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Suite d’un auteur qui l’a arrêtée 2

Suite d’un auteur qui l’a arrêtée 2



Résumé des chapitres précédents.

Suite à des problèmes sexuels et sur recommandation de la sexologue, Nicole est amenée à faire des prélèvements de sperme à son garçon. Suite à une indiscrétion de son amie Luce, cela dé**** en i****te et on retrouve nos protagonistes dans ce dernier chapitre après avoir consommé la nuit précédente.

Une thérapie très spéciale (Suite et fin)

La nuit venant, les deux se retrouvent dans la chambre, Nicole un peu émoustillée de son nouvel amant qui la satisfait si pleinement, si attentionné et si amoureux, même si, des fois, il est vraiment maladroit. Elle se dépêche de se préparer pour la nuit, elle se lave profondément et remet sa tenue habituelle alors que Louis, un peu irrité par l’amie de sa mère, mais plus par sa conduite, lambine un peu ; il n’est pas fier de sa façon de réagir qui était un peu trop puéril.

Arrive le week-end et évidement, Luce arrive avec un bouquet de fleur qui ravit Nicole. Louis se décroche d’un beau sourire. Les trois papotent sur les potins de la région, les nouveautés de la mode quand Nicole s’exclame :

« Zut, j’ai oublié d’acheter du pain pour le repas de midi, je vais vite aller en chercher !

– Tu veux que je t’accompagne ? Demande Louis.

– Tu n’y penses même pas, on a une invitée à la maison, occupe-toi un peu d’elle et tâche de bien la soigner !

– Oui maman, je te le promets ! »

Nicole sort, prend la voiture pour aller à la supérette acheter un peu de pain et, en passant, une bonne bouteille. Pendant ce temps, Louis ,pour se racheter, propose un petit apéritif à Luce qui accepte. En revenant, il la sert et ensuite s’assied en face d’elle. Par provocation, elle se dit :

« Tiens, je vais essayer de le séduire, il faut que je peaufine ma réputation de couguar ! »

Lentement, elle ouvre un peu ses jambes pour se sentir plus à l’aise, mais découvre un peu ce qu’il y a de caché, ce qui ne manque pas d’attirer le regard de Louis qui se dit : « Qu’est-ce qu’elle cherche la meuf ? Elle me montre pratiquement ses ustensiles de camping, en continuant de cette façon, moi je vais choper le piquet de tente ». Il ne sait ce qu’il faut proposer comme discussion. D’un air un peu moqueur, Luce lui lance :

« J’ai l’impression que tu avais la langue mieux pendue quand on s’est rencontré au restaurant !

– Je te prie de m’excuser, je ne suis pas spécialement fier de mes réparties, mais j’étais un peu perturbé par les frasques de mon père et je voulais protéger un peu maman !

– Ça c’est très bien, j’aime beaucoup ta mère, elle a dû te le dire, nous avons été longtemps très, très proches jusqu’à ce qu’elle épouse ton connard de père !

.. À l’époque j’en étais jalouse !

– Attends un peu, jusqu’où sont allées vos relations ?

– Là, tu m’en demandes trop, tu demanderas à ta mère !

– Je n’ai pas envie de me faire rembarrer, déjà que j’ai pris un petit savon parce que je te suis rentré dedans !

– Allez, viens, on va faire la paix, je n’ai pas envie de te mettre mal à l’aise, mais tu es un très joli garçon et je préfère t’avoir comme ami plutôt que comme ennemi ! »

Il s’assoit à côté d’elle, un peu en rougissant et, timidement, la regarde dans les yeux.

« J’aime bien tes traits, mais sans indiscrétion, qu’est-ce que tu faisais avec ton patron, il a vraiment le physique de l’emploi, un vrai sale gueule !

– Tu sais, des fois dans la vie, il faut faire de petits sacrifices pour obtenir de grands bénéfices et d’accepter un repas, au vu de ce que j’ai obtenu, c’était pas cher payer, même si j’ai dû, par la suite, payer de ma personne, ce n’était pas si désagréable que cela !

.. Tu sais, c’est un lieu commun que certains hommes n’accordent des promotions qu’en passant par la case canapé !

.. Quand on le sait et que la place en vaut la peine, finalement, on joue le jeu !

– Oui, mais cela fait un peu pute ?

– Tout de suite les gros mots ! Mais tu as raison, ce n’est pas ce que je donnerais comme leçon de conduite dans la bonne société !

.. Mais dis-moi, comment me trouves-tu ?

– Tu n’es pas mal, je dirais même très jolie, mais je trouve que ma mère a un petit plus que toi !

– Au moins tu n’es pas flatteur !

– Pourquoi, je t’ai dit que je te trouvais très jolie ! J’ajouterais même attirante, même si tu es plus âgée que moi, mais ma mère, c’est ma mère, la femme la plus belle de la création, elle est hors catégorie !

– Mais ma foi, tu es amoureux de ta mère ? Tu as déjà couché avec une femme ?

– Là, tu es à ton tour un peu indiscrète !

– Ce n’est pas cela, mais si tu veux, on peut creuser un peu notre intimité !

.. Tu sais le patron, c’était purement physique pour avoir une nettement meilleure place et en ce moment, je suis libre de cœur !

– C’est dommage, parce que moi, mon cœur est un peu pris !

– Seulement un peu ?

– Oui, ce n’est pas officiel¨ !

– Alors, j’ai encore mes chances ! Dit-elle, en lui caressant la joue.

.. Ouille, cela commence à piquer la barbe, tu me sembles plus homme que tu parais !

.. Dis-moi, est-ce que tu as déjà flirté avec quelqu’un ?

– Non, pas encore, dans ce domaine, je suis absolument vierge !

– Tu veux flirter un peu avec moi ?

– Je veux bien m’instruire, mais Maman va bientôt revenir !

– Dans combien de temps tu penses qu’elle va revenir ?

– Dans une bonne vingtaine de minutes !

– Alors on a le temps de se rouler quelques pelles en attendant, cela me manque un peu avec un jeune homme présentant bien !

– Je ne sais pas si je ne fais pas une connerie, mais on peut bien essayer ! » Dit-il. en se rapprochant.

À cette occasion, Luce prend la tête de Louis entre ses mains et commence à vouloir lui coller un frenchkiss, mais voulant jouer au puceau, Louis laisse sa bouche fermée.

« Tu veux que je te montre comment faire ? Si oui, il faut que tu ouvres ta bouche pour que je puisse y introduire ma langue !

– Ah ! Je me demandais pourquoi tu essayais de m’introduire la langue dans la bouche, c’est OK, on va essayer !

Pour ne pas paraître trop idiot il ouvre grand sa bouche et sort sa langue qu’elle prend et elle commence à la sucer comme une glace à la vanille.

« C’est bon ?

– Oui, mais dis-moi, tu me montres tes seins, j’aimerais bien voir si ils sont aussi beaux que ceux de maman !

– Oh polisson, tu as déjà regardé les seins de ta mère ?

– Oui, une fois par hasard, je suis rentré de manière mal polie dans la douche et elle était à torse nu. Sa poitrine est très belle. J’en rêve souvent la nuit !

– Ah ! Intéressant ! Et qu’est-ce que tu rêves comme cela, la nuit ?

– Je rêve non seulement sur ses seins, mais tout et après le matin, je vois que mes draps sont tout sales et j’ai horriblement honte !

– Tu voudrais que je te montre comment c’est une femme nue ?

– Je ne sais pas si maman serait d’accord ?

– On n’a pas besoin de le lui dire, mais maintenant, c’est trop court, mais tu pourrais venir chez moi pour m’apporter un livre, par exemple !

– J’aimerais bien, mais je dis tout à maman, même notre conversation et j’espère qu’elle sera contente qu’on ait fait la paix !

– Aie, tu ne vas pas lui dire que je t’ai fait des propositions ?

– Je ne suis pas sûr qu’elle ne soit pas d’accord, elle trouve que je ne sors pas assez avec des jeunes filles, mais j’ai été obligé de lui avouer que ce qui m’intéresse, c’est les femmes plus mûres avec une bonne expérience !

– Tu m’en diras tant ! »

À ce moment-là, la porte s’ouvre laissant passer Nicole qui rentre avec les bras chargés.

« Louis, tu viens m’aider à ranger les commissions ! Je vois que vous avez fait la paix, même très fort, tu as encore un peu de rouge à lèvres sur la bouche !

– Tu ne me gronderas pas, maman, mais Luce m’a proposé de m’initier au flirt, tu sais, je n’ai pas de copine et je suis très ignorant dans ce domaine !

– C’est très bien, je vois à la déformation de ton pantalon que les leçons t’ont plu !

.. On en parlera plus tard !

– Elle m’a, d’autre part, proposé de lui apporter un livre pour continuer à m’instruire chez elle !

– Pourquoi, elle ne peut pas le faire ici ?

– On a pensé que, peut-être, tu serais fâchée si elle me dévergondait !

– Mais non, mon chéri, tu sais que je t’aime et ne veut que ton bien !

– Tu crois qu’on ose lui dire pour nous ?

– C’est un point délicat, cela pourrait être intéressant ! Je vais y réfléchir !

– Je peux alors lui proposer de rester pour qu’elle m’enseigne l’art du flirt !

– Oui, ce sera drôle, je me demande si elle acceptera le deal !

.. C’est toujours plus facile de le faire entre 4 yeux qu’entre 6 !

– Alors, tu prépares le dîner et tu me dis si tu veux de l’aide !

– Non, continue à tenir compagnie à Luce mais ne va pas trop vite en besogne !

– Bon, tu nous appelles quand c’est prêt ! »

De retour au salon, Louis revient près de Luce qui s’est mise à l’aise, elle a enlevé sa chemise.

« Alors, comment trouves-tu mes seins ?

– Ils sont très beaux également, ils donnent vraiment envie de faire leurs connaissances ! Je peux toucher ?

– Tu sais, je suis très sensible de la poitrine et cela risque d’être difficile pour moi, par la suite, mais je vois que toi, je n’ai pas eu besoin de te toucher les seins pour que tu gonfles ton pantalon !

– Allez laissez-moi les toucher ! Je n’ai jamais touché les seins d’une femme !

– Je veux bien, mais il faut que je décroche mon sous tif et en compensation, j’aimerais bien avoir en main ce qui gonfle ton falzar !

– Mais on risque de se faire surprendre par Maman !

– Je ne pense pas qu’elle sera très fâchée. Dans le temps nous étions très intimes !

.. Elle sera peut-être toute contente de voir que je m’occupe de toi !

– Elle m’a donné sa bénédiction, mais elle m’a dit de ne pas aller trop vite !

– Elle a raison, une première fois, il faut faire durer pour garder un bon souvenir !

– Maman m’a aussi dit qu’on n’a pas besoin d’aller chez toi avec un bouquin pour continuer, on peut bien flirter ici sans problème, juste qu’elle avait peur qu’entre six yeux tu ne te sentes pas à l’aise !

– Non, je crois que je dois pouvoir gérer cela ! »

Rapidement, les vêtements s’ouvrent, pour laisser l’accès aux trésors qu’ils cachent. Louis, tout à son rôle de puceau – qu’il n’est plus, mais elle n’a pas besoin de le savoir – tâte doucement la poitrine de Luce, soupesant les seins, testant leur douceur et prenant les tétons entre ses doigts en commençant à les triturer. Luce, quant à elle, avait pris dans sa main le sceptre de Louis (pas d’Otakar, ni de sidecar) et d’un mouvement lent, elle commença à le branler d’une main et de l’autre, visitait les bas-fonds du caleçon, palpant de doigts curieux, les belles prunes bien mûres qu’elle avait à disposition. Sans trop s’attarder, Louis, fourre sa main dans la culotte de Luce, appréciant le lustre de son buisson, lançant en éclaireur son majeur pour explorer ce qu’il devrait ne pas connaître. Il remarque au passage, que le bonbon de Luce a des dimensions nettement plus réduites que sa mère, mais tout aussi réactif.

« Luce, j’aime bien ton parfum !

– Merci, pour continuer ton apprentissage, je vais te sucer ta queue, après je pourrais te dire si elle a bon goût ! » Annonce Luce en plongeant sa bouche vers la hampe qui sortait du caleçon.

Elle pose sa langue sur l’extrémité et cueille une goûte de liquide qui ornait le sommet du mat qu’elle avait en main.

« Pas mal, le goût est intéressant !

– J’aimerais aussi goûter ta moule, mais viens on va dans ma chambre pour être plus à l’aise ! »

Elle remonte le falzar et rajuste sa tenue et part avec Louis vers sa chambre, il ne peut s’empêcher, lors du trajet, de laisser ses mains traîner un peu partout.

« Ne sois donc pas si impatient ! Tu auras tout le temps pour me découvrir !

– C’est normal, je suis très impatient de te connaître de manière biblique !

– Ne me dis pas que tu es une grenouille de bénitier !

– Non, mais je connais mes classiques ! (Ou tout au moins, deux trois expressions croustillantes).

– Voila, on se déshabille chacun ou si tu veux qu’on le fasse réciproquement ?

– Cela me plairait bien que tu me déshabilles, mais je ne suis pas sûr de pouvoir me débrouiller dans les mystères de la lingerie d’une femme mûre !

– Je t’aiderai ! Cela fait aussi partie de l’éducation sentimentale, même si, maintenant, les jeunes filles, c’est terriblement simplifié ! Mais tu m’avais dit que tu étais intéressé par les femmes mûres ! »

Rapidement, elle lui enleva son sweater, pantalon et slip, libérant le mât qui n’attendait qu’une suite à la petite léchouille reçue, mais Luce, fort de son rôle d’institutrice :

« À ton tour, maintenant, mets-moi à poil ! »

Lentement, Louis, effeuille Luce en commençant par le haut, Veste, chemisier, puis en arrivant au niveau du soutif, c’est là, où il commence à pédaler dans la choucroute. Il essaye de trouver la fermeture devant, car il a vu des soutifs de sa mère qui avaient cette spécialité.

« C’est comment ? Demanda-t-il, énervé.

– Va dans le dos, c’est un porte-lolo classique !

– Ah, j’aurais pu rester longtemps, en cherchant devant ! J’espère qu’il n’y a pas encore des spécialités !

– Tu verras bien, mais c’est un tout simple !

– Voila, c’est libéré ! Dit-il, en continuant l’effeuillage, tirant la jupe vers le bas, là aussi, cela ne se passe pas bien, il faut décrocher l’attache.

Il finit par trouver la raison de son malheur et maintenant, il s’attaque à une jolie culotte, qu’il dirige vers les pieds. Là, sympa, Luce enlève elle-même ses godasses, sinon, on ne sera pas sorti de l’auberge.

« Viens sur le lit, on sera mieux pour se connaître plus en profondeur ! »

Elle lui att**** la bite et le tire vers le lit, s’installe en écartant les cuisses.

« Maintenant, j’aimerais bien te sucer ta queue, j’aimerais me désaltérer avec ton robinet !

– C’est triché, moi, je n’ai pas pu mettre ma tête entre tes cuisses !

– Tu as raison, mais vas-y doucement, commence par mon clito !

– Clito ?

– Oui, le petit grain qui surplombe ma vallée des délices !

.. Si tu veux apprécier la suite, c’est un passage obligé, mais tu peux, tout d’abord, mettre tes doigts en V de la victoire et le masser un peu pour le faire sortir de sa cachette !

.. Après, tu peux le cueillir avec la langue avant de descendre vers mon puits d’amour ! »

Louis, s’applique de faire comme indiqué, mais ce qu’il n’avait pas prévu, c’est que, sous l’attaque répétée de sa langue, ce n’était pas un puits d’amour, mais une source artésienne qui l’accueille.

« Tu as dû te tromper en pensant que tu as un puits d’amour, c’est plutôt une source artésienne !

..Mais c’est très bon ! Maintenant, que je t’ai bien léchée, tu peux, à ton tour, sucer mon sucre d’orge, mais pas trop longtemps, j’aimerai bien le plonger dans ton trou !

– Alors viens tout de suite sur moi et tu me plantes ta pine dans le con !

.. Elle est assez dure pour venir directement et tu m’as bien fait mouiller avec tes léchouillages ! »

Se mettant entre les jambes de Luce, il présente sa gaule et commence à l’enfoncer lentement, Il se souvient que sa mère lui a bien dit de ne pas trop se dépêcher. Après un certain temps, qu’il lime régulièrement, il entend la porte d’entrée qui s’ouvre.

« Merde, ma mère vient d’arriver !

– Louis, où es-tu ?

– Je fais mes cours avec Luce, je finis l’exercice et je descends !

– Alors, envoie Luce pour m’aider avec la cuisine !

– Cela ne va pas, elle est indispensable pour finir l’exercice ! » Dit Louis, en accélérant la cadence.

La mère un peu curieuse, pose son cabas à la cuisine et, à pas de loup, monte vers la chambre de Louis, la porte est fermée, mais les bruits qui s’en échappent lui laissent peu de doute sur le genre d’exercice que pratique Louis. Discrètement, elle pousse la porte pour confirmer son impression. Là un magnifique tableau, son

amie donnant des coups de rein violents quand le pieu de Louis lui laboure la chatte. Cela lui rappelle de bons souvenirs lesbiens.

– Coucou mes chéris, ce n’est pas trop difficile comme exercice, vous n’avez pas besoin d’un coup de main, des fois ? »

Luce, toute essoufflée, regarde en rougissant sa copine alors que Louis n’a pas baissé la cadence. Elle est un peu gênée d’avoir pris l’initiative de niquer le fils de sa copine, mais Louis, pas gêné pour un sous, apostrophe sa mère :

« Oui, tu peux bien lui reluire les nichons, cela lui sera d’autant meilleur ! »

Luce sentant que l’atmosphère est à la détente recommence à réagir positivement, elle est plutôt assez émoustillée par la situation, surtout quand Nicole lui att**** les nichons et commence à les lui sucer.

« Alors Luce, qu’est-ce que tu penses de mon fils, c’est un bon coup ?

– Pour un puceau, il se débrouille drôlement bien !

– Il n’est plus tout à fait puceau, il te l’a dit pour te faire plaisir !

– Dis-moi, c’est quand même pas toi qui l’as dépucelé ? C’est suite à ma confidence de l’autre jour ?

– Dans le mille et je ne regrette rien !

– C’est vrai que je prends un plaisir fou, surtout depuis que tu commences à me sucer !

.. Si tu pouvais encore mettre ta main entre nos deux corps et prendre mon bonbon entre tes doigts, je pense que je ne vais plus vous faire attendre longtemps pour aller dîner !

– Seulement s’il décharge avant toi, autrement, je ne vais pas le laisser dans cet état, surtout que maintenant, j’ai mis les protections anti pollution !

– Ça vient, je grimpe, je décolle, ça plane pour moi ! Dixit Plastic Bertrand.

.. Bourre fort, j’aime quand je sens ton bout qui me tape le fond du con ! »

Louis, après qu’elle eut eu quelques convulsions, ressort son outil encore bien bandé, il n’a pas lâché sa marchandise dans le conin de Luce qui reprenant ses esprits, commence à préparer Nicole pour qu’elle finisse son fils.

– Maman, mets-toi en levrette et toi Luce, pendant que je la bourre, tu peux lui sucer son pistil, sois gentille, fais-lui le coup de l’abeille qui butine !

– Volontiers, j’aime bien le parfum de ta mère, j’étais bien triste quand ton père me l’a enlevée !

– En piste, on ne va pas s’éterniser trop longtemps, je commence à avoir la dalle ! » Dit-il, en plantant sa queue dans le con accueillant de sa mère.

Quelques orgasmes de Nicole plus loin, Louis n’a toujours pas dégorgé son poireau, alors Luce, sur l’air du sacrifice, dit :

« Bon, puisque nos connasses ne te suffisent pas et que je n’ai pas envie de sodomie pour le moment, je pense que je vais te dégorger le poireau avec la bouche, comme cela, j’aurai un petit apéritif avant l’heure !

– Oui, mais pendant ce temps-là, j’aimerais bien bouffer la chatte à ma mère si cela ne te fait rien. !

.. Je ne l’ai pas encore dégustée aujourd’hui, je pense qu’avec un tel aphrodisiaque, je vais partir au quart de tour ! »

Ainsi fût fait et effectivement, dès que Louis eut le nez dans la matrice maternelle, il fut agité d’un mouvement évident annonciateur de la vidange des coucougnettes. Luce, les joues gonflées à la Amstrong, submergée par le volume de la crue, demanda de l’aide à Nicole pour bien vider les réserves de l’armée américaine.

Balista

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