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Ballade à Oran

Ballade à Oran



Ballade à Oran raconté par Saida 35 ans, mariée.

Je m’entends bien avec mon mari et nous avons une sexualité très épanouie, en plus nous apportons toujours du nouveau et nous ajoutons un peu de piment à nos ébats amoureux.
Mon mari est cocu et la dernière fois qu’on est sorti en ville, il m’a ordonné de porter une tenue sexy; chemise en soie, jupe au-dessus des genoux et des escarpins et m’a emmené dans un souk, pour me savoir vus et baisée par d’autres hommes.
Alors je lui ai dit que je voulais me faire sauter par tous les hommes qui me plairaient.
Quelques semaines plus tard, nous allons faire les magasins dans le centre ville, je suis habillé simplement d’une robe mini et j’ai gardé l’habitude de ne plus mettre de sous-vêtements. Dans une vitrine, une robe me plait, mais nous continuons, au bout d’un moment nous revenons à la vitrine où j’ai vu cette robe, je discute avec mon mari :
– Et toi comment la trouves tu cette robe ?
– Elle est belle mais il faudrait voir sur toi, rentrons pour que tu l’essayes.
– Non, il faudra revenir et que je mette des sous-vêtements.
– Mais non ce n’est pas la peine, pour essayer il y a des cabines, donc personne ne te verras nue et si bien tu aimes quand on te regarde et que tu es à poil.
– Tu es sûr ?
– Oui.
Nous rentrons dans le magasin, je prends en rayon le modèle vu en vitrine à ma taille, je rentre dans une cabine. Une fois que j’ai mis la robe j’ouvre le rideau, mon mari me regarda avec excitation car la robe lui plait beaucoup. Il me dit de la garder sur moi, après avoir payé nous continuons à faire les boutiques. Il y a de moins en moins de monde l’heure de fermeture des magasins approche, devant un magasin de chaussures, mon mari me montre des nus pieds à talons hauts, ils me plaisent et iraient très bien avec ma nouvelle robe, je n’ai pas le temps de retenir mon mari qu’il est déjà dans le magasin, je le suis, nous demandons au seul vendeur présent à cette heure le modèle que l’on a vu en vitrine. Il va en réserve et revient avec plusieurs modèles. Je m’assis pour les essayer et je suis très gêné quand le vendeur s’accroupit devant moi pour me mettre lui-même les chaussures. Alors que je fais très attention de ne pas écarter les genoux.
Sans me rendre compte, j’écarte donc les cuisses, le vendeur regarde mon sexe, qui je le reconnais est trempé tellement je mouille. Le vendeur me met la première paire de chaussures, je fais quelques pas et mon mari m’oblige à me pencher comme tout à l’heure sans plier les genoux, la robe remonte à mi-cuisses. Une fois redressée je vais pour remettre ma robe en place mais mon mari me dit :
– Non laisse là comme ça, on ne te voit pas de l’entrée et essaye les autres paires.
Alors que le vendeur change mes chaussures, je remarque que son pantalon est déformé au niveau de son sexe. La dernière paire que j’essaye est celle que je préfère, mon mari est de mon avis et c’est elles qui suivent le mieux avec la robe qui laisse apparaitre mes cuisses. Alors que je vais pour me rassoir mon mari me demande :
– Fais quelques pas de plus pour savoir si vraiment tu es bien dedans, va jusqu’à la caisse et reviens.
– Je baisse ma robe car si je vais à la caisse et que quelqu’un entre, il va voir mes cuisses.
– N’aie-pas peur ! La porte est fermée ! répondit le vendeur.
Je marche donc vers la caisse, arrivée près de celle-ci mon mari me dit :
– Enlève ta robe pose là sur le comptoir et reviens ici.
Je retire ma robe et arrivée près d’eux :
– Elle est très belle votre femme.
– Regardez sa chatte, elle brille tellement elle mouille ?
– Oui.
– Alors tu mouilles grosse cochonne, ça t’excite de te foutre à poil dans le magasin ?
– Oui ça m’excite de me balader le cul et le vagin !
– Tu as remarqué comme il bande en voyant ton cul, alors il va te baiser, demande lui de te sauter comme une pute. Et vous ça vous plairait de la sauter ?
– Oui.
– Ecarte-bien tes cuisses, appui sur les chaises et cambres toi bien qu’il enfonce sa bite bien profond dans ta chatte.
– Oh ! Oui baisez moi fort, je veux être baisé comme une pute !
– Et tiens prends ça salope.
– Oh ! Oui c’est bon une grosse bite dans ma chatte encore plus fort.
– Je ne vais pas tenir longtemps tellement elle est bonne sa chatte…
– Oui moi aussi je joui !
– Agenouilles toi que je te gicle dans le bouche. Oui quelle est bonne ta bouche grosse pute.
Après avoir repris nos esprits, on se dirige vers la caisse, règle la paire de chaussures que je garde à mes pieds. Sortis du magasin, on regagne notre voiture qui est garée dans un parking souterrain, celui-ci est presque désert, il n’y a presque plus de voiture à notre niveau. Nous mettons nos courses dans le coffre et mon mari me dit :
– Mets-toi à poil, je vais te baiser.
– Mais tu pourrais me sauter à la maison.
– L’un n’empêche pas l’autre, je ne peux plus attendre ça m’excite trop de te voir te faire sauter par le vendeur dans son magasin, le parking est désert alors tu n’as rien à craindre.
Une fois nue, il m’allonge sur le capot, prend mes jambes, les écartes et enfonce son sexe dans ma chatte, après plusieurs allés et retours, il me retourne pour me prendre en levrette puis me sodomiser et nous prenons notre pied ensemble. Le soir une fois couché il me prend de nouveau, mais cette fois ça dure plus longtemps et je joui deux fois avant que lui ne se lâche dans ma chatte et l’on s’endort l’un contre l’autre.

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