La journée avait été assez difficile, j’avais couru un peu sans m’arrêter, et perdu beaucoup de temps dans les embouteillages, j’avais fait deux visites infructueuses, et j’étais tombé sur un couple qui ne savait pas trop ce qu’il voulait en matière de logement. J’étais fatigué.
Je rentrais à l’appartement vers 19h, et fut surpris de trouver tout éteint. Il n’y avait personne. Aucun mot sur la table. Je pris mon téléphone, mais tombait directement sur le répondeur de ma mère.
Je pris une douche rapide, et n’ayant toujours pas de nouvelle, je commençais à me préparer des pates (je ne suis pas un fin cuisinier) tout en allumant la télévision. Le journal de 20h se terminait, et je n’avais toujours pas de nouvelle.
Je retournais à la salle de bain pour me brosser les dents. En terminant, je remarquais le petit sac que ma mère laissait par terre avec son linge sal. Une envie furieuse d’aller y jeter un œil dedans m’envahit, et j’en sortit la petite culotte qu’elle portait la veille. Par pulsion, je la mis aussitôt à mon nez pour en obtenir l’odeur, et retrouver le parfum de la chatte de ma mère. Je me mis à bander aussitôt. Tout cela fut rapide, et en moins d’une minute, je me surprenais à me branler avec la culotte de ma mère au bout de mon gland. Je la désirais secrètement. Ou plutôt, en relativisant, je me disais que c’était la femme que je connaissais depuis le plus longtemps, et c’était normal que j’avais ce genre d’idées… L’excitation venait du fait de cet interdit, ce tabou, quelque chose me disait d’arrêter, que c’était mal. Et justement, comme c’était mal, cela était encore plus excitant. Il y avait un coté jouissif dans cette perversité.
C’est à ce moment que ma mère me téléphona. Je répondis rapidement.
– Oui maman, tu es où ?
Je me rendis compte que j’étais, malgré moi, jaloux. J’aurai voulu que ma mère soit à la maison avec moi, mais elle était dehors, et je ne savais pas ce qu’elle faisait.
– Je suis avec Monique (notre ancienne voisine). Elle m’a invité cet après-midi, on a discuté, et on n’a pas vu le temps passer. Je ne vais pas tarder à rentrer, tu as mangé ?
– Oui, je t’ai attendu jusqu’à 20h
– Je suis désolée, je rentre là, je vais partir de chez elle.
Tandis que ma mère me parlait, je me branlais de plus en plus fort. Mon gland frottait de plus en plus fort contre sa culotte. Je m’imaginais sa chatte, que j’avais vu la veille dans le lit, et je repensais à ce matin, à cette fellation qu’elle m’avait fait pendant le petit déjeuner.
Et en même temps c’est ma mère, et je la respecte. J’aimerai lui dire des trucs un peu salaces au téléphone, mais ça me gènerai trop. Je n’aurai aucun problème à dire des trucs cochons à une autre fille, mais là ma mère… ça bloque. J’avais besoin d’encouragements.
– Maman, dis moi que tu m’aimes.
– Ohhh… Mon cœur… Je t’aime… me murmura t-elle de sa voix la plus douce. Voix qu’elle prenait quand j’étais petit, quand je me faisais des écorchures, ou quand je pleurais.
– Maman, je suis en train de me branler, avec la culotte que tu portais hier…
Je ne reconnus pas ma voix, elle était toute basse, presque dite dans un souffle. Ma mère ne disait rien. J’étais mal à l’aise. Elle raccrocha.
J’étais du coup très mal à l’aise. Mon erection tomba un peu. Que se passait il ? Pourquoi ma mère avait elle raccroché, alors que j’avais réussi à lui dire mon envi pour elle. Je sentais que mes pulsations s’accéléraient. J’étais mal à l’aise. J’étais perturbé par tout ce qui se passait, si vite. Et si ma mère regrettait ce qu’il y avait eu ces dernières 24 heures ?
J’étais mal, vraiment mal.
Deux minutes plus tard, qui me parurent interminables, ma mère rappela. Je décrochais, et j’entendis au son du téléphone qu’elle était dans la voiture.
– Je suis en train de rentrer. Je ne pouvais pas parler, j’étais face à Monique.
Je ne dis rien.
– Tu me disais que tu étais en train de faire quoi ?
– Je me branle dans ta culotte maman.
– Dans ma culotte sale ?
– oui…
– Et tu penses à moi ?
– oui maman
– Tu l’as déjà fait ?
– heu…
J’étais assez mal à l’aise, cela révélait tellement de mes secrets les plus intimes. Le genre de chose tellement enfoui que l’on ne sait pas comment verbaliser.
– en fait, deux ou trois fois, oui, quand on vivait encore avec papa.
– et ca te plait ? ca t’excite de te branler en pensant à moi ?
– oh maman… (je dus me retenir pour ne pas éjaculer d’un coup) oui ça m’excite fort. Mais c’est du fantasme, tu vois ?
– je t’ai peut etre un peu brusqué entre hier et ce matin. c’est bien qu’on en parle. Je me sens tellement inutile, et aussi tellement fautive de notre situation. Si j’avais fait un effort, nous serions toujours avec ton père, dans une belle villa, tu ne serais pas obligé de travailler comme un fou comme tu le fais aussi.
– tu n’étais pas heureuse maman.
– c’est vrai, mais je pense que je n’ai pas suffisament pensé à toi. Et maintenant, comme je t’ai dit, c’est toi l’homme de la maison. Et bien que je sois ta mère, je te suis très redevable, de prendre soin de nous, et je peux comprendre que tu ais besoin de réconfort, de douceur, de ces choses que l’on retrouve quand on retourne à son foyer. Je sens que c’est quelque part mon rôle qui est là dedans. Si tu en as l’envie.
– Maman, je vais jouir…
– Tu ne peux pas attendre que je rentre ?
– non, je me branle depuis un moment, je vais jouir… Et puis je ne sais pas, c’est trop tot, je ne suis pas prêt je pense. c’est un peu perturbant…
– je comprends.
– maman, je jouis… (j’avais des images en tête où j’enfilais ma mère sauvagement dans le cul)
Je me sentis gicler copieusement dans la culotte de ma mère, et le sperme chaud coula à l’interieur, pour se répendre ensuite par terre.
– je t’aime, murumura ma mère.
Epuisé, j’allais me coucher et éteignis la lumière. Je m’endormis presque aussitôt.
Lorsque je me réveillais dans la nuit, ma mère était couchée à coté de moi et dormait. Je ne l’avais pas entendu rentrer. Sans doute n’a t-elle pas compris que je m’endorme si vite. Elle a du trouver sa culotte remplie de sperme, posée par terre dans la salle de bain. Elle respirait doucement, à coté de moi. Je me blottis contre elle, et elle se tourna un peu vers moi. On s’endormit.
(à suivre)
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