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Dans la lumière : le repos de la walkyrie

Dans la lumière : le repos de la walkyrie



Après avoir fait l’apologie des ténèbres dans le récit « Dans les ténèbres : viole-moi ! » et surtout de ses bienfaits, plus spirituel, je vais maintenant partir du côté lumineux, très loin du délicieux hors-piste de la domination. Je vais finalement faire un contre-exemple de mon assertion précédente.

S. est une jeune prof en CDD (et accessoirement ex-amante depuis peu) ; c’est son premier contrat, elle a de nombreux cours à rédiger et elle passe quotidiennement près de 3 heures sur les routes pour se rendre au travail : fatigue, stress et pas loin d’une dépression.

Physiquement et mentalement épuisée, nous convenons tous deux de nous retirer, un week-end, dans une charmante location dans les Vosges.
Conscient de sa fatigue, j’envisage de lui accorder toute mon attention et de libérer son corps des tensions qui s’y sont accumulés : une bonne séance de massage et des caresses appropriées me semblent de bon aloi !

Dans mes bagages, j’ajoute donc de l’huile de massage à base de ravintsara (odeur assez forte mais son efficacité musculaire n’est plus à prouver), deux grandes serviettes douce (une pour garder au chaud les parties que je ne masse pas et l’autre pour protéger le lit) et quelques bougies, pour créer une ambiance plus intime.

Nous nous retrouvons donc vers 17h, dans un charmant chalet situé dans les hauteurs de Gérardmer : on y contemple l’ensemble du lac entouré d’une belle forêt de pinèdes, le tout est propice au calme et à la paix.
Je lui expose mes plans, sans surprise l’idée lui plait (vous refuseriez vous ?) et elle n’a pas spécialement envie d’attendre.

Pendant qu’elle prend sa douche, je prépare la chambre : je clos les volets, j’étends la plus grande serviette sur le lit, j’allume les bougies, je réchauffe l’huile dans mes mains tout en vérifiant que l’ensemble est agréable ; il l’est.
A son retour tout est prêt.

Je la prends contre moi, l’embrasse, enlève la serviette de bain qui couvre son corps et je l’étends sur le ventre. Je la couvre et me déshabille moi-même, ne gardant qu’un semblant de décence avec un boxer.

S. a 25 ans, elle est grande, à un beau corps très musclé (elle fait, entres autres, de l’équitation) et je me rends compte de l’ampleur de ma tâche (je suis plutôt attiré – sans être rédhibitoire – et habitué au petit gabarit) !
Je l’enjambe, repose mes fesses sur les siennes, découvre le haut de son corps, huile convenablement mes mains et son dos et je commence à la masser : la base du cou, les trapèzes, les épaules et les omoplates.

Je commence doucement, cherchant et défaisant les contractures pour, petit à petit, rendre le massage plus tonique, plus apte à détendre ses muscles.
Des épaules je passe aux bras, aux creux des mains, puis je reviens aux épaules, à la base du cou pour descendre et suivre les muscles de son dos, jusqu’en haut des fessiers.

Elle est détendue et apprécie beaucoup l’opération.
Rien de sexuel pour le moment, mais bientôt je descends la serviette et découvre ses fesses.

Cette zone, ainsi que le creux des reins, est composée de beaucoup de muscles, de beaucoup de points très sensibles, facile d’accès et à soulager.
Je m’y attarde donc, en veillant à ne pas trop m’approcher des points autrement plus sensibles : pour le moment c’est un massage « thé****utique » et ça doit le rester.

Je remonte la serviette sur son dos, découvrant ses jambes jusqu’à la limite de ses fesses.
Masser ses cuisses peut rapidement modifier l’ambiance, je préfère commencer par ses pieds.
Puis ses mollets et ses cuisses, musclées et impressionnantes où, finalement, je m’attarde sur leurs parties intérieurs, générant rapidement d’autres sensations.

S. se cambre un peu, elle réagit rapidement à mes caresses. Par jeu – et un peu par sadisme oui – je chuchote dans son oreille « chuuuut, détends toi, ce n’est pas sexuel ».
Doucement, je la retourne sur le dos et je la couvre des pieds jusqu’au sexe.
Je passe sur ses épaules, son torse ; encadrant ses seins de mes mains, puis je passe sur les côtes, sur le diaphragme et enfin son ventre, que je masse pendant plusieurs minutes.
Maintenant, je relève la serviette sur son torse, laissant ses jambes et son sexe à nu.

Je repars des pieds et remonte petit à petit, sauf que, cette fois, je souhaite passer à autre chose : voilà près d’une heure que je masse S., il est temps – je le vois à sa vulve brillante – de lui offrir d’autres sensations.
J’écarte un peu plus ses jambes, je glisse mon visage à l’intérieur de ses cuisses et j’embrasse délicatement le tour de son sexe.
Au moment où elle commence à se tendre et à gémir je glisse ma toute langue le long de sa vulve, lentement mais en appuyant, la réaction est immédiate : elle se cambre, se soulève et gémit de plus belle.

Je lui demande de se mettre à nouveau sur le ventre et je glisse un coussin en dessous de son bassin.

Son sexe et son anus me sont totalement disponible ; je lèche le premier et masse le second avec mon pouce.
Je prends mon temps, je n’aime pas m’acharner sur le clitoris, je ne pense pas que ce soit la meilleure méthode : je préfère tourner autour et m’attarder sur les lèvres, je réserve son bouton d’or pour le « final »
Elle réagit très bien, se soulève un peu plus, son sexe et ma bouche sont complétement trempés.

Après quelques minutes, je la libère enfin de toutes ses tensions : par ma langue, elle jouit.

Mon érection est proportionnelle à ses réactions, aussi je m’équipe et pénètre cette belle croupe musclée et luisante.
Son orgasme vient vite et me surprends, j’arrête les va-et-vient et je me retire, pour ne pas l’irriter.

Nous sommes allongée tous les deux sur le lit, après quelques minutes de repos, elle s’éveille et se tourne vers moi « à moi de m’occuper de toi » me dit-elle.

Je ne me fais pas prier, je me redresse, enlève le préservatif et la laisse opérer : elle me lèche entièrement, passant sa langue sur ma zone anale, aspirant mes testicules tout en me masturbant.
Je ne tiens pas ce régime très longtemps et, à mon tour, je joui.

Nous sommes resté quelques temps l’un contre l’autre ; elle était relaxée et sereine ; de mon côté, j’étais particulièrement fourbu mais heureux.

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