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docile et offerte

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Voilà quelques temps déjà que j’ai rencontré un amant qui me reçoit régulièrement chez lui dans une petite ville de la banlieue toulousaine. Nos rencontres se déroulent l’après midi entre 12h et 17h, c’est un homme mur, Jean qui a dépassé la soixantaine mais il a une très belle queue qui me procure beaucoup de plaisir. Il est très câlin avec moi mais aussi assez directif, c’est notre deal : je suis sa petite salope soumise et obéissante et en contre partie il m’offre ce que j’ai toujours aimé : des queues. Chez lui il y a une pièce avec bancs, fauteuils, un harnais en cuir accroché au plafond et un carcan. Voilà le décor planté.

J’arrive toujours avant tout le monde car il tient à avoir la primeur de mes services, j’attache un soin très particulier à ma préparation, sans oublier le moindre détail. J’aime me transformer en femelle, entièrement lisse de partout, bien nettoyée en profondeur (lavements toute la matinée) et surtout je me dilate bien l’anus avec des godes et des Plug pour être bien prête car je sais que ça va être ma fête de ce côté là. Je n’ai plus qu’à enfiler bas, talons, minijupe, perruque, bijoux et bien me maquiller et me parfumer pour partir le rejoindre. Dès que je passe son pallier, il adore me caresser, m’embrasser, on se roule des pelles amoureusement et j’adore ça aussi, il me fait sucer, mordre et pincer le bout de ses seins qu’il a très sensibles et ça lui fait irrésistiblement dresser sa belle queue longue et bien épaisse. Sa queue en bouche est un régal, il me dit que je suis sa femme et qu’il va bien me remplir. Aussitôt dit il m’installe dans le hamac en cuir, j’ai les bras et les jambes écartées et accrochés aux chaines qui descendent du plafond. Mon petit trou qui est bien visible et offert palpite de désir, il est prévenant, me passe de la crème anale et me fait sniffer un peu de popers pour mieux me dilater. Dès qu’il me sent prête il présente sa bite en capotée à mon anus, pousse un peu et malgré la taille me pénètre sans difficulté tant j’attends cela avec impatience. La sensation d’être bien remplie par mon homme est très jouissive et savoir que d’autres queues vont arriver m’excite encore plus. Il me lime violemment en me traitant de salope, me disant que je suis sa pute pour l’après midi et qu’il allait vendre mes charmes, le harnais bouge comme une balançoire et chaque aller/retour me remplit en profondeur bien écartelée que je suis. Je sens que je luis plais et que je lui procure beaucoup de plaisir, j’adore ça et je suis prête à tout pour lui faire plaisir et il le sait. Au bout de quelques minutes de ce traitement il se retire car le premier appelle sur son portable, il est devant la porte, il me dit d’aller me repoudrer pendant qu’il va l’accueillir. Depuis la salle de bain je les entends discuter un peu puis se diriger vers la salle « des tortures » en m’appelant. Quand j’arrive un jeune homme d’une trentaine d’années est confortablement assis, nu dans le grand fauteuil. Jean, sans prendre le soin de nous présenter me dit qu’il n’a qu’une très courte pause entre midi et deux et que je n’ai qu’un quart d’heure pour lui vider les couilles. Sans perdre de temps je m’accroupie entre ses jambes et prends sa bite en bouche direct, je sais y faire pour faire bander et bien jouir une queue, on me dit très douée pour cela et mon jeune homme confirme en râlant
– waouh elle est bonne sa bouche du velours hummm.
J’entends Jean m’encourager et confirmer à mon jeune étalon qu’il peut tout me balancer dans la bouche, que j’aime ça, à ces mots je redouble ma succion et je ne tarde pas à recevoir deux bonnes rasades de foutre dans ma bouche, moins de 10 minutes, je suis contente j’ai rempli ma première mission. Jean prends congés puis m’installe pour la suite à 4 pattes dans le carcan au milieu de la pièce de sorte qu’en rentrant on ait une vue imprenable sur mon cul, il m’enfile une cagoule en cuir sur la tête avec une ouverture unique au niveau de la bouche. Il me remet de la crème et me laisse en attente un plug planté dans le cul pour que je reste dilatée. Je me demande ce qui va m’arriver mais j’ai confiance en lui, il connait mes limites et je sais qu’il fait attention à l’hygiène et la protection, de mon côté je sais que j’ai très envie de vivre de tels moments. J’entends une discussion dans la maison, des bruits de vaisselle, Jean est entrain de « planter le décors » et discuter de tout ça avec eux devant un verre puis plus rien, des bruits de pas qui se rapprochent, mon coeur s’accélère, la porte s’ouvre et je les entends s’exclamer sur ma croupe et autres,
– Oh putain quel cul !
– Quelle vision !
– La salope !
– Tu nous avais pas mentis, dis l’un.
Je ne sais pas combien ils sont, je pense 3 mais n’en suis pas sure. On me claque le cul pour le faire rosir, je n’aime pas trop mais je serre les dents, pas longtemps car une bite vient de rentrer dans ma bouche. Le plug est retiré dans un floc et remplacé par des doigts qui me fouillent, celui qui est devant me tient la tête et me baise carrément la bouche, j’en ai des hauts le cœur, quand il se retire il est aussitôt remplacé par un autre, même traitement, je suce, je m’applique autant que je peux.
Outch ! je viens de prendre une queue dans le cul par surprise, elle est de belle taille, bien plus grosse que celle de Jean et je la sens passer, mais bien sur mon enculeur s’en fout, il ne pense qu’à son plaisir et me lime à sa cadence. J’entends Jean qui l’encourage,
– Allez va y défonce lui le cul à cette pute, il est fait pour ça, écarte la bien!
Et je peux vous dire que c’est le cas! Il me baise tellement fort que le carcan se déplace au sol par moment mais reste contrôlé par celui qui se fait sucer l’empêchant d’aller plus loin. Quelques minute de ce traitement et j’entends mon enculeur gueuler,
– Ooh putain elle va me faire jouir cette pute, ouiiii je vais jouir, il est trop bon son cul ! C’est alors qu’il se retire aussi violemment qu’il est rentré, fait le tour du carcan rapidement en demandant qu’on lui laisse la place et à peine a t-il arraché sa capote et enfilé sa queue dans ma bouche qu’il joui en râlant très fort. Il a un petit accent, peut être un black antillais ou un métis me dis-je mais je n’en saurais rien…Ce que je sais c’est que sa bite a pris toute ma bouche et que la quantité de sperme qu’il m’a mise dans la gueule m’empêche de l’ouvrir. Jean sait que je n’avale pas et me fait tout recracher dans un mouchoir avant de prendre la place dans ma bouche. Il est bien dur, je me dis que la scène a dû l’exciter et je suis fière de sucer cette queue que je connais si bien. Les autres n’ont pas perdu de temps la place derrière est à nouveau prise, je n’ai pas mal car la queue est plus petite, je serre même mes sphincters pour qu’il apprécie d’avantage ce qui est le cas, il me le dit en râlant. Mon premier baiseur s’est rhabillé et Jean le raccompagne aussitôt remplacé dans ma bouche par l’autre. Je suis à nouveau bien remplie des deux côtés, mais celui qui me lime ne résiste pas longtemps, il jouit en me fessant, me traitant de chienne et autres mots crus. Entre temps Jean est revenu avec un autre baiseur, je commence à m’inquiéter, le temps me paraît long et mon cul me brûle un peu. Jean s’en aperçoit et me rassure en me disant que c’est le dernier. Il me remet de la crème et la ronde des bites de mes deux derniers baiseurs repart de plus belle! Ils ne prennent même plus le temps de retirer leur capote pour se faire sucer de peur de perdre de la vigueur en voulant la remettre pour me baiser, tour à tour donc je bouffe et nettoie ces queues qui sortent de mon cul et qui y rentrent à nouveau. Je sens qu’ils ne vont jamais s’arrêter mais l’un d’eux demande à Jean de me libérer du carcan pour se finir en gang bang dans ma bouche. Je me retrouve donc à genoux une bite à la main l’autre dans la bouche, puis les deux dans la bouche, puis je bouffe leur couilles poilues. Comme j’ai les mains libres maintenant j’ai le temps de m’apercevoir qu’ils ne doivent pas être très attrayants, l’un est très bedonnant et très poilu l’autre petit, plutôt âgé avec une peau flétrie mais bon je sais que je n’ai pas le choix de mes baiseurs et heureusement j’ai toujours ma cagoule.
Le plus petit bande mou maintenant, il dirige ma main vers son cul et je comprends qu’il veut que je lui mette un doigt puis deux. L’effet est immédiat, je suis surprise et reçois son premier jet sur ma cagoule avant de vite reprendre sa bite à demi molle pour récupérer le restant en bouche. Ouf il a joui, je suis contente et lui aussi apparemment, plus qu’un! Il s’est d’ailleurs allongé sur le sol les jambes bien écartées et me demande de bien lui lécher l’anus et les couilles en remontant vers sa queue. Il doit se faire enculer lui aussi car son anus est très souple, il aime ça le salaud! Pour finir il me demande un soixante neuf, il veut aussi me sucer mais je ne bande que très rarement en fille, il fini donc par s’occuper de mon petit trou avec sa langue et son doigt, j’adore c’est doux et agréable surtout après ce qu’il a subit. Je m’applique de plus belle pour lui rendre la pareille, Jean à côté qui n’en loupe pas une miette me tend un gode anal que je n’ai aucun mal à enfoncer dans son cul. C’est donc en lui branlant le cul au gode avec sa queue dans mans bouche que j’ai pris ma dernière rasade de foutre de l’après midi.

Voilà si cette histoire tout ce qu’il y a de plus réel vous a plu dites le moi et je vous raconterais d’autres aventures…

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