Ceci m’est arrivé lors de mon départ pour la Belgique, ne serait-ce que pour aller voir ma famille lors des vacances d’été en 199? je crois. Je m’étais installé dans un compartiment sans billet mais je savais que je risquait gros, mais de belles paroles et de beaux compliments adressés au personnes qui travaillent pour les chemins de fer peuvent parfois vous dispenser d’un billet aller uniquement.
Ainsi, en m’installant, et j’étais vêtu bien entendu d’une tenue très simple, en short et maillot tout simplement et les gens avaient bien remarqué la propreté d’un jeune homme qui sentait le parfum et me regardaient avec le sourire.
C’est alors que les hommes faisant partie du train commençaient à déployer leur machine pour le compostage et le vérification des billets mais moi, sans avoir peur et avec discrétion, mon short avait une fermeture éclair au niveau du sexe et j’avais abaissé celle-ci afin peut-être d’en tirer un profit.
Les hommes étaient des contrôleurs et étaient physiquement bien montés : ils étaient au nombre de cinq car trop de voyageurs en raison de la période estivale.
Ils étaient tous vêtus d’une veste et d’un pantalon noirs avec un béret et très rapidement passaient près de mon siège pour vérifier si j’avais bien un titre de transport.
Tout d’abord, ils ont enlevé leur veste car le train était envahi par une chaleur excessive cet été et enfin me demandaient le billet.
Je leur ai répondu que les guichets étaient fermés dans mon village et que mon oncle s’impatientait car il souffrait et nécessitait ma présence chez lui.
Ils m’avaient demandé pourquoi je n’étais pas passé dans une autre gare où un guichet pouvait me renseigner sur le tarif car je voyageais non seulement sans titre de transport et de plus, s’il m’arrivait un accident, pas d’argent crédité sur mon compte. Ils m’ont demandé de les accompagner.
Je me suis dit que j’étais un homme pouvant les dissuader et me dispenser de l’amende.
Le contrôleur m’a demandé si je partais réellement à destination et dans quelle ville.
Je lui ai répondu que ma présence était nécessaire à mes proches.
L’autre contrôleur, un homme aussi âgé que moi me signalait une fermeture éclair mal fermée mais il avait dit que cela ne le gênait pas excepté les voyageurs.
Je lui ai demandé si c’était moi ou la fermeture éclair avec son contenu qui le gênait et avait pris cela comme à la rigolade, et cet homme suggérait à ses collègues, à savoir si je devais payer tout de suite ou me proposer une amende, moi j’ai dit que le gland avait un goût âcre.
Ces hommes relevant des chemins de fer m’avaient demandé si la fermeture éclair réellement défectueuse. Je leur ai répondu que la chance n’était pas au rendez-vous et qu’une fermeture éclair coûtait cher pour un short ayant été acheté dans un magasin de sport.
Les voyageurs sont nombreux et la période estivale avait baissé ses tarifs mais m’avaient recommandé de remonter la fermeture éclair.
J’ai insisté en leur répliquant que cette fermeture avait des défauts et s’ils le voulaient,je pouvais changer de short. Ils m’avaient demandé le rapport entre l’amende et « le gland ».
Je leur ai confirmé mes expériences avec des hommes en leur suçant le gland avec ma langue et avec un tact afin de les faire jouir et qui ont duré pour chacun vingt minutes et ces hommes sucés n’en pouvaient plus et m’ont affirmé que je chatouillais trop.
Aussi, ont-ils demandé à moi, pendant que nous étions dans un compartiment libre de faire la même chose pour être dispensé de l’amende. J’ai consenti et chacun a ôté la belle chose du pantalon et j’ai réussi à les faire tellement bander et ils m’avaient dit que ma langue était très bonne pour lécher ou faire une suce et que j’avais un don particulier.
Chacun avait ressenti non seulement du plaisir car leur épouse ne savait pas sucer mais que ma langue était parfaitement un accessoire pour les glands des être-humains et bien mieux que l’amende. Ils m’avaient caressé ma petite tête et m’avaient dit que j’étais un beau gosse, puis vient le moment où il était temps de retirer la chose de ma bouche et de lâcher à fond le liquide, bref les fauteuils, un peu immaculés.
Ces hommes, après mon utilité m’avaient dispensé de l’amende et me disaient de recommencer lors d’un autre voyage me promettant de m’exonérer d’un voyage simple en échange d’une suce la prochaine fois et me disaient d’être présent.
MORALITE : Je ne savais pas que sucer était un art.
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