Voici donc, le roman-témoin de
la belle salope du réveillon
Voilà une femme qui doit donner follement envie de la baiser à tous ceux qui la reluquent ou l’approchent… quant à ceux qui la touchent, ils doivent triquer comme des bêtes. J’espère que cela va vous plaire et que vous allez imaginer 10000 situations où elle sera tringlée.
( en lien avec ma galerie d’images : « ma femme salope danse au réveillon »
LE JOUR DE L’AN ! hmmmm! ah! la salope
Echauffement : danses de groupe (Photos 1, 2, 3, 4)
La « coquine » aguiche, seins en avant, bien moulés dans son tee-shirt brillant. elle ondule des fesses dans sa jupette légère et virevoltante. Tout en dansant, les mâles la reluquent et l’entourent, elle leur sourit. Jean, chemise blanche s’approche et devine ses cuisses par transparence.
La chenille. Ah! c’est l’occasion de secouer son petit cul avec sa jupette, qui est transparente. D’ailleurs cela n’a pas échappé à Jean, ce vieux moustachu vicelard qui la reluque ostensiblement lorsqu’il la croise dans le faisceau des lampes qui font deviner les deux fuseaux de ses cuisses. Il est entrain de se dire: « putain, celle-la, elle m’excite, je me la ferais bien… et qu’est-ce qu’elle tortille du cul! elle le sait, que je la mate, putain, elle me fait bander, qu’elle est chouette!»
Les rocks : oh! la jolie jupette! (Photo 5)
On vous la présente, regardez-moi ces belles jambes fines et ces mollets nerveux.
Oh ! les jolis escarpins en daim marron et cette jupette plissée !
Pendant les rocks, elle s’éclate, elle sourit à tout le monde -heureuse que les types n’aient d’yeux que pour elle- et sa jupette transparente devient la cible de tous les regards des mâles. Alors que ses seins secoués par les mouvements, la jupette virevolte de plus en plus. Les mâles excités zyeutent les longs fuseaux mis en valeur par le fin crêpe de sa jupe plissée. les halogènes rendent ses cuisses de plus en plus visibles.
Ils guettent. Jean tourne autour d’elle en faisant semblant de danser mais dès que l’occasion se présente, il la mate se délectant de ces jetons. J’épie son manège, je me régale de le voir faire.
le jeu : course à la jupette!
Elle est au centre des regards vicieux. Elle aguiche, elle est aux anges; la salope!
Un autre vicelard préfère s’asseoir et se repaît ostensiblement de ce spectacle sexy, guettant les envolées de sa jupette pour mieux mater ses jolies cuisses gainées par ce superbe collant marron irisé très sexy.
Les rocks : oh! les jolies gambettes! (Photos 6 & 7)
Un autre vient le rejoindre et semble attendre que son cavalier la fasse tourner plus vite pour découvrir encore plus ses cuisses qui se dévoilent peu à peu de plus en plus haut. Elle tourne, elle tourne. Son beau collant irisé façonne à merveille ses cuisses sexy. Tous ont de plus en plus envie de palucher ces cuisses attirantes avec ce collant « sheern », de peloter ce cul par-dessus cette jupette plissée fine et sexy et caresser ces miches moulées par ce tee-shirt. « Elle doit avoir, un de ces culs bien ferme, cette danseuse sexy » se dit probablement Jean et il vient s’asseoir sur un tabouret tout près de moi qui la prend en photo.
Assis, l’autre vicelard en face et mon nouveau pote Jean à côté de moi, se régalent de bien la zyeuter, les yeux à hauteur de son cul attirant. Je m’enhardis et lui glisse à l’oreille :
« elle est jolie cette jupette, non? Elle a de jolies jambes ? on va bientôt voir sa culotte, s’il continue à la faire tourner ainsi »
Gêné, Jean n’ose pas me répondre mais je l’entends fortement déglutir. Il est vraiment excité par ma salope de J******* qui ne fait rien pour retenir les envolées de sa jupette et dévoile aux regards des hommes assis ses deux longues cuisses de plus en plus haut.
Les rocks : ouaouh! la culotte! (Photo 8)
Nous sommes tous là et soudain… Ouaouh!
Un mouvement encore plus rapide nous « offre » LE cadeau. Sa jupe remonte totalement, ses cuisses fines se dévoilent en totalité. Le collant irisé marron fumé attire les yeux exorbités des mâles affamés de ma femme.
Le liseré plus foncé du haut du collant se montre à son tour. « Oui, J********, vas-y, montre leur à tous… ils auront envie de te baiser, chienne d’allumeuse » Voilà ce que je me dis.
Et là, FA-BU-LEUX, sa culotte fine noire nous apparaît à tous.
Jean, qui est assis, à côté de moi se délecte; l’autre en face ne regarde que ça!
Elle a fait tilt la salope. Je suis sûr que plusieurs types veulent la baiser. En tout cas elle va alimenter leur branlées nocturnes. Quand ils lutineront leur bobonne, ils penseront aux cuisses et à la jupette et à la culotte et aux seins de ma très chaude J********.
Valses, tangos, pasos Contacts : (photo 9)
Enfin, Jean peut la saisir!
On ne peut pas dire qu’il l’a invitée; il s’est presque rué sur elle, dès que la musique annonça une de ces danses traditionnelles où les corps se rapprochent. J******* a accepté aussitôt. Plutôt que d’y aller progressivement, ils se sont tout de suite bien collés l’un à l’autre. J******* n’a pas fait sa mijorée quand la main de Jean est venu se plaquer loin dans son dos, l’obligeant immédiatement à se lover contre lui de tout son corps.
D’où j’étais j’admirais le côté follement excitant de la situation, tout en mettant les disques et… en prenant des photos. Le halogène éclairait ma femme de dos. Ses mollets fins et nerveux brillaient avec son collant irisé; sa jupette laissait deviner les formes de ses fesses fermes et de ses cuisses oblongues; on devinait même la bretelle de son soutien-gorge balconnet noir, dont le devant devait tutoyer la poitrine de Jean. Bandait-il déjà ? Probablement car, vu qu’il la reluquait depuis deux heures, il devait être aux anges d’en arriver à ce moment tant espéré et attendu. Il devait être encore plus aux anges car, contrairement à d’autres danseuses, ma femme aimait faire sentir son corps lianeux aux hommes qui l’empoignaient pour danser et elle devait aussi aimer sentir leur corps contre elle et peut-être même les bittes tendues sous les étoffes des pantalons amples.
Valses, tangos, pasos (Photo 10)
La coquine se colle à lui et lui passe les bras autour du cou.
Profitant des rythmes affolants et élevés des valses, J******* alla aussitôt lui passer le bras autour du cou et se serra bien contre lui afin qu’il la fasse bien tournoyer.
Leurs deux corps étaient soudés par la danse (hmmm!?) La hanche de Jeannine collait bien la hanche de Jean; peu à peu même, le bas-ventre de ma femelle en rut se plaquait plus fermement contre celui de son cavalier. S’il ne triquait pas là?
Lui, sa main bien ouverte dans son dos, la maintenait bien plaquée contre lui et la faisait valser collé-serré. Leurs jambes se touchaient de plus en plus et les escarpins de J******* s’insinuaient entre les pieds de Jean. Leurs hauts de cuisses devaient être en contact. C’était parti!
La valse sait être érotique… surtout pour ceux qui la dansent. Mais, j’imaginais l’état de Jean.
Valses, tangos, pasos (Photo 11)
Elle est collée et il la serre à la taille.
Regardez-moi cette jupette, ça bouge là-dessous. Quand ils passèrent devant moi pour la première fois où mon champ de vision (et celui de l’appareil photo) fut dégagé, je me régalais. La jupette virevoltait, J******* entraînée dans la valse effrénée se maintenait bien collée à lui et tournait devant mes yeux comme si je n’existais plus.
Je pouvais à loisir reluquer la situation, elle ne faisait plus attention à moi. Alors, je ne m’en privais pas. Je pus bien détailler ses cuisses par transparence. Par contre, ils étaient tellement collés que je ne pouvais pas voir si Jean bandait contre elle (sûrement qu’il devait bander dur). Oh! certainement car ils avaient tous les deux l’air bigrement concentrés. Ils s’appliquaient comme à un concours de danse. Avaient-ils besoin d’un alibi pour se coller ainsi?
En tout cas, leur « plaquage » était réciproque. Jean la tenait bien fermement plaquée contre lui mais J******* restait bien au contact de l’homme pour qu’il profite de tout son corps.
Valses, tangos, pasos (Photo 12)
Mais ils sont de plus en plus collés, ma parole!
Au passage suivant -ils devaient en être déjà à leur troisième valse! (mais c’est moi qui mettais les disques et je n’avais pas envie que ça s’arrête)- ils s’étaient encore plus rapprochés. Je pus tout d’abord détailler les cuisses de ma femme par la transparence de la jupette… jusqu’à la lisière plus foncé du haut du collant. Spectacle total!
Cette salope s’était légèrement décalée et maintenant la cuisse droite de Jean et la cuisse gauche de J******* étaient en contact tout le long. Donc, j’en déduis, -je ne pouvais pas me lever et faire le tour pour vérifier!- que le bombé de la chatte de J******* devait de plus en plus s’approcher du bas-ventre de Jean. C’est clair que ce coup-ci il devait triquer comme une bête. J’en étais sûr car sa main droite la serrait encore plus et il devait bien percevoir son sein gauche contre sa propre poitrine. Elle m’ignorait toujours mais elle devait aimait ça. Peut-être qu’elle commençait à sentir la bite gonflée dans le pantalon, vu qu’elle s’en approchait de plus en plus, cherchant ce contact.
Valses, tangos, pasos (Photo 13)
Ce coup-ci elle se plaque contre lui.
Alors que les autres couples de danseurs changeaient, eux restaient toujours ensemble, comme deux amoureux. Jean ne devait pas s’en plaindre mais J******* non plus.
Au passage suivant, ils étaient tellement serrés que cela en devenait lourdement érotique. Certains même commençaient à les regarder (comme s’ils allaient baiser sur la piste).
En tout cas, le plus discrètement possible (mais pas facile car je ne voyais que ça!), je les observais et je bandais dur quand ils furent devant moi. Ma femme souriait de plaisir. Peut-être était-elle fière de me montrer qu’elle avait « branché » ce vieux? En tout cas, je savais qu’elle ne me l’avouerait pas. Son buste s’était encore plus incliné contre lui. Sûr que ses deux miches étaient complètement collées et appuyées contre la poitrine de Jean.
Mais le coup me fut asséné quand je vis que son bas-ventre s’était encore plus décalé vers le milieu… donc sa chatte était partie à la recherche de la bite bandée pour mieux la sentir contre elle. Son entre-cuisses était soudée au haut de la cuisse de Jean. Sa bite se trouvait-elle là? Je ne sais pas…. Certainement. En tout cas, je le souhaitais vivement. Je triquais dur moi aussi!
Valses, tangos, pasos L’apothéose (photo 14)
Elle jouit en dansant, ma parole!
Lorsqu’ils repassèrent (mais que devait-il se passer lorsqu’ils étaient à l’autre bout de la pièce?), je crus défaillir. Plus soudés, ce n’était pas possible. Leurs deux visages étaient à dix centimètres (limite de la galoche !). Le bras de Jean enserrait totalement le buste de J******* qui frottait ses tétons contre lui. Son cul de femelle en chaleur, surmontant toujours ses belles cuisses bien visibles à travers sa jupette, se poussait et ondulait contre le bas-ventre de Jean. Sûr que son mont de vénus frottait la bite tendue sous l’étoffe du pantalon noir.
Elle était quasiment encastrée dans lui! Ça devenait indécent… pour les autres… pas pour moi !
Alors, je vis son visage épanoui et heureux, elle jouissait (…de la situation). Sûr qu’elle devait sentir la queue triquée et frottée contre elle. Le mince tissu de la jupette devait être un avantage car elle pouvait percevoir les chairs à travers. Je ne pus apercevoir la bite de Jean, seul un pan de sa chemise, malmenée par cette danse érotissime, dépassait à peine entre leurs deux bas-ventres accolés et soudés comme en copulation. Ah! putain, comme il devait avoir envie de la mettre cette salope! Et, elle? Comme elle devait avoir envie de sentir cette bite dure la pénétrer. Ils faisaient l’amour en dansant. Elle jouissait en dansant contre lui : il n’y avait plus de doute.
Valses, tangos, pasos (Photo 15)
Pour finir, elle va l’embrasser.
La dernière valse se terminait. Ni Jean, ni J******* n’avaient esquissé le moindre geste pour changer de cavalier. Alors, dans les dernières mesures, je vis nettement J*******, qui devait sentir que la fin approchait, entourer carrément son cou avec son bras gauche, alors que Jean laissait descendre sa main de plus en plus bas, touchant pratiquement ses fesses. Elle se tendit vers lui, décala encore plus on bas-ventre pour lui faire entièrement face.
Pendant une quinzaine de secondes, ils étaient collés face à face. Ce coup-ci plus de doute, c’était l’appel de la chatte à la queue. Elle était encore tout autant collée à lui mais avec sa motte contre sa queue.
Je me demande encore si elle l’a embrassé… car j’ai été masqué un instant. En tout cas, si elle ne l’a pas fait, c’est sûr qu’elle en a eu une folle envie, son regard en disait trop long. Elle était tendue vers lui… tellement qu’il en parut presque gêné… ah! oui, qu’allait-il faire de sa bandaison, probablement visible (oh! que je regrette de ne pas avoir vu la taille de son érection au contact de ma salope de J*******!) de ceux qui étaient assis de l’autre côté?
En tout cas, je suis sûr que cela faisait bien longtemps que Jean n’avait pas bandé autant en dansant la valse! Quant à moi, j’en ai presque joui dans mon pantalon!
Se sont-ils fait une promesse de rendez-vous dans d’autres lieux pour qu’il la baise ?
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