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un train d’enfer

un train d’enfer



Nous devions, ma femme et moi, effectuer un voyage en train jusqu’à Paris. Comme nous avions retenu l’idée de voyager en couchettes pas trop chères, je partis à la gare réserver 2 couchettes dans un compartiment de seconde classe.
Je savais qu’il y avait 6 couchettes par compartiment et l’idée que de nouvelles aventures me paraissaient possibles m’excitait au plus haut point. Dans le bureau des réservations, je me renseignais donc en cherchant à savoir, le plus naturellement possible, comment étaient positionnées les couchettes disponibles. Très gentiment, la personne effectuant les réservations me passa en revue la composition de nombreux compartiments et je pus choisir!
Je tremblais d’excitation quand je vis apparaître 2 couchettes libres dans un compartiment déjà occupé par 4 hommes; l’une d’elle se situant au milieu, l’autre en bas. Essayant de masquer au mieux mon émotion afin de ne pas risquer d’attirer des soupçons, je fis porter mon choix sur ces deux couchettes après avoir faussement hésité. Je rentrais donc très émoustillé chez moi dans cette perspective imaginaire. Ma femme me questionna « il y aura des hommes dans ce compartiment? » Sans laisser paraître un trouble certain, je répondais avec un ton de certitude : « probablement ». Une mimique de ce que je pris pour une satisfaction masquée de la part de ma femme, me confirma dans mes fols espoirs d’aventures! Puis plus un mot jusqu’à la veille du départ.

Les préparatifs

Ce jour-là, faisant les valises, ma femme revint sur la présence d’hommes dans le compartiment mais je fis mine de ne pas relever. Puis vint le moment de choisir comment nous nous habillerons pour le voyage. Lorsque je suggéré du bout des lèvres à ma femme de mettre ses beaux escarpins avec des bas et un porte-jarretelles sous une jupette, à ma grande surprise, elle acquiesça en rajoutant d’un air coquin, me signifiant qu’elle voulait me faire plaisir : « comme ça, tu espères que des hommes pourront se rincer l’oeil de temps en temps ». J’étais à la fois enchanté et gêné de peur qu’elle change d’avis et je ne lui montrais pas la joie et l’excitation qu’elle me procurait en acceptant de s’habiller ainsi.
Je lui répondis le plus modérément possible :
– « oui, un petit jeton à la dérobée, cela me plaira bien, tu sais, de les voir te reluquer ».
– « oui, mais pour dormir ? on ne va pas se mettre en pyjama ? »
– « bien sûr que non » répondis-je aussitôt sautant sur l’occasion et enchaînant pour enfoncer le clou :
– « il vaut mieux mettre quelque chose de facile à enlever avec juste ce qu’il faut pour dormir…moi, je mets un polo sous ma veste… tu n’as qu’a mettre une combinaison, comme ça tu seras tranquille »
Elle choisit donc un adorable porte-jarretelles marron glacé avec slip et combinette assortie. Des bas marron irisé très discrets -difficilement différenciables du traditionnel collant- mais hyper-fins, gainant admirablement ses jambes fines.

Et c’est donc habillée ainsi avec un petit tailleur marron très B.C.B.G. que ma femme et moi prenons le chemin de la gare en taxi, dont le chauffeur ne peut s’empêcher d’avoir un regard admiratif pour elle, ce qu’elle remarqua, tout en laissant voir généreusement ses cuisses. Peut-être même le chauffeur a-t-il pu entr’apercevoir le haut de ses bas et ses jarretelles lorsqu’elle descendit en faisant crisser le doux tissu des parures de nylon qui habillaient ses jambes? Peut-être a-t-il vu sa culotte? Je ne le saurai jamais.

Ambiance hall de gare !

Nous voici donc dans le hall de la gare, avec une bonne demi-heure d’avance sur l’horaire du train. Il y a là beaucoup de voyageurs mais aussi pas mal de plus ou moins vagabonds.

En tout cas, tout ce qui est mâle reluque avec insistance ma femme, très excitante dans cet ensemble à la fois sage et sexy. Beaucoup de paires d’yeux se retournent sur son passage et suivent du regard cette paire de jambes fines : je suis sûr que certains ont dû se rendre compte qu’elle portait des bas car les imperceptibles petits plis aux chevilles, la finesse et l’elasticité du tissu sont des indicateurs qui ne peuvent tromper un oeil de mâle averti. Ma femme s’est bien rendue compte de l’effet qu’elle produit sur ces hommes affamés… et qui ne doivent pas manger ni baiser tous les jours à leur faim. Elle se tient fièrement campée sur ses escarpins, ondulant légèrement de la croupe, comme pour mieux attiser leur convoitise.
Ceci ne m’échappe pas et j’ai brusquement envie d’exploiter cette situation sans risque pour elle. Pour mieux mettre ma femme en condition -et sachant qu’elle ne peut plus reculer- je choisis d’exciter un S.D.F. installé dans un recoin près des cabines téléphoniques, qui la dévore du regard. Alors que nous achetons le journal, je le fixe droit dans les yeux avec un clin d’oeil complice et, en rangeant accroupi les revues dans mon sac, je soulève le bas de la jupe de ma femme lui dévoilant pendant un court instant la quasi totalité d’une cuisse jusqu’au liseré supérieur du bas. Ma femme rouspète un peu pour la forme. Puis regardant le pauvre mec assis par terre avec ses yeux qui lui sortent de la tête, jaugeant certainement que cela ne l’engage à rien, d’elle-même elle soulève encore plus sa jupe pour aller jusqu’à lui montrer la chair blanche au-dessus des bas.

J’observe avec délectation le type qui porte instantanément sa main à sa queue par-dessus son pantalon et commence à se masser ostensiblement. Ma femme laisse retomber sa jupe. Toutefois, cela a dû lui plaire et l’exciter car, soudain, cherchant dans son propre bagage, elle s’accroupit à son tour ses deux genoux à demi écartés tournés vers le gars. Debout, j’observe ce petit jeu. Ma femme écarte un peu plus ses genoux : le mec doit voir maintenant distinctement la chair de ses deux cuisses au-dessus des bas et sa culotte. En effet, sa pogne masse sa bitte de plus en plus énergiquement par-dessus le pantalon, puis il se masturbe à travers sa poche probablement trouée en zyeutant la vision de rêve que lui offre ma femme. Elle reste ainsi une trentaine de secondes, le temps que le type puisse finir sa branlée et emmagasiner suffisamment d’images pour ses fantasmes.

Ma femme lui jette un coup d’oeil et il me semble intercepter un sourire. Elle se relève. Une fois cette bonne action accomplie, à mon grand plaisir, nous prenons le chemin des quais.

L’arrivée dans le compartiment

Après avoir fait se retourner pas mal de types dans le couloir -probablement qu’ils auraient aimé voyager avec nous ou que certains regrettent de ne pas avoir osé lui balancer leur pogne!-, nous voici arrivés à notre compartiment.
J’entre le premier. Il est pour l’instant occupé par 2 hommes seulement. L’un est déjà installé sur la couchette du bas; l’autre sur la couchette du milieu, les deux places du haut sont encore inoccupées, seulement deux sacs posés indiquant la présence de deux voyageurs. Ma femme entre avec un court moment d’hésitation. Je lui indique nos deux numéros de couchette.
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Regardant un peu autour d’elle et ne voulant pas paraître mijaurée, de se savoir entourée d’hommes, encore qu’elle puisse imaginer que les deux places du haut seront occupées par des femmes (moi, je sais que non!), elle me répond simplement:
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J’avise les grilles prévues face aux couchettes du milieu.
<< Ta valise ici et mon sac sous ma couchette, c'est plus simple>> et aussitôt je commence à préparer mon lit, défaisant le drap et la couverture, comme un habitué.

Ma femme hésite un peu et me regarde faire, alors que je fais mine de l’ignorer, la laissant ainsi improviser son attitude face aux regards des deux hommes, qui l’observent discrètement. Ils semblent très agréablement surpris par cette élégante compagnie de voyage.
Celui qui va lui faire face sur la couchette du milieu -c’est-à-dire juste au-dessus de moi- lit un livre appuyé sur son coude; la soixantaine, de petites lunettes cerclées, de son regard vicieux, il jette des petits coups d’oeil à la dérobée détaillant la tenue excitante de ma femme . Celui qui va se retrouver au-dessous d’elle, lit le journal déjà enfilé dans son sac de couchage et sous sa couverture et , sans qu’elle puisse le voir, il détaille le bas de son corps, reluque ses chaussures, ses chevilles, ses mollets et cherche à deviner ce qu’il y a plus haut: cela m’excite déjà.

Installation

Le bas de son corps : c’est ce qu’il doit avoir comme merveilleux point de vue. En effet, ma femme se met à préparer sa couchette et, m’étant moi aussi allongé, j’ai une idée du point de vue de mateur dont doit se régaler le type de la couchette du bas sur ma droite.
Ayant rangé sa valise sur la grille porte-bagages, ma femme s’attaque à la mise en place du sac de couchage et de la couverture. Dans tous ses mouvements, sa jupette ondule, ses mollets se contractent ou s’allongent, ses escarpins dansent sous les yeux émerveillés du voyageur du dessous. Il a environ une quarantaine d’années, un physique tellement quelconque que cela le rend presque laid. J’imagine qu’il est marié à une de ces abominables bobonnes qui n’ont rien de sexy et que donc, lui, préfère s’envoyer en l’air dans les sex-shops et les cinés pornos. Je crois que je ne me suis pas trompé car le mec me jette un regard à la fois vicieux et interrogateur. Je lui adresse un petit sourire, accompagné d’un petit mouvement des lèvres, pour lui signifier qu’il peut, qu’il doit se régaler de reluquer sans dépasser les limites du convenable.

Au-dessus de lui -de nous devrais-je dire-, ma femme, qui, fine mouche, a déjà dû jauger le type, s’affaire sur sa couchette sans vraiment se dépêcher comme pour faire durer le plaisir du mateur. D’ailleurs, elle commence à en montrer encore plus : pour pouvoir arranger la couverture, elle a dû grimper une à deux marches de la petite échelle métallique. La vision qu’elle nous offre est géniale. Ses longues cuisses apparaissent maintenant sur toute leur longueur. A chaque mouvement en avant, le tissu de la jupette se tend et le liseré sombre du haut des bas, les jarretelles marron foncé et la chair blanche jouent une partie de cache-cache particulièrement bandante.

Le mec ne s’y est pas trompé. Il a maintenant carrément posé son journal et, tout en continuant à croiser mon regard pour y retrouver mon approbation, il mate et reluque ostensiblement les jambes de ma femme, qui se dévoilent de plus en plus haut à chaque mouvement. Je vois son visage rougir et sa main se porter à sa bitte à travers son sac de couchage. A un moment où il me regarde interrogateur, je n’hésite plus: je le fixe dans les yeux avec un grand sourire d’encouragement, je lui mime le geste de se branler sa queue et lui fait un « chut » avec mon doigt sur ma bouche.
Dans le silence pesant de l’ambiance particulière de ce compartiment, ma femme continue à prendre tout son temps pour installer sa couchette, offrant ainsi sciemment des visions hyper érotiques au mec au-dessous d’elle.
Alors qu’un des escarpins de ma femme grimpe un barreau supplémentaire de l’échelle et que le haut de ses bas devient parfaitement visible sous le compas semi-écarté de ses cuisses, le mec, tout en continuant à masser sa pine sous la couverture, tire sa tête qu’il vient placer au rebord de la couchette à la verticale au-dessous de la jupe de ma femme. Je vois nettement sa gorge se nouer d’excitation au mouvement de sa pomme d’Adam. Il doit voir entièrement le petit slip marron glacé soyeux se détacher de la chair blanche. Il se branle de plus en plus fort agitant la couverture. Je sais que ce mini-slip ne cache pas grand chose. D’ailleurs le mec tire encore plus la tête; il doit même apercevoir quelques poils de sa chatte! Sûr, car il est de plus en plus rouge. Je me penche aussi en avant pour vérifier ce qu’il voit : absolument génial! Le mec, encouragé par mon geste, repousse sa couverture et branle maintenant à l’air libre une bitte luisante et de fort belle taille.

Dans mon avancée, j’ai pu me rendre compte que le vieux au-dessus de moi avait lui aussi posé son livre et contemplait avidement ma femme. Cette dernière, l’air faussement dégagé, se comporte comme s’ils n’étaient pas là. Mais, elle doit sentir leur présence et le lourd poids de leurs yeux vicelards braqués sur sa jupe, sa croupe, ses bas, ses escarpins et sa culotte, pour celui du bas.

Vue érotique et visions d’extase

Feignant l’indifférence, ma femme leur porte alors un premier coup fatal. Après avoir ôté la veste de son ensemble BCBG, qu’elle suspend au portemanteau du fond du compartiment (dans ce mouvement, elle dévoile encore différemment ses dessous et également la fermeté de sa croupe sous le tissu tendu de sa jupette), elle commence à enlever sa jupe, sous leurs yeux effarés et impatients.
Dans un silence assourdissant, les deux hommes assistent à ce spectacle cent fois plus érotique qu’un strip-tease de peep-show. Là, à moins d’un mètre d’eux, une belle femme de quarante ans -le genre de celles qu’ils croisent dans la rue en se disant qu’ils la baiseraient bien mais qu’ils ne la baiseront pas- est entrain d’enlever sa jupe sous leurs yeux;… ou plutôt au-dessus de leurs yeux pour mon voisin. J’entends nettement -et ma femme aussi- le bruit sourd de la salive avalée. Ce coup-ci, elle sait qu’elle a fait tilt, la coquine.
Ma femme descend l’échelle et, sans un regard pour le type du bas, elle soulève un pied, puis l’autre, afin de faire glisser sa jupe en bas. Combien de secondes mon voisin eut-il pour reluquer complètement les jarretelles, le mini-slip, la chair du haut des cuisses ? Je ne sais, en tout cas ses yeux lui sortent de la tête et il se masturbe de plus en plus frénétiquement. Ma femme, en véritable professionnelle de l’allumage de mâles en rut, lui fait même un « cadeau » supplémentaire car, dans cette « opération », un de ses escarpins lui échappe et elle doit écarter encore plus ses cuisses pour tenter de le ratt****r en vol, mais, maladroitement (?), elle n’y arrive pas et il tombe sur le sol du compartiment, nous laissant tous trois muets, dans l’attente de la suite.
Vêtue seulement de cette combinette marron glacée et de ce tissu arachnéen elle aussi, ma femme s’agite un peu pour ranger sa jupette afin qu’elle ne se froisse pas. Le tout avec un pied dechaussé, ce qui a le don d’affoler complètement mon voisin. Sous les yeux de plus en plus ébahis des deux mecs, elle la pose sur la couchette bien à plat en remontant d’un barreau sur l’échelle; très légèrement penchée en avant, elle la repasse du plat de la main. Maintenant, c’est un appel un viol ou du moins à la reluquée pour mateurs vicelards. Elle doit le savoir car elle reste longtemps ainsi.
Ses deux cuisses sont totalement visibles jusqu’en haut, les jarretelles et la chair blanche occupent l’espace de vision et le mec du bas voit en plus sa chatte à peine dissimulée par le mini-slip. Il n’en croit pas ses yeux. Levant le pouce, je l’encourage à continuer sa branlée. Je jette un coup d’oeil au-dessus et je vois le vieux, les yeux extasiés rivés aux jambes et au cul de ma femme moulé par cette combinette insolente et sexy, à demi-tourné vers elle, et se masturbant la bouche entrouverte.

Mon voisin n’y tient plus et, profitant de la proximité de l’escarpin sur le sol, il s’enhardit à ma plus grande joie. D’un geste vif, il se saisit de la chaussure et la présente au pied de ma femme pour l’y replacer. Celle-ci, un peu surprise, le regarde: elle voit alors nettement sa grosse queue sortant de la couverture. Le type empoigne délicatement mais fermement sa cheville, caresse ses bas et, après avoir embrassé son pied par-dessus l’immensément doux tissu du bas, lui remet l’escarpin. Mais sa main ne lâche pas ma femme et remonte le long de sa jambe, encore en équilibre sur l’échelle. De ce fait, ma femme, ne peut véritablement l’empêcher de pousser plus loin l’investigation de cette pogne baladeuse. A ma grande joie, je vois la main salope du type remonter jusqu’au liseré du bas, alors qu’il place ostensiblement son visage dans l’axe de sa culotte pour bien lui montrer que c’est à sa chatte qu’il en veut. Le mec, branlant toujours sa queue de l’autre main, est manifestement prêt à partir : il caresse en douceur mais comme un fou toute cette chair de femelle qui s’offre à sa lubricité.
Ma femme, coincée par la situation dans laquelle elle-même s’est mise, ne peut alors que rentrer dans ce jeu à mon grand plaisir. Elle se tourne un peu plus vers lui, descend complètement de l’échelle, se mettant ainsi totalement à sa portée. La main du mec se porte aussitôt vers la chatte de ma femme qu’elle atteint sans difficulté. Je vois deux doigts s’insinuer sous le slip dans sa toison blondinette et humide. Ma femme tressaille un court instant sous cette caresse. Cela n’échappe pas au vieux vicieux du dessus.
Je vois ce salaud glisser sur le bord de sa couchette et venir se poster debout derrière ma femme, tenant dans sa main droite une queue épaisse et bien bandée avec un gland luisant d’excitation. Cette pine se trouve maintenant à dix centimètres du cul de ma femme. Rapidement, le vieux frotte sa queue contre le tissu de la combinette en direction de ses fesses. Ma femme le laisse faire et préfère alors s’attaquer à la pine de mon voisin toujours étendu sur sa couchette. D’une main experte, elle saisit ce braquemard tendu vers elle et commence à le masturber savamment: le mec est aux anges. Penchée sur lui, ma femme astique ce pieu tout en se laissant palucher la moule humide par la pogne de son branlé qui ne va pas tarder à exploser. Il la regarde fixement, comme s’il ne croyait pas en ce qui lui arrive. Ses doigts fouillent la chatte de ma femme -son majeur a même totalement disparu dans son vagin, son index chatouille son clitoris- alors qu’il tend en avant son bas-ventre pour mieux s’offrir aux doigts de fée de ma femme. Cette salope a l’air d’apprécier et elle l’astique consciencieusement sans trop de précipitation, sentant vibrer et enfler la bitte du mec.

Pendant ce temps-là, derrière elle, le vieux continue de promener son gland visqueux sur sa combinette et appuie de plus en plus fortement sur ses fesses. Excitée par cela qui se passe à cinquante centimètres de moi, ma femme achève mon voisin: elle s’approche encore plus de lui, se soustrayant un court instant à la pression de la bitte du vieux sur son cul (mais il revient vite prendre place), lui offre carrément sa chatte à dix centimètres de ses yeux. Le mec se soulève sur les épaules et, écartant le bord du mini-slip avec ses doigts, plaque sa bouche sur cette moule bourgeoise qu’il se met à laper avidement. Ma femme frémit -je sais qu’il va la faire jouir, surtout si sa langue s’agite autour de son clitoris- et accélère les mouvements de sa main sur la pine du mec tout en la serrant avec un peu plus de fermeté. Le résultat est immédiat et fulgurant. Un premier geyser de sperme blanc jaillit du méat du gland trituré et va s’écraser sur le plancher du compartiment, non sans que quelques gouttes se soient étalées sur les bas et un escarpin de ma femme. Ma femme le termine en vidant son foutre qui dégoulinait sur sa main; mais en même temps elle pousse un petit cri de jouissance car la bouche et la langue de son branlé n’étaient pas restées inactives et l’avaient amenée à la jouissance.

Le vieux croit son moment venu et tente de soulever la combinette pour y fourrer sa queue excitée. Dans un premier temps, ma femme refuse et fait mine de remonter.
Mais le vieux se met alors à la supplier:
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Sont-ce ces derniers mots? en tout cas ma femme suspend sa remontée, elle empoigne la bitte du vieux et fait longuement coulisser la peau sur le gland, dans sa main recourbée en une gouttière immensément douce.
Le vieux tressaille, paluche sa combinette qu’il relève un peu.
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Ma femme obéit et reprend la position semi-penchée de tout à l’heure. Alors, placé remarquablement de profil, je peux me régaler de la scène. La bitte du vieux s’approche du cul tendu. D’une main, il finit de soulever la combinette soyeuse et il approche son engin démesurément tendu vers le sillon humide. Il promène d’abord son gland de haut en bas excitant les chairs offertes. Sa pogne s’empare d’une fesse, il attire le cul vers lui et, sans coup férir, embroche ma femme d’un coup sec. Enfin, pas tellement sec car nous entendons distinctement un « floc » nous signalant l’intromission profonde. Ma femme manque de tomber en avant et s’appuie au montant de la couchette au-dessus de son branlé de tout à l’heure.
Le vieux se met à la ramoner puissamment, je vois sa hampe entrer et sortir de la belle chatte rosée de mon excitante épouse. Je suis aux anges. Mais que dire du vieux! Il se régale, il contemple d’un air extasié sa grosse pine épaisse aller et venir entre ces deux fesses de rêve. Il me jette un regard qui en dit long sur le plaisir qu’il éprouve à bourrer la chatte de cette belle bourgeoise, dont il a maintenant empoigné fermement le cul et les hanches à deux mains, glissant ses doigts noueux sous le porte-jarretelles.
Vissé à elle, il la pistonne à fond. Cette salope a l’air d’aimer car elle gémit de plus en plus fort et se trémousse. Au fur et à mesure où il la baise, le vieux la pousse de plus en plus en avant. Toujours agrippée au montant de la couchette, son buste s’incline et son visage s’approche imperceptiblement de mon voisin de droite. Celui-ci, bien excité (et peut-être un peu déçu de n’avoir pas su se retenir de partir si vite) a la queue toujours à l’air libre, qui d’ailleurs recommence à bander, grâce au spectacle scabreux auquel il assiste, comme moi.

Le vieux accélère son mouvement. Le cul de ma femme tremble de plus en plus fortement et la chair blanche de ses deux fesses s’agite comme deux blocs de gélatine. Bourrée à fond, ma femme continue de glisser vers la bitte de l’allongé qui la lui présente. Alors, elle arrondit ses lèvres, ouvrant sa bouche et l’engloutit quand il la lui présente. Le mec se raidit encore plus dans sa bouche et elle commence à le pomper au rythme des coups de boutoir du vieux.
Ce dernier est au bord de la rupture. Il accélère encore, tape plus fort contre ce cul tendu et, tout d’un coup, en beuglant soudainement « Ahhhhhhhhhhhcccccccchhh », il extirpe son mandrin de la chatte et crache des bordées incroyables de foutre qui s’étalent sur le fessier de ma femme, remontent lézarder son dos, décorant en arabesques blanches sa combinette marron.
Ma femme laisse échapper la queue de l’allongé.
Hélas pour lui!
Elle se met elle aussi à gémir fortement un »OUhhhhhhhhhhhhhhhhh! » et jouit dans un tremblement frénétique.

Ma femme, visiblement comblée par cette jouissance se désintéresse égoïstement de la queue sucée, la laissant ballotter à l’air libre, et se dégage prestement, le laissant pantois avec sa bandaison. Elle remonte un peu sur l’échelle, se rajuste, sans totalement essuyer les traces de sperme sur sa combinette.
Ma femme reprend alors sa jupe et va la ranger dans la valise.

Elle est ainsi, perchée avec ses escarpins sur le deuxième barreau de l’échelle, court-vêtue seulement par cette combinette marron glacée, décorée par le foutre du vieux et dévoilant ses cuisses jusqu’au sommet des bas -dont un porte nettement la trace du foutre blanc et épais de l’autre salopard- et laissant entrevoir les jarretelles, penchée en avant sur sa valise dos tourné, lorsque les deux types devant occuper les couchettes supérieures font leur entrée dans le compartiment.

Le compartiment en ébullition

Les deux nouveaux arrivants restent une dizaine de secondes muets de surprise à contempler ce fabuleux spectacle. A leurs regards incrédules s’offrent deux longues jambes gainées de bas et campées sur d’érotissimes escarpins, surmontées par une combinette marron glacée qui ne cache pratiquement rien, puisque les jarretelles barrant la chair blanche trouent la pénombre du compartiment.

Prestement, l’un d’eux, comprenant tout l’intérêt de la situation, ferme la porte qu’il verrouille précautionneusement. L’autre passe derrière elle ainsi positionnée, grimpe un barreau et en profite pour lui faire sentir son sexe dur contre ses fesses. Ma femme ne refuse pas cette caresse et même y répond en se courbant un peu plus avant. Elle commence à vouloir descendre de cette petite échelle. Mais elle ne peut descendre que d’un barreau: les nouveaux arrivants vont droit au but. En effet, tout en la retournant un peu, il soulève la combinette et la déshabille prestement. Ma femme gémit un peu mais se laisse déshabiller, excitée par la vue soudaine de la bitte dressée du vieux à demi allongé sur sa couchette. Elle se retrouve torse nu, ses seins jouant libre à l’air, gonflés et durcis avec leurs petites auréoles et les tétons enflés et pointant.
Elle sent alors que ses poignets sont saisis et attachés avec des écharpes aux petites échelles donnant accès aux couchettes supérieures. Elle se trouve les bras en croix au milieu du couloir du compartiment. Très vite, le mec du bas lui enlève son mini-slip, le déchirant presque et l’enfouit sous son oreiller, alors que c’est autour de ses chevilles d’être attachées aux barreaux du bas. Ma femme est véritablement écartelée, uniquement vêtue (!) de ses bas, du porte-jarretelles et de ses escarpins, devant les hommes avides. Cette position tend ses seins comme deux globes érigés vers le plafond, sa chatte s’ouvre comme une corolle rose, presque béante; ses deux lèvres et sa toison s’offrent aux regards lubriques des salopards, qui ont sorti leurs mandrins et se masturbent en l’admirant.

Ma femme fixe des yeux ces trois engins tendus vers elle en se demandant quel sort ils vont lui réserver. Elle mouille, elle dégouline même d’excitation, sans me prêter la moindre attention.
Pourtant, je suis tellement enthousiasmé par cette situation, que je m’astique très lentement, attendant fébrilement la suite.

Le plus jeune des deux derniers arrivants, entièrement nu, s’approche d’elle bitte à la main -un respectable calibre, ma foi!- et la glisse horizontalement entre les cuisses de ma femme, la hampe du mandrin entre les lèvres de sa chatte :
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Joignant aussitôt le geste à la parole, il commence un lent va-et-vient d’avant en arrière, le long de la fente rose et humide, irritant le clito de ma femme, qui essaye de fuir devant cette hampe dure mais, immobilisée et écartelée, elle doit subir ce frottement qui s’arrête aussi brusquement qu’il avait commencé. Il la frôle, coulissant à la surface de cette moule offerte comme un aéroglisseur sur un lac humide, puis l’homme se recule, toujours la bitte raide et laisse sa place à son compère, un peu plus âgé, qui était derrière ma femme et lui aussi glisse sa tige durcie entre les cuisses écartées. Son gland écarte un peu les lèvres et se glisse jusqu’au clitounet irrité. Ma femme se trémousse car elle aimerait sentir plus fermement l’engin attiser ses chairs. De temps en temps, son clitounet est agacé au passage et cela exacerbe son désir. Elle gémit et apprécie maintenant cette caresse car le gland nouveau est plus doux que la tige de l’autre et parce qu’il s’est imprégné de la mouille de plus en plus abondante, recueillie en passant. La peau douce et humide du gland a calmé l’irritation du clitoris de ma femme, qui d’elle-même s’y caresse et s’y masturbe. La douleur disparue, elle est toute à son plaisir d’être offerte et caressée ainsi. Peu à peu, le gars bouge de moins en moins car c’est elle qui se branle toute seule sur la tige dure:
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Maintenant, c’est tout le compartiment qui s’est levée et elle entourée de quatre bittes bien raides et dures. Elle est excitée -et moi donc!- de voir danser devant elle trois bittes raides et une autre frôlant ses fesses et ses hanches, toutes avides de son corps, qui est scruté dans ses moindres détails par ces hommes lubriques.

Après cette séance de caresses sur son clito, le gland se retire laissant sa chatte humide orpheline… mais pas pour longtemps car une autre queue -celle du jeune, dernier arrivant dans ce compartiment de stupre- reprend aussitôt la place par devant et glisse facilement le long des lèvres et sur son bouton érigé et gluant de mouille. Ce mâle ne se contente pas de glisser sa tige contre son clito mais, la saisissant à deux mains, il lui écarte aussi les fesses, mettant à nu son anus plus facilement accessible à la caresse du gland qui, mouillé à l’extrême, glisse sur toute la longueur de son entrejambe et remonte contre son anneau plissé brunâtre. Ma femme se cambre, surprise par ce nouvel attouchement de son intimité arrière. Elle mouille de plus en plus:
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Le gars ressort sa bitte de là-dessous et se la masturbe lentement devant ma femme qui ne perd rien des détails de cette longue tige qui vient de lui caresser l’entrecuisses… qui d’ailleurs ne reste pas longtemps inhabité. En effet, une autre queue s’y glisse par derrière. Ma femme se cambre alors au maximum, pour que son clito soit bien accessible à la caresse. A nouveau, c’est elle qui se masturbe sur cette nouvelle bitte dont elle ne connaît pas le propriétaire. Pendant ce temps, l’homme remonte ses mains vers sa poitrine qu’il empaume en plaçant ses deux pognes en coupe sous le galbe inférieur avec son pouce et son index agaçant tout doucement les tétons. Tout à coup, il lui tire les deux tétons et les lui pince plus fortement. Ma femme crie, la douleur lui faisant oublier la caresse intime sur son clito. Alors, l’homme lâche la pression sur ses seins et se met à alterner, avec plus de douceur, le pincement des seins et la caresse du clito; pendant que son jeune copain fait aller et venir son gland sur sa toison ébouriffée, par de petits mouvements circulaires. Ma femme gigote comme une folle, elle est au bord de l’extase. Cela excite tout le compartiment, tous ces mâles en rut qui l’entourent. Elle est avide de toutes ces queues qui la cernent et elle voudrait certainement commencer à les sentir en elle, plutôt que de les voir près d’elle et de sentir seulement leur caresse.

Mais ce jeu raffiné, prélude pour les deux derniers arrivés et remise en forme pour les deux autres, est follement excitant pour tout le monde… et pour moi, au premier chef. De voir ma femme ainsi caressée, offerte, mouillante, me comble de plaisir et de mon gland exacerbé s’écoule lentement du liquide de pré-jouissance, sans que j’aie besoin d’astiquer ma queue raide comme du bois.

Le vieux, ne rebandant pas encore assez, s’assied aux pieds de ma femme et, caressant ses chevilles par-dessus ses bas et ses escarpins, pose sa bouche ouverte sur son sexe. Il lui aspire le clito irrité par tous ces frottements. Ma femme le sent aspiré, pendant que la langue le lui caresse de la pointe, puis glisse entre ses lèvres et lui pénètre l’entrée du vagin. Cette pénétration l’excite violemment, d’autant plus qu’elle en voudrait plus. Cela lui arrache des gémissements qui excitent les autres types, qui s’emparent de son corps.

Ma femme se fait lécher par le vieux, dont elle contemple le crâne à demi dégarni. Elle sent aussi quatre paire de mains se balader sur tout son corps. On lui caresse les seins, les cuisses le long des bas fins, ses fesses à la peau de velours, ses pieds. Toutes ces caresses finissent de l’échauffer… elle est maintenant prêté à tout. Elle n’en peut plus d’attendre qu’on la prenne. Sa chatte déborde de mouille, à la fois en raison de la lampée du vieux et de son envie de bittes.

Alors, on lui libère une main et une cheville que l’on attache aussitôt à la même échelle. Elle se retrouve maintenant pendue, le cul pointant dans le couloir, les cuisses serrées et ses deux globes fessus blancs magnifiquement offerts.

Un des hommes -le plus âgé de deux derniers arrivants; environ quarante-cinq ans, tempes grisonnantes- prend sa bitte à pleine main, la décalotte à fond et cherche de son gland l’entrée du sexe de ma femme. Elle s’immobilise à ce contact. Lorsqu’elle sent la boursouflure humide bien placée à l’aplomb de sa chatounette, elle s’y empale d’elle-même, en se laissant tomber sur cette bitte.

La pénétration tant désirée est enfin là. Elle veut se faire ramoner, se faire pistonner par ces queues dont elle a pu apprécier la grosseur. Elle fait glisser son vagin le long de la tige turgide, ses lèvres dilatées embrassant la pine comme si elles la suçaient. Elle sent bien la bitte raide forcer son antre gluant et suintant de désir. Çà y est! Enfin une queue en elle!. Ma femme s’empale d’elle-même: elle monte et descend de plus en plus vite, jusqu’au moment où l’homme l’immobilise en l’agrippant par les hanches et le porte-jarretelles. Il lui donne un violent et dernier coup de reins pour bien s’enfoncer en elle, sa longue verge disparaît en totalité au fond de son trou et lui éjacule bien au fond du vagin. Les spasmes de la bitte qui dégorge et se vide en elle déclenchent un violent orgasme chez ma femme qui halète et gémit sans se retenir:
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Le type se retire et laisse le vagin de ma femme dégoulinant de foutre qui ruisselle le long de ses cuisses. Aussitôt la queue de son copain prend la place libre et chaude (ouh! la! oui, alors!) et s’enfonce sans coup férir dans l’intimité de ma femme qui, n’ayant pas fini de jouir, en redemande et continue de s’empaler sur cette nouvelle colonne de chair. A tour de rôle les trois autres types se succèdent dans son trou béant et gluant de mouille. Elle n’en a jamais assez! Dans cette position, cul tendu et cuisses serrées, elle sent bien le passage de chaque bitte qui la pénètre, qui lui écarte les nymphes irritées, elle sent bien les hampes coulisser dans son fourreau. Elle continue de gémir de jouissance à chaque pénétration. La place ne reste pas souvent libre. C’est un défilé ininterrompu de cinq queues dans sa chatte!

Oui! cinq! car je me suis levé de ma couchette et, à un moment, je me suis intercalé entre deux baiseurs. Follement excité de prendre ainsi ma tendre épouse (sans qu’elle sache que c’est moi, qui plus est) dans sa chatte rendue gluante par le sperme accumulé et sa mouille abondante, tellement elle jouit de cette partouze. Tenant fermement son cul comme celui d’une chienne qui se trémousse d’aise, sentant ma bitte nager dans le foutre, je lui ai bazardé une giclée d’enfer mêlant mon sperme à celui des compères.

Tout le monde a-t-il joui? Je ne sais pas. En tout cas, moi oui. Et après moi, le défilé reprend de plus belle. les mecs sont comme des fous, ils se ruent sur elle comme à la curée. Des dizaines de « floc, floc » scandent l’introduction des pines dans la chatte de ma femme. Elle continue à jouir et à gémir. Ses cris sont plus prononcés lorsque le balancement du wagon est accentué au passage d’un aiguillage et dont les vibrations fortes sont perçues par son vagin rempli. Elle a l’impression que toutes ces bittes sont montées sur vibro-masseur.

Maintenant elle est détachée et on la fait mettre à genoux dans l’allée centrale. Elle se fait caresser les fesses, sur lesquelles des pognes étalent le foutre. Chaude, excitée, encore avide de jouir malgré les orgasmes successifs, elle appelle les mâles en rut:
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Un homme s’agenouille près d’elle et lui écarte bien les fesses. Il lui masse l’oeillet en trempant ses doigts dans la mouille et le sperme mêlés dégoulinant de sa cramouille, puis, une fois l’anus badigeonné, il lui enfonce deux doigts dans l’anus. Ma femme se cabre. Va-t-elle rouspéter? Surprise par cette nouvelle caresse -surprise aussi peut-être par l’absence de douleur, vu son état et celui de sa raie détrempée- elle semble se prêter à cette caresse profonde, en gémissant.

Tous les hommes, haletants, guettaient la réaction de ma femme. Elle ondule de sa belle croupe et tous, nous voyons ces doigts s’enfoncer dans le cul de ma femme, puis ressortir, laissant ce trou ouvert… le trou d’un cul qui attend une bitte.

Le gars s’affole et son dard tapote sur les fesses:
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Ma femme ne répond pas et continue à bouger son arrière-train. Alors, à nous, il lance un :
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Peut-être excitée d’être traitée ainsi, ma femme ne proteste pas… au contraire et, à ma grande surprise, elle l’invite:
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La queue s’approche, finissant de tapoter ses fesses, et tutoie l’oeillet.
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Et le gland force lentement le passage.
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Ma femme nous commente son enculage. je crois rêver. Le gland disparaît progressivement dans le cul serré de ma femme. L’homme pousse un peu, puis s’arrête. L’étroitesse du pertuis empêche la progression de la tige, la peau tirant sur le frein de la bitte.
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L’homme fait de petits mouvements lents sans forcer le cul de ma femme qui se cabre, creuse les reins. Elle relève la tête et agite sa chevelure ondoyante de droite à gauche. Cela excite son baiseur, qui la sent bien à sa merci. Alors, elle sent la pine palpiter dans son cul et le foutre chaud lui inonde les entrailles.

Le gars, épuisé, la queue douloureuse rougie et humide, sort, laissant le cul de ma femme ouvert et dégoulinant de foutre blanchâtre.
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Immédiatement, elle sent un autre gland s’appuyer contre son cul et la pénétrer bien plus facilement, depuis qu’elle est remplie de foutre.
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La bitte glisse aisément dans son cul et pénètre sur toute sa longueur dans ma femme qui est maintenant folle du cul et s’agite en tous sens. Elle se fait ramoner entièrement et cela lui déclenche un nouvel orgasme, qui la fait déjanter.
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Pour calmer ses cris -et peut-être ne pas ameuter l’alentours- le jeunot saisie sa crinière de lionne et immobilise le visage de ma femme face à sa bitte tendue qu’il lui présente à sucer. Elle l’engloutit aussitôt et pompe le dard au gland violacé avec application.
Profitant de cela, j’encule aussi ma femme en tapant fort dans son trou du cul dilaté. Je sens mes couilles buter contre ses fesses blanches et fermes. Je me régale aussi de la voir sucer le jeune; les trois autres aussi, se masturbant autour de nous.

Alors, pour en finir, le vieux et le représentant grisonnant saisissent ma femme par le cul et par les épaules. Je me retire, comprenant leur intention. Ils la retournent sur le sol du compartiment, complètement pantelante et hagarde. Quelques allées et venues sur les bittes suffisent et c’est une véritable douche de foutre qui s’abat sur elle. Ses seins sont maculés, sa bouche, son nez, ses yeux sont ornés de perles blanches, sa toison blondinette est recouverte d’une couche épaisse de sperme gras. Elle en a partout. Tous -et moi aussi- finissent de se vider les couilles sur elle. Certains viennent finir en badigeonnant sa peau; d’autres en lui faisant lécher les dernières gouttes au bout de leur gland; d’autres s’essuient sur ses bas marbrés.

Précipitamment, tout les hommes se rhabillent sentant la fin du trajet proche, prennent leurs affaires et quittent le compartiment, nous laissant seuls ma femme et moi pour digérer ce voyage scabreux!

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