Sylvie ma voisine d’enfance IV
(histoire vraie)
Le lendemain, je retrouvais Sylvie dans le train, une vielle micheline bleue diesel. Pimpante, mais trop fardée, elle portait un tailleur bleu ciel, de petits escarpins beiges et des collants chairs, un charme discret mais sexy. En m’approchant d’elle pour lui faire la bise, le haut de son tailleur avait baillé et j’avais pu entrevoir un magnifique soutif en dentelle blanche. Je m’assis en face d’elle, elle me sourit.
– « Ton massage d’hier m’a fait beaucoup de bien » me dit elle, « j’ignorais les massages de pied c’est divin »
– « Toutes les zones du corps sont stimulées » lui dis je
– » Je m’en suis aperçue » riat’elle
Je l’a dévorait des yeux, déjà elle m’excitait, sa cheville épaisse vint se frotter contre la mienne, elle desserra un peu les jambes et je cru voir une belle toison noire dans un écrin de dentelle blanche. Tout en me racontant sa journée de travail, elle jouait avec le bord de la jupe de son tailleur, le relevait légèrement, le tirait et recommençait. Croisant et décroisant les jambes, ses cuisses rondes se découvraient puis se couvraient, je vus une démarcation de bas, dim-up était inscrit en caractère anglais, elle avait mis des bas…
Je me liquéfiait dans mon siège, me penchant vers elle pour lui parler à l’oreille.
-Tu as mis des bas ? lui dis je
– « Oui je les ai acheté entre midi et deux pour toi » me dit elle un sourire coquin au bord des lèvres
– « Je t’adore » lui dis je
Elle rougit.
-« Je me sens belle à tes cotés » me déclara t’elle
Nous arrivâmes chez elle, sitôt la porte close, nous nous embrassâmes furieusement. Dans la fougue de nos baisers, je fis tomber le bas de sont tailleur bleu ciel, la plaqua contre la porte et ôta son haut. Elle fut surprise de mon empressement mais me laissa faire.
Perchée sur ses escarpins, uniquement vêtue de son ensemble de lingerie en dentelle blanche et les jambes un peu boudinées dans ses dim-up chairs, elle chercha de sa main droite mon entre-cuisse.
Soupesa mes bourses, déboutonna mon jean et glissa sa main dans mon boxer, mon jean tomba sur mes chevilles, sorti mon sexe bandé, ses caresses s’attardant sur mon gland. Je malaxais son opulente poitrine et sorti son sein gauche de la dentelle blanche, ses aréoles étaient larges et brunes son téton dur et dressé comme mon sexe.
Je m’attardais lécher cette belle aréole brune et un peu granuleuse, en évitant soigneusement son téton dur. Mon genou vint se placer entre ses cuisses, j’opérais un mouvement de va et viens, frôlement de mon genou sur sa dentelle qui couvrait sa toison noir de jais. Elle me mordit l’épaule, un pincement sensuel me signifiant son approbation. Je sentais l’humidité de son désir, sur mon genou, ma bouche descendit jusqu’à son ventre rond, les traces de la brûlure de l’eau bouillante de son accident domestique de petite fille était toujours présentes.
J’introduis ma langue dans son nombril, le lécha, baisa son ventre replet. Puis ma tête descendit entre ses cuisses, qu’elle entrouvrit d’avantage pour me faciliter le passage. Ma langue lapa le gousset en coton de sa culotte, il était trempé de son désir, elle ondula d’avant en arrière se frottant sur ma langue ferme . Elle sorti son sein droit de son écrin et commença à se caresser les seins. Tremblante d’envie, elle dansait sur ma langue choisissant les endroits où elle désirait que ma langue la stimule. J’étais à genou, Sylvie bloquée contre sa porte d’entrée, d’une main, je découvrit son sexe en passant sa culotte sur le coté. Sa chatte ouverte et luisante, m’était enfin offerte, perlant de désir, elle appuya ma tête contre son sexe.
Ma langue la pénétra profondément, elle eu un haut le cœur, balbutia un râle sourd. Je buvais la chatte de Sylvie, aspirait son jus qu’elle m’offrait sans retenue ni gêne. Elle quitta rapidement ses escarpins et sa jambe gainée de nylon vint frotter contre ma verge dure et droite. Je l’absorbais, le nez dans sa toison naturelle très brune et fournie, la langue en elle, au plus profond que je puis. La sentant venir, je remontais ma langue jusqu’à son clitoris dressé que les mouvement de mon front sur lui avait stimulé. Ma bouche goba son pistil, l’aspira, le fit rouler sur mes lèvres. En un soupir fort, elle jouit dans ma bouche, tangua et s’écroula sur moi.
Lourde et abandonnée, elle tâchait de reprendre ses esprits, je posais des baisers dans son cou… Revenant à elle, elle embrassa mon torse, puis descendit sa tête jusqu’à ma verge, je lui caressait les cheveux. Pris mon gland entre ses lèvres rouge et aspira mon gland turgescent. Je relevais ses cheveux pour profiter du spectacle qu’elle m’offrait. Sylvie, ma voisine, me suçait la bite avec gourmandise. Celle qui m’avait tant fait fantasmer qui avait été en quelque sorte mon initiatrice sexuelle sans le savoir, s’affairait sur ma queue me suçant divinement. Ma verge dans la bouche, elle poussait des petits cris de satisfaction.
-« Regarde moi » lui dis je
Elle planta ses yeux marrons dans mon regard, sortit ma verge de sa bouche, donna deux coups de langue agile sur les bords de mon prépuce.
– « Elle est vraiment bonne ta queue » me dit elle mutine «
Je l’embrassa, l’a releva en me levant, la prenant par la taille, je l’a fit asseoir dans le canapé, je fit glisser sa dentelle mais la laissa toute recroquevillée sur sa cheville gauche le gousset en coton bien en vue pleine de cyprine chaude.
A genou, je l’attirais vers moi, lui fit ouvrir grand ses cuisses et la contempla. Offerte, impudique, les seins sortant de son soutif, son sexe ouvert et mouillé. Elle avait une belle chatte Sylvie, une belle toison noire un peu crépue qu’elle devait tailler légèrement au ciseau. Ses lèvres étaient charnues, brillantes, je me recula un peu et commença à me branler devant elle, en l’admirant ainsi devant moi. Elle écarta sa chatte des deux mains pour offrir à ma vue son tréfonds… Elle était rose et pleine de pertes blanches, sa chatte, j’adorais la voir ainsi s’exhiber pour moi.
-« J’ai jamais fait ça » me dit elle « mais avec toi je me sens à l’aise », « je mouille comme une folle, j’ai jamais mouillée comme cela… » je sais pas ce qui m’arrive »
Je lui sourit et dirigea ma langue sur son clitoris, elle frémit, tout en me caressant les cheveux, je senti les frissons parcourir tout son corps…
-« Oh oui lèche moi » me dit elle en me regardant dans les yeux, « lèche moi bien, c’est trop bon »
Sur ses encouragements je glissais un doigt en elle, mon index la pénétra, je le ressorti et je la pénétrais du majeur, sorti de sa fente béante, je dirigerais mon index vers sa bouche qu’elle ouvrit…
-« Goutte ta chatte comme elle est bonne » lui ordonnais je
Docile, elle suça mon doigt
-« C’est vrai qu’elle est bonne » me dit elle, « c’est doux je l’avais jamais gouté » « regarde comme je coule » reprit elle, j’ai jamais vu ça… »
– « Le majeur c’est pour toi, l’index c’est pour moi lui « dis je en léchant mon doigt me délectant de sa mouille. Elle n’embrassa profondément puis introduit son index et son majeur en elle, se tapota le clitoris, vibra et me proposa son index trempé de cyprine.
« Le majeur c’est pour toi, l’index c’est pour moi me dit elle en riant et elle me présenta ses deux doigts que je léchait avidement.
Elle était joueuse et coquine Sylvie, complément désinhibée par les jeux sexuels avec son voisin d’enfance de quelques années son cadet. L’adolescente timide et discrète qu’elle avait été se révélait à elle même, La jeune mariée se laissait doigter et lécher par son voisin de toujours, lui pompait la queue avec avidité et gourmandise fondait sous ses caresses…
-« J’ai envie te t’avaler me dit elle un peu gênée »
A SUIVRE
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