Après le départ de Julien, je connus une traversée du désert. Je me réfugiai dans mes études de kinésithérapie, continuai le sport, mais oubliai le sexe.
On ne pouvait pas parler de chagrin d’amour, mais en tout cas d’un manque affectif.
Entretemps, mes parents avaient rénové une aile de la maison, et l’avaient louée à un couple ayant deux enfants, Patrick et Alain. Patrick avait 21 ans, était jardinier et footballeur invétéré. Il sortait avec une fille, une grande pimbêche antipathique. Physiquement, il était assez petit, trapu mais tout en muscle. Alain, son frère, avait quant à lui 17 ans et était un fan d’art martial.
Tout le monde vivait bien dans cette petite harmonie.
Un jour, Patrick vint sonner à la porte. Ma mère alla ouvrir et m’appela. Je descendit les escalier et contemplai Patrick. Il portait un t-shirt à encolure en V, un short de football et des tongues. Il m’expliqua qu’il avait une douleur à la cuisse et me demanda si je pouvais le masser car on lui avait dit que cela pouvait faire du bien. J’acceptai et nous sommes remontés dans ma chambre.
Profitant un peu de la situation, je lui demandai de retirer son t-shirt, prétextant qu’il faudrait peut-être remonter jusqu’aux muscles du dos. Il s’exécuta et s’allongea sur le ventre.
Je regardai attentivement son corps : de jambes musclées de footballeur, de belles tablettes de chocolat et de pectoraux bien tracé, le tout sans excès.
Je ciblai d’où venait le douleur et commençai à le masser. Nous échangions quelques banalités. Je forcai un peu sur l’intérieur des cuisses, zone érogène par excellence, puis lui demandai de se retourner.
Il s’exécuta, très gêné. Une bosse était apparue à son entrejambe. son excitation était telle qu’une goute était apparue sur son short. Je lui demandai de le retirer et autre surprise, il ne portait pas de sous-vêtements. Il découvrit une bite à son image, petit, épaisse, toujours recouverte de son prépuce dégoulinant de liquide séminal.
Avec un sourire, je lui proposai de m’occuper de cela aussi. Il me sourit, l’air gêné, et marmonna quelque chose que je pris pour un oui.
Je m’approchai de sa tige et entrepris de la décalotter. Je léchai ensuite son gland, rose et dur. Son sexe me paraissait devenir de plus en plus dur. D’un geste, j’en gobai l’entièreté et entrepris de masser ses couilles. Après quelques minutes, je redressai la tête et le vis, souriant béatement. Il me dit « Jessica (ah, c’est son nom à celle là…) ne m’a jamais fait autant de bien… Continue. »
Je m’exécutai…mais mon excitation grandissait aussi. Je pris un gel lubrifiant et enduisit son membre, puis m’empalai dessus. La sensation de pénétration fut délicieuse. Patrick, prostré, ne bougeai pas, il me laissait faire. Je dus juste lui demander de gémir moins fort, ma mère étant présente.
je senti venir la jouissance. Au moment où j’étalais mon sperme sur son torse, lui me l’envoyait en moi. J’ai d’ailleurs rarement senti une éjaculation aussi forte et abondante. Je me couchai sur lui et nous somme resté comme cela quelques minutes.
Il se leva, alla se doucher et se rhabilla, tout en me demandant s’il pouvait revenir s’il avait de nouveau mal. Avec un sourire enjoué, j’acceptai. Et lui demandai de remettre le bonjour à Jessica.
On n’y croit pas du tout.