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Belle maman

Belle maman



Ma belle-mère et moi nous entendions ce qu’il fallait pour sa fille. En général ça allait mais parfois nous nous disputions fortement. Un concours de circonstances a fait que la relation de conflit qui nous animait s’est adoucie.
Pourtant, durant les 17 premières années durant lesquelles je vécus avec sa fille, nos échanges verbaux étaient parfois plus que tendus. Elle ne supportait pas que je lui enlève sa fille unique et je ne pouvais souffrir ses incessantes intrusions dans notre vie de couple, que ce soit par ses visites impromptues ou ses nombreux coups de téléphone.
Je ne parlerai pas de mon beau-père, puisque celui-ci l’avait quitté il y a très longtemps et qu’elle n’avait jamais refait sa vie de femme.
Mais revenons-en plutôt à la mère de mon épouse : depuis que nos filles sont venues égayer notre couple, les deux femmes ont décidé que ce serait la grand-mère qui garderait celles-ci pendant que nous sommes au travail. Marie, mon épouse, part au travail plus tôt que moi et rentre après selon son emploi du temps, travaillant à plus de quarante kilomètre de notre domicile, ce qui fait que j’ai l’immense « joie » de voir belle-maman matin et soir. Ma grande fille au collège ne va presque plus chez sa grand-mère excepté le midi et le mercredi après-midi donc je n’en parlerai pas puisque les moments ou je vois ma belle-mère elle n’est pour ainsi dire jamais là.
Je dépose les enfants vers sept heures quarante-cinq et je pars bosser juste après un bref bonjour – les trois bises réglementaires – et, par la force des choses, je lui donne quelques consignes lorsque j’y suis obligé.
Le soir, je vais rechercher mes filles chez elle. Cela dure depuis deux ans, et Marie fait la balle de ping-pong entre mes reproches vis-à-vis de sa mère et ceux que celle-ci ne manque pas de m’adresser.
Un mercredi soir, ma femme ayant fait en sorte de rentrer plus tôt, le silence est rompu. Je ne me souviens plus exactement de sujet ayant provoqué les étincelles, mais j’avoue avoir été plus que méchant dans mes paroles. Des cris et des pleurs ont fusé pendant quinze longues minutes, avec comme arbitre la pauvre Marie. Bien entendu j’ai gueulé plus fort que tout le monde.
La soirée qui a suivi ne fut pas la meilleure passée avec ma femme, et après avoir subi une nouvelle engueulade durant laquelle je n’ai pas pipé mot, j’ai eu droit à un silence de mort jusqu’au coucher.
Le matin, elle est partie sans un bisou et je suis allé déposer les filles chez marie Claire.
Je frappe à la porte. Elle ouvre avec une certaine appréhension surement. Le visage de Marie Claire est fermé, ses yeux gonflés, et après être entré et que j’ai refermé la porte, je me confonds en excuses :
— Je n’aurais jamais dû vous parler comme ça. Excusez-moi pour ce comportement …
Elle m’écoute, ne me sermonne même pas et va s’asseoir sur le canapé pour regarder Télématin.
Depuis ce jour nous avons repris nos habitudes sans jamais parler de l’incident. Elle est toujours souriante et moi, toujours râleur.
Les semaines passent et se ressemblent, jusqu’à ce fameux lundi matin où je ne regarde plus la mère de ma femme de la même manière : j’entre dans la maison, elle est vêtue d’une jolie tenue. Il fait encore frais mais il n’y a plus de vent ce matin-là. Les températures sont devenues clémentes.
Lorsque l’on dit « Marie Claire », on voit tout de suite la mamie gâteau, mais ce n’est pas le cas de ma belle-mère, qui est très bien conservée bien qu’elle ait dépassé le demi-siècle. Maquillée, bien habillée, elle sait mettre en valeur ses atouts : une silhouette fine, des fesses fermes et une poitrine petite mais ferme en apparence des peu de fois ou j’ai pu lorgner sur son décolleté.
Ce jour-là elle est toute pimpante et c’est avec le sourire qu’elle s’exclame :
— Enfin ! Les beaux jours arrivent !
Les trois bises sont sonores et appuyées. Abasourdi par tant de gaieté, je la regarde sans bouger. J’ignore si j’ai commencé par la regarder de bas en haut où l’inverse, mais lorsqu’elle s’est retournée pour me parler, j’ai eu un moment de solitude avant de me reprendre et de lui répondre.
Elle porte un haut noir et rouge assez échancré pour laisser apparaître de fines dentelles couvrant la naissance de sa poitrine. Une bande de chair de quelques centimètres est visible avant de tomber sur la ceinture kaki soutenant la jupe droite et courte, assortie. De la soie noire va se perdre dans des bottes à petits talons. Je la découvre femme, belle, désirable, et des fourmillements dans le bas-ventre viennent me perturber pendant que j’essaie de reprendre le contrôle. Nous discutons de la nuit passée par sa petite fille malade et je lui explique l’ordonnance du médecin, sans trop regarder vers sa poitrine. Ses yeux marron s’illuminent lorsque les pleurs de ma fille nous arrivent aux oreilles.
Je vais lever ma fille du lit de la chambre ou ma belle-mère les met à dormir. Je lui fais un gros câlin et je la mets sur ses pieds pour qu’elle aille faire un bisou à sa grand-mère. Elle saute dans les bras ouverts de Marie Claire, qui s’est accroupie, et là, vision enchanteresse : je vois subrepticement le haut d’une cuisse dénudée ! Il commence à faire chaud, voilà que je me mets à fantasmer en un dixième de seconde sur une femme que j’ignorais totalement trois minutes auparavant ! Une érection commence à m’envahir.
Je sais qu’elle ne m’aguiche pas sciemment, elle a toujours été franche dans ses paroles comme dans ses manières, mais il n’empêche que je me fais un film.
Je m’éclipse rapidement, de peur d’avoir des regards trop plongeants.
La journée au travail n’est que songes. L’envie irrépressible de la voir ne me quitte pas jusqu’au moment où, enfin, j’arrive devant chez elle.
Une bonne respiration, et je frappe à la porte. Le fameux « Entrez » arrive à mes oreilles et j’ouvre doucement. Ma fille vient à ma rencontre et je m’agenouille pour la prendre dans mes bras. Pendant qu’elle me saute dessus, belle maman s’est approchée et nous regarde, les mains dans le dos. Je tourne la tête vers elle et m’aperçois que sa jupe est légèrement remontée, mais je ne vois rien d’exceptionnel, uniquement du nylon. C’est un claquement caractéristique qui me fait comprendre ce qui se passe : Huguette remonte ses dim-up comme si c’était un geste anodin, puis elle s’en va, tout en parlant, préparer le sac de la petite. Je lui réponds avec gentillesse.
Je regarde son visage et rien ne trahit le fait qu’elle m’aguiche. Elle est comme d’habitude, mais juste plus enjouée car je lui reparle enfin normalement.
J’habille ma fille en me positionnant à sa hauteur et lorsqu’elle est prête je lui demande d’aller faire un bisou à mamie. Je reste en position car je sais que Marie Claire s’accroupit toujours pour l’embrasser. J’ai droit à une belle vue sur le haut de ses cuisses, et même jusqu’à sa lingerie. C’est furtif, mais j’ai quand même le temps de remarquer que la dentelle est assortie à celle du soutien-gorge.
C’est la tête ailleurs que je conduis jusque chez moi, mes pensées sont obnubilées par les visions de la journée. Je réagis comme un automate toute la soirée, ma femme m’en fait la réflexion et je lui dis que j’ai passé une sale journée au boulot. Je sais bien sûr que c’est un prétexte facile, mais ça marche toujours. Avant d’aller me coucher, je passe sous la douche pour me rafraîchir et surtout pour évacuer toutes les émotions de la journée. La longue masturbation qui s’en suit est un délice, mais n’a pas trop l’effet escompté : ma belle-mère occupe entièrement mes pensées et j’ai du mal à m’endormir. Il me tarde de la revoir le lendemain matin.
Le matin suivant met le feu aux poudres… Lorsque j’arrive chez elle, elle ouvre la porte et c’est avec les yeux brillants que je remarque immédiatement le port d’une superbe minijupe. Elle pose une main amicale sur mon biceps tout en me faisant la bise (ce qu’elle faisait lorsque je l’ai connu), puis prend ma fille dans ses bras. Mon entrejambe commence à se réveiller, les fourmis reviennent à l’assaut de mon ventre tandis que je la regarde s’occuper de ma fille. Quand la petite file est dans les parages, je n’existe plus. D’ailleurs plus personne n’existe dans ce cas, donc c’est à loisir que je la regarde évoluer. Elle me demande :
— Tu lui as donné son traitement ?
— Non
—je vais lui administrer tout de suite.
Ma fille est assise comme un pacha sur un fauteuil et elle lui fait face en se penchant pour lui donner son traitement. D’habitude, la position ne m’interpelle pas, mais aujourd’hui je me déplace pour apercevoir la partie jusqu’ici cachée. Lorsque je passe derrière elle pour aller à la cuisine, j’aperçois immédiatement le port de bas noir auto-fixant, et au deuxième passage, en penchant la tête, je vois ses fesses nues. Je n’ose pas regarder une nouvelle fois et je fais bien car elle se redresse.
— Super ta fille ! Elle prend toujours ses médicaments sans râler ! constate-t-elle pour la énième fois et toujours aussi surprise.
— Pas comme son père… dis-je comme pour me faire pardonner mon caractère râleur.
— Tu sais, c’est très bien de dire ce que l’on a sur le cœur, mais être franc ne veut pas dire être méchant.
— …
— Je ne te fais pas la leçon, mais penses-y avant de blesser encore quelqu’un.
— Je veillerai à être plus civilisé à l’avenir… Bon, je vais y aller.
— Bonne journée et à ce soir ! répond-elle sur un ton à la fois joyeux et fier d’avoir mouché son gendre.
Je l’ai bien mérité d’ailleurs, mais en aucun cas cela ne gâchera ma journée. La magnifique vue de son postérieur barré uniquement par le noir brillant d’un string que je pense en satin suffit à égayer une terne journée de travail. Les jambes sportives recouvertes de nylon translucides feront, elles aussi, partie de mes visions. Comme un adolescent qui voit sa première paire de fesses, je fantasme toute la journée.
Les dossiers restent au point mort, je n’attends qu’une chose : l’heure de la sortie. Si j’étais encore au lycée j’aurais piqué un sprint vers la sortie au premier son de la cloche, tandis qu’ici, je sors calmement mais sans avoir une minute de retard.
Je suis devant la porte de belle-maman, et j’attends avec impatience l’invitation à entrer. Marie Claire, que je trouve d’ailleurs de plus en plus jolie, range avec sa petite fille les dizaines de jouets qu’elle a sortis de son coffre et éparpillés dans tout le salon. Je me propose de les aider, ce qui me permet d’être dans de meilleures dispositions pour reluquer sous la jupe de celle qui s’affaire à ramasser un puzzle. Elle s’active en parlant à sa petite fille sans penser que je suis là. C’est bien parfois d’être ignoré, cela me permet de la mater sans vergogne. Je ne me lasse pas de voir ses cuisses nues au-dessus de la dentelle recouvrant l’élastique de ses bas ; j’adore le contraste de la blancheur de sa peau et du noir de la lingerie. En parlant de ça, je peux affirmer que le string est bien satiné, légèrement brillant suivant son exposition à la lumière. J’aurais préféré de la dentelle ou, à la limite, un tissu voilé, mais on ne peut pas tout avoir la première fois.
Malheureusement, les deux derniers jours de la semaine, rien à se mettre sous les yeux. Le vent froid incite au port du pull et du jean, ce qui n’empêche que je fais durer notre temps de parole pour qu’elle s’habitue à ce que je discute avec elle.
Mais la patience paie, le beau temps revient et les tenues affriolantes sont de sortie. Cela commence gentiment par une longue robe qui possède un joli décolleté ne cachant rien du haut de sa lingerie. Je profite de l’instant et lorgne souvent vers la poitrine recentrée. Ses petits seins sont très agréables à voir. Comment n’ai-je jamais remarqué tout cela ? Notre dispute a-t-elle été l’élément déclencheur ? Je le pense, mais est-ce vraiment ça ? Pour l’instant je ne trouve pas de réponse à cet état de fait : je désire ardemment ma belle-mère.
Un autre jour, elle vient en short court et collant noir, et un haut très accrocheur, tout au moins pour mon regard inquisiteur. Pour me dire bonjour, ce n’est pas sur mon bras que se pose sa main, celle-ci vient se positionner à la base de mon crâne. Mon cœur bondit dans ma poitrine à ce simple contact. Pourtant, il n’y a rien de différent avec sa manière d’embrasser les gens qu’elle apprécie, comme ses neveux.
Je prends ce geste comme une victoire, c’est un grand pas de franchi. À partir de ce moment, je suis encore plus à l’aise avec elle.
Quelque temps plus tard, en allant chercher ma fille, je les trouve en train de jouer dans le jardin. Je m’approche et lui fais la bise, alors que je la lui ai déjà faite le matin. Elle ne dit strictement rien et pose sa main sur ma nuque. J’ose effleurer son flanc gauche de la paume, puis nous discutons de la pluie et du beau temps une dizaine de minutes, avant que je parte. J’apprécie de plus en plus sa compagnie, et ressens une réciprocité. Nous vivons chacun notre vie, mais ces petits moments sont devenus un défouloir, un instant de bien-être. Ce sont là les seules fois où l’on se voit.

Depuis cet épisode nous nous disons bonjour deux fois par jour. Au début, par jeu, Marie Claire m’a fait la bise une deuxième fois le lendemain lorsque je suis arrivé chez elle. C’est devenu ensuite une agréable habitude. Sentir la peau douce de ses joues contre les miennes est un moment de pur bonheur, toujours accompagné d’une flatterie de la main. La sienne se pose invariablement sur mon biceps ou ma nuque, tandis que pour ma part j’alterne ces lieux avec les flancs et l’avant-bras.
Le beau temps persistant, j’ai droit à toute une panoplie de robes et de jupes, un festival pour les yeux. Il n’y a pas de mouvement érotique ou exhibitionniste de sa part, elle bouge naturellement sans se douter que j’épie ses moindres mouvements. Fatalement, un matin elle comprend mon manège lorsque, accroupie, elle lève la tête car je n’ai pas répondu à une de ses questions.
Il faut dire que sa position est équivoque, jambes suffisamment écartée comme si elle avait l’intention d’uriner sans toucher ses chaussures à talons. Mon regard est hypnotisé par son entrejambe uniquement couvert d’un filet de dentelles blanches. Je ne vois plus que ça, tous mes autres sens sont aux abonnés absents.
—tu m’écoutes ? Dit-elle en haussant la voix et en resserrant les jambes.
— Euh… oui, oui !
— Je t’ai senti ailleurs, ajoute-t-elle moqueuse, mais sans faire aucune allusion à ce qu’elle a remarqué. Je te demandais si tu te rappelles pour demain que ma voiture sera en révision.
— Oui, il n’y a aucun souci.
— ok, conclut-elle en écartant à nouveau ses jambes impudiquement, ce qui a pour effet de remonter encore plus le tissu de sa jupe.
Je suis de nouveau attiré par son intimité, les yeux grands ouverts je fouille sa lingerie à la recherche de détails qui m’auraient échappé au premier contrôle. Elle aurait pu se relever en voyant sa petite fille se diriger vers son garage, ou alors me passer un savon, mais rien de tout ça : elle reste accroupie. De mon côté je ne remarque même pas que ma fille ne joue plus avec Marie Claire. En appui sur les talons, ses pieds pivotent vers l’extérieur en provoquant un éloignement encore plus poussé de ses jambes. Je vois distinctement le bombé de son sexe ainsi que la ligne de démarcation de ses grandes lèvres, je crois voir une légère humidification poindre lorsqu’elle se relève brusquement et me dit sans sourciller, le visage serein :
— À ce soir!
— … Bonne journée, Marie Claire.
Le visage cramoisi, je monte dans mon véhicule en me repassant sans cesse l’exhibition spontanée, et je peux dire sans mentir que tout le sang n’était pas monté dans ma tête. Mille et une questions se bousculent dans ce cerveau qui n’arrive pas à fonctionner correctement. Je ne sais pas ce qui m’arrive, ce qui nous arrive. Comment cela va-t-il finir ? Dois-je continuer ? Pêle-mêle m’arrivent une flopée de pensées dont je ne peux répondre tant les images de belle-maman sont présentes dans mon esprit.
La journée est un enfer, du point de vue du travail. Impossible de me concentrer plus d’une demi-seconde.
C’est le ventre noué que je me retrouve comme tous les jours devant la porte de ma belle-mère. Je frappe et ne patiente pas longtemps, Marie Claire m’ouvre elle-même, et pose aussitôt l’index droit sur la bouche.
— Chuttt, la petite dort encore. Elle était fatiguée et s’est endormi tout à l’heure.
Elle me fait entrer et, après avoir fermé la porte, m’att**** la nuque pour le baiser de bienvenue. Pas de différence avec la manière habituelle, à la seule différence que ses lèvres viennent toucher mes joues. Fini, le joue contre joue et les baisers qui claquent dans l’air. Elle n’a pas l’air d’être choquée ou d’avoir honte de ce qui s’est passé ce matin et vaque à ses occupations comme si de rien n’était. Je m’assois sagement sur le sofa en cuir, et ce faisant je m’aperçois qu’elle n’est pas habillée de la même manière que le matin, ce qui lui arrive régulièrement, mais là il faut avouer que c’est un peu plus osé que d’habitude !
— Mets-toi à l’aise, dit-elle en passant la tête dans l’embrasure de la porte de la cuisine. Tu veux boire quelque chose ?
— Oui, merci.
— Quelque chose en particulier ?
— Non, mais bien frais, par contre.
Quand je suis entré c’est son haut blanc qui m’a sauté aux yeux, près de la peau laissant apparaître les formes d’un soutien-gorge à dentelles. Celles-ci sont visibles, car les fines bretelles du top ne cachent pas celles de la lingerie et l’ouverture sur le devant dévoile une partie de la fine étoffe. Le nombril est à l’air, posé sur un ventre plat. Les hanches maintiennent une minijupe en tissu écossais à carreaux blancs et verts, et les jambes sont gainées d’une enveloppe vaporeuse translucide, le tout perché sur de jolies et immaculées chaussures à talons. L’ensemble n’est pas vulgaire mais de bon goût, juste un peu léger pour la saison. Dans deux mois personne ne s’en offusquera ! Les seules couleurs qui la parent, hormis la blanche, sont le vert de sa jupe et son joli bronzage.
Je suis sous le charme et d’un geste leste, pendant qu’elle s’affaire à la cuisine, je positionne mon outillage pour qu’il soit plus à l’aise en vue d’une probable érection. Rien que d’y penser, mon sexe commence à durcir.
Huguette arrive chargée d’un plateau qu’elle s’applique à ne pas faire tomber, et comme je me lève pour l’aider, elle refuse en prétextant qu’elle est bien assez grande pour servir un verre à son invité. Elle pose le plateau sur la table basse, et bien entendu, mes yeux suivent les courbes de son corps. Elle se penche en face de moi pour servir, et mon regard plonge tout droit vers son décolleté. Quel dommage que je ne sois pas assis de l’autre côté pour voir son cul !
Je n’ai cependant pas à me plaindre, car ce qui m’est offert est magnifique. Je ne vais quand même pas faire le difficile alors qu’une belle femme exécute devant moi les petites exhibitions dont je suis si fan !
Nous nous sommes trouvés sans rien demander, mais de là à savoir où ça nous mènera… D’un commun et silencieux accord, nous continuons.
C’est lorsqu’elle a fini de servir le cocktail de jus de fruit que nos regards se rencontrent, et ces quelques secondes d’une rare intensité définiront les bases de notre entente.
Je n’en vois pas plus ce soir-là, durant l’heure que nous passons à papoter. Jamais nous n’abordons le sujet, comme pour cacher un honteux secret dont nous ne sommes pourtant que les seuls protagonistes. Cela fait partie de notre accord, de notre jeu intime.
Le soir venu, c’est dur de reprendre une vie normale avec ma femme. Cela serait sûrement plus simple si je jouais avec une autre personne. Mais là, c’est sa mère, la personne qu’elle apprécie le plus, celle à qui elle accorde toute confiance. Mentir, c’est déjà dur, mais là, je joue à l’équilibriste ! Il faut que je reste distant sur ce que je dis de sa mère, ne pas lui avouer que c’est une personne géniale. Je lui dis qu’elle et moi faisons des efforts, et que ça se passe bien comme ça si tout le monde met de l’eau dans son vin. Je ne vais pas m’étaler sur mes interrogations ni sur celles de Marie Claire, qui doivent être autrement plus compliquées.
Le lendemain matin, je réveille ma fille, l’enroule dans une couverture et la pose délicatement dans son siège auto. Quelle marmotte ! A peine se réveille-t-il qu’elle se rendort en chemin. Arrivés à destination, Marie Claire m’ouvre, mais pas de temps pour les politesses instantanées. Je vais mettre ma fille dans son lit d’appoint et je reviens dans l’entrée sans faire de bruit, pour les trois bises du matin.
— Bonjour, mon gendre ! dit-elle, enjouée.
— Bonjour belle-maman ! Réponds-je sur le même ton.
— Excuse-moi, je n’ai pas eu le temps de me préparer.
— C’est parfait comme ça, dis-je sincèrement.
— Tu es gentil, mais je ne suis pas maquillée, encore moins coiffée, et je porte cette vieille robe de chambre.
— Mais ne t…
— Ne bouge pas : j’arrive !
— Je vais être en retard au boulot !
— Je reviens dans trois minutes.
Je pose mon postérieur sur un des canapés et je patiente en feuilletant un magazine quelconque. Il est vrai que sa robe de chambre était très moche, mais par contre son visage sans maquillage, très charmant. La coiffure en pétard n’était pas des plus chic, mais rien de choquant là-dedans, je l’ai trouvée très jolie à sa sortie du lit. Les trois minutes se transforment en cinq, puis dix. Je ne m’impatiente pas, je ne m’inquiète même pas pour mon boulot, ils croient que j’ai des soucis, donc autant continuer dans ce mensonge.
— C’est tout de même mieux non ? dit Marie Claire me tirant de mes rêveries.
— … Parfait !
Dans l’embrasure de la porte se tient une femme superbement mise en valeur dans une robe fourreau courte et des bottes en cuir. Elle est en contre-jour mais mes yeux s’habituent rapidement pour voir qu’elle est légèrement maquillée, coiffée de frais et que le tissu moule parfaitement sa silhouette. Le tout en noir, évidement, une de ses couleurs de prédilection.
Elle s’approche de la table basse et je la complimente à nouveau :
— Ça vous va très bien.
—J’ai acheté ça il y a quelque temps, mais je ne l’ai pas mis de peur que ça fasse trop vulgaire.
— Pas tu tout, bien au contraire.
Et c’est la stricte vérité.
— Je sais que tu es sensible aux dessous que je porte, dit-elle la voix un peu tremblante.
Oups ! je ne m’attendais pas à cela !
— Mais dans ce cas-là est-ce que je ne devrais pas ne rien porter ? Ça ne fait pas trop de marques ? demande-t-elle en faisant voir son postérieur.
— …
— Tu peux parler, je ne vais pas de manger, je ne demande que ton avis.
— D’accord, je vois à peine l’élastique de votre slip.
— Raté : c’est un string ! dit-elle en riant. Et devant, ça va ?
— On voit le soutien-gorge.
— Ce n’est quand même pas choquant ?
— Du tout, Marie Claire.
Elle sourit :
—Comme tu es un gendre adorable !
Je trouve qu’elle passe à la vitesse supérieure et qu’elle accélère encore : après les gestes et les positions, elle pose ses mots, elle commence à parler ouvertement, ce que je suis incapable de faire pour l’instant. Elle comprend ma gêne, s’assoit sur l’autre canapé et parle de tout et de rien. C’est dingue, cette facilité qu’à ma belle-mère à se sortir aisément des situations embarrassantes !
Le charme est rompu par ma fille qui réclame qu’on la lève. Marie Claire me remercie chaleureusement d’avoir pris le temps de converser avec elle et de lui avoir donné mon avis. C’est une main sur chaque épaule qu’elle dépose trois bisous tendres sur mes joues en prenant bien le temps de les appuyer légèrement.
— À ce soir, me dit-elle en disparaissant dans le couloir pour aller chercher ma fille.
Je retourne au boulot faire ma tête de zombie pour pouvoir être tranquille, mon chef me convoque même l’après-midi pour me sermonner sur mon manque d’efficacité. J’essaie d’abréger l’entretien et je promets de faire des efforts. Je me plonge lentement dans mes dossiers et à ce rythme de croisière, je n’aurai plus de remontrance.
Deux jours après l’essayage de la robe, je pars avec ma femme et mes filles pour 1 semaine de vacances dans les landes. J’arrive à me reposer, à profiter de ces vacances, mais je ne peux oublier ma belle-mère donc le corps tout entier hante mes nuits, mes siestes et mes de plus en plus fréquents moments de solitude.
Retour à la maison, vider la voiture, faire tourner les machines, ranger, reprendre ses marques. Pas le temps de se reposer que quelqu’un sonne à la porte. Marie va ouvrir et je comprends à ses cris que sa mère est là. Je regarde mère et fille se faire des compliments, en souriant et surtout en matant la silhouette de ma belle-mère.
Elle porte une veste très courte, sur un tee-shirt moulant rouge carmin tout aussi court. Le ventre à l’air, et dessous une jupe en jean assortie à la veste et qui tombe sur les genoux. Couvrant ses pieds, de petites mules ouvertes à talons.
Habillée minimaliste la belle-maman ! Je la trouve craquante, mais il me suffit de dévier le regard d’un demi-degré et je tombe sur ma femme, que je trouve très belle aussi. Je vais de l’une à l’autre à me demandant si je ne vais pas devenir dingue. C’est déjà assez compliqué quand elles ne sont pas dans la même pièce, mais là…
Ça y est ! Elle m’a vu et s’approche pour m’embrasser chaleureusement. Je n’ose pas poser la main sur elle mais j’accepte avec grand plaisir que ses lèvres me déposent de doux baisers. Elle va dans le jardin mais je ne peux pas trop la mater, donc je continue de ranger le reste des bagages dans la maison.

— On ne va pas vous embêter plus longtemps, c’était juste pour vous dire bonjour ! dit-elle.
— Restez manger ! propose Marie, ravie de voir sa mère chez nous.
— Une autre fois. Par contre samedi prochain à midi, venez manger à la maison.
— Mais, maman…
— OK, on fait comme ça, dit-elle mais sans omettre de me faire un petit clin d’œil. À demain, me dit-elle.
C’est moi qui viendrais chercher ma petite fille.
Cette nuit-là, je dors comme une masse et la petite, je n’en parle pas.
Je finis juste de m’habiller quand j’entends frapper doucement à la porte. Je me précipite pour ouvrir, belle-maman entre, et après avoir refermé, me fait trois bises très chaleureuses. J’ai même forcé le destin pour que nos lèvres s’effleurent aux commissures. Elle ne voulait peut-être pas les faire si près, mais j’en ai eu tellement envie sur le moment.
Elle se met à me questionner sur les vacances, alors qu’elle en a parlé plus d’une heure au téléphone avec Marie après son restaurant de la veille. Elle aime parler et, pour poursuivre tranquillement, elle accepte le thé que je lui propose. Elle est assise sur un fauteuil, et je lui sers la boisson en regardant, dans le bâillement de sa robe légère, les deux seins prisonniers d’un carcan pigeonnant.
Mais ma fille appelle. Marie Claire me demande de pouvoir aller la lever. Comment lui refuser ? Je la suis dans la chambre, je reste sur le pas de la porte tandis qu’elle se penche sur le lit. Cela tombe bien, madame s’incline en écartant les pieds pour être plus stable et descendre plus bas. Bien entendu, la coquine en rajoute car la robe d’été ne lui couvre plus trop le postérieur. Elle prend son temps à faire des chatouilles à sa petite-fille tout en bougeant les fesses. Je suis aux anges, je ne pouvais rêver plus belle arrivée de vacances. Le slip rouge et noir entièrement en dentelles souligne harmonieusement le fessier musclé et légèrement bombé.
—si tu veux aller travailler, ne t’en fais pas pour moi je me débrouillerai bien toute seule.
— Euh, je ne suis pas trop pressé…
— Et tu préfères me voir jouer avec ta fille.
— …
— Tu sais, cela ne me dérange pas, dit-elle en se relevant, souriante. Comme tu restes, tu ne voudrais pas me rendre service ?
— Oui, bien sûr, dis-je, attendant impatiemment sa demande en salivant intérieurement.
— Tu peux me refaire un thé ? L’autre doit être froid maintenant et je n’aime pas ça, demande-t-elle toute contente d’elle.
Bien entendu la boisson est encore bouillante. En quatre minutes, il est impossible qu’elle refroidisse, surtout dans ce genre de tasse.
— Allez, file sur le fauteuil, il faut prendre ton traitement maintenant.
Immédiatement, je m’assois face à ma fille qui m’a gratifié d’un câlin en passant. Ma belle-mère arrive, et se penche pour bien donner le traitement à ma fille. Avec la lumière du jour, ses jambes nues sont un régal pour les yeux, elles montent interminablement vers les fesses. Mon pantalon est prêt à craquer tant la tension souterraine devient intenable. Elle a les jambes bien serrées, les fesses aussi, ce qui m’interdit toute vision plus fouineuse, mais le spectacle est inimaginable. Mon pénis palpite dans le tissu serré mais je n’ose me toucher de peur d’une catastrophe.
— Tu préfères me voir jouer ou donner les médicaments ? demande-t-elle avec une fausse candeur dans la voix.
— Et… euh…
— Tu n’es pas très loquace.
— Marie Claire, j’aime tout ce que vous faites, réussis-je à sortir dans un souffle.
— Tu m’en vois absolument ravie, mon cher gendre, dit-elle d’une voix sensuelle en se redressant.
Puis elle ajoute à ma fille :
— Fais un câlin à papa car il doit vite aller au travail.
Avant de partir, je tiens à remercier Marie Claire en la prenant dans mes bras, je profite de ce court instant pour sentir sa poitrine chaude s’écraser sur la mienne, le visage enfoncé au creux de son cou. Elle n’est pas insensible à la caresse, surtout que mon bambou est toujours à la fête et qu’elle ne peut l’ignorer. À regret, elle me repousse sans un mot en détournant la tête pudiquement, tel un enfant prit sur le fait.
– A ce soir, ma chère belle-mère.
– A ce soir, mon cher gendre, répond-elle en partant vers la cuisine.
Je la regarde quelques instants avant de sortir et foncer à vive allure vers mon travail.
Le soir venu, je roule vite pour ne pas perdre une seconde mais je fais tout de même un petit arrêt histoire de ne pas arriver les mains vides. Sa voiture est dans la cour : chouette, elle n’est pas allée se promener !
Elle ouvre la porte, surprise mais très contente de ma venue, et me le fait savoir par des bises très câlines sur mes joues empourprées. Lorsque je lui tends les modeste fleurs que j’ai achetées, la nouvelle série est plus équivoque, le dernier étant déposé à moitié sur les lèvres. Cette fois-ci j’ai tourné la tête au bon moment.
– Entre, petit coquin.
Elle s’affaire quelque minutes pour mettre les fleurs dans un vase puis elle vient me trouver avec une bouteille de jus de fruits frais et deux verres et me demande ce que je fais ici si tôt. Je lui rétorque sur le même ton que je peux repartir si ma présence la gêne.
– Tu crois ça ?
– Je ne sais pas ce que tu avais prévu.
– Rien de vraiment intéressant, donc je suis heureuse que tu aies pensé à venir me voir.
Encore debout avec les verres à la main, je sens qu’elle ne sait que faire et je suis dans le même état. Lorsque je suis devant Marie Claire je perds tous mes moyens, je deviens un gamin qui attend, passif, ce qu’il doit faire ou non. Les petites exhibitions spontanées étaient du pur bonheur, tandis que là, je suis venu la voir spécialement, je lui offre un bouquet, j’ai essayé de lui voler un baiser sur la bouche…
Enfermé seul avec elle, je suis perdu, je n’ai qu’une envie : qu’elle prenne les décisions, qu’elle me fasse plaisir en montrant les parties secrètes de son anatomie.
Elle sert les verres sagement, en pliant ses genoux serrés, la robe du matin cachant tout ce qu’il y a à voir. Je reste sur ma faim, elle s’en aperçoit et, avec un petit rictus aux lèvres, belle-maman défait les boutons de sa jupe un à un en se redressant complètement. Lorsque la robe est ouverte sur toute sa hauteur, elle sort de la pièce et revient avec un balai. Je la regarde nettoyer en silence, les pans de tissus volant au rythme des gestes du bâton de bois. Je peux voir qu’elle porte le charmant ensemble de lingerie dont j’ai aperçu le slip ce matin. Elle se penche au moindre obstacle pour prendre des poses de plus en plus lascives, puis elle lâche l’ustensile de ménage afin de venir s’asseoir juste face à moi sur la table basse, les jambes ouvertes à leur maximum.
– Mon cher, c’est un véritable plaisir que de m’exhiber devant tes yeux, mais je suis frustrée de ne pas voir l’effet que je te procure.
– Il suffisait de le demander, Marie Claire.
Je me lève pour défaire mon pantalon et je m’aperçois que mon bassin n’est qu’à une quinzaine de centimètres de son visage, ce qui provoque en moi un afflux de sang supplémentaire dans le corps caverneux déjà suralimenté. La ceinture est défaite, les boutons enlevés un à un, je fais glisser l’étoffe sur mes jambes et offre la vue de ma bosse. Celle-ci est terminée par une petite auréole sur le tissu blanc du boxer.
Je me rassois pour me défaire des chaussures, des chaussettes et du pantalon, quand je rencontre ma belle-mère durant la descente. Vive, elle me gratifie d’un baiser volé sur le bout des lèvres, avant de s’éclipser dans la cuisine et de revenir uniquement vêtue uniquement du slip, du soutien-gorge et des mules à talon. Dans l’encoignure de la porte, elle me fait signe de venir, d’un geste de l’index, juste au moment où je finis de retirer ma chemise.
— Je voulais de la compagnie pendant que je nous prépare un jus de fruit frais, et c’eût été dommage de manquer ce charmant spectacle, dit-elle le regard dirigé vers ma hanche gauche.
— Heureux de vous faire plaisir.
— Je pense que tu en prends tout autant que moi. Je me trompe ?
— Pas du tout. C’est un pur bonheur de vous voir en dessous.
— Et de voir dessous ? demande-t-elle l’esprit vif et espiègle.
— J’en serais absolument ravi !
— Eh bien patience, ce jour arrivera…
Me laissant sur ma faim, elle termine de presser une orange puis elle prend une banane de bonne taille et l’épluche lentement en me regardant intensément. Mes yeux vont de ses mains à ses yeux en passant par sa bouche entrouverte et sa poitrine dont les tétons durcis tentent une percée sur la dentelle. La coquine met avec grâce le fruit dénudé dans le mixeur et, sûre d’elle, appuie sur le bouton de mise en marche. Certainement troublée par la situation, la centrifugeuse éjecte des morceaux dans toute la cuisine, et bien entendu les personnes présentes se retrouvent sous le feu nourri du liquide et des grumeaux de fruits. Le réflexe, après le premier geste de recul, est de sauter sur l’appareil pour couper l’alimentation. Nos mains se chevauchent sur l’interrupteur et le calme revient enfin dans la cuisine. Je ne veux pas lâcher les doigts poisseux et, après un échange de sourires, nous nous collons l’un contre l’autre pour un baiser passionné.
Inoubliable de tenir dans ses bras et d’embrasser celle que l’on désire depuis de si longues semaines de frustration ! Nos corps sont littéralement collés, par la force de nos bras et par le sucre des fruits écrasés. Les parfums du baiser aussi resteront gravés à jamais dans ma mémoire.
Les larges pointes s’écrasent sur ma poitrine tandis que mon sexe appuie sur son mont de Vénus. Le souffle court, nous continuons de nous enlacer, aucun des deux ne voulant rompre le moment.
Malheureusement, cet instant magique a une fin ! Celle-ci est donnée par le liquide visqueux qui nous recouvre. Avec la température bouillante de nos peaux surchauffées, le sucre a changé de consistance, et ce qui était agréable devient insupportable. Je dis avec un sourire de satisfaction :
— Je pense qu’il est arrivé !
— Quoi donc ?
— Ce jour, très chère belle-mère…
Tout sourire, belle-maman me prend la main et me dirige vers la salle de bain. Elle entre dans la cabine de douche pendant que je reste à l’extérieur à la mater au travers de la vitre dépolie. Ce n’est qu’un jeu d’ombres, mais diablement suggestif. L’eau coule sur sa tête et la cabine s’emplit de brume. Belle-maman retire le soutien-gorge, puis le bas, avant de se savonner longuement. Je vois ses mains savonner sa silhouette sportive en prenant soin particulièrement des parties intimes. La seule chose que j’ai pu voir est un triangle plus foncé masquant son pubis, le reste étant trop flou. En outre, je ne suis pas très bien placé. Comment bouger sans salir alors que l’on est recouvert de fruits malaxés ?
L’eau arrête de jaillir au-dessus de la tête de belle-maman, la porte en verre s’ouvre, mais juste assez pour laisser passer un bras qui se saisit d’une serviette et l’emmène.
Lorsqu’elle quitte la douche, le long tissu éponge est noué sur sa poitrine et cache son corps jusqu’aux genoux. Frustré, que je suis !
Eh non, ce n’était pas le jour ! dit-elle en me laissant seul dans la salle de bain.
Je me lave rapidement et me sèche avec la serviette qu’elle m’a gracieusement laissée à portée, puis je finis de m’habiller dans le salon, boxer en moins, bien entendu. Il finit en boule dans une poche de ma veste. Madame revient complètement habillée et assagie, nous papotons de tout et de rien tandis que je l’aide à nettoyer sa bévue.
Le reste de la semaine est plus sage. Juste quelques petites exhibitions sympathiques : la routine, quoi ! Mais celle-là, contrairement à beaucoup d’autres habitudes, je n’ai pas encore réussi à m’en lasser.

Un samedi, nous arrivons chez la mère de ma femme vers onze heure trente.
Elle a fait des efforts vestimentaire pour ce repas, il fait frais en cette fin du mois de mai et elle a profité de l’occasion pour recouvrir de nylon ses jambes. Des chaussures pointues à talons couvrent ses pieds tandis qu’une jupe courte et bouffante sur le bas entoure ses hanches et à peine la moitié de ses cuisses. En haut, une veste courte de la même teinte que ses escarpins laisse voir par l’ouverture un haut voilé sur le dessus des seins et opaque à partir du milieu de sa poitrine. La pression commence à monter dès la première vision, un cran de plus lorsqu’elle pose ses lèvres maquillée sur mes joues en attrapant ma nuque d’une main et en appuyant sur ma poitrine de l’autre.
Nous ne nous installons pas sur la terrasse, mais dans le petit salon témoin de nos quelques grivoiseries, et Marie Claire profite de toutes les occasions pour me laisser voir sous sa jupe ou plonger dans son décolleté. Tout est fait naturellement, gracieusement, tout en discutant avec l’un ou l’autre, ce qui fait qu’à aucun moment quelqu’un ne remarque son espiègle manie de s’accroupir dans ma direction.
L’alcool ne parvient pas à calmer le feu qui brûle dans mon bas-ventre, et je décide d’en prendre un second verre pour voir s’il me fera davantage d’effet. En vain ! Je ne peux détacher mes pensées et mes yeux de belle-maman qui virevolte autour de la table, tandis que Marie parle aux filles.
Le repas se passe calmement, je suis assis à côté de ma femme et face à sa mère. À part deux ou trois appel de pieds, rien de notable à signaler. Après le repas, Marie, vautrée dans un des canapés, bouquine une revue féminine tout en regardant une série à la télévision avec nos filles.
— Marine, tu veux m’accompagner ? Il y a une foire à la brocante, dit Marie Claire.
— Non, je vais attendre que la petite se réveille, j’ai envie de profiter un peu d’elle. Tu peux l’accompagner, n’est-ce pas chéri ? demande-t-elle, dédaigneuse et irritée d’avoir été dérangée dans ses activités.
— Oui je peux vous accompagner, comme le dit si bien Marie.
— C’est gentil de te proposer. Je prends mon sac et je te rejoins à la voiture.
La manœuvre de belle-maman a été parfaite, elle connaît sa fille sur le bout des doigts. La voyant ainsi avachie et hypnotisée par la télévision, elle a trouvé rapidement un moyen de se retrouver seule avec moi sans le prétexte des enfants.

— Je ne sais pas à quelle heure nous rentrerons, mais si tu veux vous pouvez manger ici ce soir. Il y a pleins de restes.
— Oui, oui, répète-t-elle en faisant un signe de la main montrant à quel point nous l’ennuyons. Bon après-midi.
Ce n’est nullement une impression, madame veut être seule et nous la gênons. C’est l’occasion rêvée : nous avons l’autorisation de sortir et en plus il n’y a pas d’heure pour rentrer.
Il est déjà quinze heures trente, je démarre et prends la direction voulue par belle-maman, qui n’a pas dit un mot depuis qu’elle est montée dans le véhicule et reste sagement assise, le sac sur les genoux.
— Tu penses vraiment que j’ai envie d’aller prendre un bain de foule ? Finit-elle par dire en posant le sac à ses pieds. Prends plutôt la direction de la campagne, s’il te plaît.
— Comme vous voulez.
— Merci, dit-elle en soulevant légèrement son fessier pour tirer sur sa jupe et montrer la lisière de ses bas.
Tout en conduisant le plus prudemment possible, je m’autorise à regarder ses magnifiques cuisses galbées. Quelques centimètres de peau blanche sont visibles au-dessus des bas noirs, et je me réjouis de la surprise qui s’offre à moi. Ce ne sont pas les bas habituels, les petites attaches caractéristiques me prouvent que belle-maman a troqué la modernité pour un ravissant porte-jarretelles. La sang m’est descendu aussitôt au niveau du pubis, et remplit immédiatement mon sexe qui durcit à son maximum.
L’air de rien elle abaisse le pare-soleil et met une dernière touche à son rouge à lèvres. Les yeux rivés sur le mini miroir, elle me dit d’un ton calme :
— Cela te plaît-il ?
— Beaucoup, réponds-je sachant tout de suite de quoi elle parle.
— Très bien. Après avoir passé ce village, tu tourneras à gauche. Tu te rappelles ?
Le souvenir de cette journée remonte immédiatement.
C’était au début de ma relation avec sa fille, et aussi la première fois que je voyais ma belle-mère dévêtue, en maillot de bain et paréo. C’était le début de l’été et les femmes avaient décidé d’aller prendre un bain de soleil. Ne voulant pas faire beaucoup de route, elles avaient abandonné l’idée d’aller à la mer. Je les avais donc emmenées dans ce petit coin avec une petite rivière bordée d’arbres, il n’y avait personne et nous avions passé un moment agréable.
Moi, fou amoureux, je ne regardais que ma future épouse avec son 2 pièces minimaliste, slip échancré et soutif maintenant péniblement ses seins lourds. Je n’avais pas regardé franchement marie Claire ce jour-là, mais je me rappelle m’être dit : Bien conservée la belle-doche ! avant de passer à autre chose.
Elle a donc elle a prévu de me ramener sur cette petite plage, perdue au milieu des bosquets. Je gare la voiture au bout du chemin après avoir roulé au pas sur le long chemin défoncé. Bien entendu, il n’y a personne en cette saison. L’air est beaucoup moins frais que lors de notre départ. La température est clémente, pas suffisamment pour se baigner, mais pour une exhibition, pas de soucis de chair de poule, les rayons de soleil sont bienfaiteurs.
Marie Claire marche devant en prenant garde à ne pas se tordre une cheville sur le sentier caillouteux menant à la minuscule clairière au bord de l’eau et exposée plein sud. Sitôt arrivée, elle pose son volumineux sac à main sur le sol. C’est fou la disproportion de cet objet : minuscule pour aller à une soirée et gigantesque pour la vie de tous les jours. Je comprends l’utilité du fourre-tout lorsqu’elle sort un plaid fin, bien plié.
— Peux-tu m’aider, s’il te plait ?
Je m’exécute avec hâte et nous posons le carré de tissu à un endroit assez plane. Elle me remercie poliment avant de commencer à quitter sa veste et me propose de me mettre en tenue pour un bain de soleil. Je me dévêts sans demander mon reste et, lorsque je suis uniquement recouvert de mon boxer blanc, Huguette me demande de l’aide. Il ne lui reste que la lingerie pour recouvrir sa poitrine, alors qu’à partir de sa taille elle n’a rien quitté.
— Tu serais adorable si tu pouvais m’aider à enlever mes souliers, j’ai peur de tomber.
À la manière d’un chevalier servant, je m’agenouille à ses pieds pour desserrer les lanières de cuir et retirer les escarpins tandis qu’elle se maintient en équilibre en s’appuyant sur ma tête. Je suis heureux de lui rendre ce service, surtout que la manœuvre me permet de plonger le regard sur ses cuisses.
— Je peux abuser ? demande-t-elle innocemment.
— Tout ce que tu désires.
— Comme tu es bien placé, tu pourrais peut être dégrafer ma jupe et mon porte-jarretelles par la même occasion ?
Je n’en demandais pas autant ! Comme un enfant à Noël, je défais l’enrobage avec minutie pour reculer l’instant où je verrai ses trésors. La jupe en bas, je me trouve face au postérieur cambré, la dentelle moule à merveille ses formes aguichantes, mais pas le temps de regarder : Marie Claire me demande de continuer. Je défais les attaches du premier bas avant de le rouler tout le long de sa jambe en une longue caresse. Elle gémit lentement au contact de mes doigts sur ses jambes douces, le traitement est le même pour le second bout d’étoffe soyeuse. Durant tout ce temps, j’ai eu mon regard sur son mont de Vénus. Belle-maman ne pivote plus pour que je dégrafe le porte-jarretelles, je glisse donc mes mains sur ses hanches jusqu’à ce qu’elles se rejoignent dans le dos au niveau de l’attache. Ce faisant, mon nez se trouve quasiment contre la lingerie, je sens ses parfums intimes pendant que mes doigts viennent à bout de la serrure.
Ma maîtresse, il faut bien l’appeler comme ça maintenant, s’accroupit indécemment, laissant échapper des poils de chaque côté de son slip échancré, et m’embrasse fougueusement. Dans les bras l’un de l’autre, nous roulons sur la fine couverture en oubliant les meurtrissures dues aux galets. Lorsque je deviens un peu plus entreprenant, elle me repousse avec douceur et, calmement, me demande de lui passer sur la peau la crème solaire qui est dans son sac.
Tout a été minutieusement préparé, tout est prévu dans ce sac. Je trouve rapidement le flacon, Huguette est déjà allongée sur le dos. Je contemple quelques instants son corps avant de le toucher. Elle est superbe, étendue sous la lumière naturelle.
— Tu attends quoi, mon cher gendre ? demande-t-elle en appuyant sur le dernier mot.
Elle a cette habitude : comme moi, elle aime dire tout haut les mots désignant notre situation familiale. C’est un fait : l’interdit a quelque chose de très excitant. Entre beau-fils et belle-mère, la sensation parait décuplée.
— Je vous admire, belle-maman, vous êtes superbe !
— Oooh, tu es adorable…
— Je suis sincère.
— Hum ! tu me troubles… Mais n’oublie quand même pas de passer la crème, je ne voudrais pas être brûlée.
— Ce serait très dommage, et d’ailleurs tout aussi dommage de tacher cette magnifique lingerie.
— Tu peux la retirer si veux, répond-elle lascive, laissant tomber tout inhibition.
Voilà : le moment tant attendu est venu ! Avec délicatesse, je défais les deux attaches du soutien-gorge, et sans se lever Marie Claire m’aide à le retirer complètement. Je fais glisser le slip sur ses fesses tandis qu’elle soulève légèrement son bassin, et il coulisse ensuite jusqu’à ses pieds avant de finir avec le reste de ses vêtements. Fébrile, je pose mes mains sur ses épaules pour étaler sur la peau soyeuse la crème que j’ai préalablement déposée avec le flacon sur le sillon de sa colonne vertébrale. Je masse amoureusement tout son dos en n’omettant aucune parcelle, et je pousse la minutie jusqu’à passer sur les flancs où j’effleure la naissance des seins. Huguette gémit doucement sous les caresses.
Je descends doucement sur les reins et m’y attarde le temps d’admirer ses fesses relâchées. Elle ne les maintient plus serrées, l’effet de mes paumes produits son effet, elle est totalement réceptive mais je n’ose pas encore toucher les globes. Je passe sur les côtés pour aller masser les jambes jusqu’au bout de ses orteils. Ses tressaillements assortis des sons provenant de sa bouche à demi ouverte m’incitent à remonter et à passer la crème sur son fessier.
L’approche du sillon central a pour effet d’écarter imperceptiblement ses cuisses, la forêt de poils n’a plus aucun secret pour moi. Aux travers j’aperçois même les parties les plus tendres de sa chair : un œil ridé et sombre ainsi que des lèvres gonflées. L’humidité qui règne dans la gorge est tropicale, des perles suintent et viennent s’emprisonner dans les poils frisés. Je tente une approche plus osée, le majeur est prêt à toucher le fond lorsque la voix douce de belle-maman me parle :
— Mon chéri, tu peux me faire absolument tout ce que tu désires, mais ton mignon bâton reste dans son caleçon.
— À vos ordres, Marie Claire.
La tête tournée de côté et posée sur ses mains croisées, elle attend, yeux clos et bouche ouverte, la suite des évènements. Je suis le seul maître à bord, les mains entourant ses hanches viennent s’immiscer sur la face interne des cuisses pour les écarter significativement. Pendant que j’embrasse sa nuque, je place mes genoux entre ses jambes fuselées. Mon visage descend, descend, descend, son souffle est plus rapide lorsque je me trouve à la lisière de la vallée. Mon caleçon résiste tant bien que mal aux coups de boutoir répétés de mon barreau palpitant, mais il restera prisonnier de sa cage de tissu.
Entrons dans le vif du sujet, me dis-je, et c’est ce que je fais en nichant la langue au creux du sillon, que je goûte sur toute sa longueur. Un rapide arrêt sur la rondelle brune puis je m’occupe de ses lèvres juteuses, je m’allonge complètement pour pouvoir accéder à tous les endroits intimes. Le clitoris est plus dur à atteindre mais elle soulève son bassin en ramenant ses genoux sous ses cuisses. Ses bras n’ont pas changé de position ce qui fait qu’elle est complètement cambrée et offerte.
J’adore ! Je fais un demi-tour pour me retrouver sur le dos, mes mains att****nt ses fesses et ma bouche vient recueillir son nectar. Je la lèche sans cesser de titiller tous ses sens, la bouche s’occupant de la grotte la plus glissante tandis que les mains élargissent la vallée sombre et qu’un doigt taquin vient agacer l’entrée de la plus sèche. Elle ne tarde pas à jouir, mais sans plus d’effusions. Elle retient ses cris dans un halètement rapide et rauque. Son corps accompagne le mouvement de légers spasmes qui cessent progressivement, ses genoux ne la tiennent plus et son pubis vient s’écraser sur ma bouche. Je recueille le nectar abondant coulant de son intimité repue et je me retire pour la laisser reprendre sa position allongée.
Couché face à elle je quémande un baiser qu’elle me rend avec gourmandise, en collant ma bouche sur la sienne, aidé de sa main qui tire ma tête vers la sienne. Elle n’ouvre les yeux que lorsqu’elle décide de cesser notre câlin. Le regard planté dans le mien elle susurre :
— C’était parfait chéri, ta bouche est merveilleuse et ta langue très agile. Ce serait abuser de te prier de recommencer ? demande-t-elle les yeux brillants.
— Pas du tout, avec un grand plaisir !
— Hum… En position, donc ! dit-elle en cambrant son fessier vers le ciel de manière obscène, m’offrant son anus et son sexe.
Placé dernière elle, je me penche pour venir m’amuser avec le trou asséché que j’avais un peu trop délaissé tout à l’heure. Ma langue armée de salive a tôt fait de lubrifier et d’assouplir la peau, il accepte dorénavant toutes les caresses, mêmes les plus vicieuses. Le minou n’est pas oublié pour autant : ma main, après avoir flatté le volumineux clitoris, tend deux doigts qui viennent coulisser sans peine dans le conduit bouillant. Le deuxième orgasme est plus puissant que le premier et elle retombe pantelante sur la couverture de fortune. Nous nous enlaçons une nouvelle fois pour un interminable baiser, puis Huguette sonne le départ. Je me détache d’elle avec déchirement et elle réussit a s’asseoir en tailleur en agrafant son soutien-gorge sans que j’aie eu le loisir de voir sa poitrine. Comme je lui en fais la remarque, elle répond :

— Avec l’âge, ils ne sont plus aussi fermes qu’avant et je n’ai pas envie de les montrer… Tout du moins pas encore, rajoute-t-elle avec un clin d’œil. Mais tu ferais mieux de t’occuper de ton boxer plutôt que de ma lingerie, dit belle maman en désignant de la tête mon entrejambe.
Effectivement, j’ai éjaculé dans le vêtement quand je me délectais de ses fesses et l’auréole étalée sur le tissus le confirme physiquement. Tandis que je contemple les dégâts, belle-maman poursuit son habillage. Elle ne me demande pas d’aide cette fois-ci, donc je me résous à faire de même. Nous quittons les lieux main dans la main. Dans la voiture, Huguette me donne un dernier baiser torride avant de décider que c’est fini pour la journée.
— Il faut que nous reprenions nos esprits pour être présentables, dit-elle d’un ton détaché en se remaquillant.
Je me dis qu’il faudrait que je me nettoie le visage, sinon Marie verra bien que je sens l’intimité féminine. Un coin du cerveau me rappelle que des lingettes de toilette se trouvent dans la broîte à gants.
Durant le retour, nous échafaudons un petit scénario pour donner le change quant à la brocante que nous n’avons pas vue.
Le soir, nous mangeons de nouveau chez belle maman et je ne me lasse pas de sourire, ce qui me vaudra les félicitations de ma femme quant à ma tenue chez sa mère. Et je ne parle pas de ma gentillesse à accompagner belle-maman à une brocante !
Ce jour-là, j’ai marqué d’innombrables points et dorénavant nous voyons ma belle-mère beaucoup plus régulièrement.

Durant le mois suivant, j’ai à trois nouvelles reprises l’occasion de goûter aux charmes intimes de ma douce maîtresse, mais jamais elle ne m’a touché ni montré sa poitrine. Elle a l’art et la manière d’esquiver tous ce que je désire.
C’est pour mieux de faire languir ! est sa réponse. Cela me convient parfaitement, sauf que le temps n’est plus à gainer les jambes, et c’est donc jambes nues que Marie Claire se balade.
Sa garde-robe a été grandement remaniée, ma femme lui en a fait la remarque plusieurs fois. Pour ma part, cela me réjouit de savoir les efforts qu’elle déploie pour me surprendre et m’aguicher. Dans le jeu du chat et de la souris, elle joue parfaitement la chatte friponne.
Ce week-end, nous sommes invités à la campagne pour un rassemblement de cousins, cousines, oncles et tantes de ma femme. C’est une tradition annuelle qu’il ne faut rater sous aucun prétexte ! D’habitude, ces journées me semblent longues et ennuyeuses, mais cette année je suis partant.
Nous démarrons le vendredi soir, emmenant belle maman dans notre auto.
Le repas du soir est un peu décousu et se déroule suivant l’heure d’arrivée des convives. Nous atterrissons tous les cinq dans la même pièce pour le couchage. Je gonfle les matelas pour les filles, tandis que ma femme couchera dans le bas d’un lit gigogne, sa mère de même sur le lit opposé, et moi au-dessus de ma femme. Ambiance colonie de vacances assurée, nous en rigolons franchement et nous nous endormons profondément.
Le lendemain au petit déjeuner, certains ont la tête dans le sac, surtout les plus jeunes qui ont veillé tard en buvant beaucoup d’alcools. Une voix s’élève pour demander le pain, une deuxième et ainsi de suite, pour s’apercevoir finalement que tout le monde a oublié cet ingrédient essentiel. Nous sommes à plusieurs kilomètres du premier commerce ouvert et comme personne ne se sent fautif ou concerné, je me propose d’aller en acheter pour le week-end.
— Bravo, la famille ! fait remarquer Marie Claire. Personne ne veut l’accompagner ? Eh bien je vais aller avec la pièce rapportée pour ne pas qu’il fasse le voyage tout seul !
Personne ne s’offusque de la levée de voix, et après deux ou trois chansons (eh oui, même au petit-déjeuner, ils font la fête) nous partons en quête de pain. J’ai mis la tenue estivale passe-partout : pantacourt, tee-shirt et chaussures de sport, plus un petit pull car il fait un frais ce matin en altitude. Belle-maman se contente d’une robe rehaussée d’un carré d’étoffe chaud jeté sur ses épaules nues. Je suis très content de partager la longue route sinueuse menant à la civilisation, ainsi accompagné.
Dès que le premier virage nous cache, Marie Claire m’embrasse et il me faut du réflexe pour éviter la sortie de route. Se confondant en excuses, elle essaye de se faire pardonner et, entrant dans son jeu, je feins de l’ignorer. Pour la première fois, je sens une main se promener sur ma cuisse, pas très longtemps d’ailleurs, les ongles manucurés grattant le tissu tendu comme pour trouver le code d’entrée.
— Marie Claire, ce serait plus facile si vous ouvrez.
— Si j’ai l’autorisation, c’est avec plaisir que je te sucerais, dit-elle avec candeur.
Je suis tellement surpris par ce langage si explicite que je ne sais quoi répondre. Surprenante, cette belle-maman adepte du bien parler ! Elle attend et ajoute :
— Tu n’aimerais pas que je mette mes lèvres autour de ton gland ?
— J’ai bien compris, Marie Claire ! dis-je, gêné de l’entendre parler ainsi.
— Ne sois pas choqué, mon cher gendre, tu apprendras que j’aime être crue en certaines circonstances, et celle-ci en est une. Laisse-moi donc gober ton sexe tout entier, chéri.
La braguette descendue, je gymnastique un peu sur mon siège pour que mes habits finissent autour de mes genoux. Elle détache sa ceinture de sécurité, plonge tête en avant sur ma queue dressée sans se poser de question et l’engloutit complètement sans un bruit. Je ne suis pas un étalon de cirque, mais mon sexe est de taille respectable et jamais personne ne l’avait ainsi caressé ! La tête de Marie Claire monte et descend sans hoquet jusqu’à ce que ses lèvres touchent mon pubis. La tension est trop puissante, je ne peux me concentrer et me gare au premier endroit trouvé ! Moins stressé, je peux alors apprécier cette gorge profonde à sa juste valeur. Une main sur sa tête, j’accompagne le mouvement de piston et je masse sa nuque lorsqu’elle s’occupe exclusivement de la tête de la tige avec sa langue agile. J’ai du mal à retenir la montée de l’orgasme, elle marque donc une pause et vient m’embrasser d’abord les lèvres, puis le cou, et remonte à l’oreille.
— Je veux connaître le goût de ta jouissance, alors fais-moi plaisir : ne te retiens pas !
Le message est parfaitement compris et, de toute manière, je n’ai pas de réponse à donner ! Elle suce de nouveau mon sexe sensible. Une main malaxant doucement mes bourses, elle titille mon gland prêt à exploser, ce qui ne tarde pas. Il ne se sera pas passé plus de cinq minutes entre l’ouverture de la braguette et les geysers de semence s’écrasant au fond de sa gorge. Rien ne sera gâché et lorsqu’elle viendra me gratifier du baiser final, je goûterai à ma propre intimé sans aucun dégoût !
Cette femme est décidément pleine de ressources et de dons cachés.
— Tu permets que je me masturbe pendant que tu reprends la route ? me demande-t-elle sans attendre de réponse.
Pieds sur le tableau de bord, siège renversé, elle promène sa main sur le minou touffu qui est libre de toute lingerie puisqu’elle vient de me donner son string à renifler. Décidément, madame est déchaînée.
Elle gémit de tout son être quand, trois doigts dans le vagin pendant que l’autre main s’occupe du bouton de commande, elle est assaillie par un puissant orgasme. Démonstrative, elle pousse de petits cris jusqu’à ce que son corps arrête de tressaillir de plaisir. Elle prend le string de sa main humide, s’essuie et me le rend en disant juste :
— Cadeau.
Le reste du trajet est détendu, nous prenons même le temps de déjeuner dans un café. La conversation est moins conventionnelle que d’habitude. Nous parlons de nos expériences sexuelles passées, de nos envies, de nos réticences, et bien sûr du plaisir que nous prenons tous les deux uniquement en préliminaires et exhibitions.
Le retour est plus calme, la journée se passe très bien. L’important est que ma maîtresse n’est pas bien loin et nos regards croisés en disent long sur ce qui nous relie. C’est dur de ne pouvoir être plus près d’elle, mais il est trop dangereux de s’exposer devant toute la famille réunie.

Une promenade est organisée après l’interminable apéritif et du tout aussi long repas de midi. Assoupi dans un fauteuil, je fais celui qui dort car j’ai ouï que belle-maman restait pour je ne sais quelle raison. Je ne me retrouve pas seul avec elle, mais nous ne sommes pas beaucoup à ne pas sortir. La grande majorité cuve dans sa chambre la vinasse ingurgitée, et les rares qui restent lisent ou s’occupent comme ils le peuvent. Pour ma part, j’ai choisi de mettre mon lecteur MP3 en marche et de lézarder en plein soleil sur une chaise-longue.
Alors que je m’étais assoupi, une main se pose avec douceur sur mon biceps, et j’entrouvre les yeux pour rencontrer ceux de ma chère belle-mère.
— Un petit rafraichissement ? propose-t-elle en me tendant un verre que je sais contenir le fameux vin d’orange.
— Merci beaucoup.
Elle s’assoit à côté de moi de manière à ce que mon regard puisse plonger sur ses poils pubiens, et je plonge la main dans la poche gauche de mon pantacourt pour vérifier que je n’ai pas perdu le string. Il faut vraiment que je le cache quelque part, sinon je risque d’avoir des soucis !
On verra ça tout à l’heure…
La coquine avance son bassin pour que ses lèvres s’écartent dangereusement. Le puits noir semble sans fond. Mon caleçon devient très étroit et d’un geste rapide je remets l’outillage en place, ce qui amuse madame qui ne cesse de me taquiner sur le sujet en susurrant des mots plus crus les uns que les autres.
Jamais personne ne se serait douté que la gentille, la polie, l’introvertie Marie Claire est une coquine trop longtemps frustrée ! Le fait de l’avoir regardée à son insu a réveillé ses instincts primaires et, comme pour ratt****r le temps perdu, elle joue la coquine avec son gendre et celui-ci ne s’en plaint jamais.
Son fruit suinte, elle est surexcitée, sa main sur ma cuisse devient précise. Je prends peur du fait de la prom

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