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Il faut dire que j’adore une chose : c’est sucer l

Il faut dire que j’adore une chose : c’est sucer l



Auteur : MBS

Je m’appelle Marie-Blanche, j’ai cinquante-trois ans, mariée, un enfant, heureuse en couple, même si avec mon mari, nos effusions et câlins deviennent très rares. Je suis plutôt bien faite, sportive, mince, joli visage avec des lèvres pulpeuses, 1,68 m pour 60 kg, une belle poitrine bien ferme en 85 B. Je suis une brune teinte en blonde et non épilée à part le maillot, car mon mari adore ma touffe au-dessus de mon sexe. Il adore me voir me balader nue après la douche, même si ça ne l’émoustille pas pour autant.

Je viens d’avoir une promotion et je dois partir en formation à Marseille pendant trois mois. C’est long pour nous deux qui n’avons jamais étaient séparés. J’ai loué un appart-hôtel en ville, car je n’aime pas aller au restaurant seule le soir. Mon mari m’accompagne ce week-end pour l’installation et le repérage du centre de formation : pas très loin de l’hôtel, je pourrai laisser ma voiture au garage. Nous discutons et divaguons sur ces trois mois, nos esprits s’échauffent un peu et mon mari me dit qu’il espère que je serai sage.

J’ai toujours eu une envie, plus ou moins cachée dans le fond de mon esprit, c’est d’appartenir à plusieurs hommes à la fois. Bien que cette situation ne m’excite rien que par la pensée, je n’ai pas encore franchi ce seuil. Nous en avons bien discuté de temps en temps avec mon mari, idée d’ailleurs qui l’excitait au moins autant que moi, à condition de participer évidemment, car il pensait à pratiquer le candaulisme, mais passer à l’acte était toute autre chose.

Il faut dire que j’adore une chose : c’est sucer les bites ! Dès mon plus jeune âge au lycée à Aix-en-Provence, j’ai sucé pour la première fois la queue de mon petit copain de l’époque, dans sa chambre et j’ai adoré ça. Au début, ça a était une surprise de voir ce sexe tendu et ce gland rouge au-dessus, je n’en avais jamais vu. Je l’ai d’abord touché, puis il m’a montré comment le branler et enfin, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai tout de suite eu envie de le mettre dans ma bouche. Je le suçais partout dès que j’en avais la possibilité, aux toilettes du bahut, au cinéma, dans le bus, plus tard dans les voitures, bref, partout. Mes petits copains au lycée se sont succédé, ils devaient se passer le mot entre eux, car dès que possible, ils me mettaient leur objet dans la bouche et j’adorais toujours ça ! Avoir ce bout de viande dur entre mes lèvres, le faire jouir dans ma bouche, me procure un plaisir intense, et suffit à mon bonheur. Mes petits copains de l’époque ne s’en plaignaient pas, mais même si de temps à autre, ils essayaient de mettre leurs mains dans ma culotte, je ne les laissais jamais aller très loin : car mon plaisir, c’était d’avoir leurs queues dans la bouche.

À l’époque, j’étais désinvolte, et j’aimais aguicher les hommes. Je me souviens de la fois où mes parents refaisaient faire la peinture de notre maison. C’était l’été après le bac. J’adorais me mettre seins nus à la piscine. Alors que les deux ouvriers me mataient sans cesse, le plus jeune des deux a eu droit à l’hommage de ma bouche, un après-midi où nous étions seuls à la maison : un régal !

Tout ça m’a procuré des avantages, comme, par exemple pour le permis de conduire. Je l’ai eu facilement, car mon moniteur d’auto-école adorait me donner des leçons gratuites dans la campagne environnante avec, comme récompense, une petite pipe avant le retour.

Après mon mariage, ayant surpris mon mari se faisant sucer par son assistante, il n’avait rien trouvé de mieux à dire que :

— Sucer n’est pas tromper !

Je ne m’en suis donc jamais gênée ! Ma promotion vient sûrement de là, car mes chefs successifs ont tous adoré se faire sucer ! Surtout le dernier, un petit maigre chétif à qui sa femme n’octroie jamais de plaisir buccal et qui s’en plaignait ouvertement, dès que nous étions seuls. Et je lui rétorquais toujours avec le sourire pourtant, sucer, ce n’est pas tromper, ma devise de toujours. Il m’avait fait doucement comprendre que les promotions rapides pouvaient exister si les subalternes étaient dociles. Un soir alors que tous mes collègues avaient quitté le bureau, je suis allée lui dire que tout le monde était parti. Il en profita pour me demander si je pensais qu’une promotion pouvait être envisageable ? À mon grand étonnement, il me fixa dans les yeux en me disant :

— Je crois qu’une petite pipe ne serait pas de refus.

Je me suis donc approchée, il a défait son pantalon, s’est mis debout et je l’ai sucé. Il avait un tout petit sexe et plein de poils autour, c’était rigolo, car deux doigts suffisaient pour le branler et son gland sortait à peine ! Il a joui très rapidement et mes visites dans son bureau sont devenues très fréquentes.

Bref, revenons-en à notre histoire, le concierge de l’hôtel nous a indiqué un restaurant qui fait soirée dansante le samedi, sur la corniche. Nous arrivons, le cadre est magnifique, face à la mer, waouh que c’est beau !

Je me suis habillée d’un joli chemisier qui laisse deviner mon soutien-gorge et d’une jupe courte à mi-cuisse (mon mari adore ça) avec un string de circonstance pour exciter mon homme. Nous dégustons l’apéro, un mojito fraise un peu corsé, (heureusement que nous allons manger !). Puis un deuxième en attendant le repas, la chaleur me monte aux joues, je me dis qu’à ce rythme, je ne tiendrais pas longtemps. Le repas à base de poissons est un délice, nous l’accompagnons d’un Côtes-du-rhône blanc, un vrai plaisir !

Avant le dessert, le DJ fait son apparition et nous allons danser. Il y a une petite salle voûtée à côté de la salle de restaurant, c’est vraiment très chouette. Plusieurs couples et plusieurs personnes seules dansent avec nous, l’ambiance chauffe, c’est sympa. Les danses créoles se succèdent et plusieurs blacks, plus tôt jeunes, s’en donnent à cœur joie : ils ont un sens du rythme extraordinaire. Le dessert arrive et nous quittons la salle de danse à regret. Mon mari semble fatigué après ces danses et ce copieux repas. Je lui demande s’il veut rentrer, mais il me dit qu’il est bien et que la soirée ne fait que commencer. Il commande une bouteille de champagne et nous trinquons à notre soirée.

La musique est revenue, je suis un peu pompette, mon mari est vautré sur la banquette. Je lui propose d’aller danser, mais il me dit qu’il est un peu cuit. Je suis un peu déçue.

Un des jeunes blacks, me voyant assise et pas très contente, vient m’inviter à danser. Je regarde mon mari pour lui demander si je peux, et il me dit :

— Oui, je te surveille !

Nous allons sur la piste de danse, mon cavalier est très grand, au moins 1,90 m, musclé et très mince. C’est un roi de la danse, il a un super rythme ! Il se colle un peu à moi, mais je trouve ça agréable, qu’une vieille comme moi puisse encore plaire à un petit jeune, c’est valorisant, excitant ! Une zumba endiablée commence, il me fait virevolter dans tous les sens et ne manque pas la moindre occasion pour se frotter un peu à moi. Il est d’une douceur extrême, un super danseur.

Je suis en nage, je lui propose de venir boire une coupe de champagne à notre table : il accepte volontiers. Il est sénégalais et vient souvent le samedi pour danser, nous dit qu’il ramène souvent des femmes esseulées et des couples en recherche d’aventure. Nous finissons les présentations et buvons notre coupe de champagne, dans le confort moelleux d’une banquette, dans une pénombre travaillée. Échanges de confidences à gros renfort de frôlements et mots sucrés, il n’hésite pas à mettre sa main sur ma cuisse et à s’aventurer un peu plus loin. Lorsque des slows commencent, il demande à mon mari s’il peut m’inviter à danser, mon mari l’y autorise. Mon grand black me prend par la main et m’emmène sur la piste. Il y a des femmes qui dansent avec ces jeunes noirs, ils sont collés-serrés, alors qu’ils ne semblaient pas se connaître il y a une heure encore ! J’accepte avec sourire ce badinage sommaire qui lui fait du bien sans toutefois perdre ma lucidité, un peu entamée il est vrai par les coupes de champagne.

C’est avec une certaine délectation que je me colle contre le corps de ce charmeur des nuits marseillaises, rompu à la drague facile. Avant, un tel homme m’aurait fait fuir, mais le comportement de mon mari a changé la donne. Oui, je le reconnais, je suis prête à baiser avec ce type pour m’éclater enfin. N’importe où ! Dans une voiture ou dans les toilettes ! J’éprouve même le besoin de le sucer, chose que je refuse désormais toujours à mon mari.

Lui, sûr de lui, fait alors parler ses mains en m’infligeant un pelotage aussi discret qu’audacieux, auquel je me soumets avec une complaisance que j’essaye de rendre faussement distante, mais bien réelle, tout en regardant souvent vers mon mari pour déclencher une réaction de jalousie que j’espère encore salutaire. Il me tient de plus en plus serrée entre ses bras lorsque j’abdique en appuyant ma tête sur son épaule. Ce geste encourage le beau black qui s’enflamme jusqu’à me tutoyer :

— Tu vas me rendre fou de toi !

Je l’encourage en avançant mes cuisses contre les siennes. Les mains deviennent plus précises. Elles glissent sur le cuir tendu de ma veste, cherchant à deviner la nature de mes dessous. Elles découvrent la présence du soutif à même la peau sous le chemisier transparent. Cette révélation pousse l’homme à introduire une cuisse entre les miennes, pour frotter mon entrejambe, je commence à ne plus maîtriser la situation. J’écarte mes cuisses du mieux que je peux, vu le peu de liberté que me laisse l’étroitesse de ma jupe. Tandis que le désir me noie la chatte, mes deux mains agrippent les épaules d’Abdou. Un Abdou triomphant qui savoure sa victoire. Il glisse une main sous mon chemisier pour caresser la soie et la dentelle de mon soutif. Je ne proteste pas. Bien au contraire, je me cambre pour coller mon ventre contre la menace impertinente de la queue du sénégalais qui me paraît de taille énorme, sachant que ma connaissance en la matière est quand même très grande, même si je n’ai jamais eu la chance de voir celle d’un black. Un Maghrébin, une fois, il m’avait aidée à changer ma roue crevée et je l’avais remercié à ma façon.

J’accepte que les mains de l’homme viennent effrontément sur mes fesses où, après avoir constaté la présence de ma peau nue, cherchent en vain la configuration de ma petite culotte.

— Chouette un string ! me dit-il.

Abdou, me demande si ça m’excite ? Je lui réponds « un peu », il me serre dans ses bras, je pose ma tête sur son épaule et je me laisse entraîner dans ce slow langoureux.

Je vois tous ces jeunes gens embrasser leurs cavalières avec fougue, et là, oui ça commence à m’exciter. L’effet de l’alcool me libère les sens. Je regarde mon mari qui me fait un clin d’œil et un grand sourire : visiblement, il a l’air content que je danse avec ce beau black. Celui-ci m’embrasse discrètement dans le cou, et une de ses mains est sur ma fesse maintenant. Il me caresse délicatement, son autre main est venue se mettre entre nous et masse mon sein.

Alors que je recule ma tête pour lui demander de se calmer, il m’embrasse sur la bouche. Surprise, je recule et il recommence, un simple baiser sur la bouche, mon mari nous regarde et ne réagit pas. Abdou multiplie les petits baisers sur ma bouche et sa langue essaye de rentrer dans la mienne, quel coquin ! Mon mari ne s’émeut pas de la situation qui semble lui plaire. Sous l’effet de l’alcool, je semble plus enhardie que d’habitude, je réponds à son baiser et lui aspire goulûment sa langue. Il me colle tellement que je sens son membre contre mon ventre : il faut dire qu’il se dandine suffisamment pour que je le sente bien. Je fixe mon mari tout en embrassant goulûment Abdou, il me sourit et me fait signe du pouce pour m’encourager, quel salaud !

Le massage de mes fesses est plus précis et Abdou vient de passer ses mains sous ma jupe. Je m’aperçois qu’il n’est pas le seul à faire ça, que plusieurs femmes ont les mains de leurs partenaires dans la culotte. Abdou me complimente sur mon string en grognant, ses doigts sont déjà à me caresser le clito et à me doigter le vagin, il ne perd pas de temps ! Son autre main a déboutonné mon chemisier et sorti mon sein qu’il caresse en titillant le bout. Je ne sais plus où j’en suis !

Les slows s’arrêtent, je réajuste ma tenue et je lui dis de venir à table. À l’arrivée, mon mari me demande si je me suis bien amusée, je lui réponds du tac au tac que c’était bien, mais que j’attends la suite avec impatience. Nous proposons à Abdou de venir avec nous à l’hôtel, ce qu’il accepte bien volontiers en précisant qu’il n’est pas bi, cela nous fait bien rire. Mon mari règle l’addition et nous partons à la voiture. Mon mari marche devant nous, Abdou me tient la main et m’embrasse de temps en temps, la situation est cocasse, je suis trempée.

Mon mari monte devant et je le préviens que je vais monter derrière avec Monsieur Abdou. Celui-ci m’embrasse à pleine bouche et me dit d’enlever mon soutif et mon string, là, dehors, sur le parking ! Il est très coquin ! Je m’exécute en le fixant du regard : d’abord mon soutif que je fais glisser sur chaque partie de mes bras, et je lui tends. Puis mon string. Un couple passe et nous regarde, l’air amusé. Je donne mon string à Abdou, il le porte à ses narines et le sent, me dit que je suis trempée et qu’on va passer un bon moment.

On s’assoit à l’arrière de la voiture, il défait tous les boutons de mon chemisier, qu’il écarte au maximum. Il soulève ma jupe au niveau de la taille et met sa main entre mes cuisses pour me cajoler. C’est le signal d’un roulage de pelle à la v******e partagée que j’apprécie, et en reste presque étourdie. On n’est pas encore sortis du parking qu’il me prend la main et me la met sur sa queue, au travers du pantalon. Je sens qu’elle est vraiment très grosse, il me dit :

— Tu vas me sucer, car je ne tiendrais pas longtemps sinon.

Joignant le geste à sa parole, je sors son membre noir et soyeux. Il ne porte pas de sous-vêtement, je me penche et je me trouve face à la bite d’Abdou dont le gland profite de ma stupéfaction pour entrer dans ma bouche sans prévenir. C’est une double découverte pour moi ! La première, c’est l’intrusion inédite pour moi d’un sexe black dans ma bouche. La seconde, c’est la révélation d’une bite dont les proportions dépassent mon imagination. Mon mari a une queue aussi chétive que son gabarit.

Je sais comment m’y prendre pour satisfaire mon partenaire. Mon regard défie celui d’Abdou qui comprend qu’il est le premier homme black à pénétrer ma bouche. Il me laisse le temps de reprendre mes esprits alors que je suis à la limite de la suffocation, il coulisse sur ma langue avec cette longue tige épaisse et dure. Il essaye de stimuler mon imagination ! Abdou grommelle, il adore ma façon de traiter sa queue comme si c’était une tétine ou un bonbon. Mes allers-retours et ma succion semblent lui plaire, je sens alors qu’il se crispe, je prends ça pour un encouragement à poursuivre et lorsque j’accueille l’ultime agression du gland entre mes lèvres, la pointe de ma langue vint à la rencontre du pieu qui glisse au fond de mon palais. J’entends un grognement sauvage. Tout s’arrête ! Je sens ma gorge inondée d’un liquide âpre, visqueux, épais… Il vient de jouir dans ma bouche, pour la première fois de ma vie, j’ai la bouche souillée par du sperme d’un black qui a, ma foi, le même goût aussi salé que les autres.

Nous arrivons à l’hôtel, nous montons directement du parking à la chambre. Heureusement, le parking et l’ascenseur sont déserts, car il n’a pas voulu que je referme mon chemisier, et ma jupe est toujours sur mes hanches. Il m’a dit de passer devant et il complimente mon arrière-train avec mon mari. J’avoue que j’angoisse un peu à l’idée de croiser quelqu’un, car je suis là pour trois mois !

Arrivés dans l’appart, Abdou me prend dans ses bras. Rien ne vaut la douceur d’une langue douce et agile qui parcourt ton corps de ton oreille à ta joue en passant par tes lèvres pulpeuses, puis il descend sur mes seins, une main part sous la veste et me déshabille. L’autre masse mes « petites bosses », pince les tétons qui s’érigent et durcissent sous la caresse. Je gémis dans sa bouche et je sens mon sexe s’humidifier, mes tétons durcir sous ses caresses. « Avec la passion que tu mets dans ton baiser sur mes petits seins gonflés, je mouille comme une cochonne ». Sur cette pensée, il se détache de ma bouche pour chuchoter à l’oreille :

— Mets-toi toute nue, ma puce ! Je te ferais sortir tes tétons et je descendrai sur ton ventre, je te caresserai de mes mains expertes pour te faire exploser et je te lécherai jusqu’à plus soif.

Ses mains sur mes hanches, je lui dévore la bouche, sa langue est enroulée autour de la mienne comme si elle me fait l’amour. Je ferme les yeux pour mieux apprécier la sensation merveilleuse de ce baiser. Nos respirations s’accélèrent. Ses mains parcourent mon corps, son ventre se frotte au mien. Je suis pendue à son cou, haletante, déjà loin de tout ce monde qui gravite autour de nous. Il défait le bouton de ma jupe, me la descend sur les cuisses, puis sur le sol, glisse sa main sur ma fente, et sans attendre plonge dans ma chatte, branle mon clitoris. Je le sens décidé à me donner mon orgasme rapidement. Sa bouche, ses lèvres sur mon cou, sa langue sur mes oreilles, me font frissonner. Je mouille, comme il me semble que je n’ai jamais mouillé !

Sa main libre empaume un sein, puis joue avec mes tétons, durs, érigés. Sous ces caresses conjuguées, je me pâme dans ses bras. Dans mon entrejambe, il abandonne mon bourgeon pour caresser ma fente de haut en bas et de bas en haut, avant d’enfoncer deux doigts dans ma grotte frémissante et me baiser. Ses va-et-vient, le talon de la paume de sa main qui frappe mon clito, m’arrache des plaintes de plaisir que j’essaye d’étouffer, en pressant ma bouche sur son épaule. Il me branle sans aucune retenue ni moralité, là devant mon mari qui regarde la scène sans rien dire, il a juste sorti son engin et se branle. Pour moi, tout ce qui compte en cet instant, c’est l’extase intense qu’il est en train de me procurer. Quand il m’a amenée au point de rupture, je me suis entendu lui murmurer :

— Je… Je vais jouir…

Et soudain, une explosion au niveau de mon vagin. Un orgasme phénoménal m’a foudroyée ! Liquéfiée ! Quel pied, pour la première fois, un homme me rend le plaisir que je lui ai donné.

Il m’assoit sur le canapé et descend avec sa bouche suave, me lèche le bouton et me pénètre en même temps avec deux doigts. Sa petite langue rose lape mon sexe pour absorber tout son jus et me procure un plaisir intense. Je vois que mon mari s’essuie, il a joui lui aussi. Abdou accélère ses va-et-vient dans mon vagin pendant que le bout de sa langue me pilonne mon clito. À ce rythme effréné, je ne tiens pas longtemps et une vague de liquide sort de mon vagin : je pense que lui, a trouvé mon point G !

Il se lève et se déshabille, je vois enfin son corps musclé ! Il est magnifique, ventre plat, abdos saillants, tout le contraire de mon homme ; des biceps et des pectoraux bien formés et ce sexe droit comme un i qui a déjà repris de la vigueur. Sur ce, il me dit :

— Je vais t’honorer comme tu le mérites.

Il me fait mettre à quatre pattes sur le canapé, ma tête face à mon mari. Il s’installe derrière moi et me pénètre doucement, quel bonheur !

Il m’att**** par les hanches et commence son va-et-vient, il s’accroche, hausse son rythme, je n’en crois pas mes yeux ! Mes sens sont chamboulés à tous les niveaux, il me lime sans arrêt, ça dure encore et encore. Quel bonheur d’avoir un amant aussi endurant, je dégouline de plaisir tellement c’est bon. Je croise le regard de mon mari qui n’a pas l’air de croire ce qu’il voit. Ça dure et j’adore prendre du plaisir avec un autre homme sous ses yeux ébahis devant la longueur du rapport.

Abdou s’arrête, sort sa queue et vient s’asseoir sur le canapé, me dit de venir sur lui. Je m’empale avec délectation sur ce pieu qui me donne tant de plaisir. Je monte et descends sur cette tige dure et droite qui ne crache toujours pas sa semence. Je jouis plusieurs fois, cet homme est diabolique ! Je n’en peux plus, il est toujours aussi vigoureux. Il me dit

— Viens, on va sur le lit, tu seras mieux.

Il me fait mettre sur le dos, écarte mes jambes, et me pénètre d’un coup, me laissant lâcher un râle de plaisir. Il recommence ses allers-retours avec vigueur, puissance et rapidité, il est increvable. Mon mari est là et je l’aperçois en train de nous filmer et de prendre des photos. Quel salaud !

Je hurle de bonheur et de plaisir et d’un coup, mon black lâche sa semence au fond de mon trou avec un râle bestial. Nous jouissons ensemble !

Je n’ai pas eu deux hommes en moi, mais presque, mon mari a joui trop rapidement, comme d’habitude et sa machine n’est pas repartie. Dommage !

Abdou est allé se doucher, et mon mari a pris sa suite, pendant ce temps.

Au moment de partir, Abdou m’a laissé son téléphone, il m’a dit qu’il espère bien me revoir.

Je lui réponds que moi aussi :

— Dès demain, si tu veux, mon mari sera parti…

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