Je suis un voyageur solitaire et l’été dernier j’étais dans un pays nordique. Je fais de l’itinérance et change d’endroit tous les jours pour faire des photos. C’est mon loisir préféré. Un soir j’arrive dans une petite ville et je ne présente à la réception de l’hôtel réservé. La réceptionniste est une toute jeune femme mignonne qui s’occupe du client précédent et je suis surpris de bien comprendre ce qu’elle dit en anglais alors que d’habitude j’ai bien du mal à décoder l’accent local. Elle parle l’anglais de l’école avec le même accent que moi. Quand arrive mon tour elle me remet la clé de la chambre et me donne des consignes. Je la coupe en lui parlant ma langue « à votre accent vous devez être une compatriote ». Son visage s’éclaire d’un sourire lumineux et nous parlons un moment.
Elle est étudiante et a pris ce job pour un mois pendant les vacances pour parfaire son anglais. Elle m’explique que c’est mal payé mais qu’elle est nourrie et logée, assez mal dans des dépendances au grenier. Elle a du temps pour elle en dehors du boulot mais commence à s’ennuyer car le patelin est petit et elle en a fait le tour depuis longtemps. Il ne lui reste que quelques jours à faire. Je lui propose de dîner ensemble au « corner » le pub le plus proche. Elle me dit avec plaisir je termine ici à 20 H.
En prenant ma douche je pense à cette gamine qui est ouverte, jolie, souriante, disponible et qui a un physique qui me branche bien. Elle est de taille moyenne, mince, coupe courte châtain clair et yeux noisette. Je commence à imaginer une soirée distrayante. A 20 H je passe la prendre et nous allons directement au pub dont l’ambiance est très chaleureuse. Elle m’explique la carte et me conseille un ragoût de cerf que j’ai trouvé fameux. Au cours du repas nous parlons librement moi de ma vie de célibataire de 35 ans, sportif, ayant pas mal roulé sa bosse. Elle m’explique sa vie studieuse de fille sage qui l’a conduite à 22 ans dans une école d’ingénieur où il lui reste un an avant le diplôme final. Elle n’a pas de copain régulier et m’avoue en rougissant qu’elle n’a eu en fait qu’une seule relation d’assez courte durée. A la fin du repas je paye la note et elle me remercie d’une bise sur la joue puis nous allons faire un tour au bord de la rivière qui passe dans le bourg. Elle marche à mes côtés et je lui prends la main. Elle la serre comme pour se rassurer. Nous ne disons plus rien je m’arrête et quand je m’apprête à l’embrasser elle lève son visage vers moi et me dit « pas ici car les gens vont jaser, je préfère dans ta chambre».
Arrivé dans ma chambre elle me demande de pouvoir se doucher car sa journée a été longue et sa chambre est au dernier étage mais sa douche au sous-sol. Je lui prête une serviette propre. Quand elle sort de la salle de bain elle est drapée dans cette serviette qui ne couvre pas grand-chose. J’ouvre le lit et me déshabille. Elle vient contre moi, laisse tomber la serviette et toute nue me tend ses lèvres pour un premier baiser. Sa langue est douce. J’explore sa bouche et je commence à bander. Elle prend mon pénis dans sa main en disant « c’est doux et chaud ». Nous nous allongeons sur le lit l’un contre l’autre et je lui suce les tétons en lui caressant doucement l’entrecuisse. Elle semble bien et caresse toujours ma bite qui est devenue très raide. Elle me parle doucement « il faut que tu m’aide car je ne sais pas faire ». Je lui ai de nouveau embrassé sa bouche et je lui ai répondu « laisse faire tu vas être bien ».
Je l’ai initié tout en douceur aux plaisirs des caresses progressives, douces et enveloppantes puis de plus en plus précises et vigoureuses. Elle a jouit une première fois par un massage clitoridien, puis une deuxième fois en me suçant alors que le lui pénétrait le vagin avec deux doigts et une troisième fois les cuisses largement écartées alors que je la chevauchais en lui enfonçant mon sexe au fond du sien par des aller-retour rapides. Elle était belle avec des petits seins sensibles, des fesses confortables, une peau douce, fine et lisse sans défauts. Comme elle ne prenait pas la pilule j’ai joui sur son ventre. Elle a mis sa main pour récupérer du sperme et l’a gouté. Elle était étonnée mais a aimé son goût. On a dormi en ensemble nus l’un contre l’autre. Au matin elle dormait à plat ventre, jambes écartées. Je lui ai caressé la fente des fesses puis le sexe. Elle a gémit de plaisir et m’a dit « viens sur moi j’ai envie d’essayer par derrière ». Son vagin était bouillant et nous avons cette fois ci joui ensemble.
Cinq ans ont passé depuis. Elle est devenue ma femme, nous voyageons ensemble et elle fait très bien l’amour.
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