Un jour Alain, prend la voiture et me conduit dans un sex-shop qu’un ami lui a recommandé. C’est suffisamment loin de chez nous pour que personne ne nous connaisse. Dans la boutique, Alain tombe sur un rosebud particulièrement avec une pierre de couleur à son extrémité. Il l’achète et, provocante, je lui lance que je veux le mettre tout de suite. Le vendeur nous jette un regard complice et nous indique un petit couloir sombre pour nos activités. Alain passe sa main sous ma jupe et la remonte sur mes fesses. Il tâte ma chatte déjà trempée.
« Ma salope tu mouille comme une chienne en chaleur ! » Me mumure-t-il.
Il remonte sa main pleine de mouille sur ma raie et titille ma corolle avant d’enfoncer un doigt. Quelle salope je fais! Je cambre bien mon cul pour le faire encore plus ressortir et que l’œil concupiscent d’un homme derrière nous puisse mieux voir mon intimité. Alain d’accroupie et me broute maintenant la rondelle. Je sens sa langue frétiller dans mon sphincter et ses doigts aller et venir dans ma chatte. Hummm que c’est bon. Je ne peux me retenir de gémir en fermant les yeux. J’ai la moule qui coule de plaisir. Une claque sur mes fesses me fait sortir de ma torpeur. Quelle n’est pas ma surprise de découvrir notre voyeur une main sur ma croupe. Le vendeur vient nous informer qu’il existe des salles derrière et que nous pourrions les utiliser. Accompagnée de mes deux mâles, nous allons vers l’une de ces fameuses pièces. Je suis très excitée par ce qui m’attend. Le mec est hyper bien monté vu la bosse monstrueuse de son pantalon. Il va me démonter grave et j’en mouille comme une dingue. A peine arrivés dans la salle, l’homme me bloque dans un coin et me pince un téton m’arrachant un cri de surprise. Alain veut intervenir mais le mec le coupe dans son élan en lui intimant
« Non ! C’est moi qui baise ta chienne ! Toi tu la fermes et tu regardes! »
L’homme me flatte la croupe et détache ma robe. Je ne suis plus qu’en bas avec mes talons. Il continue à me pincer les tétons. L’homme me fait m’agenouiller devant lui et je déboutonne son jean. Il a une queue, juste ENORME. Alain me lance :
« T’as tiré le gros lot ma salope ! Il vas bien te défoncer ! »
Je prends cette grosse bite dans ma bouche. J’ai quelques difficultés ne serait ce que pour mettre le gland en entier.
« T’aimes les bites hein, salope?! »
Avant d’attendre ma réponse, alors que j’avais son gland en bouche, il me maintient la tête et me plante son pieu au fond de la gorge. Je suffoque, ai une envie furieuse de vomir. Ma gorge me brûle et j’ai les larmes aux yeux. Il me libère un instant pour me laisser respirer et il réenfourne sa grosse queue pour une 2eme gorge profonde. Il me baise la bouche en me laisse respirer de temps à autre.
« Prends ça sale garce. T’as vu c’qu’un quinqua peut t’faire?! J’vais t’défoncer ton garage à bites et ton gros cul de chienne ! J’vais t’faire couiner salope! »
Enfin il me libère. Je suis essoufflée et essaye de rependre ma respiration. Mon maquillage coule et je ne ressemble plus à rien. Il me relève par les cheveux pour me remettre à quatre pattes. Il claque durement mes fesses et ma vulve. J’ai ma chatte offerte et ruisselante de mouille. Il me fouille le sexe sans ménagement de ses gros doigts.
« T’es trempée comme une grosse pute ! J’vais t’démonter. Tu vas prendre ton pied salope! »
Sur le champs, ni une ni deux il me pénètre la chatte brutalement. Je suis aux anges. Il me remplit divinement.
« Comme t’es belle Mimi quand tu t’fait sauter ainsi ! » Me dit Alain.
« T’aimes la mater entrain de se faire défoncer comme une pute, hein? »
Lance le mec.
« Viens lécher la chatte de ta chienne pendant que je la ramone ! »
Alain s’agenouille et me bouffe la chatte. Hummm sentir sa langue sur mes petites lèvres et mon clito. Je me dit qu’il doit aussi passer la langue sur le zob de mon baiseur. C’est trop bon. Le plaisir monte comme une déferlante. Alors que je vais partir dans un orgasme fou, le mec se retire d’un coup. Je suis frustrée. Je réclame sa queue. Là,il me pénètre la rondelle jusqu’aux couilles. Il entame aussitôt un rythme endiablé. Je ne pense qu’à cette bite qui me ramone le cul et à la bouche d’Alain sur ma chatte. Je suis une vrai fontaine.
« T’es un vrai garage à bites, salope! T’aimes ma grosse queue, hein, sale chienne en chaleur! »
Alain approche sa queue de mon visage et vient juter dans ma bouche.
« Avale, ma catin !» Me lance-t-il.
Toujours secouée par l’inconnu, j’avale tout. Je me sens salope et curieusement, je n’ai même pas honte.. C’est une sensation trop bonne de me retrouver comme un jouet sexuel. Le mec fait encore quelques va-et-vient puissants dans mon cul. Je jouis comme jamais. Le mec se retire d’un coup, me retourne et viens décharger dans ma bouche à son tour. J’avale et léche cette queue qui m’a donné tant de plaisir.
Le mec a un petit sourire
« Hummm petite chienne! T’as aimé ma bite, hein?! »
Il m’embrasse sur la joue et les deux hommes m’aident à me rhabiller en baladant leurs mains sur mon corps.
Alain m’embrasse aussi en me disant :
« T’es belle ma chérie, surtout quand tu jouis comme une salope ! Je t’aime. »
Comme je l’aime mon homme quand il me laisse me faire démonter par d’autres mecs et assouvir mes pulsions de salope. Je me blottis dans ses bras. Je suis dans un état second quand, en prenant congé, l’inconnu glisse une carte dans mon sac en disant :
« T’es plutôt bonne. T’as un sacré potentiel mais tu pourrais devenir encore meilleure. J’prendrais mon pied à t’dresser. Allez salut! »
Alors qu’on regagne la voiture, sous l’œil goguenard du vendeur, je sors la carte et découvre le prénom de cet inconnu: Nico
Suite à l’épisode du sexe shop, Alain me lance un défi.
« Tu vas choisir un mec et le draguer comme une salope. »
Il n’y va pas de main morte le salopard mais le défi me plaît. Nous voilà donc parti en goguette à la recherche d’un mâle. J’aperçois à un moment un beau mâle tranquillement installé à la terrasse d’un café. Je m’assoie à côté de lui. Alain me regarde faire et comme je suis hésitante, il me fait un signe d’encouragement.Je me lance à l’eau rougissante d’émotion et de honte.
« Bonjour Monsieur, j’ai envie de vous sucer! »
Il reste complètement interdit.
« Pardon Madame ? Ai-je bien compris ? »
J’enchaîne pour ne pas prendre mes jambes à mon coup.
«Je suis nue sous ma robe. Vous n’avez pas envi de voir ? Rejoignez moi dans les toilettes. Je mouille d’impatience ! »
Aprés un moment d’hésitation, cet inconnu ne peut résister à mon offre et décide de me rejoindre. Il est presque timide quand il entre dans ces toilettes. Il bande et j’émets un petit rire ravi quand je passe la main sur sa queue raide d’excitation. Je m’agenouille devant lui, sort sa queue de son écrin et englobe son gland dans ma bouche. Je ressors son dard pour lui lécher les couilles et remonter ma langue le long de sa verge. Je le regarde avec des yeux gourmands. Je continue en le pompant avec des vas et viens de plus en plus rapides tout en faisant de tant à autre des gorges profondes. A ce rythme l’homme n’y tient plus. Il me maintient la tête et me baise carrément la bouche. Alors que des spasmes annonciateur de son éjaculation envahissent son sexe, il me bloque la tête et me balance son foutre dans la gorge. Je me relève en m’enfuyant comme une voleuse pour rejoindre Alain qui m’attend avec un grand sourire. Le soir même, cet inconnu nous contacte. Alain lui répond :
« Alors ? Elle suce bien ma femme ? »
« Heu oui oui. Elle suce divinement bien. »
« Nous avons eu une folle histoire dans un sex shop et de fil en aiguille, j’ai décidé de lui lancer un défi avec toi. Serais-tu partant pour lui faire la surprise d’un plan à trois pour son anniversaire ? »
L’inconnu est très enjoué par cette proposition. Rendez-vous est pris pour le samedi soir chez nous. Le soir dit, on frappe à la porte. C’est moi qui vient ouvrir. Je porte un kimono en soie rouge bordeaux qui lui arrive au-dessus des genoux. Je suis nue dessous et mes tétons pointent sous la fine étole. Je l’embrasse sur la bouche et ma langue recherche la sienne et je sens contre moi son sexe déjà durci. Je l’entraîne vers le salon où Alain l’accueille. J’ai le feu au fesse et m’’attaque au jean de Vincent pour le déshabiller au plus vite. Je décalotte le gland en une dernière caresse avant de l’abandonner pour me placer devant la cheminée. Je fais doucement glissée mon kimono à mes pieds. Je leurs tends chacun un bras et ils s’approche de moi. Je prends une queue entre chaque main et m’agenouille entre eux. Je commence par prendre le gland d’Alain dans la bouche avant de la ressortir pour la lécher sur toute la longueur. C’est ensuite au tour de Vincent d’avoir le même traitement.
« Humm que c’est bon. Elle a la bouche toujours aussi chaude cette salope ! »
Pendant que je m’occupe d’Alain, Vincent me pince fermement les tétons. Comme j’ai les seins très sensibles, je me dérobe souvent à ses caresses.
Nous changeons de position. Je m’allonge et Vincent en profite pour me lécher la chatte. Je m’abandonne à sa bouche. Sa langue virevolte entre les plis de ma vulve en un lent va et vient entre son vagin et son mont de vénus. Il aspire goulûment mon petit bouton d’amour et je réponds en laissant échapper de petits cris étouffé par la queue d’Alain qui baise ma bouche. Alain fait signe à notre invité que ma chatte ne demande qu’à le recevoir. Il ne se fait pas prier et s’enfonce en moi. Je suis aux anges.
Ils me baisent comme des dieux.
« Humm que sa langue est chaude à cette salope. Comme elle est bonne. » Alain prend son pied de me livrer ainsi. J’aime ces queues qui me rudoient. Je lui prends les couilles une à une dans ma bouche pendant que mes mains s’active sur son gourdin. Pendant que le lèche, Alain me pilonne de plus en plus fort. On change de nouveau de position. Je m’empale la chatte sur le sexe d’Alain. Vincent s’approche de nous, enduit mon petit trou de ma mouille et présente son gland sur ma corolle serrée. D’un coup de rein, il me viole l’entrée de mon cul. Je pousse un cri et me cambre. Il m’att**** les hanches et m’empale jusqu’à la garde. Je beugle comme une salope. Vincent me baise le cul sauvagement et les deux queues de mes mâles en ruts me laboure la chatte et le cul en rythme.
« T’aime te faire remplir comme une chienne salope ! Deux queues rien que pour toi ! Dis- le allez dis-le que tu aimes les bites et qu’on te défonce par tous les trous ! Dis-le salope!» Me lance Vincent.
Secouée par les deux mâles, j’ai les yeux fermés. Je suis couverte de sueur.
« Ouiiii !!! J’aime vos grosses bites qui me défoncent !!! Ah oui… ha… c’est bon… continuez… humm… encore plus fort…ahh… J’suis un garage à bites ouiii j’adore ça encooore !!! »
Sur ces mots, ils se déchaîne encore plus et me pilonne comme des sauvages.
« Oh oui, quelle bonne chienne! Garage à bite, on va t’en donner encore plus! »
Une dernière idée traverse l’esprit tordu de Vincent. Alors que je suis écroulée contre Alain car je ne peux même plus me soutenir moi-même, il se retire de mon cul et Alain change de trou.
« J’ai bien travaillé le passage ta queue va rentrer sans soucis ! »
Alain ressort un peu de mon trou béant et sur un signe de tête de sa part, Vincent presse son gland sur ma corolle et me pénètre en même temps qu’Alain. J’hurle sous cette double pénétration.
« Ha oui! Mon gland est rentré ! Une double anal ma salope. Tu vas l’aimer ton anniversaire!!! »
Les salopards accordent leurs vitesses et accélèrent peu à peu. Je crie et ne prononce plus aucun propos cohérent. Complètement dilatée par leurs deux queues, je ne fait plus que des borborygmes sans queue ni tête.
Au comble de l’excitation, Vincent sort de mon fourreau et explose sur mon dos en de longs de sperme qui n’en finissent plus. Alain fait de même sur ma chatte. Quelques minutes plus tard quand tout le monde à recouvrer ces esprits, je câline Alain.
« Merci mon chéri pour ce beau cadeau d’anniversaire! »
Depuis que j’ai été soumise à Vincent et cette partie à trois, je me sens libérée. Ces moments de sexe intense ont été une véritable révélation pour moi. Je suis une salope et je l’assume. Je me sens plus épanouie, plus cool et ça se ressent même dans mon boulot. Ce sentiment est indescriptible.
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