Ce soir-là, j’ai hébergé mon vieux pote Ludo et sa nouvelle copine qui s’appelait Margot. Depuis ma dernière séparation, j’habitais dans un petit appartement situé en centre-ville, mal isolé, mais agréable à vivre. Ludo et moi, on avait la quarantaine. On se connaissait depuis le lycée, mais on ne se voyait plus très souvent depuis qu’il travaillait à 300km de là. Quant à Margot, elle avait onze ans de moins que Ludo. C’était une petite brunette qui aimait boire, rire et écouter de la musique.
Nous nous sommes couchés assez tard ce soir-là, malgré que Ludo m’ait dit en arrivant qu’il devait rendre visite à ses parents le lendemain matin de bonne heure. Nous étions un peu ivres, tous les trois. Je me souviens que je titubais au moment de me déshabiller. Je me souviens aussi m’être dit que je n’allais avoir aucun mal à m’endormir.
Seulement voilà : la chambre d’ami avoisinait la mienne. Et peu après que je me sois couché, j’ai entendu Margot gémir, puis le lit grincer. A cause de mon ivresse, il me fallut un petit moment pour réaliser ce qui se passait de l’autre côté du mur : Ludo était en train de sauter Margot.
Mais il ne fit aucun bruit, contrairement à elle. Elle soupirait, puis criait par moments. Il m’a même semblé qu’elle parlait, mais je n’ai rien compris à ses paroles. Puis elle se remettait à crier de plaisir, juste derrière le mur. Puis à jouir. Alors j’ai enlevé mon caleçon et je me suis branlé.
Le lendemain, dans la cuisine, j’ai trouvé Margot assise seule à la table devant un bol de café et des tartines. Elle avait des petits yeux, et je suppose que moi aussi. Je me suis servi du café à mon tour, puis installé en face d’elle. Elle portait un long t-shirt illustré d’un Droopy qui brandissait une pancarte intitulée : You now what ?
« Tu as bien dormi ? lui demandai-je. »
Elle a secoué la tête et répondu :
« Pas beaucoup, mais bien. Et toi ? »
Il était 9h15 à la pendule murale.
« Pas beaucoup non plus, dis-je. Ludo est déjà parti ? »
« Oui, il devait retrouver son père pour une partie de pêche à 8h, je ne sais plus où. Je ne l’ai même pas entendu se lever, ni partir. »
J’ai pris une gorgée de café en lorgnant discrètement sur elle. Elle avait les seins nus sous son t-shirt, et en croisant son regard, je ne pus m’empêcher de me souvenir qu’elle s’était faite sauter la veille avant de dormir.
Elle ajouta :
« J’espère qu’on n’a pas fait de bruit. »
« De bruit ? dis-je, l’air faussement étonné. »
« Oui, dit Margot. Hier soir, après qu’on se soit couchés. »
J’ai pris une autre gorgée de café, sans la quitter des yeux, puis j’ai reposé mon bol sur la table en disant :
« Un petit peu, mais ce n’était pas désagréable. »
Je l’ai vue rougir, puis elle a dit :
« Je suis désolée. »
Je lui ai répondu que ce n’était pas grave, puis j’ai allumé une cigarette. Elle m’a regardé tirer dessus, souffler un nuage, puis elle m’a demandé si elle pouvait m’en prendre une. J’ai accepté et je lui ai donné du feu. Elle a tiré une taffe et répété :
« Je suis désolée, je ne suis jamais parvenue à baiser en silence. »
C’est à ce moment-là que je me suis mis à bander.
Je lui ai répondu :
« Il n’y a pas de mal, Margot. C’est la vie. Et je te répète que ce n’était pas désagréable de t’entendre. »
Elle a souri et tiré sur sa cigarette. Elle me regardait.
Elle avait d’assez gros seins, mais je l’avais déjà remarqué la veille, dès son arrivée avec mon pote Ludo. D’assez fortes hanches également, je l’avais noté quand elle s’était accroupie pour chercher quelque chose dans son sac de voyage. Elle avait les cheveux longs et lisses et je la dépassais d’une tête.
Elle a mis une bonne minute à me dire :
« Ça t’a plu de m’entendre ? »
J’avais déjà fumé la moitié de ma cigarette. Je bandais toujours.
Je lui ai répondu :
« Oui. »
Elle me regardait droit dans les yeux, dans les nuages de fumée qu’elle projetait entre elle et moi. Elle était assez jolie, bien qu’un peu fanée. Vingt-neuf année de vie peuvent infliger des rides sur le front et des cernes sous les yeux, selon votre rythme de vie.
« J’aime bien que tu m’aies entendue, dit-elle. »
« Pourquoi ? »
Elle mit un temps à me répondre. On se regardait. Mon pote Ludo était en train de pêcher avec son père, et moi je prenais le p’tit déj’ avec sa nana, dans ma cuisine. Elle avait de superbes yeux bleus, presque azur. Sa peau était très claire et elle portait un tatouage à l’avant-bras gauche, qui représentait un tout petit papillon.
Elle finit par répondre :
« Tu t’es masturbé en m’entendant ? »
J’ai ravalé ma salive avant de dire :
« Oui. »
« Tu as éjaculé ? »
« Non, dis-je. Je me suis endormi avant. »
Elle a souri. Elle a reposé son bol de café sur la table, tiré deux fois sur sa cigarette, puis relevé les yeux vers moi en disant :
« J’espérais que tu m’entendes. »
Quelques minutes plus tard, j’enfonçai ma bite dans sa chatte, sur mon lit, sans préservatif. Elle avait enlevé son long t-shirt. Elle était complètement nue et sa chatte était poilue. Quand mon gland toucha le fond de sa chatte, je plaquai une main sur un de ses nichons en disant :
« Salope. »t en me regardant dans les yeux
Elle répondit :
« Oui. »
Elle se branlait le clitoris, énergiquement, tout en se pinçant un téton et en me regardant dans les yeux. Ses nichons bougeaient comme des flans à la vanille qui n’avaient pas encore refroidi.
Elle ajouta :
« Vas-y, bourre-moi bien la chatte. »
Puis :
« Oui, comme ça, c’est bien. Défonce. Vas-y, vas-y… »
Et enfin :
« J’adore baiser avec les potes de mes mecs. »
Sur ces mots, je me suis retiré et j’ai éjaculé sur son ventre, puis dans les poils de sa chatte. Les dernières gouttes coulèrent le long de ma queue, et Margot se redressa pour venir les lécher, puis les avaler.
Nous avons déjeuné, puis, aux alentours de 14h, avant de faire une petite sieste, je l’ai prise en levrette cette fois-ci. Son cul était large et ferme. Je le cramponnais. Avec ma bite qui allait et venait dans sa chatte sous mes yeux, il était même odieux. J’ai déchargé dessus, en fixant son anus du regard. Juste quelques gouttes épaisses qui restèrent collées à ses fesses.
Puis on s’endormit.
A mon réveil, Ludo était en train de froisser du papier dans ma cuisine. Margot a poussé un petit gémissement et j’ai ouvert les yeux. Son sein gauche était collé à mon ventre et je sentais le contact des poils de sa chatte contre ma cuisse droite.
Ludo a lancé comme ça dans l’appartement :
« Margot ? »
Elle a ouvert les yeux vers moi.
Puis Ludo a répété :
« Margot ? »
Ensuite, il m’a interpellé, mais je n’ai pas répondu.
J’ai senti les doigts de Margot me serrer une épaule et un bras.
Cette histoire s’est assez mal terminée, je vous laisse imaginer.
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