Je suis gourmande……
De sexes ! – Notez chères Amies, que je ne parle pas de l’acte ou de l’activité sexuelle, mais de sexes au pluriel – De l’engin entre les jambes, ce machin-truc-bidule dessous la taille – Qu’il s’agit d’un vagin pour des Ggirls ou d’une belle she-cock girlie-bite pour des Tgirls – J’ai toujours eu un gourmandise prononcée pour le premier – J’adore donner des long long cunnilingus aux Ggirls – Je trouve leurs gémissements incroyablement excitants et leur cyprine coulant à flots particulièrement délicieuse, pendant que je m’y attelle – Entendre une Ggirl hurler de plaisir et d’extase sous l’assaut de ma langue fiévreuse à chaque orgasme volcanique, me donne presque autant de plaisir que la Ggirl prend pour elle-même pendant ses cris de bonheur – ses hurlements hystériques –
Mais la she-cock ? – Alors là, je dois avoué, que jusqu’à l’age de 34 ou 35 ans, un peu près, j’étais carrément convaincu que j’étais « parfaitement » hétéro – À cette époque, là, je travaillais dans le milieu du théâtre – Alors c’est un secret de Polichinelle que beaucoup de gays et de lesbiennes fréquentent et travaillent dans ce milieu – Il y en auraient même autant que de hétéros je dirais – Un soir je suis invité fêter l’anniversaire d’un camarade et l’ambiance de la soirée était plutôt mixte gays-lez-bi-hétéros – Et c’est là où je rencontre un jeune homme plutôt efféminé dans ses manières et dans ses gestes – Ce garçon m’a plu, je le savais – Je le savais au profondeur de mes tripes et il ne fallait pas attendre longtemps avant d’avoir la preuve de mes sentiments lorsque ce bel éphèbe m’a embrassé sur ma bouche – Un kissing qui devenait assez vite le « French kissing » quand il enfonçait sa langue dans ma bouche sans pudeur aucune – Ce qui a provoqué une énorme excitation dans moi – Une excitation troublante aussi…..
Nous ne sommes pas allé plus loin cette soirée, là, pour des raisons dont je ne m’en souviens plus – Cependant, quelques jours plus tard je travaillais au théâtre un soir, quand c’était à mon tour de fermer boutique après le départ de tout le public et de tous les comédiens – Tous sauf un……
Le bel éphèbe, bien sûr – Je suis allé dans un loge pour éteindre la lumière et cette belle créature m’a suivi – La lumière éteinte, elle m’a embrassé sur ma bouche comme à la dernière fois – Sa langue s’est enfoncé sur la mienne et assez vite je sentais sa main fouiller dans mon pantalon en train de dégager ma bite qui était bien raide et dur comme fer – J’étais dans un état d’excitation pas possible, surtout lorsqu’elle a commencé me sucer ma verge avec un superbe expertise que je n’ai jamais vécue jusqu’alors – Hmmmm – J’étais aux anges !! – Puis elle me dit : « allons à la scène – il y a un lit au décors » – Je lui dis : « tu y vas – je ferme ici et puis je serai à toi » – Elle sort et mes yeux tombent sur ce que je cherchais – Une belle paire de sandales avec des talons mi-hauts et très fins –
La comédienne qui les portait dans son rôle était assez grande et un peu baraquée – Alors, sa pointure et la mienne correspondaient parfaitement – Je le savais, car j’avais déjà essayé ces belles chaussures, chic et sexy, un soir quand j’étais seule à fermer le théâtre – J’ai enlevé mon pantalon, puis je me suis chaussé avant d’aller joindre ce bel éphèbe qui sautais d’impatience sur moi dés que j’arrive –
Hmmmmmm – Comme c’était si bon et, pour moi, tout à fait inédit – Nous avons nous taillé des pipes à tour de rôle, puis simultanément, pendant des heures jusqu’à la jouissance – J’étais en extase……
Dés ce moment là, bien qu’il ait fallu encore plus des années, le parcours de Carole était tracé – Et de toute façon la douceur de cet éphèbe si beau, sa peau si lisse et douce, sa tendresse charmante pour mon initiation aux joies de la pipe sous son expertise, reste un beau souvenir inoubliable…….
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