Si Paul n’exige pratiquement rien du dimanche, Alice essaie de passer ce temps comme elle peut. Parfois, Paul lui demande un verre qu’elle s’empresse lui de servir. En milieu d’après-midi, il la met à quatre pattes devant lui, pose ses pieds sur son dos.
– Parfois, une esclave ne sert qu’à ça.
Alice se sent vexée de n’être plus qu’un repose-pied. Pourtant, il faut bien qu’elle se rende compte que si elle veut rester près de Paul, l’aimer et le chérir, il faut en passer par là, se soumettre entièrement. Ce n’est qu’un peu avant l’heure du souper que Paul se décide à abuser de sa soumise. Il l’encule, non sans lui avoir bien préparé son anus. Paul peut se montrer sévère, douloureusement sévère même, mais il laisse la douleur au masochiste, ce que n’est pas, du moins le croit-il, Alice. Ne pouvant parler ouvertement, c’est à travers ses exclamations de bonheur qu’elle encourage son Maître à y aller franco. Paul se met alors à la fesser. Alice est aux anges. Plus il fesse, plus elle s’approche de ce moment délectable qu’est l’orgasme. Quand elle y parvient, Paul est très surpris par la v******e de l’orgasme d’Alice. Il en remet une couche, une fois sa bite nettoyée par la bouche de sa soumise. Là encore, il la voit, les yeux dans les yeux, quand il lui claque ses cuisses, elle aime ça, cette petite pointe de brutalité. Quand elle jouit, c’est encore plus fort que la première fois. Paul soulage son désir dans le ventre d’Alice et s’écroule sur son corps.
Alice, encore dans son plaisir, l’enlace, l’embrasse de partout. Dans son esprit, comme dans son corps, elle se sent enfin libérée de ses dernières entraves dues à son éducation relativement stricte. Paul se laisse convaincre par cette jeune femme qui se montre amoureuse par ses baisers, ses caresses. Elle lui montre tout son amour. Paul en profite, lui offrant son cœur en ne la baisant pas, mais en lui faisant l’amour. Après que chacun ait encore joui, Paul remet le clocher au milieu du village. Alice reprend son rôle de salope soumise comme elle aime à le penser et le dire. Paul se montre alors intraitable, redevenant l’éducateur sévère. Derrière la cuisinière, Alice confection le souper de son Maître avec amour. Paul note tout de l’éducation d’Alice dans ses cahiers.
Pendant qu’il soupe, Paul s’amuse à lancer sur le sol des bouts de légume, un bout de viande ou l’os de cette excellente côtelette. Alice se montre encore plus docile. Ce la jouant chienne, elle ramasse, sans ses mains, chaque morceau de nourriture avec sa seule bouche. Au moment d’aller se coucher, Paul fixe la corde au collier d’Alice, lui montre sa place, aux pieds de son lit. Elle se roule en boule à même le sol. Si elle peine à s’endormir, elle n’ose se redresser pour regarder Paul qui, lui, s’est endormi comme un loir.
Alice ne dort que d’un œil, guettant le son de cette cloche au loin. Elle égrène le temps de ses sons. Elle sonne tout, les quarts d’heure, les demi-heures sans oublier les heures. Alice, un peu avant six heures, se glisse hors de la chambre du Maître. Dans la cuisine, elle met tout en œuvre pour lui faire le déjeuner auquel elle estime qu’il a droit. À l’heure dite, le plateau déposé sur son dos, elle s’avance à quatre pattes près de la tête du lit. L’odeur du café éveille Paul. Sa petite table humaine ne bouge plus tout le temps du repas. Seulement, comme pratiquement tous les hommes, Paul a son érection matinale. Il se saisit du plateau, le pose sur la table de nuit. D’une main peu aimable, il attire le visage d’Alice sur sa queue dressée. Alice se fait alors plaisir en s’en emparant pour la sucer avec dévotion, sans les mains. Paul, de ses mains, lui impose son rythme, un rythme rapide et soutenu.
– Cette semaine, le programme est comment faire d’une femme dite normal, une parfaite salope toujours prête à satisfaire son Maître. Quand je dis prête à tout, c’est ne pas le quitter d’une semelle, de répondre au moindre de ses désirs, où qu’il soit dans la maison. Vu que tu as émis le désir d’accélérer ton éducation, cela se fera aussi dans la douleur. Je ne serai plus aussi clément que par le passé. Pour le livre, par exemple, s’il tombe, d’entrée, ce sera dix coups, la fois suivante, le double et s’il devait y avoir une troisième fois, c’est dans le donjon que je me verrai obliger de te punir plus durement encore.
Soudain, Paul sent son corps proche de l’éjaculation. Alice retire sa bouche de ce membre viril, elle ouvre grande sa bouche, laisse pendre sa langue tout en continuant, de ses mains, cette fois, à le branler. Quand elle reçoit le sperme dans sa bouche, sur son visage, Paul à l’agréable surprise de la voir Alice jouir. N’y tenant plus, il s’empare d’un bras d’Alice, l’entraine dans la salle de bain et l’agenouille devant lui dans le coin douche. Il n’a pas besoin d’ordonner, Alice a très vite compris ce que veut la Maître. La bouche ouverte, elle attend sa douche dorée, ses yeux dans ceux de Paul. Dès les premières gouttes, Alice ne recrache rien. Paul est subjugué par le comportement soumis d’Alice. Il lâche tout le contenu de sa vessie, en arrosant non seulement le visage, mais aussi le corps. Alice, sous la puissance du jet, ne peut pas tout avaler. Sur son corps inondé, elle se caresse avec de grands gestes, étalant partout ce que sa bouche ne peut prendre. Quand la dernière goutte tombe, Alice s’empresse de pratiquer une nouvelle fellation su ce pénis. Très vite, Paul ne peut gérer cette érection violente, Alice devient pire que ce qu’il n’avait imaginé, mais pire dans le bon sens quand on sait la volonté d’Alice de satisfaire son Maître. De ses mains, Paul bloque parfois le visage d’Alice alors qu’elle l’entier de cette queue bien dans sa bouche. Elle ne fait aucun mouvement pour se dégager, laissant dégouliner sa bouche, son nez. Paul, avant qu’Alice n’étouffe, relâche son étreinte. Très vite, incapable de se retenir, il éjacule au fond de la gorge d’Alice. Assit sur le rebord de la baignoire, Paul regarde sa soumise, à genou, son corps penché en avant, la tête sur le sol.
– Toi, t’es vraiment pas comme les autres. Putain, j’en ai vu des soumis dans ma vie, mais des comme toi, jamais ! Rien de te rebute, toi !
Du coup, il se dirige vers le donjon, bousculant tous ses plans de stage. Là, il fait assoir Alice sur un tabouret. Il pousse une servante devant elle, il lui ouvre les tiroirs. Sous les yeux d’Alice, des aiguilles, des pinces crocodiles, des appareils d’électrocution et bien d’autres choses toutes aussi douloureuses les unes que les autres.
– Fais ton choix et montre-moi de quoi tu es capable pour faire plaisir à ton Maître. Oui…si tu as quelque chose à dire, dis-le !
– Puis-je usé de cette salle comme je l’entends ?
– Heu, oui, bien que je ne voie pas très bien où tu veux en venir.
– Faire en sorte que Monsieur soit fier de sa salope.
– Ok, fais comme tu veux, je te regarde.
Alice se lève, prend de grosses bougies qu’elle allume. Ensuite, elle se saisit d’un martinet aux très fines lanières. Devant son Maître, ondulant de son corps superbe, elle se flagelle et sans ne jamais retenir ses coups. Parfois, elle pousse le jeu plus loin, en se masturbant en même temps que ces lanières meurtrissent son corps. Paul se cale bien sur son siège. Il se rend compte qu’Alice est en train de lui donner un sacrée putain de leçon et une grande preuve d’amour, s’il en fallait encore une. Jamais Alice ne crie, elle gémit et encore, cela ne ressemble jamais à des jérémiades de douleur, mais à des gloussements de plaisir. Paul est obligé de l’admettre, elle l’aime et il en est amoureux. Alice prend ses grosses bougies, visant ses seins, son pubis, elle coule la cire, la flamme proche de sa chair. Elle le fait sans jamais quitter des yeux son Maître. Paul ne peut plus dissimuler cette érection. C’est la première fois qu’une soumise lui fait autant d’effet. Nu devant elle, il la voit s’avancer, lascive, dansante avec ses bougies. Elle tend les bougies à son Maître, tout sourire. Elle s’agenouille, s’empare du sexe de son Maître. Sur son dos, la brulure de la cire commence à échauffer ses sens. Ces brulures ont l’art de la mettre en transe. Dans sa bouche, elle sent ce sexe sur le point de jouir. D’une main, elle le serre presque violement, empêchant son Maître de jouir trop vite. Paul fait tout pour faire durer le plaisir, mais le comportement de son esclave est le plus fort et Alice ne parvient plus à retenir son Maître qui jouit en poussant un long et sonore râle.
De petits et savants coups de langue, elle nettoie ce pénis avant de reprendre son (supplice). Alice regarde dans la servante, sort une aiguille de seringue. L’ouvre et, pinçant sa chair, en fixant son Maître, l’enfonce sur son sein en n’esquissant qu’une petite grimace. Elle en prend une autre, puis encore une pour finir par dessiner une sorte de fleur sur ses seins. Paul se lève, s’approche, il caresse ces seins, prend une aiguille, pince le téton. Il positionne la pointe, fixe Alice pendant que lentement l’aiguille s’enfonce et traverse le téton. Alice ouvre la bouche, aucun son n’en sort. Il recommence avec l’autre mamelon. Il en plante quelques une avant d’embrasser sa soumise amoureusement.
– Je crois que le stage vient de prendre fin. Je n’ai plus rien à t’apprendre. Je n’ai juste qu’à parfaire ton éducation.
– Maître, il me plait d’entendre ces mots de votre bouche. cependant, il serait malvenu de ne pas continuer, de repousser mes limites, de faire de moi cette salope de vos rêves, celle dont en vous parler la nuit, pendant votre sommeil.
– Je parle en dormant ? Voilà quelque chose de surprenant. Oui, il me plairait de faire de toi ma salope attitrée, celle qui ne refuse rien.
– Vous refusez quelque chose ? Moi ? Quelle horreur, jamais de la vie, surtout pas à vous, Monsieur.
– Même si je te donne en pâture à d’autre ?
– Monsieur sait déjà qu’il peut compter sur sa salope. Je ne me défilerai jamais, par amour pour vous.
Paul n’en revient toujours pas. Jamais il n’avait vu femme aussi amoureuse que déterminée à lui obéir en tout ou presque. Il lui ordonne cependant de continuer sa prestation. Alice recule, jouant avec seins, les aiguilles. Puis, son côté le plus masochiste reprend le dessus. Dans un coin, elle avait aperçu des petits cailloux. Dans une coupe, un après l’autre, elle prélève des cailloux qu’elle dépose dans la coupe. Près de Paul, elle les dispose sur le sol, faisant deux tas bien distincts. Elle s’agenouille, un genou sur chaque petit tas. Enfin, elle retire les aiguilles qu’elle remplace par ces douloureuses pinces crocodiles. Elle ne peut s’empêcher un cri de douleur quand elle pose la première sur son téton déjà très douloureux. Elle ne recule pas pour autant en posant une autre sur l’autre mamelon. Paul bande, il est comme un puceau devant sa première conquête nue. Il se retient de lui sauter dessus et de la baiser. Il se fait v******e à un point qu’Alice ne peut imaginer. Imperturbable, elle continue, reprenant le martinet pour se flageller tout en dansant devant Paul, une dans toujours aussi sensuelle. Les lanières claquent autant qu’elles rougissent ce corps que Paul ne cesse de contempler.
Alice d’une main, se l’enfonce dans son anus, sans même le préparer. En quelques minutes, sa main disparait pratiquement dans son cul pendant que l’autre caresse le sexe. Paul prend le martinet, l’accroche au mur et saisit une longue cravache. Sur les fesses d’Alice, il frappe, doucement au début, les coups redoublent vite de v******e sans ne jamais dépasser les limites que s’imposent Paul. Alice se tortille, sa croupe bien relevée. Chacune des fesses en prend pour son grade et Alice commence à geindre, non pas de douleur ou alors, c’est un subtile mélange de douleur et de plaisir. Paul n’arrive toujours pas à comprendre comment une personne peut, par amour, devenir aussi soumise que masochiste. Alice jouit, clamant son amour pour son Maître. Elle parvient même à convaincre Paul de lui faire subir le très cruel supplice de l’âne espagnol.
Paul la soulève, la pose sur le tranchant de l’âne. Il fixe une corde aux pieds d’Alice et relie ces pieds qu’Alice tente de joindre. Ses mains sur sa tête, les pinces crocodiles mordent davantage la chair. Paul en profite même pour ajouter à ce supplice, de petits poids. Très vite, de cinq grammes, il passe à dix, puis vingt et n’ajoute plus rien quand Alice commence à pleure tout en essayant de garder son sourire. Le Maître se presse alors d’enlever aussi délicatement que possible les pinces et leurs poids. Il n’enlève pas de l’âne espagnol. Il l’embrasse sa soumise et reprend la cravache et le martiner. Mais avant, il s’empare d’une paire de pince. Il ne pose une la grande lèvre de gauche, passe la chaine en dessous de la transversale de l’âne et vient pincer l’autre grande lèvre. Enfin, alternant entre cravache et martinet, il achève Alice. Alice qui supporte bien plus qu’elle ne s’en sentait capable. Elle l’encourage même à ce que Paul frappe plus fort. Cependant, les deux coups de cravache sur ses seins ont raison de sa résistance. Elle ne crie plus, elle hurle sa douleur. Paul cesse aussitôt de frapper sa soumise. D’une main douce, il caresse ce corps tremblant de souffrance. Alice vient de se rendre compte de ses limites. Si elle ne supplie pas, elle ne demande pas pour autant à ce que son Maître la délivre. Elle se veut forte, endurante malgré son martyre. Paul ne veut plus qu’elle souffre pareillement. Il retire tout ce qui entrave Alice, la soulève en douceur de son supplice. Il l’emporte dans sa chambre, la couche. Munit d’un onguent, il en dispose sur tout le corps d’Alice. Alice a sa fierté, elle veut prendre le pot, s’en mettre. Paul se fâche alors et la gifle.
– Tu veux passer ta journée sur mon chevalet avec les pinces et tout le reste ?
– Je suis à vos ordres, Monsieur.
– Alors, tu te laisses faire !
Alice s’avoue vaincue, les mains de Paul se font encore plus douces quand elles massent son ventre, ses seins, son entrecuisse. Sur le point de jouir, Paul s’en aperçoit et vient poser ses lèvres sur celle d’Alice sans ne jamais cesser de masturber sa soumise. Quand elle jouit, elle enroule ses bras au cou de son Maître, l’enveloppe de ses jambes. Paul bande, il ne lui faut guère de temps pour pénétrer Alice et lui faire l’amour sauvagement. Après de nombreux et délectables orgasmes de part et d’autre, les corps vaincus par la fatigue de cette très longue journée, les corps enlacés s’endorment blottis l’un contre l’autre.
À son réveil, Alice regarde Paul profondément endormi. Sans un bruit, elle se lève pur aller lui faire son déjeuner princier. En revenant, elle dépose le plateau sur la table de nuit, soulève le drap pour venir lui faire ce qui est devenu sa spécialité, une fellation dont elle a seule le secret. Paul se réveille lentement, cette bouche lui plait, il n’y a pas à redire.
Sur le point de jouir, il repousse Alice, se lève, soulève Alice, l’emporte sous la douche. Peu préparée à tant de gentillesse de part de son Maître, Alice pleure de bonheur dans les bras de son Maître et amant. Sous la douche, chacune lave l’autre. Alice se glisse derrière son Maître, d’une main sur le dos, elle lui demande de se pencher en avant. De ses petites mains adroites, elle écarte les fesses de Paul. Paul sent alors la bouche et la langue d’afférer dans son anus. Paul se masturbe en sentant cette langue tournoyer dans son cul. Alice prend un gout certain à le faire, une main entre ses cuisses s’agitant avec virulence.
Quand Paul jouit, il glisse dans le fond de la douche, vaincu par cet orgasme violent. Alice se contorsionne tant qu’elle peut pour continuer à laver ce cul proprement. Quand Paul lui ordonne de cesser, c’est pour se précipiter sur les WC et soulager son rectum de son contenu. Alice est à ses pieds, telle une chienne. Elle a déjà du papier hygiénique dans sa main, prête à essuyer l’anus de son Maître. Il se lève, se penche, Alice essuie plusieurs fois avant que sa bouche ne vienne achever le travail de sa main.
– Alice, c’est vrai, je voulais faire te toi mon esclave, ce que tu me fais va bien au-delà de ce que je pouvais attendre d’une soumise. Je ne peux plus le nier, je suis amoureux de ma petite salope, de ma chienne. Continue, c’est un ordre.
Alice est au bord des larmes, sans pourtant arrêter de lécher ce cul, elle branle son Maître de ses mains habiles.
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