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Mamie Louise 08

Mamie Louise 08



Mamie Louise 08

Seule dans son laboratoire, occupée à fabriquer ses fromages, Louise dont seules les mains étaient employées, laissa son esprit vagabonder, se plaisant à se remémorer certains souvenirs agréables.
Cela faisait déjà une semaine qu’elle avait, dans un élan d’amour passionné, accepté d’assumer le rôle d’initiatrice sexuelle vis-à-vis de son petit-fils. Oubliant le lien de parenté qui l’unissait à Jérémy, elle avait voulu être la première à faire connaître à l’adolescent, le merveilleux plaisir de plonger sa queue dans une chatte brulante et trempée de désir. Or à sa surprise, si Jérémy avait éprouvé un intense plaisir à s’activer à l’intérieur de son vagin, elle en avait elle-même, ressenti un ravissement croissant sous le va-et-vient de la longue verge entre les parois de sa vulve.
Lors de la découverte de la longueur étonnante du membre de son petit-fils, la première fois qu’elle l’avait masturbé, elle s’était automatiquement posé la question de savoir ce qu’une femme pouvait ressentir à être pénétrée par un tel engin ? Son sexe serait-il capable d’accepter la totalité de cette queue démesurée ?
La relation amoureuse qu’elle avait eue avec Jérémy lui avait apporté la réponse à ses questions : non seulement son vagin s’était adapté à cette verge aux dimensions qu’il n’avait encore jamais connues, mais il avait aspiré le gland sans aucune peine. Louise avait craint d’éprouver une certaine douleur au moment où le bourgeon de chair volumineux viendrait lui frapper le col de l’utérus ; or au contraire, chaque choc de la masse arrondie contre le fond de son vagin lui avait procuré un délicieux plaisir, qui ne fit que s’accentuer au fil des heurts, l’amenant irrémédiablement à l’orgasme. Incroyablement, Jérémy, malgré son innocence lui avait fait connaître trois jouissances consécutives, alors que lui-même lui déchargeait avec force sa liqueur intime au plus profond de son ventre par deux fois, sans débander.
Cependant, une ombre vint assombrir les merveilleux souvenirs que Louise se remémorait, l’attristant fortement. Les intimes moments passés avec Jérémy étaient comptés ; ses parents devaient passer le prendre dans quelques jours pour les accompagner dans leurs vacances méritées, après une année de travail. Louise allait ainsi perdre son petit-fils et son fougueux amant. Elle comprenait bien que son histoire d’amour avec Jérémy ne pouvait la mener à rien. Jérémy allait rencontrer des filles de son âge, avec lesquelles il aurait certainement des rapports sexuels plus ou moins réussis. Mais ce qui lui mettait du baume au cœur, c’était qu’elle était sure que dans ces moments-là, Jérémy aurait une pensée pour sa grand-mère. Et, aussi longtemps qu’il vivrait, il garderait le souvenir de celle qui, la première lui aura appris l’amour…
*
* *
Un bruit de pneus sur le gravier de la cour, suivi d’une discussion, tira Louise de ses réflexions. S’essuyant les mains à son tablier, elle sortit de son laboratoire, curieuse de savoir qui venait les déranger de si bonne heure.
Au milieu de la cour, une camionnette blanche bien connue de Louise stationnait. Les flancs du véhicule s’ornaient d’un paysage de montagne, avec en premier plan un petit ramoneur, personnage mythique de Savoie. Et en noir, l’inscription « Le Petit Ramoneur » indiquait une auberge réputée de « Moûtiers ». Au milieu de la cour, une femme à la longue chevelure rousse, en laquelle Louise reconnut Rachel, la patronne de l’auberge, discutait et plaisantait avec Maurice et Jérémy. À peine celle-ci aperçut-elle Louise, qu’elle s’avança à sa rencontre pour l’embrasser amicalement sur les deux joues :
— Louise, j’ai besoin de toi ! Il faut absolument que tu me viennes en aide !…
— Bien sûr, si c’est dans mes cordes ce sera avec plaisir !
— Voilà, je dois héberger une cinquantaine de touristes bretons, pour trois jours.
— He bien, voilà une bonne affaire !
— Oui, bien sûr. Mais c’est pourquoi j’ai besoin de toi, insista Muriel. Il me faut beaucoup de tes fromages, ils vont vouloir goûter aux produits du terroir.
— Ça tombe bien, approuva Louise. Julien le fromager doit être en vacances cette semaine, il n’est pas venu s’approvisionner. Je vais pouvoir te contenter…
— Tu connais Julien, s’exclama Rachel ?… Un beau mâle, non, continua-t-elle avec un clin d’œil coquin ?
Louise, comme beaucoup de monde aux alentours connaissait la rumeur qui circulait au sujet des soi-disant aventures sexuelles de la patronne du « Petit Ramoneur ». On rapportait que certains clients s’étaient vantés d’avoir obtenu une bonne ristourne sur leur note, après avoir passé un certain temps en tête à tête avec la patronne, dans son bureau. Ces rumeurs laissaient Louise indifférente. Chacun était libre, pensait-elle, de mener sa vie comme il l’entendait ; tant que cela ne mettait pas en danger son couple. Elle-même, n’était pas très fidèle à son mari, le trompant depuis quelque temps avec le fromager de « Moûtiers », et dernièrement avec son propre petit-fils, mêlant l’infidélité à l’i****te… Comment pourrait-elle juger les aventures amoureuses de Muriel !
Décidant d’aider la patronne de l’auberge, commerce avant tout, elle sollicita la main d’œuvre.
— Vous deux, au lieu de bailler aux corneilles, venez donc nous aider, interpella-t-elle !
Maurice et Jérémy qui attendaient près de la camionnette s’approchèrent d’un pas nonchalant.
— Papa, tu vas me donner un coup de main pour sortir les cagettes ! Jérémy, tu aideras Muriel à charger la camionnette !
Jérémy sentit son cœur s’affoler. Il allait faire équipe avec cette merveilleuse créature qui lui était apparue, telle une tanagra. Dès qu’elle s’était extraite de son véhicule, Jérémy avait été fasciné par le charme sauvage qui émanait d’elle. Grande, pour une femme, sa crinière rousse qui retombait souplement sur ses épaules, au soleil du matin brillait tel un casque d’or. Jérémy s’imagina voir une guerrière viking telle qu’on la représentait sur les images. Son visage ovale aux pommettes hautes et saillantes prouvait une lointaine filiation asiatique. Mais, ce qui frappait dans ce visage parfait était ce regard perçant qui vous traversait. Sous des sourcils roux joliment arrondis, Muriel possédait des yeux légèrement effilés, aux pupilles vertes, qui lorsqu’elles vous fixaient, semblaient lire en vous. Son fard à paupières, vert tendre, rendait son regard encore plus mystérieux. Un petit nez droit, parfait, surmontait une bouche aux lèvres longues et charnues colorées par un rouge à lèvres rose foncé, rendait le visage extrêmement sensuel.
« Une bouche à faire des pipes », comme aimait à dire Maurice.
Mais pour Jérémy, il n’y avait pas que le visage de la mystérieuse visiteuse qui le fascinait. Il avait vite remarqué les deux proéminences qui déformaient le débardeur blanc, dont la femme était vêtue. Bien que n’ayant pas encore la connaissance du corps féminin, l’adolescent s’était rapidement rendu compte que par rapport à sa grand-mère, les seins de Muriel semblaient plus pointus et placés plus haut : deux véritables obus dirigés en direction de son visage. Cette découverte agit sur Jérémy ainsi que l’aurait fait un aimant !… Son regard demeura fixer sur ces appas mammaires à l’apparence si ferme.
Muriel possédait une poitrine, certes plus menue que celle de son épouse, mais tellement plus aguichante. Maurice, en connaisseur, était plus attiré par la taille étonnamment fine de leur visiteuse. Il aurait presque pu en faire le tour de ses deux mains. Une légère jupe blanche, également, en rapport avec son débardeur sans manches, ceignait les hanches qu’elle avait agréablement évasées de Muriel. S’arrêtant à quelques centimètres au-dessus des genoux, la jupe dévoilait une paire de jambes tout en muscles, le mollet parfaitement dessiné. Des jambes de danseuses étoiles, songea Maurice. Le peu que l’on discernait des cuisses les laissait deviner longues, fermes et musclées ; des cuisses capables de maintenir un corps d’homme entre elles.
Lorsqu’elle se courbait pour ranger les cagettes de fromages, Muriel offrait aux regards de Maurice ainsi qu’à ceux de Jérémy, un petit derrière bien rond ; un derrière que Maurice aurait aimé empaumer des deux mains.
Lors des chargements dans la camionnette, il arrivait que les bras de Muriel et de Jérémy se frôlent. L’adolescent ressentait alors comme un courant le parcourir. Et comme cela se produisit plusieurs fois de suite, Jérémy en vint à se demander si la si sensuelle rousse n’y faisait pas exprès, s’amusant à l’exciter.
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* *
Au bout d’une demi-heure de va-et-vient, la camionnette fut chargée de fromages aux senteurs appétissantes.
— He bien, voilà qui est fait, s’exprima Louise. Tes Bretons pourront se régaler !
— En effet, renchérit Muriel. Je vous remercie pour l’aide… Si j’avais un commis comme ton petit-fils pour la journée, cela m’arrangerait bien.
— Comment cela, s’étonna Louise ?… Ton mari ne peut pas t’aider ?
— Penses-tu !… Maurice ne t’a rien dit !… Lors de leur satanée battue au sanglier, mon abruti de mari s’est tordu la cheville. Bilan : entorse maligne, un mois dans le plâtre… Et tu connais Ramon, ce n’est pas lui qui fera un effort, à part lever le coude au bar…
— Jérémy pourrait aller avec toi pour t’aider, proposa soudainement Maurice, regrettant de ne pouvoir y aller lui-même.
Avant que Louise n’émette le moindre mot, Muriel sauta sur l’occasion ainsi offerte.
— Ce serait formidable, si bien sûr Jérémy est d’accord… Tu voudrais Jérémy ?
Ivre de bonheur à l’idée de passer la journée avec la merveilleuse rouquine, Jérémy s’empressa de répondre :
— Oh oui, Madame.
— Naturellement, tu seras rétribué, car toute peine mérite salaire, précisa Muriel pour achever de convaincre Louise qu’elle sentait réticente… Je le ramènerais en fin d’après-midi, à moins que Jérémy ne veuille rentrer plus tôt…
Côte à côte, Louise et Maurice regardèrent donc partir la camionnette emmenant leur petit-fils.
— Pourquoi lui as-tu proposé que Jérémy l’accompagne, demanda Louise d’un ton grincheux ?
— Je pensais que cela ferait plaisir à Jérémy ! Depuis trois semaines qu’il est à la ferme, sans sorties… Ça pourrait le distraire…
— Mai tu connais Muriel, insista Louise !… Elle pourrait lui faire….
— Lui faire quoi, interrogea Maurice, surprit par la remarque de son épouse ?
— Elle pourrait lui faire des choses !… Enfin, tu me comprends !… Ce n’est pas l’âge de Jérémy qui la retiendra !…
— A c’est ça !… Et bien tant mieux pour Jérémy… Jérémy a quinze ans, il est grand temps qu’il apprenne comment il doit se conduire avec une dame. Et ma foi, Muriel me semble la personne idéale pour ce genre d’initiation… Mais tu te fais des idées, je suis certain qu’il ne se passera rien entre ton « Bébé » et Muriel.
Contrariée, Louise regagna son laboratoire dont elle fit claquer la porte derrière elle. Elle ne pouvait informer son époux que Jérémy savait déjà tout sur l’union charnelle entre un homme et une femme, puisqu’elle le lui avait appris personnellement…
*
* *
Quittant la ferme, Muriel s’engagea sur la D85 qui devait la conduire jusqu’à Moûtiers, distant de dix-huit kilomètres. Tout en se concentrant sur sa conduite sur cette route en lacets, elle ne pouvait s’empêcher de jeter de brefs coups d’œil en direction de son jeune passager. Elle s’était très vite, en femme habituée aux hommages masculins, rendu compte de l’effet qu’elle avait produit sur l’adolescent. Sous le regard chargé de passion qu’elle avait lu dans les yeux du garçon, elle en avait même ressenti une certaine excitation. Aussi quand Maurice lui avait proposé de prendre Jérémy avec elle pour la journée, elle n’avait pas hésité ; elle avait sauté sur l’occasion, même si à ce moment-là, elle n’avait aucun plan sexuel en tête.
Comme elle jetait une nouvelle fois, un rapide regard en direction de son passager, elle remarqua que ce dernier semblait plus attiré par ses jambes que par la route qui défilait devant lui. Bien que devinant ce qui semblait tellement intéresser l’adolescent, Muriel n’en jeta pas moins un coup d’œil dans la direction qui semblait appâter le garçon. Sa courte jupe, au fil des mouvements de ses hanches lors de sa conduite sur la route en lacets, s’était quelque peu retroussée, dénudant une bonne partie de ses cuisses : ce qui avait attiré le regard de l’adolescent et vraisemblablement enflammé ses sens. A cette constatation, Muriel perçut un frémissement bien connu lui parcourir le bas-ventre. C’était la première fois qu’elle était le jouet des désirs d’un garçon si jeune ; ses amants, habituellement, se situaient dans une fourchette de vingt à cinquante ans. Elle en avait même connu un de soixante-dix ans, qui bien qu’encore vert pour son âge, était dans l’impossibilité de remettre le couvert une fois ses salves lâchées.
Cette nouveauté dans ses mœurs sexuelles perturba étrangement Muriel. Qu’éprouvait-on à faire l’amour avec un adolescent qui n’avait certainement jamais connu ce genre d’activité !… Mais quel plaisir, cela devait être d’initier un si jeune mâle aux délices de l’amour !…
Muriel se décida alors d’agir. Il devait rester encore autour de quinze kilomètres avant d’arriver à l’auberge ; c’était bien suffisant pour mettre son plan à jour.
— Elles te plaisent mes cuisses, demanda-t-elle doucement, appuyant sciemment sur le mot « cuisses », sachant combien certaines évocations d’une partie du corps féminin avaient un effet érotique sur les hommes ?
Surpris par la question, Jérémy réussit à bredouiller un :
— Heeuu… oui…
Comprenant que l’adolescent avait des difficultés à répondre ; ses amants habituels lui auraient affirmé sans hésitation, Muriel décida qu’elle se devait de mettre Jérémy en confiance :
— Tu les trouves belles, insista-t-elle ?
— Ho, oui !…
Cette réponse qu’elle percevait comme partant du fond du cœur de Jérémy l’incita à continuer :
— Tu peux les toucher, si tu veux, proposa-t-elle.
Jérémy, qui depuis qu’il avait pris place dans la camionnette, ne pouvait s’empêcher de fixer les affolantes cuisses qui peu à peu se découvraient un peu plus, ne se fit pas prier. Puisque Muriel le lui proposait. Il s’empressa de poser sa main gauche sur le genou droit de cette dernière. La fermeté de la chair le surprit. Cela n’avait rien à voir avec ce qu’il avait connu lors de ses rapports avec sa grand-mère. Les chairs de cette dernière étaient certes moins fermes, mais peut-être plus moelleuses.
Lorsque les doigts de l’adolescent se refermèrent sur son genou, Muriel sentit un long frisson lui parcourir tout le corps. Comme tétanisé, son pied droit écrasa brutalement l’accélérateur, lançant le véhicule en avant. C’était la première fois qu’une telle sensation la subjuguait sur un toucher si anodin. Etait-ce dû au fait de la jeunesse de son partenaire ?… Muriel sut alors que Jérémy allait lui apporter un plaisir extraordinaire, si elle arrivait à lui donner suffisamment confiance en lui.
Intimidé par cette femme si attirante, si sexy, mais à la présentation si stricte, Jérémy demeura immobile, se contentant d’éprouver un vif plaisir à percevoir sous sa paume, la chair si douce. Ce qui était si simple avec sa grand-mère lui semblait ici impossible.
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Après que sa mamie Louise lui avait ouvert le chemin de son sexe, lui permettant d’en jouir à volonté, leurs relations s’en étaient trouvées complètement modifiées. Il ne se passait plus un moment où ils se prouvaient leurs désirs. Dès qu’ils se croisaient lors de leurs déplacements dans l’immense ferme, ils ne pouvaient s’empêcher de se tripoter… Surtout Jérémy qui aimait s’en prendre à sa grand-mère dès qu’il en avait l’occasion. Il appréciait particulièrement de se plaquer à son dos, appuyant fortement son sexe, souvent en érection, contre sa vaste croupe, lui faisant sentir son désir. L’enlaçant de ses deux bras, il pouvait ainsi empoigner avec ivresse les énormes mamelles, qu’il pétrissait avec fièvre. Louise le laissait faire en riant et ondulant sensuellement des hanches. Même si bien souvent leurs rencontres se limitaient à de simples attouchements, cela procurait un sensuel plaisir à Jérémy.
Mais il arrivait que ces effleurements aillent plus loin : tel ce jour, où après le déjeuner de midi et alors que son grand-père somnolait dans son fauteuil, Louise l’avait appelé depuis la cuisine. Tout heureux de se retrouver quelques instants seul avec sa grand-mère, Jérémy s’était empressé de la rejoindre. Comme il franchissait le seuil de la pièce, Louise l’avait attiré dans l’encoignure de la porte donnant accès à la salle à manger. Se plaquant à lui, elle avait immédiatement porté sa main à la braguette de son short, qu’elle avait palpé fiévreusement.
— J’ai envie de toi, lui avait-elle murmuré à l’oreille
Sous les pressions des doigts impatients qui lui malaxaient le sexe, Jérémy n’avait pas tardé à bander. Louise s’en était immédiatement rendu compte.
— Hum, comme elle est dure, mon bel étalon, avait-elle continué sur le même ton. Je veux la sentir dans ma main.
Et sans plus s’occuper de Maurice qui sommeillait dans son fauteuil, à quelques mètres deux, sa grand-mère s’était attaquée à la ceinture de son short qu’elle avait rapidement dégrafé. Dans un gémissement d’impatience, elle avait alors glissé sa main dans l’ouverture ainsi pratiquée et infiltré ses doigts à l’intérieur de son slip pour se saisir de sa verge dilatée, ce fut à son tour de pousser un gémissement de plaisir.
— Oh ! comme j’aime ta queue, lui avait soufflé sa grand-mère, à l’oreille, tout en le branlant doucement… Je veux la sentir cracher dans ma main…
Alors qu’elle lui massait le gland, comme elle savait si bien le faire, lui procurant un plaisir sublime, Louise, lui avait saisi le poignet et l’avait guidé sous sa blouse, plaquant sa paume à même sa vulve.
Incrédule, Jérémy avait immédiatement senti l’abondante toison sous ses doigts : sa grand-mère ne portait pas de culotte !…
— Branle-moi, l’avait-elle alors supplié, d’une voix hachée !…
Le moment de surprise passé, Jérémy s’était empressé de satisfaire les désirs de sa grand-mère. Il avait accolé son index à son majeur et avait enfoncé sans difficulté ses deux doigts dans la chatte particulièrement imbibée d’un liquide brûlant. Tout en fouillant le vagin accueillant, à la recherche de cette zone si sensible, il avait de son pouce stimulé le clito, comme le lui avait appris Louise.
Sur le qui-vive, tendant l’oreille aux bruits venant de la salle à manger, ils s’étaient branlés mutuellement pendant quelques minutes, se procurant un plaisir pervers. Puis un ronflement prononcé leur était parvenu aux oreilles. S’immobilisant pour mieux écouter, sa grand-mère lui avait alors murmuré :
— Il s’est endormi !… Il en a pour un moment !
Avant qu’il ait compris ce qui lui arrivait, Jérémy s’était retrouvé avec short et slip à ses pieds, le bas-ventre dénudé. Louise lui avait alors agrippé la verge qu’elle avait dirigée contre son ventre nu :
— Prends-moi, haleta-t-elle… J’ai trop envie !… Baise-moi !… Vite !…
Aussi excité que sa grand-mère, Jérémy ne s’était pas fait prier. Pliant les genoux, il avait placé son gland face à l’orée de la vulve béante :
— Oui !… Vas-y !… Maintenant !… L’avait alors encouragé, Louise.
Il n’eut qu’à se redresser pour que sa verge pénètre entièrement à l’intérieur du vagin incandescent.
— Oh, oui, avait murmuré Louise d’une voix sourde, contrairement à ses habitudes. Laboure-moi la chatte !… Défonce-moi !… Oh, je sens ton gros bout au fond de mon ventre… Hhhuummm, c’est extraordinaire….
Afin de ne pas interrompre le sommeil de Maurice, Louise avait posé son visage dans le cou de Jérémy, lui murmurant discrètement à l’oreille ses sensations sexuelles.
Jérémy avait refermé ses mains autour des hanches rebondies de sa grand-mère, la maintenant solidement pendant qu’il s’activait à grands coups de reins dans son vagin, d’où s’échappait un clapotis terriblement excitant. Lors de leurs différentes copulations, Jérémy avait été surpris par l’abondance des rejets de cyprine que sa grand-mère produisait.
A un moment, Louise lui avait entouré le cou de ses deux bras, puis dans un mouvement soudain des reins elle avait replié ses jambes autour de sa taille. Prise en sandwich entre la cloison dans son dos et le torse de l’adolescent, elle se laissa retomber de tout son poids sur la longue bite qui la pourfendait.
— Oh, c’est incroyable !… Je sens ta queue encore plus loin dans mon ventre !… Tu m’as empalé !… Oh oui !… C’est trop bon !… Plus vite, mon chéri… Plus vite…
Dans un réflexe, Jérémy avait alors glissé ses deux mains sous les fesses de sa grand-mère transpercée par sa longue verge. Tout le corps en sueur, il avait alors accéléré les va-et-vient de sa queue à l’intérieur de la chatte ruisselante, arrachant gémissements et râles voluptueux à sa chère Mamie. Du fait de la situation incongrue, les deux amants n’avaient pas tardé à jouir. Jérémy dans un grognement avait explosé dans le vagin dilaté, l’aspergeant copieusement par salves successives de son sperme. Sous cette douche intime, Louise l’avait alors accompagné dans un écoulement abondant de liquide brûlant.
Lorsqu’enfin apaisée, Louise avait reposé les pieds au sol, libérant les hanches de Jérémy. Celui-ci avait tenté alors de retirer sa bite du vagin dans lequel il avait si abondamment éjaculé, lorsque Louise l’en empêcha :
— Attends, lui murmura-t-elle. Tu m’as tellement aspergé que je vais en mettre de partout !
Plongeant sa main dans la poche de sa blouse elle en avait ressorti sa culotte chiffonnée qu’elle avait promptement glissée entre ses cuisses :
— C’est bon, lui avait-elle conseillé, après s’être longuement épongée la vulve… Tu peux t’en aller maintenant…
Comme il retirait sa verge du sexe féminin encore palpitant, Louise s’était empressée de plaquer son vêtement intime contre sa vulve, étanchant le ruissellement qui suintait de sa chatte…
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Comme les doigts qui enserraient son genou demeuraient figés, Muriel se décida à intervenir. Retirant sa main droite du volant, ne conduisant plus que de la gauche, malgré la route en épingle, elle se saisit du poignet de Jérémy, et, avec douceur, obligea celui-ci à remonter ses doigts le long de sa cuisse.
— Tu sens comme elle est douce, murmura-t-elle, sans toutefois abandonner la route du regard.
Jérémy n’en revenait pas de cette délicatesse satinée qu’il percevait sous ses doigts. Le cœur battant à cent à l’heure, il se laissa guider par sa sensuelle conductrice, qui doucement l’obligeait à remonter sa main toujours plus loin. Bientôt ses doigts se glissèrent sous la courte jupe et bifurquèrent à l’intérieur de la cuisse, là où la chair devenait plus chaude et plus souple.
Sous le frôlement des doigts de l’adolescent à l’intérieur de ses cuisses, Muriel ressentit un long frisson la parcourir. Ce n’était pourtant pas la première fois qu’un homme laissait courir des doigts sur cette partie de son anatomie : alors pourquoi ressentait-elle une telle félicité à ce frôlement pour l’instant bien anodin ? Le fait que son compagnon soit un jeune garçon, certainement encore puceau, lui procurait une excitation accrue. Frémissante d’impatience, elle força les doigts de l’adolescent à toucher l’entrejambe de son mini-slip vaporeux, curieuse de découvrir le comportement de ce dernier.
Mais la courbe accentuée d’un virage sur la droite obligea Muriel à lâcher le poignet de son jeune compagnon, afin de reprendre le volant à deux mains.
Débarrassé de l’attache qui l’obligeait à effectuer ce que la jeune femme désirait, Jérémy se retrouva libre de ses mouvements. Follement excité par l’exploration qu’il venait d’effectuer sous la courte jupe, il plaqua sa main contre l’entrecuisse de sa sensuelle partenaire, percevant sous sa paume une chaleur humide. Du bout du majeur, il entreprit une friction de bas en haut, s’ingéniant à faire pénétrer le tissu vaporeux du slip entre les grandes lèvres de la vulve, dont il percevait l’humidité sous sa paume.
Surprise par cette caresse bien précise, Muriel ressentit un long frémissement lui parcourir le bas-ventre. Etonnée par la dextérité avec laquelle l’adolescent avait trouvé sa fente sexuelle blottie sous l’entrejambe de sa culotte, elle ne put s’empêcher de questionner :
— Tu as déjà caressé une minette ?
— Heu… Non, mentit Jérémy !
Il ne pouvait pas confesser que sa grand-mère lui avait appris tout ce qu’il devait savoir sur les rapports sexuels entre les filles et les garçons. Par contre, l’appellation « Ma Minette » qu’avait employée Muriel pour désigner son sexe lui parut plus affectueuse que le terme « Ma Chatte », qu’utilisait couramment sa grand-mère. On avait envie de caresser une minette, alors que l’on attendait d’une chatte qu’elle vous croque la queue ! L’appellation « Minette » forçait presque les hommes à se montrer affectueux avec leurs partenaires féminines ; alors que l’appellation « Chatte » par contre forçait l’homme à plus de sauvagerie, comme pour dompter ce jeune félin.
Cependant, le va-et-vient incessant le long de sa fente ne tarda pas à porter ses fruits. Muriel ressentit des fourmillements bien connus lui parcourir la vulve. Décidément, pour la première fois qu’il découvrait une « minette », l’adolescent avait une technique terriblement efficace pour lui procurer du plaisir ! Profitant d’une longue partie de route sans virages, Muriel retira sa main gauche du volant pour la porter entre ses cuisses. Avec dextérité, elle crocheta l’entrejambe de son slip déjà bien humide, qu’elle repoussa sur la gauche, donnant ainsi accès à Jérémy à sa longue fente trempée.
— Tu es sure que personne ne t’a appris à caresser une minette, questionna-t-elle de nouveau, étonné de l’habileté de son jeune compagnon ?
— Heu, non ! Insista Jérémy, ne voulant surtout pas que la femme se fasse des idées vis-à-vis des relations sexuelles qu’ils avaient connues, sa grand-mère et lui.
— Alors tu es vraiment doué, je suis sure que l’on va passer de merveilleux moments tous les deux, continua Muriel en reprenant le volant.
Le mince tissu qui faisait rempart à ses attouchements repoussé, Jérémy sentit les chairs nues et humides de la vulve s’épanouir sous ses doigts. Les grandes lèvres sexuelles s’écartèrent d’elles même sous la poussée de son majeur. La main bien à plat contre la chatte dont il percevait la légère toison sous sa paume, Jérémy n’en continua pas moins ses frôlements le long de la longue fente entrouverte. A chaque remontée de son majeur, celui-ci pressait le bouton d’amour de sa partenaire accrochée à son volant. Ce merveilleux bouton et qui portait si bien son nom, épicentre de tous les plaisirs féminins, lui avait été révélé par Louise lors de leurs ébats sexuels. Patiemment, elle lui avait appris à dénicher cette excroissance charnelle parmi les replis de ses grandes lèvres, puis à l’exciter adroitement du bout du doigt ; plus tard c’est à l’aide de sa langue qu’elle lui avait conseillé de continuer. Cette initiation, aujourd’hui lui, allait lui permettre de procurer du plaisir à sa merveilleuse partenaire…
Dès que son majeur après une minutieuse exploration eut effloré la magique excroissance de chair, Jérémy sentit le bas du corps de Muriel tressaillir. Comprenant que la jeune femme appréciait sa caresse, il insista, frottant de plus en plus rapidement sa phalange contre ce point bien particulier.
Bien qu’attentionnée à bien négocier le virage qui s’ouvrait sur la droite, devant la camionnette, Muriel sentit son bas-ventre se contracter brusquement sous l’onde de plaisir qui la traversait. Dans ses tâtonnements maladroits, l’adolescent venait d’effleurer cette partie de son sexe si réceptrice aux attouchements sexuels. Tachant de contrôler cette secousse sensuelle inattendue, elle songea que son jeune compagnon venait d’avoir la main heureuse ou plutôt le doigt heureux, pour avoir ainsi découvert cet épicentre de son plaisir. Mais lorsqu’un second tressaillement la secoua, manquant lui faire lâcher le volant, elle soupçonna Jérémy de ne pas être si innocent qu’il le prétendait dans son éducation sexuelle. C’est vrai, songea-t-elle que les filles de Lyon sont peut-être plus délurées que celles des provinces…
Mais le fait était là, la façon bien particulière qu’avait Jérémy d’agacer son clitoris prouvait que ce dernier savait très bien ce qu’il faisait, et il le faisait magistralement bien… Accaparée par la conduite de son véhicule dans cette partie de route sinueuse, Muriel dut faire un effort désespéré pour ne pas s’abandonner aux vagues de plaisir qui lui irradiaient le bas-ventre. Des tréfonds de son vagin des expulsions de cyprine s’écoulaient de sa vulve, trempant l’entrejambe de son mini-slip vaporeux. Les mains crispées sur le volant, les muscles du ventre tendus dans une résistance soutenue, elle réussit à implorer :
— Non !… Arrête !…
Comme Jérémy ne semblait pas comprendre son trouble, elle insista, presque implorante :
— Enlève ton doigt de là !…
Heureusement, ils atteignaient les faubourgs de « Moutiers », Muriel, le bas-ventre crispé, combattant ce désir qui lui ravageait les entrailles, réussit à atteindre le but de leur voyage. Dirigeant la camionnette à l’arrière du bâtiment, elle stoppa devant l’entrée des fournisseurs d’un coup de frein brutal. Lâchant le volant, elle s’empressa de glisser une main entre ses cuisses afin de bloquer ce doigt trop entreprenant :
— Tu es un démon, murmura-t-elle à Jérémy… Tu as bien failli me faire jouir, continua-t-elle en repoussant la main de l’adolescent.
Prenant conscience de l’abondante humidité qui lui engluait la vulve et surtout l’entrejambe de sa fine culotte, Muriel se décida de se séparer de son vêtement intime trempé. Sans s’occuper de la présence de Jérémy qui ne perdait pas un de ses gestes, elle souleva ses fesses du siège pour retirer sa fine culotte, qu’elle chiffonna en boule.
— Je suis toute mouillée à cause de toi, plaisanta-t-elle en s’essuyant méticuleusement la vulve à l’aide de son slip.
Se penchant en direction de Jérémy, elle lui plaça son vêtement intime trempé sous le nez :
— Regarde dans quel état tu as mis ma culotte !… Tu peux me dire comment connais-tu ce genre de caresse ?
Le nez enfoui dans le chiffon odorant, se grisant de l’odeur musquée qui en émanait Jérémy, à cette question gênante à laquelle il ne pouvait répondre, garda le silence. Devant le mutisme de l’adolescent, Muriel devina que ce dernier ne voulait pas lui révéler son secret. Qui pouvait être cette femme qui lui avait appris ce qu’il semblait connaître si parfaitement ?… Une pensée lui effleura alors l’esprit. Depuis un mois, Jérémy vivait chez ses grands-parents ! Se pourrait-il que Louise, sa grand-mère soit cette personne ?… Décidant de reporter à plus tard ce mystère, Muriel se replongea dans le présent.
Si son jeune compagnon l’avait, par ses attouchements, amené au seuil de l’orgasme, qu’en était-il de lui ? Etait-il excité à l’avoir si sensuellement caressé ?
— Peu importe qui t’a si bien initié, c’était délicieux… Mais toi ?… Comment te sens-tu ?
N’attendant pas la réponse qui risquait de ne pas venir, Muriel effleura d’une main légère le bas-ventre de l’adolescent, frôlant au passage l’emplacement de ce qu’elle espérait trouver. Percevant sous ses doigts cette bosse qui déformait le short, elle éprouva un plaisir absolu. Comme elle l’avait pressenti, Jérémy était en proie à une formidable érection. Avec émoi, elle referma ses doigts autour de cette enflure saugrenue.
— Oh!, mais tu es puni par où tu as péché ! s’exclama-t-elle… Te voilà bien excité !… Ton petit oiseau m’a l’air bien réveillé !
Jérémy, que la pression au niveau de sa braguette, bien que légère, avait affolé, demeura de nouveau surpris par le langage de la sensuelle rousse : désigner son sexe par « son petit oiseau » le déconcertait. Les femmes l’étonnaient ! Chacune avait-elle un langage différent pour nommer le sexe, qu’il soit masculin ou féminin ?
Cependant comme la pression autour de « son petit oiseau » se faisait plus insistante, lui créant une tension au creux du bas-ventre, Jérémy lança son pubis en avant dans un accès de désir.
— Oui, je comprends que ton «petit oiseau» à envie de chanter lui murmura Muriel. Mais pas là !… Viens, déchargeons les fromages, et après je te promets que je vais le faire gazouiller… Tu peux garder ma culotte, je te l’offre pour que tu penses à moi…
Au comble du bonheur, Jérémy s’empressa de glisser le coquin sous-vêtement féminin sans sa poche. Bien que son excitation soit à son summum, devant la promesse d’un moment plus intime avec la si sensuelle rouquine, il s’empressa de s’atteler à la tâche demandée.
Il ne fallut pas plus de dix minutes à deux pour transférer les fromages de la camionnette à l’immense cave voutée ou se trouvait les fromages. Au fond de la cave, le stock des bouteilles de vins de différents vignobles s’alignait sur une hauteur de plus de deux mètres.
Tout en entreposant les fromages, Jérémy ne pouvait s’empêcher de songer que la séduisante patronne de l’auberge n’avait pas de culotte sous sa courte jupe, ce qui n’était pas fait pour calmer son excitation. Lorsqu’il lui arrivait de surprendre la femme courbée en avant, à déposer les fromages sur les rayons, la vision de la croupe rebondie que la jupette mettait en valeur lui donnait l’envie d’y porter les mains. Mais si ce geste était courant avec sa grand-mère, qui d’ailleurs l’acceptait sans sourciller et même avec un certain plaisir, il ne pouvait le perpétrer avec la patronne de l’auberge. Un reste de timidité l’en empêchait.
Une fois le travail terminé, Muriel ne put résister à ce désir persistant qu’elle ressentait pour l’adolescent : désir qui lui mordait les entrailles depuis que ce dernier l’avait si voluptueusement caressé. Comme Jérémy, les bras ballants, attendait de nouvelles directives, elle l’attira à elle pour plaquer ses lèvres aux siennes, afin de lui faire connaître la douceur d’un baiser langoureux. Mais alors qu’elle s’attendait à apprendre à l’adolescent l’art du baiser, Muriel se trouva surprise en sentant la langue de Jérémy s’infiltrer entre ses lèvres et passer le barrage de ses dents. Avant qu’elle ne réalise ce qui lui arrivait, son jeune compagnon lui fouillait la bouche avec énormément d’habileté. Cela, songea-t-elle, il ne pouvait l’avoir appris tout seul. Seule une femme experte avait pu lui enseigner. De nouveau, le nom de Louise lui traversa l’esprit avec insistance.
Cependant, revenant de son ébahissement, Muriel tenta d’imposer sa science du baiser. Repoussant la langue juvénile, elle plongea la sienne à l’intérieur de la bouche de l’adolescent lui léchant sensuellement l’intérieur des gencives. Jérémy lui répondit aussitôt. Leurs langues accomplirent alors un véritable ballet érotique dans un océan de salive mélangée, se crochetant, se repoussant, pour de nouveau se réunirent. Le baiser dura bien cinq minutes avant que Muriel décide d’y mettre fin, les lèvres luisantes de salive. Essoufflée, comme si elle venait de courir un cent mètres, le cœur battant à cent à l’heure, étonnée par le plaisir qu’elle avait pris, elle repoussa doucement son jeune partenaire.
— Viens ! lui commanda-t-elle. Suis-moi.
Aussi troublé que sa partenaire, Jérémy suivit cette dernière. Ils quittèrent la cave et empruntèrent l’entrée des fournisseurs. Là ils avancèrent dans un long couloir menant au hall de la réception. Avant d’atteindre celui-ci, Muriel s’arrêta devant une porte sur laquelle une plaque en laiton informait « Privée », qu’elle ouvrit à l’aide d’une clef. Après un rapide regard aux alentours, Muriel poussa Jérémy à l’intérieur de ce qui était son bureau. Repoussant la porte derrière elle, elle la referma à clef.
— Voilà, nous serons tranquilles, annonça-t-elle en attirant l’adolescent à elle.
S’accrochant à son cou, elle lui murmura :
— Embrasse-moi !…
Leurs lèvres se joignirent une nouvelle fois. Mais plus rapide cette fois, Muriel fut la première à introduire la sienne dans la bouche de l’adolescent. Par sa vivacité, elle empêcha Jérémy de s’exprimer. Avec passion, elle fouilla la bouche de celui-ci dans ses moindres recoins, salivant avec abondance. Ce n’est qu’au bout de trois minutes, trois minutes pendant lesquelles Jérémy ne put que demeurer passif devant la fougue de sa partenaire, que Muriel décida de mettre un terme à son baiser enflammé :
— C’est bon, tu aimes, demanda-t-elle le souffle rapide ?
— Ouuii… bégaya Jérémy, l’esprit enfiévré.
— A toi de me faire voir comment tu embrasses !… Mais en même temps, caresse mes fesses, j’aime que l’on pétrisse « mes miches »…
Ne demandant pas mieux, Jérémy joignit de nouveau ses lèvres à celle de sa sensuelle partenaire. Et comme cette dernière se collait étroitement à lui, les deux bras lui entourant le cou, il plaqua ses mains sur la croupe rebondie, pressant les rondeurs jumelles avec émotion. Sous cet attouchement bien précis, il sentit sa partenaire onduler doucement. Son ventre entama un sensuel roulis, se frottant avec insistance contre son sexe dressé. Malgré ses lèvres bâillonnées Muriel réussit à produire un léger gémissement. Se souvenant que la femme ne portait pas de culotte, Jérémy osa retrousser la courte jupe, dénudant le derrière mouvant. Comme Muriel ne réagissait pas à son initiative, il empauma les doubles rondeurs avec un tel émoi, qu’il sentit sa verge frémir dangereusement dans son slip.
La première impression que ressentit Jérémy fut l’étonnement et l’incrédulité devant la fermeté des deux hémisphères qu’il avait en main. Habitué à pétrir les fesses molles de sa grand-mère, la dureté de celles qu’il pétrissait le laissa ébahi. Il n’en continua pas moins à presser les deux hémisphères compacts, les écartant largement, prenant un pervers plaisir à élargir la longue raie des fesses.
Sous le massage terriblement voluptueux dont son derrière était l’objet, Muriel ressentit ces frissons de plaisir qu’elle connaissait si bien. Ses fesses étaient une des zones particulièrement érogènes de son corps. Un simple attouchement lui procurait toujours des vibrations de plaisir. Lors de ses jeux érotiques, elle aimait chevaucher ses partenaires, qu’il soit masculin ou féminin, afin que ceux-ci lui pétrissent les fesses et lui procurent ces ondes voluptueuses qui accélèreraient la montée de son plaisir. Pour l’heure, les palpations de Jérémy provoquaient dans son corps exactement ce qu’elle recherchait. Ondulant des hanches sous le plaisir ressenti, Muriel ne put que féliciter son jeune partenaire :
— Oh ! oui, c’est bon, lui murmura-t-elle à l’oreille… J’aime que l’on me masse les fesses… A mon tour de m’occuper de toi… Tu veux que je fasse chanter « ton petit oiseau »…
Mais alors que Muriel, se reculait afin de mettre en pratique sa décision, la sonnerie du téléphone sur le bureau résonna dans le silence de la pièce, tirant les deux amants de leur béatitude sexuelle.
— Zut, pesta Muriel !… Qu’est-ce qu’il y a encore ?
Perturbée par cette interruption, au moment où elle allait enfin tenir en main ce jeune sexe tant désiré, Muriel décrocha le combiné sous le regard inquiet de Jérémy : son aventure sexuelle allait-elle être annulée ?…. Anxieux, il écouta le monologue qui s’installait entre Muriel et son interlocuteur inconnu.
— Oui !… Je viens de rentrer de la ferme des Martin !… Oui, j’ai pu obtenir un bon stock de fromage, le problème est résolu !… … Quoi Alfredo ?… … Quels problèmes ?… … … Bon, est bien, dis-lui de venir me voir qu’on en discute !… … Ah, autre chose, le petit fils des Martin a bien voulu m’accompagner pour la journée… … Il nous aidera pour les ouvrages que tu ne peux faire à cause de ta jambe !…
Jérémy qui n’avait rien perdu de la conversation, fixa la patronne de l’auberge, quelque peu anxieux pour la suite de leur aventure amoureuse. Après un moment de silence, Muriel, déverrouilla la porte dans l’attente de dénommé Alfredo.
— Je dois recevoir l’un de mes employés, expliqua-t-elle à Jérémy. Je ne tiens pas à ce qu’il te découvre ici !… Glisse-toi sous le bureau, il ne pourra te voir… Nous reprendrons ce que nous avons commencé lorsqu’il sera parti, je te le promets.
Rassuré sur la suite de leur duo érotique, Jérémy s’empressa d’obéir. S’accroupissant, il parvint à se caser sous le bureau dont la face avant était entièrement close, le cachant à la vue du visiteur. Vu la hauteur restreinte, il dut s’agenouiller, le dos plaqué au fond du meuble. Ainsi placé, il vit Muriel s’installer dans son fauteuil, avant d’avancer celui-ci en direction du bureau. Mais vu la place restreinte, du fait de sa présence, Muriel dut écarter ses jambes pour s’installer confortablement, en véritable patronne qui reçoit un de ses employés.
Accroupi, tel qu’il était, Jérémy sentit son cœur s’emballer en découvrant le merveilleux spectacle qui s’offrait alors à ses yeux. Entre les cuisses grandes ouvertes de la merveilleuse rouquine, il pouvait, malgré la légère obscurité de dessous le bureau, apercevoir, du fait de l’absence de culotte, le long sillon de la vulve encore close. Contrairement à sa grand-mère dont la fente sexuelle était dissimulée par une épaisse toison brune, l’entrecuisse qu’il découvrait était étonnamment lisse. Aucun poil ne venait soustraire aux regards le sillon charnel qu’il avait exploré en aveugle quelques instants plus tôt.
Un coup frappé à la porte figea Jérémy, s’obligeant à respirer calmement afin de cacher sa présence.
— Entrez, commanda Muriel !
Jérémy entendit un pas s’approcher du bureau.
— Alors Alfredo, vous avez des problèmes, interrogea Muriel ?
Ayant repris de l’assurance, Jérémy se désintéressa du dialogue qui s’échangeait au-dessus de sa tête. L’affolant spectacle qui s’offrait à son regard suffisait à attirer toute son attention. La longue fente resserrée qui formait comme un sillon plus foncé entre les cuisses écartées de la femme assise sur son fauteuil bouleversait sa libido. Après un moment de contemplation, le désir le prit d’offrir à la patronne de l’auberge ce que sa grand-mère lui avait patiemment appris ; ce qu’elle appelait « le baiser d’amour ». Se sentant en confiance à l’abri du bureau, et surtout, hors du regard de la sensuelle Muriel, qui l’intimidait, il décida qu’il pouvait pratiquer ce baiser particulier. Avançant son visage entre les cuisses largement disjointes du fait de la position de la femme, il colla sa bouche contre l’attirante fente sexuelle. Immédiatement, il perçut le tressaillement de Muriel, qui dans un reflex, tenta de resserrer ses jambes.
Alors qu’elle dialoguait avec Alfredo de ses problèmes d’intendance, Muriel ressentit comme une secousse électrique lui traverser le creux des reins, ce qui la fit se cambrer soudainement. « Décidément, ce diable de Jérémy ne pouvait demeurer tranquille », s’affola-t-elle. « Il avait décidé de s’occuper à ses dépens ». Comprenant son erreur, lorsqu’elle lui avait demandé de se cacher sous le bureau, elle tenta vivement de resserrer ses cuisses, sans y parvenir : le visage de l’adolescent collé à son sexe l’en empêchait.
Encouragé par l’absence de réaction de sa victime, Jérémy glissa sa langue entre les grandes lèvres de ce sexe qui s’offrait à lui, l’introduisant le plus loin possible dans le vagin d’où suintait un liquide gras au goût fortement pimenté. Tel un chaton affamé, il lapa le nectar vaginal, se grisant de la saveur épicée. Chaque pénétration de sa langue à l’intérieur des chairs moites déclenchait un soubresaut dans le bas-ventre de sa victime prise au piège de son baiser vaginal. Ces tressaillements convulsifs procuraient un vif plaisir chez Jérémy.
Se cramponnant à son bureau, tout le corps tétanisé par les ondes de volupté qui lui irradiaient le bas-ventre et le creux des reins, Muriel tentait à force de volonté, à cacher son émoi sexuel à son employé. Se rendant compte qu’elle n’allait pas pouvoir se contenir très longtemps avant de s’abandonner à la jouissance qui lui ravageait les entrailles, elle accepta toutes les revendications d’Alfredo, qui la fixait d’un air étonné. Ce dernier avait été son amant à une époque et le redevenait quand ses sens se faisaient par trop pressants et que les clients capables de la satisfaire se faisaient rares. Craignant que le bel espagnol qui la connaissait intimement devine les raisons de ses malaises, elle s’empressa de le congédier en lui promettant de trouver une solution à ses problèmes.
A peine la porte refermée derrière le fier hidalgo, Muriel s’empressa de reculer légèrement son fauteuil, afin de mieux s’offrir à cette caresse qui affolait ses entrailles, la faisant ruisseler. Ecartant ses cuisses au maximum, elle agrippa de ses deux mains le crâne de l’adolescent qui la léchait si merveilleusement, lui appuyant fortement le visage contre sa vulve trempée.
Comprenant que, non seulement, il ne risquait pas de se faire réprimander, mais que la femme acceptait son initiative, Jérémy continua son cunnilingus tel que lui avait enseigné sa grand-mère. S’aidant de ses deux mains, il se saisit des grandes lèvres sexuelles qu’il écarta largement, dévoilant les chairs roses de la vulve luisante de cyprine. Dans le spacieux sillon ainsi pratiqué, il fit glisser sa langue, se régalant du liquide pimenté qui s’en exhalait. Lorsqu’il atteignit ce sensible bouton que sa grand-mère avait eu tant de mal à lui faire découvrir, il s’y arrêta pour le lécher et le flageller du bout de la langue.
Muriel, dont la libido avait été à rude épreuve pendant tout le temps qu’avait duré l’entretien qu’elle avait eu avec son employé, ne put résister plus longtemps à la nouvelle caresse que lui prodiguait Jérémy. Cette langue qui frappait son clitoris déclenchait d’extraordinaires ondes voluptueuses dans ses entrailles et le long de sa colonne vertébrale. Abandonnant le crâne de l’adolescent qui s’acharnait sur son bouton, elle porta ses mains à sa poitrine pour empaumer ses seins douloureusement gonflés. S’abandonnant alors à ces vagues successives, qui, tel un raz de marée la submergeait, lui ôtant toute volonté, elle se laissa emporter par la jouissance. Dans un long gémissement, elle s’arque -bouta sur son fauteuil, reins arqués, poitrine tendue, les cuisses emprisonnant nerveusement le visage de Jérémy.
Attentionné à perfectionner sa caresse, son baiser d’amour, ainsi que sa grand-mère Louise le nommait, Jérémy sentit soudain le bas-ventre de sa partenaire, agité de plusieurs spasmes violents. Le chaud liquide qui jaillit de la vulve qu’il léchait lui souillant les lèvres et le menton lui procura alors un immense plaisir. Il venait de réussir son premier cunnilingus sur une autre femme que sa grand-mère ! Mais comme il tentait de se redresser afin d’échapper à la source épicée qui lui emplissait la bouche, il se trouva dans l’impossibilité de bouger, le visage enserré entre les cuisses nerveuses de sa sensuelle partenaire….

A suivre…..

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