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J’étais dans le RER avec mes enfants, assis dans un ensemble de banquettes. Elle était assise derrière et me faisait face. Nous nous regardions et échangions des sourires. Elle était blonde aux yeux bleus, mature, des seins généreux et un air de bourgeoise. Je me disais pourquoi pas ? Je me ferai bien sucer par elle et plus. Mais étant avec mes enfants je ne tentais rien. Juste continué à échanger des regards. Nous arrivions au terminus. Et en descendant, je lui tendis un bout de papier en lui disant qu’elle l’avait perdu. Et lui fis un clin d’œil. Sur le papier j’avais griffonné mon numéro et « j’ai envie de te manger les seins ». Ne croyant pas qu’elle appelle, je tentais le grand rentre dedans.

Le soir même, mon téléphone sonna. C’était elle. Elle se présenta et termina sa phrase en me disant, « voila j’ai appelé » sous entendu j’ai fait ma part et maintenant ? je lui répondit « maintenant prenons un verre chez toi » en pensant maintenant je vais te bouffer tes gros seins et te baiser. Elle me communiqua son adresse et je m’y rendis. Un charmant petit pavillon. Elle m’ouvrit et je remarquais aussitôt qu’elle avait fait un effort vestimentaire par rapport à cet après-midi et qu’elle s’était légèrement maquillée. Elle portait un ensemble tailleur jupe qui lui arrivait à mi-cuisse, noir, et un chemisier blanc très décolleté. J’entrais et restais dans l’entrée pour lui poser quelques questions. J’appris son prénom et sa situation. Elle était seule et libre. Alors j’enlevais mon manteau et l’a pris dans mes bras et l’embrassais. Mes mains glissaient sur elle. La pelotais. Malaxais ses fesses, ses seins. Je glissais dans son cou, à son oreille et lui murmurais « je veux manger tes seins ».

Elle respirait fort et ondulait entre mes mains. Elle porta ses mains à son corsage et le déboutonna pour découvrir et m’offrir sa poitrine généreuse enfermé dans un joli soutien-gorge blanc en dentelle au travers duquel je devinais ses tétons plus foncés que sa peau blanche. Je pris ses seins dans mes mains et y plongea mon visage pour les caresser. Elle nous entraina dans son salon et s’installa dans le canapé pendant que je m’occupais de sa jolie poitrine. Elle devait faire un 95D. Je tirai sur son soutif pour faire jaillir ses seins et les faire passer par-dessus. Je prenais ses tétons entre mes lèvres, les pinçais doucement, les suçais. Ils pointaient et durcissaient. Elle gémissait. Elle me caressait la nuque et les cheveux.

Allongé sur elle, je remontais sa jupe avec ma cuisse entre les siennes, découvrant ses bas. J’ondulais sur elle, frottant son sexe avec ma cuisse. Je caressais les jarretières de ses bas entourant ses cuisses. Elle se frottait contre moi. Je voulais la soumettre. Je me redressais et m’asseyais sur le canapé. J’ouvrais mon pantalon et sortais mon sexe tout dur et raide. Et je lui demandais, lui ordonnais de venir me branler. Elle se redressa, corsage ouvert et seins à l’air et entreprit de me masturber. Elle avait les mains douces. Je la regardais faire. Je regardais ses seins. Ses lèvres. Suces moi, je lui dis. Elle hésita. Alors je glissai ma main sur sa nuque et je l’attirai sur ma bite. Elle l’embrassa. Lui donna des petits coups de langue. Elle commença à téter mon gland, puis l’avala. C’était délicieux. Je lui caressais la nuque et la poussais de plus en plus sur mon sexe. J’accompagnais sa tête sur ma queue, qu’elle avalait de plus en plus. D’un côté je la poussais, de l’autre, d’un coup de reins, j’enfonçais ma bite dans sa bouche. Je l’empêchais de remonter sa tête et lui maintenais ma queue dans sa bouche. Et je la libérais pour lui laisser reprendre son souffle. Puis la repoussais. Je sentais sa langue glisser le long de ma verge, sa salive couler sur mes testicules. Elle aspirait ma queue.

J’avais envie de la baiser, mais je n’avais pas de capote. Elle n’en avait pas non plus. Je lui dis de rester assise sur le canapé comme elle était, les seins à l’air, la jupe relevée, les cuisses écartées. Je lui avais retiré son tanga. Et je lui dis de se caresser. Je regardais ses doigts glisser sur son clito, entre ses lèvres et s’introduire dans sa chatte. Elle se doigtait. Ses seins se gonflaient d’excitation. Je les caressais d’une main et de l’autre je me masturbais devant elle. Elle gémissait de plaisir. Je me branlais plus fort. Ses doigts allaient et venaient en elle. Ils étaient tous trempés. Ma main avait glissé de ses seins à son ventre, jusqu’à son clito que je frottais. Elle jouit sous nos caresses et gicla sa mouille de plaisir. Continuant de me masturber, je me redressais à la hauteur de ses seins blancs et je giclais dessus, de longues gerbes de sperme. Je continuais de lui caresser la chatte. Elle prit ses seins et les serra pour étaler mon jus dessus. Je la regardais faire, laissant la tension du plaisir retomber. Je me rhabillais et avant de partir je lui assurais que la prochaine fois je la baiserais.

Je laissais passer quelques jours avant de la recontacter. Je lui envoyais simplement un texto « je passe te baiser ce soir ». Auquel elle répondit dans la minute qui suivit « viens ! ». Je sonnai et elle m’ouvrit aussitôt. Elle portait une robe portefeuille, croisée devant, qui enveloppait parfaitement ses gros seins et les mettait en valeur.
A peine franchit le pas de la porte, elle s’accrocha à mon cou et m’embrassait. Elle m’enleva mon blouson et le laissa tomber par terre. Je lui caressais les seins et les fesses à travers sa robe. Elle m’entrainait dans le salon, vers le canapé. Mais je la retins. Elle attrapa mon pantalon pour l’ouvrir et allait s’accroupir pour me sucer, mais une nouvelle fois je la retins.
Je la fis se retourner et s’appuyer sur la table de la salle à manger et souleva sa robe par-dessus ses fesses, je lui dis que j’étais là pour la baiser.
Je caressais son cul. Elle se cambrait pour m’offrir sa croupe. Elle portait un string, que je ne tardais pas à écarter pour caresser son sexe. Elle avait mis également un porte jarretelle et des bas. Parfait pour m’exciter.
J’écartais sa robe et dégageais ses seins. Je voulais les voir et les sentir rebondir quand j’allais la retrousser. Elle mouillait. Je lui fis remarquer en la traitant de salope. Elle allait avoir ce qu’elle avait envie. Je lui fis glisser son string aux chevilles et elle s’en débarrassa pour écarter ses cuisses. Bien cambrée, appuyée à la table, elle m’invitait ainsi à la baiser. Je déboutonnais ma braguette et sortit ma queue gonflée de désir. En matant son cul, j’enfilais une capote, puis tenant ma queue d’une main et l’autre s’agrippant à sa hanche, j’enfilais ma belle.
Sans ménagement je me glissais en elle, ma queue toute entière, je me collais à ses fesses. Elle poussa un cri de surprise et de plaisir. Mes mains remontèrent sur son corps jusqu’à ses seins que j’enserrais. Tout en ondulant contre elle, faisant glisser mon sexe dans sa chatte. J’allais et venais en elle. A la limite de sortir ma queue de sa chatte, je revenais plus fort et plus vite en elle. Elle accompagnait mes coups de reins en bougeant ses fesses. Je sentais ses seins rebondir dans mes mains. Je les lâchais pour les laisser se balancer au rythme de mes coups de reins. Je la prenais aux hanches et la besognais encore plus fort.
Elle en redemandait à chaque coup, poussant des « oui, encore ! », m’encourageant « vas-y ! Plus fort ! », Elle gémissait de plaisir. Je regardais son cul trembler à chaque coup de reins. Je le caressais. Mon pouce effleurait son anus. Je le suçais et le posai sur sa rondelle, étalant ma salive. Je recommençais plusieurs fois et fini par lui rentrer dans le cul. Un coup de reins, un coup de bite dans sa chatte, un coup de pouce dans son cul. Elle haletait. Elle gémissait. Je la troussais et la fouillais. Claquant contre ses cuisses et ses fesses. Contre sa mouille qui dégoulinait de son sexe. Je sentais ses jambes trembler de plaisir. Elle criait sa jouissance. Moi aussi j’allais exploser.
Je me retirais et arrachais la capote de ma queue. Je me masturbais sur son cul qu’elle ondulait. Je jouis en envoyant une grande giclée qui couvrit son cul et le bas de son dos. Je ne pus m’empêcher de lui claquer les fesses.

Comme la fois précédente je me rhabillais et la laissais souillée de mon jus.

Régulièrement je passais pour me faire sucer ou la tringler dans un endroit de la maison.

Jusqu’au jour où ce fut un monsieur qui m’accueillit. Elle était derrière lui et me fit comprendre qu’elle avait trouvé une autre relation. Différente.
Nous prîmes un verre.

Nous avons gardé de bons contacts. Différents.

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