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Quand Margot devient chienne 3

Quand Margot devient chienne 3



Le début.

La propriété de « BHV » n’est pas mal non plus. Le parc n’est peut-être pas aussi grand que chez les « Mouton-Lagarigues » mais tout de même, c’est assez impressionnant. Déjà la maison, c’est plus près du château que de la chaumière. Dans un angle, il y a une grande tour dont le haut est crénelé. Le reste de la bâtisse est imposant sans être énorme. Au rez de chaussée, de grandes baies éclairent une salle à manger immense et un salon tout aussi grand, tous deux donnant sur la terrasse côté parc. L’autre côté étant l’entrée, avec vestibule, vestiaire et salle d’eau.
De la terrasse, on surplombe légèrement une piscine digne des jeux olympiques où déjà, barbotent quelques invités. Plus loin sur la gauche un petit étang se dissimule derrière les ajoncs et les roseaux, et on devine plus qu’on ne voit sa surface argentée sous les rayons du soleil qu’une cavalcade d’oiseaux anime de ses cris et de ses plongeons incessants.
Tout le reste n’est que pelouse, là aussi tondue de frais, à l’exception d’un ilot de verdure luxuriante rappelant la forêt tropicale. D’ailleurs pas très loin de cette jungle reconstituée, une petite annexe ouvre grand ses portes, offrant aux convives un buffet « louisquatorzesque » ! Je veux juste dire que c’est énorme.
Nous venions d’arriver, Margot et moi. Un larbin d’un autre siècle nous avait accueillit et débarrassé du peu de vêtements qui encombraient nos bras. Nous étions tous les deux debout sur la terrasse à contempler tout ce que je viens de décrire plus haut. Nous tentions de voir si parmi les invités certains étaient déjà à l’autre garden partie. C’était le cas. Nos amis n’étaient pas là mais d’autres dont nous avions fait la connaissance nous saluaient du bord de la piscine ou des transats où ils profitaient du soleil.
Toute la semaine passée, depuis mon rendez-vous avec « BHV », j’avais échafaudé toutes les hypothèses. Comment allait-il s’y prendre ? Qu’allait-il lui faire pour l’obliger à lui obéir ? Il allait la jeter au milieu d’une troupe de mâles en rut ? Lui faire le coup du métro à sa sauce pour qu’elle soit coincée en flagrant délit ? La violer et prendre des photos pour la faire chanter ? J’avais tout retourné dans ma tête si bien que c’était un bordel pas possible sous mon crane en ébullition. J’avais finalement décidé, mais ce n’était qu’hier soir, que j’allais suivre le cours des évènements et réagir en fonction de ceux-ci. En même temps, que pouvais-je bien faire d’autre ? Maintenant que les dés étaient jetés, à part tout avouer à Margot je ne voyais rien d’autre à faire.
Je n’en fis rien bien entendu et j’en étais là de mes réflexions lorsque « BHV » vint vers nous les bras ouverts.
– Ma chère Margot, Laurent mon ami, quelle joie de vous recevoir.
Ce faisant, il embrassa Margot sur les joues, me serra chaleureusement la main et nous fit signe de descendre rejoindre les autres sur la pelouse. Margot ouvrait la marche dans sa « toute » petite robe à bretelles qui ne cachait pas grand chose de sa poitrine. D’ailleurs on pouvait aisément penser que cette dernière tenait grâce à la pointe de ses seins. De plus, selon l’orientation du soleil on devinait qu’elle portait un micro string dessous. Lorsqu’à mon tour je m’engageais dans la petite descente, « BHV » profita de l’occasion pour me glisser un mot.
– Je vous en prie mon cher Laurent, profitez bien de votre journée. Tout ici est à votre disposition, faîtes comme chez vous. La seule chose que je vous demande, tout en restant naturel, ne vous occupez plus de Margot. Autant que faire se peut, restez à distance, tachez de vous occuper ailleurs. Mais vous pouvez regarder quand même, cela va sans dire. Bonne journée mon cher.
Bon, ben voilà me dis-je, c’est parti. C’était d’ailleurs tellement parti que Ma chère femme ne m’avait même pas attendu et était déjà assise au bord de la piscine, les pieds dans l’eau, à discuter avec les trois hommes qui l’entouraient. Deux étaient assis de part et d’autre de mon épouse et le troisième était tout bêtement dans l’eau devant elle. Et vu sa position je me demandais même quelle vue il pouvait bien avoir à ce moment. Mais bon, faisons comme si je ne voyais rien, c’est mieux sinon je vais me faire des nœuds au cerveau. Je me suis donc approché de l’annexe afin d’y quérir une boissons fraiche. En chemin je rencontrais quelques connaissances de fraiches dates puisque de la dernière garden partie. J’engageais la conversation sans plus me soucier de Margot qui sans le savoir s’engageait elle sur un tout autre chemin.
Tout en devisant avec mes nouveaux amis, j’observais quand même du coin de l’œil les allers et venues du côté de ma femme. Eh oui, on ne se refait pas en si peu de temps. Et donc, outre les trois cocos toujours présents, deux femmes dont une dans l’eau avaient rejoint le groupe. Tous semblaient discuter avec Margot. Ils donnaient l’impression qu’on essayait de lui expliquer quelque chose. Sans être houleuse, la conversation paraissait animée. De mon côté j’entendais mes interlocuteurs comme à travers un filtre de coton. J’essayais de comprendre ce qui se passait au bord de la piscine. C’est alors que j’ai entendu distinctement un grand « AH » !!! de tous les protagonistes entourant ma femme.
Dans l’instant qui suivit, Margot se leva, fit passer sa minuscule robe par dessus sa tête et s’apprêtait à plonger lorsqu’elle se ravisa, baissa son string, le jeta derrière elle et disparu dans l’eau.
Je crois que je n’ai pas été le seul à m ‘en apercevoir car beaucoup des invités ce sont comme par magie dirigés vers le bassin aquatique. Margot nageait à poil sans complexe, rejoint par quelques mâles sans doute excités et voulant peut-être cacher un début d’érection, ainsi que par d’autres femmes encouragées par la désinvolture de ma chère et tendre. Néanmoins, à ce que j’ai pu voir, aucune n’était complètement nue.
Au début je n’avais pas fait attention à lui, mais lorsque Margot sortit de l’eau en empruntant l’échelle dans un angle, c’est « BHV » qui l’attendait avec une serviette qu’il tendait devant elle.
Elle le remercia d’un large sourire tout en secouant sa chevelure telle une chienne s’ébrouant au sortir du marais et se laissa enrouler dans ladite serviette. Chacun retournait à ses occupations alors que « BHV » essuyait négligemment ma femme qui se laissait d’ailleurs faire.
Elle se fit un paréo de la serviette, garda ses seins à l’air et ne chercha ni sa robe ni son string qui visiblement lui semblaient inutiles. « BHV » l’entraîna ensuite vers l’annexe où je n’étais plus afin de lui offrir un rafraîchissement. Le contact étant établi, je décidais de m’efforcer à ne plus la surveiller du tout.
Oui mais bon, zut, ce n’est pas évident. D’abord c’est ma femme et comme tous les hommes une fois marié on croit que c’est notre propriété. Et puis là, quand même, c’est important. Je voudrais bien voir comment il va s’y prendre. Je suis sans doute comme beaucoup un peu voyeur, alors y-a pas de mal à jeter un œil, hein ? Mais faut être discret. Avoir l’air de rien. Surtout que « BHV » me l’a bien dit, je ne dois rien faire et laisser ma femme se débrouiller seule. Bon, je jette juste un œil. Que font-il ? Je ne les vois plus ! Voilà que je panique. Merde ! Où sont-il ?
Ah, ouf les voilà. Je n’avais pas vu ce banc de pierre à côté de la jungle tout à l’heure. Ils sont gentiment assis tous les deux. Elle, les nibards à l’air, comme si de rien n’était. Elle est assise normalement alors que « BHV » est à cheval sur le banc, tourné vers elle et semble lui expliquer quelque chose. Elle a l’air de comprendre puisqu’elle fait des petits signes de tête. Apparemment elle à l’air d’accord avec ce qui se dit. Notre hôte lui prend la main qu’elle avait posée sur sa cuisse gauche et la fait se lever. Qu’est-ce qu’il mijote ? Elle est debout devant lui, sans bouger et lui la regarde sous toute les coutures. Il lui fait signe et elle se retourne, puis reste de dos. Là, pareil, il l’observe. Sans doute lui a-t-il dit encore un mot car elle se retourne encore mais cette fois-ci, elle continue à tourner sur elle-même, puis lève les bras et enfin retire son paréo improvisé qu’elle tend à son mentor. Elle s’arrête de tourner, pose un pied sur le bord du banc. J’imagine bien la vue qu’il doit avoir à ce moment. Finalement elle se rassoit complètement à poil. Je les vois discuter encore un peu puis « BHV » lui prend un sein à pleine main. Il semble le soupeser ou en évaluer la tenue et elle, elle ne se défend pas. Elle ne proteste pas, ne dit rien, le laisse faire, le regarde et écoute ou plutôt boit ses paroles. Je n’en reviens pas. Je l’ai déjà dit elle n’est pas très prude mais jamais elle n’a laissé un autre que moi lui tripoter les nichons. Mais qu’est-ce qu’il fabrique ? Je ne comprends rien du tout à sa manœuvre. Qu’a-t-il bien pu lui raconter pour qu’elle se laisse peloter ainsi. C’est vraiment inouï. Je sais que c’est ce que je voulais, mais quand même, si vite, ça me la coupe.
Je me calme un peu en me disant que finalement notre projet prenait une bonne direction. Donc je ne vais quand même pas m’en plaindre. C’est bien ce que tu voulais, alors ? Ben oui c’est ce que je voulais, mais merde, là, ça arrive vraiment, ce n’est plus dans ma tête seulement. Oui, mais tu fais confiance à « BHV » tu te souviens qu’il t’a dis avoir de l’expérience dans ce domaine, non ? Oui, je sais. J’ai confiance. Je sais, en tous cas c’est ce qu’il dit, qu’il en a dressé d’autres et peut-être des plus rétives. Mais la, c’est ma femme, ma petite Margot, il va avoir ses gros nibards, sa chatte lisse comme un œuf, ses fesses fermes, voir même sa petite rondelle plissée pour lui tout seul, sans moi.
Bon, allez, ça suffit maintenant ! Reprends toi. Tu l’as voulu, tu l’as eu. Tu avais surement inconsciemment deviné les aptitudes cachées de ta petite chérie et tu vas simplement l’aider à les révéler, c’est tout. Elle va même t’en remercier après, tu verras.
Oui, c’est ça, tout à fait, c’est ça. Voilà, tout va bien, je suis calme. Bon mais où sont-ils maintenant ?
Perdu dans les pérégrinations de mon cerveau jaloux, je ne les ai même pas vu se lever et quitter le banc. Je n’ai pas le temps d’y réfléchir d’avantage que je suis happé par un groupe d’invités qui m’entraîne vers le buffet.
A suivre…

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