enduis de foutre et d’alcool, ballottent outrageusement à chaque déplacement.

Le proxénète lui fouette le cul de temps en temps pour aller plus vite et la stimuler. Certains lui versent de l’alcool voire même lui urinent carrément dessus au passage. Substances qu’elle accueille avec une joie inimaginable. Après quelques tours de table, la séance reprend de plus belle. Son anus n’arrête pas d’être sollicité et sa bouche de même. Ses seins sont tirés dans tous les sens. Une véritable débauche de foutre, d’alcool et d’urine s’abatte sur cette femme qui semble prendre son pied.

Finalement, vers 7h00 du matin, les hommes finissent par s’en aller petit à petit. Ma mère n’en peut plus, épuisée. Sa bouche est en feu, sa chatte et son anus ravagés à force d’être limés et pénétrés par des objets énormes. Ses énormes seins lui font un peu mal à force d’avoir été malaxés, fouettés et sucés. Elle est par terre toute recouverte d’un mélange de sperme, d’alcool, de sueur et d’urine. Bien pleine, ensemencée comme jamais, elle pousse des soupirs de satisfaction en se caressant les jambes bien écartées. Jamais elle n’avait été baisée par autant d’hommes et de façon aussi perverse. La salle se vide et il ne reste que les médecins, le proxénète, le hooligan et le basané. La voix derrière le miroir reprend :

-Bon, maintenant une dernière chose. Tu vas te lever et tu vas baiser avec ton fils.

Les médecins me détachent et ma mère se relève les yeux brillants de luxure. Elle se met à genoux et sort mon sexe qu’elle se met à sucer avec ardeur. Ses lèvres pulpeuses se referment sur mon sexe et commencent à bien pomper. Je me rends compte à quel point elle est experte car elle s’arrête juste au moment où j’allais éjaculer. Toujours à genoux, elle me tend ses énormes seins dégoulinants de sperme. Autour de ses tétons, on peut voir une multitude de marque de succions. J’ai du mal à croire que c’est cette même poitrine qui m’a allaité un jour.

Maintenant, rien à voir avec le lien mère-fils d’autrefois. Le lien n’est plus mère et enfant mais de mâle à femelle. Pour moi, elle n’est plus qu’une femme en chaleur qui est soumise à n’importe quel homme. Je pose donc ma queue entre ses gros seins et elle fait le reste. Elle presse ses grosses mamelles autour de mon sexe en érection et elle me branle. Avec ses doigts, elle se pince les tétons et accélère la cadence. Ses seins sont vraiment énormes et me voilà en train de jouir sur la poitrine maternelle. Mon sperme se mélange avec ceux des autres pour la plus grande joie de cette femme heureuse de recevoir la semence de sa progéniture. Me restant encore de l’énergie, je la retourne et me voilà en train de l’enculer sauvagement comme les autres. Je finis par me vider à mon tour sonnant la fin de la séance. Je me refroque et laisse ma mère à quatre pattes encore sous l’effet du plaisir procuré par cet acte i****tueux.

Les caméramans ont bien enregistré le tout. La, la porte s’ouvre et à ma grande surprise, un homme proche de la cinquantaine apparaît. Il est bien sapé et dans son regard, on peut lire une perversion inouïe. Il reste là, à regarder ma mère qui ne sait plus que dire car elle vient de reconnaître son mari. Et oui, son mari et donc mon propre père Dominique. C’était lui la voix derrière le miroir. Elle était déformée par un appareil spécial. Mon père dit :

-Surprise! Hein?

Personne n’ose rien dire et ma mère baisse les yeux. Il rajoute :

-Eh bien, me voilà avec une bonne famille de dépravé!

Il me regarde :

-Oui, la prochaine fois tu n’oublieras pas de faire le ménage dans les fichiers de ton portable. Je vois que ta mère t’inspire mais elle n’est pas contre visiblement.

Ma mère demande :

-Que veux-tu dire?

-Ton fils écrit des histoires porno sur toi. Je me suis régalé de les lire. Oui, j’ai été outré au début puis j’ai adoré.

Ma mère me regarde très en colère. Mais mon père continue :

– Mais je ne savais pas que ces histoires étaient vraies. Je suis au courant depuis cet été, en fait. J’ai trouvé un texte sur l’ordinateur portable de ton fils qu’il m’arrive d’utiliser. Je ne pensais pas que tu me faisais cocu comme la dernière des salopes pendant que j’étais au travail. Mes soupçons se sont confirmés depuis qu’elle va te voir dans ton studio. Et devine quoi?

Ma mère est abasourdie par tant de révélation. Il continue :

-Le proxénète, c’est moi qui l’ai embauché peu de temps après pour s’occuper de toi. Je t’ai fait suivre par un détective privé qui m’a tout raconté sur tes débauches et ta prostitution avec Julien. Puis, j’ai décidé de le contacter afin qu’il te déprave encore plus.

Mon père était un pervers et il avait payé quelqu’un pour mettre maman sur le trottoir. Toute cette soirée, il l’avait organisée depuis le départ et ma mère et moi avons été piégés. Je me risque :

-Mais on fait quoi maintenant?

Mon père réfléchit et les yeux luisant de perversité dit :

-Ta mère a besoin de vacances.

Il regarde le proxénète et lui dit :

-Bon, prends ma femme avec toi. Je te la donne pour une quinzaine de jours. Fais-en ce que tu veux, elle est à toi. Et n’hésite pas à l’humilier le plus possible.

Heureux, le proxénète demande à ses deux comparses d’emmener maman. Ils s’emparent d’elle sans qu’elle ne se débatte. Le basané la saisissant par les pieds et le hooligan par les bras. Elle est encore souillée et elle est transportée comme un vulgaire sac de patate vers une destination inconnue.

Moi, n’osant rien dire, j’ai suivi mon père et on est rentré. Nous avons discuté de la situation et mon père m’a dit qu’il s’en fichait finalement. Il reconnaît éprouver du plaisir à savoir ma mère se faisant baiser sans relâche quelque part. Je lui dis qu’il avait abusé en la donnant à ces hommes et qu’il lui faisait prendre des risques.

Ma mère fut retrouvée trois semaines plus tard, déambulant nue dans un quartier sordide de Paris. Elle était à poil, souillée et droguée au GHB. Elle avait subi d’innombrables perversions sexuelles. Durant ces deux semaines qui se sont prolongées de quelques jours d’ailleurs, ma mère a été prise de toutes les façons possibles et inimaginables. Les lieux et les partenaires de ses débauches étaient les pires qui soit. Je me demande même si elle n’a pas dévié s**to.

En tous cas, Papa et moi sommes allés la chercher à l’hôpital où elle est restée en observation. Pas pour longtemps d’ailleurs, on a juste contrôlé qu’elle n’avait pas de maladie vénérienne. Malgré le nombre incalculable de relations sexuelles qu’elle a eu, la chance a voulu qu’elle n’ait rien. J’en voulais un peu à mon père de l’avoir donné comme ça à des gens louches. Mais l’essentiel, c’était que ma mère soit de retour et en pleine forme

A peine arrivée sur Nantes, on se donne le mot et rapidement le défilé des hommes à la maison reprend. Mon père est obligé de mettre un bémol. Pas par jalousie, bien au contraire car il aime savoir sa femme baisée toute la journée pendant qu’il travaille mais à cause des voisins. Il menace d’interdire à maman de le faire cocu si elle continue à faire n’importe quoi. Ma mère, paniquée, a donc fixé des créneaux spécifiques. Rassurez-vous, elle a repris ses activités sexuelles de plus belle et même encore plus qu’avant. Elle fait toujours la pute sous le contrôle de son proxénète et toujours dans mon studio. De temps en temps, il la convoque dans une salle, histoire de lui rappeler qui est le maître. Il en profite pour faire quelques courts métrages pornographiques très hard avec ma mère comme seule héroïne. Il a été jusqu’à faire des moules du corps de Martine pour en faire des poupées gonflables afin que les pervers puissent s’exciter dessus. Elle est offerte régulièrement à des clochards histoire de leur faire oublier leur malheur.

Pendant son absence, mon père a fait faire des travaux. Il a fait installer un miroir sans teint dans la chambre conjugale et a fait construire une tout petite pièce jouxtant la même chambre. Chaque week-end, il s’installe dans la pièce et peu voir grâce au miroir sans teint, ma mère, sa propre femme, se faire baiser comme une putain dans la chambre conjugale. Mon père est en fait un véritable pervers voyeur, heureux de voir la femme qui a mis au monde et élevée ses enfants, se comporter comme la dernière des truies dans la maison familiale.

Ma mère est bien heureuse de savoir que son mari se masturbe en train de la voir se faire baiser outrageusement et croyez-moi, elle fait en sorte d’être la plus salope possible. Il envisage à plus ou moins long terme de faire installer des caméras afin d’épier les débauches sexuelles de maman dans les diverses pièces de la maison. Ma mère ne fréquente plus que des hommes et elle passe ses journées en peignoir, nue en dessous.

Elle sort pour voir des amis de la famille en tailleur-jupe pour montrer qu’elle est une femme bourgeoise, puritaine et bien tenue. Mais lorsqu’elle va faire des courses, il lui arrive de faire un petit détour par les cités. Elle est en tenue osée : mini-jupe et chemisier transparent sans soutien-gorge ni culotte. Elle s’exhibe de manière provocante près des HLM au plus grand désarroi des pauvres filles résistant contre le machisme environnant. A la vue de ses gros seins, qu’elle n’hésite pas à mettre en valeur par des décolletés largement échancrés, les jeunes se précipitent sur elle pour la draguer. Comme à son habitude, elle termine le plus souvent séquestrée dans une cave à subir les derniers outrages mais cela, pour son bonheur sexuel. Mes parents ont donc trouvé leur compte : Mon père éprouve du plaisir à mater et ma mère peut satisfaire son énorme appétit de sexe, de soumissions et de dépravations en tous genres.

Ma mère a eu bien des aventures et effectue les pires dépravations qui soient. Il arrive même à mon père, par perversion, d’accompagner Martine sur le trottoir. Il faudrait des pages et des pages pour raconter ce qu’elle a fait mais moi, je ne suis plus ses aventures car je suis actuellement avec une fille gentille. Peut-être un peu trop, il va falloir qu’elle prenne exemple sur ma mère. Ne vous inquiétez pas, je m’y emploie avec passion.

A propos de l'auteur

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