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le sexe de Christophe 1

le sexe de Christophe 1



tout a commencé l’été 1992,au mois de juin, j’avais alors douze ans.J’habitais a cette époque un lotissement calme d’une petite ville de campagne avec ma famille.L’été s’annonçait chaud , et la fin de l’année scolaire était toute proche.Il y avait ce garçon,Christophe,qui habitait a deux pas de chez moi et qui jouait dans le même club de football que moi,nous nous croisions donc dans les vestiaires a chaque entrainement malgré qu’il jouait avec les garçons de son age, il avait alors 16 ans.Un soir après l’entrainement, il me dit : » attends moi,on rentre ensembles si tu veux « , ce a quoi je répondis: » OK pas de problème! » , heureux qu’un « grand » m’accompagne au lieu de se moquer de moi bêtement comme tout les adolescents de son age.Nous primes donc le chemin qui menait du stade jusqu’au lotissement , un petit trajet long de 10 minutes pendant lequel nous primes le temps de discuter un peu du collège , des vacances, du foot en général,quand a un moment il fit une grimace de douleur, agrémentée d’un: « aye!! » , stupéfait je me demande ce qu’il a, il me répondit tout en s’arrêtant : « j’ai les poils coincés dans la fermeture éclair de ma braguette… » et il la descend et se réajuste pour le plus être gêné puis la remonte.Je m’aperçois qu’il n’a pas de slip sous son jean, et qu’il est plutôt bien velu par rapport a moi qui n’ai que douze ans .Un peu maladroitement , je lui dis:  » pourquoi t’as pas mis de slip? » ce a quoi il répond: » bof , j’aime bien , je le fais des fois « ,légèrement intrigué , j’arrive a lui dire: »purée t’es vachement poilu de la bite! » , il me regarde , sourit et me dit: »tu t’es déjà branlé ? »ce qui me fit un peu rougir, et a quoi je répondit: » oé tout les soirs,et toi? » je pratiquais déjà la branlette depuis un bon moment , il me dit: « moi aussi , j’ai même des revues porno chez moi, je les pique a mon frère  » .En moi je me dis alors , « le veinard!! » , je n’avais rien de tel a la maison , je me contentais de quelques femmes dénudées dans certains magazines féminins, voir catalogues …(et oui , en 1992 il n’y avait pas internet , et c’était autrement plus difficile pour un garçon de douze ans de se procurer du porno , sous n’importe quelle forme que ce soit par rapport a aujourd’hui)contre toute attente , il me lança : »si tu veux je te les montres , mes parents sont pas la .Ça te dis? ».
Attiré comme un ours par un pot de miel,J’acceptai immédiatement l’offre , je sentais des frissons dans mon estomac,tel un jour de rentrée des classes.Je parti prévenir mes parents que je me rendais jouer chez Christophe je pose mon sac de sport, et me rends chez ce cher voisin, curieux et déjà excité par ce que j’aspire a voir depuis si longtemps et qui s’offre a moi aujourd’hui!.Je sonne a sa porte , il m’ouvre et me fait entrer , nous nous dirigeons dans sa chambre ,c’était une maison préfabriquée qui sont souvent les mêmes dans les lotissements, il avait une petite chambre avec un grand lit 2 places a l’ancienne , surmonté d’une immense tête de lit en chêne sculptée qui n’était pas de première jeunesse.La fenêtre était ouverte et les volets fermés , un léger courant d’air venait rafraichir mes jambes , laissée apparentes par mon short de foot bleu,léger, brillant et assez court.Christophe , sortit une pile d’au moins 10 magazines d’une cachette au fond de son armoire, sous un tas de vêtements, tous plus hard les uns que les autres pour l’époque, et tous hétéros;croyez moi que rien qu’a la vue des couvertures je salivais déjà , c’était le saint grâle pour un gamin de mon age .Tout deux assis sur le côté de son lit , coude a coude , nous effeuillions alors ces pages de papier glacé chacun a notre rythme ,les yeux effarés et la bouche ouvert sans rien dire.Je pouvais sentir mon érection tendre mon short , elle était plus dure que jamais jusque là.Tout a coup Christophe brisa le silence et me jeta en chuchotant :  » tu peux te branler si tu veux ….moi j’ai envie, on pourra se comparer », j’en avais très envie , mais n’ayant jamais pratiqué la masturbation autrement que seul , j’étais un peu retissent .Il le sentit quand je ne lui répondis pas et me dit les yeux rendus brillants par le sexe qui découlait de notre lecture : »moi j’en peux plus , je vais me branler  » , je voyais bien la bosse énorme qui donnait a son jean un air de montagne au niveau de la braguette, il ajouta : »tu me dira comment tu la trouve »; et déboutonna son pantalon qui se retrouva a ses chevilles en une seconde, laissant apparaitre « l’arme du crime », un beau sexe poilu de taille adulte , rougi, surmonté d’un gland de la taille d’une balle de golf, et qui avait l’air tout aussi dur, croyez moi! j’étais très impressionné par l’imposant organe de Christophe, je ne ressenti aucun dégout , je l’ai trouvée belle et j’en étais même un peu jaloux. » purée, comme elle est grande!! » lui dis-je, ca l’a fait rire ,puis il dit spontanément : »tu dis rien a personne hein !!?, moi je dirais rien si tu te branle , ok? »je lui fis un signe de tête favorable a sa requête, je ressentais alors de plus en plus l’excitation en moi , mon short allait exploser, j’avais envie de la déballer et d’apaiser mon désir de masturbation immédiatement,Christophe m’encouragea  » vas y , touche toi sois pas gêné , profite d’avoir les magazines sous les yeux, car je pourrais pas te les prêter  » et il commençait a faire de grands aller retours sur son pic , qui me paraissait démesuré , tout en s’allongeant un peu plus sur le lit ,continuant a feuilleter les pages.
Le voyant ainsi a l’aise , a mon tour je fis tomber mon short en bas du lit, dévoilant finalement mon anatomie,il ajouta a ce geste une remarque d’un air satisfait et déculpabilisant: »tu verra,tu seras mieux comme ca, elle est pas très poilue ,mais t’as quand même une belle queue je trouve. » ce a quoi je répondis par un maladroit « euh…merci ».A ce moment là, j’étais comme ailleurs, transporté par le cumul de sensations nouvelles , je découvrais quelque chose d’encore inconnu,un sexe d’homme en érection et la POR NO GRA PHIE! et o bonheur , les deux me plaisaient !Nous nous mirent a parler de nos branlettes solitaires, du nombre de fois par jour , de la quantité de nos ejaculats , tout a coup une question me brula les lèvres, et je ne pu la retenir bien longtemps : »t’as déjà couché avec une fille ? » sa réponse ne se fit pas attendre : »oé,une fois, mais j’ai pris son cul », stupéfait je lui demande de développer en me racontant quelques détails , il s’exécutât : » j’étais en colonie de vacances l’année dernière et je sortais avec une fille, des fois elle me laissait toucher ses seins dans les toilettes, qu’est-ce qu’ils étaient gros !comme ceux là! », tout en me montrant du doigt un type de poitrine plutôt opulent dans un des magazines, il continua : »un jour pendant que je la pelotais,je lui ai mis la main dans le maillot de bain,pour toucher sa chatte, mais elle voulais pas ,comme d’habitude.Elle disait qu’elle voulait rester vierge jusqu’à 18 ans,de peur que ces parents l’apprennent elle me retirais toujours la main,je voulais vraiment essayer de niquer pour voir ce que ca fait,j’ai essayé de la doigter par derrière,et la elle disait rien , elle se laissait faire , j’étais entonné  » me dit il,fier de raconter son exploit .Moi tout excité par ce moment de sexe je l’encourage a continuer son récit ma queue raide comme piquet dans ma main: « et ensuite t’as fais quoi ?!! » et il continua de me faire part de son expérience qui pour ma part relève encore du fantasme: » ben,on s’est mis a poil , et là j’ai vu que c’était pas sa chatte que je doigtais, elle mouillait tellement que ca glissait tout seul, mais elle m’a dit qu’elle aimai bien ca !alors on a essayé de niquer par la , c’était bizarre , mais c’est vachement mieux que de se branler en tout cas. » me dit il avec un grand sourire plein de fierté .Et j’en conviens , c’est moi même mon rêve ….baiser!vivement mon tour! assoiffé de ses connaissances sur le sujet, je le relance directement : » t’as giclé vite ? »
« oui » me répond-il, et ajoute: » j’ai pas réussi a rentrer en entier , j’ai giclé dans son cul en pas longtemps…a propos, tu vas bientôt jouir? »,et en effet je n’en étais pas loin , je m’arrête de me branler pour ne pas cracher tout de suite en essayant de dissimuler ca dans un souci de virilité du a l’adolescence je lui répond: » non…pas encore et toi? »,lui: »moi ca vient regarde! »
Je voyais les allers et venues de sa main sur sa queue d’homme ,faire balloter ses grosses couilles poilues a une allure effrénée , j’étais moi même a deux doigts de jouir, sans pourtant me toucher!Je me régalais du spectacle sans savoir vraiment pourquoi.Son gland devenait rutilant, il brillait tellement le sang y affluait , je vis ses cuisses se contracter , sa tête se pencher en arrière.On entendit un soupir profond sortir de sa bouche légèrement entrouverte : »hmmmmmmmmmm, regarde ! …regarde! »
Même si il ne me l’avais pas signifié, mes yeux n’auraient pus se dégager de cette bite si énorme et qui m’offrait du plaisir depuis une petite demi heure.Comme je m’y attendais , Christophe esquissa un dernier souffle de soulagement quand un jet de sperme très épais , et lourd qui fit sonner un « floc! » tout en se projetant violemment sur le ventre de l’adolescent , puis une autre, et encore une!une bonne flaque coulait désormais de son plexus a son nombril, un liquide crémeux qui m’attire , qui m’intrigue.je peux sentir son odeur , ainsi que celle de sa queue, qui termine de déverser le fruit de cet expérience par son extrémité qui tremble légèrement.Je sens que je ne peux plus me retenir,me yeux ne perdent pas de vue ce jus qui me parait délicieux.Soudain sans même prendre ma queue en main , et sous le regard intéressé de mon compère,je me laisse aller a une éjaculation pareille a jamais !les bras le long du corps ;mon sexe, juvénile courbé ressemblant une banane , explose comme un canon sur mon abdomen,plusieurs filets de mon jus expulsés par mon gland au rythme rapide des battements de mon cœur.Mon foutre est plus liquide que le sien , il coule déjà de mon ventre sur la couette,mais ma bite d’ado n’en fini plus de laisser s’écouler ce nectar,et se contracte encore,jusqu’à la dernière goute , sans débander le moins du monde, je n’avais jamais connu ca avant , une telle perte de contrôle et un tel intérêt pour le pénis de Christophe que je trouve si beau, et dont j’ai dors et déjà mémorisé l’odeur. »putain! t’as craché beaucoup! je suis sure que t’as jamais jouis autant avant? »ce a quoi Je répond d’un air coupable « non…jamais. »sans pour autant lui dire qu’a la fin c’est son sexe qui attirait mon œil plutôt que les magazines.Il sourit et me donne des kleenex , la pièce sentait l’excitation , le parfum de nos queues et de nos jus, j’en étais encore en érection.Nous nous sommes rhabillés,puis je suis rentré chez moi avec ma famille , la têtes pleines d’idées cochonnes sans que personne ne se doute de rien.Assez naturellement, le mercredi après l’entrainement , j’allais régulièrement chez Christophe , devenu mon ami de branlette du mercredi.Cet été 1992 fut honoré a maintes reprises, et ponctué a chaque fois d’innombrables feux d’artifice sexuels, a base de revues porno chez mon voisin dont la biroute ,j’allais le vérifier , ne me laissais pas indifférent .

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