15 heures . Ma Maîtresse sort de sa sieste. Le ménage est fait.
— Allez viens mon larbin, on va faire des courses en ville. Conduis moi à l’endroit ou tu as acheté ta cage.
Je n’en reviens pas. Pendant des années j’ai essayé , en vain, de la faire rentrer dans des endroits comme celui là et maintenant elle veut m’y emmener. J’ai peur de la nouvelle Florence, j’ai peur de ce qu’elle va me demander mais au fond de moi ça m’excite aussi.
Je me gare donc et la suis quand elle pénètre dans le sexshop local.
La même caissière est présente que lors de ma précédente visite.
— Bonjour Madame, Bonjour Monsieur. Si je peux vous aider n’hésitez pas.
— Eh bien puisque vous le proposez si gentiment, je vais vous dire ce qui m’amène.
Les bras m’en tombent et je rougis de honte.
— Voilà, reprend Florence, vous reconnaissez peut être mon mari, il vous a acheté une cage de chasteté la semaine dernière.
— Effectivement c’est bien lui..
— Figurez vous que ce connard m’a trompée, j’ai accepté de le reprendre à l’essai à condition qu’il devienne mon esclave
— Vous êtes trop bonne, je l’aurai castré à votre place..
— Oui, humm.., bon , enfin , j’aurai besoin de quelques instruments pour parfaire son dressage . auriez vous des choses à me proposer ?
— Bien sur. Permettez que je tire le rideau, nous serons plus à l’aise pour choisir ce qu’il vous faut.
— Bonne idée, faîtes donc..
Et la caissière, qui s’avère en fait être la patronne ferme son établissement pour que nous soyons plus tranquilles.
— Bien de quoi avez vous besoin ? De quel budget disposez vous ?
— j’ai besoin de tout. Le prix n’a pas d’importance, mon esclave a un compte en banque bien garni… N’est ce pas mon chien ?
— Oui Maîtresse.
Elles éclatent de rire .
Entre les deux, le tutoiement est vite arrivé. Denise, puisque c’est son nom, propose tout un tas de choses.
Tout d’abord de quoi attacher, des cordes, des liens, des menottes et même des barres permettant de garder bras en jambes écartés.
— Il va te falloir aussi un collier et une laisse pour ton clébard
— Oui, c’est une bonne idée.. Et de quoi le punir aussi..
— Bien sur, je te conseille cette cravache. Si tu veux tu peux l’essayer tout de suite.
— Tu es gentille mais je ne crois pas que ce soit une bonne idée.
— Ah bon . Pourquoi ?
Se tournant vers moi Florence me dit :
— Fais voir tes fesses
Je suis écarlate
— Mais Maîtresse…
— Tu oses me contrarier ?
— Non Maîtresse
Et je baisse mon pantalon et mon boxer pour exposer mon cul meurtri à ces dames
— Ah oui, je comprend, tu n’y pas été de main morte.
Denise reprend :
— Et ton plaisir à toi ? Tu y as pensé ?
— Non, que me conseilles tu ?
— Tu as toute une gamme de godemichets qui remplaceront avantageusement ton esclave. Tiens, regarde ce gode ceinture, il est double. Il te permet d’enculer ton soumis et de prendre ton pied en même temps.
— Super, je le prends.
— Tu voudrais essayer quelques tenues ?
— Humm oui, avec plaisir..
Et elles se mettent à choisir , ici des cuissardes aux talons infinis, là une guêpière en cuir noir…
— La cabine d’essayage est là . Tu veux que je t’aide ?
— Bien sur..
Ebahi, je regarde une Florence que je croyais pudique se dévêtir sans une once d’hésitation devant une jeune dame qu’elle ne connaissait pas il’y a une heure.
Son corps gracieux, entretenu n’a pas l’air de laisser Denise indifférente.
— Tu es belle tu sais ?
— Merci, tu n’as pas l’air mal non plus.
Quelqu’un frappe à la porte du magasin..
Denise tire le rideau et va ouvrir. C’est vrai qu’elle ne peut pas , non plus, rester fermée indéfiniment.
Deux jeunes hommes, la vingtaine tout au plus font leur entrée dans la boutique.
Florence dans sa cabine, ils pensent donc que je suis seul dans le magasin et aperçoivent les accessoires déjà mis de côté.
C’est à ce moment la que ma Maîtresse tire le rideau pour apparaître, sublimement érotique, en cuissardes, string de cuir noir, les seins nus.
— Denise chérie, tu peux venir m’aider ?
Les deux minots ont les yeux écarquillés et la langue pendante.
Les deux femmes sont maintenant dans la cabine dont le rideau est toujours ouvert.
Sous prétexte de divers ajustements, les mains se font plus coquines, les effleurements se font caresses plus précises .
Florence se laisse faire, apprécie même me regardant d’un air narquois quand la bouche de Denise s’empare d’un de ses tétons pour le cajoler.
La main de la vendeuse est passée sous la culotte du string de ma femme qui rejette la tête en arrière toute à ce plaisir nouveau.
Ma queue emprisonnée me fait un mal de chien tant la pression est forte.
Les gamins se sont rapprochés peu à peu. Un des deux passe sa bain dans son pantalon pour se caresser tant il est excité par ce qu’il voit.
L’autre s’adresse à moi :
— C’est votre femme Monsieur ?
— Oui, oui.
— Elle est super belle..
Florence a tout entendu..
— Merci jeune homme.. Bruno , dis à ce Monsieur qui tu es réellement
— Non pitié, pas ça.
— Tu obéis ou tu prends la porte !
— Je suis son soumis, son esclave, son chien, son larbin.
J’ai jeté ces mots la tête basse. Jamais je n’ai été autant humilié qu’aujourd’hui.
— C’est vrai Madame ?
— Bien sur, d’ailleurs il va vous le prouver. Bruno , montre leur !!
— Oui Maîtresse.
Vaincu, je baisse mon pantalon pour leur exhiber mon sexe dans sa cage.
Revenus de leur surprise , les gars ont compris dans quelle situation je me trouvais. Leur vision des choses et leur ton ont changé à mon égard.
— T’as fait quoi pour être puni ?
— J’ai trompé ma Maîtresse.
— T’es un peu con, tu vois pas comme elle est bonne ? Maintenant t’es devenue une lopette. T’es cocu ?
Florence reprend la main:
— Allez savoir… Vous voulez voir de plus près ? Tu permets Denise ?
— Oh oui , bien sur..
Les gars s’approchent..
— On regarde mais on ne touche pas , compris ?
— Oui Madame.
— Montrez nous vos engins et vous pouvez vous masturber si vous voulez..
Et ils sortent leurs sexes déjà en totale érection.
Denise continue de caresser mon épouse qui prend son pied tant par les caresses de son amie que par la vision de deux jeunes étalons en pleine bandaison pour elle.
D’ailleurs les premiers signes annonciateurs de leurs jouissances ne tardent pas à arriver
Florence les encourage:
— Allez les gars, je veux voir votre sperme jaillir..
A ces mots le premier éjacule en plusieurs jets violents qui s’écrasent sur les cuissardes de ma Maîtresse bientôt suivis par le foutre du second.
La main de Denise accélère la cadence et je regarde mon épouse jouir à son tour.
Quelques instants plus tard, le calme est revenu. Les jeunes sont partis des étoiles plein les yeux, Florence, toujours impudique , récupère ses esprits.
Denise me tend un chiffon :
— Nettoie tout et que ça brille..
A genoux , j’essuie les traces blanches qui maculent les bottes . Je peux sentir le plaisir de ma femme, tout proche que je suis de sa chatte mouillée.
Les achats ont été emballés, ma carte bleue a chauffé. Nous avons quitté Denise, ma femme l’embrassant sur la bouche et lui disant :
— On se revoit quand ?
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