Cette histoire est la suite de :
Plusieurs mois passèrent depuis ma première aventure lesbienne avec ma meilleure amie Léa et sa belle mère Sabrina. Même si depuis, je sortais avec un mec, il fallait bien que je me rende à l’évidence, j’étais bisexuelle et je n’attendais qu’une chose, pouvoir refaire l’amour avec une autre femme.
Il y a un mois environ, mes parents décidèrent d’engager une jeune femme qui avait décide de faire une petite pause dans ses études. Son travail était de venir faire le ménage trois fois par semaine et d’accompagner chaque matin ma petite sœur à l’école primaire. Elle avait tout juste 18 ans, originaire du Ghana, et se nommait Leila.
Elle passait le lundi, le mercredi et le samedi. Or, le samedi, j’avais l’occasion d’avoir la maison pour moi seule, mes parents étant absents toute la journée avec ma petite sœur. Même si je m’entendais très bien avec cette femme, je n’avais au départ aucune envie particulière envers elle. On se contentait chaque samedi de boire un café avant qu’elle ne reprenne son travail mais au bout d’un certain temps, l’envie de poser ma bouche sur un sexe féminin se fit de plus en plus pressente. Et je remarquais très vite qu’elle semblait avoir un magnifique cul de surcroît.
Mon plan était simple, essayer de l’exciter un maximum pour lui donner envie de faire des cochonneries en ma compagnie. Lors du premier samedi, je l’accueillis habillé d’un simple mini short mettant grandement en valeur mes fesses et avec mon haut de bikini. Lorsqu’elle me vue, elle semblait surprise et choqué de me voir ainsi, je me disais alors que la réussite de mon plan allait être difficile à atteindre. Mais plus tard, alors que je regardais la télé dans le salon, je remarquais qu’elle essayait de me regarder discrètement, ce qui me poussa à ne pas abandonner.
Le samedi suivant, j’invitais mon copain à venir passer la journée avec moi. Lorsque Leila arriva, je lui ouvrit la porte, puis je retournais dans ma chambre, tout en laissant la porte de ma chambre entre-ouverte pour qu’elle puisse entendre la suite des événements.
A peine de retour dans ma chambre, je me dirigeais aussitôt entre ses cuisses, j’ouvris son peignoir pour le lécher partout. Je m’attardais d’abord sur ses testicules, parfois même je les gobais. Puis, je revins sur sa queue que je léchais sur toute sa longueur. Son gland touchait le fond de ma bouche pour son plus grand plaisir.
Une fois que son sexe était plus que prêt, je me mise à quatre pattes et donnais le rythme des pénétrations, doucement et profondément je me pénétrais à fond avec son membre puis le faisais ressortir à la limite de son gland, tout en criant mon plaisir comme jamais pour donner une douce musique à Leila pendant qu’elle faisait le ménage. Puis, il m’agrippa par les hanches et se déchaîna dans ma petite chatte pendant de très longues minutes où je n’ai cessé de jouir en espérant que Leila ne joue les voyeuses.
Une fois mon copain totalement HS, je mis un peignoir et sortis de ma chambre pour aller vers la salle de bain. En chemin, je croisa Leila qui n’osa pas me regarder dans les yeux. Je me demandais alors si je n’étais pas allé un peu trop loin. Mais je fus vite rassuré par le petit sourire, limite coquin, qu’elle me fit juste avant de partir ce jour là.
Pour la semaine suivante, j’accueillis Leila et comme tous les samedi je partagea un café avec elle mais je ne savais pas comment parvenir à l’emmener dans mon lit jusqu’à ce que je trouve un beau mensonge.
Moi : Tu sais, moi aussi j’ai décroché un job.
Leila : Ah bon ? Tu fais quoi ?
Moi : Des massages et sans vouloir être présomptueuse, je suis assez douée !
Leila : A l’occasion, il faudra que tu m’en procure un alors.
Moi : Je peux t’en faire un tout de suite si tu veux.
Leila : C’est très tentant mais j’ai encore beaucoup de ménage à faire…
Moi : Ça va, ne t’inquiète pas, on est entre nous, je ne dirais rien à mes parents.
Leila : Bon, dans ce cas c’est d’accord.
Je la fis s’allonger sur le canapé du salon en sous-vêtement avant d’aller prendre une lotion spéciale pour les massages que m’avait donné ma meilleure amie Léa. Je déposais du bout des doigts le produit, et avec des gestes que je voulais les plus doux possible, massais sa peau délicate. Elle ne tarda pas à fermer les yeux pendant que je m’attaquais au bas de son dos. Elle ne disait rien. Alors je passais à ses fesses.
Mes mains glissaient sur sa peau. Je sentais une douce chaleur envahir mon bas ventre. Je fis durer le plaisir et lentement, lentement fis pénétrer la crème. Je passais une nouvelle fois sur son dos. Sa respiration se fit plus rapide. Les yeux toujours clos, elle passa sa langue sur ses lèvres et les mordillaient nerveusement.
Étant à court de lotion, je pris le flacon et tentais d’en verser à nouveau mais elle ne tomba pas de la bouteille. Alors, je la secoua et fis tomber par inadvertance une énorme quantité de lotion sur et entre ses fesses. Nous éclatâmes de rire toutes les deux.
Moi : Je suis confuse, j’avoue avoir deux mains gauches
Leila : Je vois ça en effet mais ce n’est pas grave et puis, on ne va pas gâcher toute cette crème !
A ces mots, je passais à nouveau mes mains sur ses fesses, les faisant glisser sur sa peau, j’étalais la lotion. Puis j’hésitais, mais décidais finalement d’écarter son string pour effleurer plusieurs fois son petit trou qui ne tarda pas à réagir sous mes doigts. Elle ne réagit pas. Alors, je le massais franchement. J’y glissais un doigt, c’était doux. Il était comme aspiré par de puissantes sucions. Elle gémit avant de malheureusement reprendre ses esprits.
Leila : Arrête s’il plaît !
Moi : Mais pourquoi ?
Leila : C’est pas bien ce que l’on fait !
Moi : Ton corps ne semble pas d’accord.
Leila : C’est ça le problème, je ne devrais pas prendre ce genre de plaisir avec toi.
Moi : Pourquoi ?
Leila : Parce que tu es une femme !
Moi : J’étais comme toi avant et puis il y a quelques mois j’ai eu la chance de découvrir qu’une femme peut également donner énormément de plaisir à une autre femme, et puis avoir une relation avec une autre femme ne va pas faire de toi une lesbienne. Perso, je suis bi par exemple.
Leila : Mais…
Moi : Mais quoi ?
Leila : Je suis en couple !
Moi : Moi aussi, ils ne sont pas obligés de l’apprendre. Et puis avec une autre femme, ce n’est pas vraiment trompé.
Leila : C’est pas faux… Qu’est-ce qui m’arrive ? Je ne devrais même pas ressentir du désir pour toi.
Moi : Honnêtement tu préfères quoi ? Passer une matinée à faire le ménage ou découvrir de toute nouvelle sensation mille fois plus agréables que celle que tu viens de découvrir avec ce massage ?
Leila : Dit comme ça c’est sur que…
Moi : Écoute ton corps, il en a très envie !
Je me rapprocha d’elle.
Moi : Tout comme toi !
A ses mots, elle rapprocha d’elle même sa bouche de la mienne mais je n’attendais pas sa langue, la mienne était déjà dans sa bouche. Nous nous enlaçons. J’avais un bras autour de son cou, et l’autre autour de ses hanches. Notre baiser dura un bon moment. Puis, Je posa une main sur un des ses seins.
Je sentais ses tétons durcir à travers son soutient-gorge. Je continuais alors de la peloter. Elle me laissait faire, en fermant les yeux, à croire que mes caresses dépassaient celles qu’elle avait connue jusque là. Je mis ma main sur sa cuisse, elle commença alors à écarter ses jambes. Ensuite, je mis délicatement ma main dans son string pour arriver directement sur sa chatte que je sentis entièrement épilée.
Je caressais son sexe, d’abord son bouton, puis en lui faisant écarter les jambes je pus la doigter. Je mis deux doigts dans sa vulve. C’était largement suffisant pour que je la sente jouir. Il y a tellement de temps que j’attendais cet instant de sentir un orgasme féminin.
Moi : Allons dans ma chambre !
En arrivant dans ma chambre, nous nous déshabillâmes, on était enfin nue toutes les deux. Elle se rapprocha de moi pour me caresser mes seins. Puis elle abandonna un sein pour aller sur mon ventre, elle caressa le tour du nombril, je ressentis des frissons sur tout mon corps.
Je n’attendais maintenant qu’une chose, qu’elle aille plus bas. Mais Je n’osais rien lui demander, pour ne pas la perturber. Quelques secondes plus tard, elle posa enfin sa main sur mon sexe. Elle du s’apercevoir de l’effet qu’elle me faisais car très vite, j’étais trempée de cyprine. Pourtant, elle revint entre mes cuisses, comme pour recommencer tout depuis le début. Sauf que cette fois-ci, sa main arriva juste sur mon anus. Elle resta longtemps à caresser cet endroit pour enfin y entrer un doigt. Puis très vite un second. Au bout de quelques minutes je me retournais en espérant qu’elle y mette sa langue, ce qu’elle fit pour mon plus grand plaisir. Je fus alors secouée par un orgasme monumental. C’était maintenant à moi de lui donner du plaisir.
Je la fis s’asseoir au bord du lit, les jambes écartées. J’avais une vue magnifique sur tout son sexe mouillé de plaisir. Je m’assis sur le sol et posais ma langue afin de la lécher et surtout de la faire jouir. Je posais ma bouche sur sa fente comme si j’embrassais tout son sexe. Je sentis tout d’abord son odeur qui ajouta à mon excitation. Je passais ma langue de bas en haut effleurant au passage son anus. Elle soupira plus fort quand j’entrais ma langue dans son intimité. Je reçue alors une bonne dose de cyprine dans ma bouche quand je la fis jouir. Mais je ne m’arrêtais pas la, je remontais vers son bouton, ma langue passait et repassait sur son bouton encore et encore, résultat elle en jouit plusieurs fois.
Il était malheureusement temps de nous arrêter. Je sortis du lit nue. Elle me tendit les bras pour un dernier baiser avant de reprendre la parole.
Leila : Fais gaffe, je vais tomber amoureuse de toi.
Moi : J’en conclue que tu ne regrette pas de m’avoir succombé ?
Leila : Ooooh non !
Moi : Si tu n’as rien contre les trios, j’ai quelqu’un à te présenter pour continuer à découvrir de nouveau plaisir.
Leila : Avec joie !
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Pour la suite de cette histoire, dites moi par commentaire, avec qui vous préférez que le trio se fasse :
– Sabrina, la belle mère de sa meilleure amie
– Léa, la meilleure amie
– Le petit copain du personnage principal
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