Les amants pervers 4 : notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (8ème partie)
A vingt heures, Manon se présente à notre porte. Elle porte un chemisier sombre et une jupe à motifs. Je lui ordonne de se déshabiller.
– Je croyais que nous devions sortir…
– Et moi je croyais que tu avais cessé de discuter et que tu te contentais d’obéir ! Nous avons le temps, la soirée commence à peine. Je veux que tu montres à Greg nos achats d’hier.
– Je vous demande pardon, Maîtresse, ne me punissez pas.
Rapidement ses fringues tombent à ses pieds. Elle ne porte ni culotte, ni soutien-gorge. Je lui montre le sac sur la table :
– Mets l’ensemble écarlate, le porte-jarretelles me plait.
– Bien Madame.
Avec Greg, nous sommes plutôt satisfaits du résultat. La gaine rouge et noire met en valeur ses seins et sa taille fine.
Quand elle se rhabille, je lui dis de laisser dégrafés quelques boutons de son chemisier, histoire d’exposer un peu son décolleté.
– Tu dois faire ma pointure, je vais te prêter des hauts-talons.
– Je ne sais pas… J’ai l’air d’une pute.
Nous rions.
– Vraiment ?
Dans la voiture, elle pose des questions. « Où est-ce qu’on va ? » Je fais un clin d’œil à Greg.
– Dans une boîte de nuit sympa. Tu vas voir, on va bien s’amuser.
– Elle s’appelle comment cette boîte ?
– Le Café Flesh. C’est une référence à un film.
– Connais pas.
– Le contraire m’aurait étonné.
A l’entrée, nous sommes accueillis par le patron en personne, Mario. Il n’est pas très appétissant Mario avec ses cinquante ans passés et ses kilos en trop mais il compense son physique par une bonhomie communicative. Il nous fait chaleureusement la bise puis dit avec son fort accent du sud : « Bienvenue ! Mais c’est une petite nouvelle que voilà ! Deux filles pour le prix d’une. Entrées gratuites. Et une boisson en prime. »
Je lui demande si la salle « glory hole » est disponible. Il se marre : « Vous commencez fort ! La place est libre. Vous allez très vite trouver des clients. » Il nous montre le chemin. Au passage, il met une main aux fesses de Manon qui ne proteste pas.
« Qu’est-ce que c’est que cet endroit ? » demande-t-elle en arrivant dans la pièce.
– Tu vois ces trous ? lui dit Greg en désignant un mur. Des mecs vont passer leurs bites dedans et tu vas les branler et les sucer.
– Mais vous aviez dit qu’on s’amuserait…
Je la saisis par les cheveux, tire en arrière. Elle serre les dents.
– Tu sais ce que tu es ?
– Non Madame.
– Une sacrée salope. Ma salope pour être plus précise. Tu vas faire tout ce que je dis. Je te connais. Tu es du
genre soumise, tu discutes un peu, juste pour la forme mais tu finis toujours par céder, parce que tu aimes le sexe, petite catin, tu aimes sucer des mecs et te faire baiser. Tu aimes te prendre des bites dans le cul et avaler du foutre. Maintenant au boulot !
Nous n’avons pas à attendre longtemps avant qu’une grosse queue bien tendue se présente. Je lui fais signe de se baisser.
– Qu’est-ce que tu attends ?
– Elle n’a pas l’air très propre.
Je lève la main. Manon fait la grimace et commence à lécher le gland.
Je ne vois pas de quoi elle se plaint, c’est quand même une belle bite gonflée de sang, décorée de veines saillantes, avec une grosse olive violette au bout. Tout en la prenant dans sa bouche, elle me jette un regard équivoque. J’y lis un reproche mais aussi l’envie de me plaire. Elle sait que ce qu’elle est en train de faire m’excite.
Greg se penche vers elle, la pousse pour qu’elle prenne la queue tout entière dans sa bouche.
– Il est excité celui-là… Tu vas boire son sperme, je ne veux pas que tu en recraches une goutte.
A le regarder l’encourager pendant qu’elle suce, je développe une furieuse envie de me branler.
Le mec ne tarde pas à éjaculer. Greg maintient la tête de Manon pendant qu’elle avale. Il lui demande :
– Alors il était bon le sperme ?
– Non. Je veux rentrer chez moi !
– Menteuse ! Les salopes comme toi sont juste bonnes à vider nos couilles et avaler notre jus.
Elle doit tirer la langue pour bien nous montrer qu’elle n’a rien gardé dans la bouche.
Je ne lui laisse pas de répit : « allez on passe au suivant ! il a l’air un peu mou… Commence par le branler. » Manon rampe vers l’emplacement et saisit la queue. Dès qu’elle l’astique, on entend le mec la traiter de putain, de salope. Un autre a passé son sexe dans un trou, à portée de main. Manon l’agrippe de sa propre initiative.
Greg s’approche de moi. Nous nous embrassons.
– Tu veux que je te suce ?
– Volontiers.
– J’aimerais que tu la sodomises, après. Ça la préparera à ce qu’elle subira tout à l’heure…
Il me sourit.
– Toi tu as une idée derrière la tête…
– Oui. On va mettre son cul aux enchères. Pas pour de l’argent. Je vais lancer un concours un peu particulier et le gagnant aura le droit d’enculer cette petite salope. Enfin, après toi.
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