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Je cède au chantage 4

Je cède au chantage 4



J’ai passé la nuit allongée, jambes et bras écartés, sur mon lit fait de planches sur lequel sont fixées des sangles qui me maintiennent le cou,les poignets et les chevilles, sans parler de la muselière/bâillon qui me réduit au silence.
Le lundi matin mon maître me libère de bonne heure et m’emmène chez lui tenue en laisse.

Arrivés dans la cuisine, après qu’il m’aie délivrée de la muselière/bâillon et du collier, je lui fais sa pipe matinale avalant son sperme.
Je déjeune à genoux sur le carrelage puis je passe dans la salle de bain.
J’obéis aux ordres reçus et me prépare soigneusement.
Je me maquille outrageusement.
Je m’habille: bas résilles, soutien gorge blanc seins nus, string blanc, jupe très mini rouge fluo, maillot blanc fluo très ajusté afin que mes tétons soient visibles à travers le tissu, un blouson rouge (même matière que ma jupe) que je retirerai dés que la température sera bonne, bottines rouges à talons hauts.
Je mets une tenue de rechange dans un sac.
Je rejoins Mathieu qui me tend deux broîtes de préservatifs, des mouchoirs en papiers et deux sachets plastiques.
Il inspecte ma tenue puis soulève ma jupe.
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Je m’exécute et mets le string dans mon sac.
Il me tend un autre sac.
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Je le suis jusqu’à sa voiture, je mets mes affaires sur la banquette arrière et m’installe à l’avant sur le siège passager.
En route il m’explique ce qu’il attend de moi mais il n’y a pas besoin de me faire un dessin, je connais la musique et résignée je n’ai aucune appréhension.
Nous arrivons sur une route à grande circulation qui traverse une forêt, il s’arrête au bord d’un chemin qu’il avait repéré quelques jours plutôt.
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Je descends de l’auto, il démarre me laissant seule.
J’inspecte les lieux et trouve un endroit discret pour cacher mon sac puis un endroit pour mon activité ou je dispose les préservatifs.
Je me place au bord du chemin bien en vue des véhicules qui passent, avec ma tenue il faudrait être aveugle pour ne pas me voir.

Il est tôt mais beaucoup de voitures ralentissent à ma vue.
Un auto grise qui était passée devant moi fait demi-tour et s’arrête, le conducteur un homme bedonnant vêtu d’un costume en descend et s’approche de moi.
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Je lui indique le tarif qu’il ne discute pas, il me suit dans le coin discret que j’ai choisi.
Tout en parlant il me tend des billets puis sort sa verge de taille moyenne qui bande déjà, je lui mets un préservatif puis je me baisse en pliant les jambes. Après l’avoir un peu masturbé je prends sa queue dans ma bouche et je lui fais une fellation qui ne dure pas longtemps. A la crispation de ses doigts sur mes épaules et aux soubresauts de son membre dans ma bouche je sens qu’il éjacule.
Il se recule et retire la capote dans laquelle il a laissé une bonne quantité de sperme puis il essuie son pénis avec un mouchoir en papier que je lui tends.
Je récupère le préservatif que je glisse dans un sachet plastique.
Mathieu m’a donné deux sortes de capotes: une broîte goût fruits pour les pipes et une broîte lubrifiées pour les pénétrations vaginales. Les deux sachets plastiques servent pour récupérer et différentier les capotes usagées.
Je reviens au bord de la route suivi par le client qui me fait des compliments sur ma façon de sucer et sur mon physique puis il regagne sa voiture et reprend sa route.

Un peu plus tard un camion s’arrête, le routier un homme grand et baraqué me demande le tarif pour me pénétrer le vagin.
Il me suit jusqu’à mon lieu de travail. Il me paye.
Une fois qu’il a mis son gros pénis à l’air je lui mets une capote lubrifiée.
J’écarte les jambes et me penche en avant les mains appuyées à un tronc d’arbre.
L’homme se positionne derrière moi, il soulève ma jupe qui de toutes façons ne cache plus rien quand je me penche vu qu’elle est très mini.
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Sa queue glisse entre mes fesses avant que je l’aide avec une main à atteindre mon intimité et dans laquelle elle s’enfonce écartelant les chairs quand il donne un coup de reins ses mains agrippées à mes hanches.
Il remue et je ressens les aller-retour de sa grosse verge dans ma chatte pendant quelques minutes avant qu’il ne se crispe et n’éjacule tout en donnant encore quelques coups de reins.
Il remet de l’ordre dans ses vêtements tout en me parlant de son métier puis une fois de retour au bord de la route il me quitte en me disant à bientôt.
Dans la matinée je me fais moins souvent pénétrer que je ne fais de pipes (beaucoup d’hommes adorent se faire sucer).
Assise au pied d’un arbre je mange mon repas avant de reprendre le travail.
L’après-midi je vois des autos qui passent et repassent devant moi avant que le conducteur ne se décide à m’aborder. Les clients sont plus nombreux et des routiers en profitent pour faire leur pause obligatoire.
Bien que je trouve le temps long je continue à tapiner en attendant que mon maître ne vienne me chercher.

Enfin Mathieu arrive et se gare de l’autre côté de la route.
Je prends mes affaires et me dirige vers lui, il baisse sa vitre, je m’approche et me penche pensant qu’il veut me parler, je reçois une violente gifle.
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Je retourne tapiner et après que j’aie encore satisfaits deux clients (une pipe et une pénétration de mon vagin) il me fait signe de le rejoindre. Je monte dans sa voiture et il me ramène chez lui.

Arrivés dans son salon j’ai ordre de me mettre nue et de laver mon visage de grosse putain qui le dégoûte avec mon maquillage outrancier puis il m’affuble du collier pour chien et de la laisse.
Je dois sortir les préservatifs souillés de sperme qu’il compte en fonction de leur usage puis il compare avec ce que j’ai gagné et trouve que c’est juste mais que le lendemain je dois faire mieux.

Une fois ramenée tenue en laisse dans le chalet qui me sert de demeure, il me bâillonne.
Je me retrouve à genoux, les jambes écartées, sur ce qui me sert de lit. Il se positionne derrière moi et sort sa grosse queue de son pantalon et la positionne contre mon anus. Il cramponne ses mains à mes hanches et exerce une poussée.
Son pénis pénètre inexorablement dans mon cul en forçant les chairs. Il se met en mouvement et ses coups de reins font coulisser son membre dans mes fesses. Il me défonce un petit moment puis je sens que sa verge augmente encore de volume et prise de soubresauts arrose mes intestins de sperme.
Il se retire et s’essuie, je me relève.

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Je monte sur le tabouret et me colle le dos contre la paroi sur laquelle des sangles sont fixées puis j’écarte les bras, il m’attache les poignets avant de retirer le tabouret d’un coup de pied et de me laisser suspendue les pieds dans le vide.
Il sort du placard une cravache et me fouette sans retenue pendant un moment le sexe et le ventre. Il me fait très mal et je gigote sans parler de la douleur dans mes bras qui doivent supporter le poids de mon corps.
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Il sort et referme la porte à clé me laissant suspendue et en pleurs essayant de ne pas bouger pour ne pas amplifier la douleur.
Le temps m’a paru bien long avant qu’il ne revienne pour m’apporter mon repas et me libérer de ma position très inconfortable. Il attache à mon collier la chaîne qui est fixée dans la cloison.
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Il s’affaire sur le plancher qui me sert de lit (qui est en deux parties) et déplie la partie supérieure ce qui a pour effet de doubler la surface et de faire disparaître les sangles de cuir qui se retrouvent de fait sous le lit.

Assise, n’ayant rien d’autre à faire, j’attends la suite des événements.
Au bout d’un moment la clé tourne dans la serrure, je me lève, la porte s’ouvre et trois hommes pénètrent dans mon logement.
Ils me disent bonjour, me regardent de la tête aux pieds en commentant mon physique puis la discussion est des plus réduite car c’est passer à l’acte qui les intéresse.
Certains m’embrassent, ma langue ne se fait pas prier pour se mêler à la leur.
Ils me pelotent partout et des doigts pénètrent mes orifices.
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Cela commence par une pipe, je les suce chacun leur tour passant de l’un à l’autre sans chercher à conclure, ce jeu dure un moment puis trop excités ils décident de s’occuper de moi.
Ils veulent me prendre tous les trois ensemble en utilisant tous mes orifices en même temps.
Ils choisissent la position adéquate pour que j’aie en même temps une queue dans la chatte, une dans l’anus et une dans la bouche.
Vu comment je suis prise je ne peux que les laisser me défoncer et rapidement ils se soulagent sans l’orifice qu’ils ont investi.
Ils recommencent à me défoncer, comme ils ne veulent pas éjaculer trop vite ils échangent leur place pour mon plus grand plaisir car les sensations que je ressens sont de plus en plus fortes et je mouille beaucoup.
Le plus faible arrose ma chatte, du coup les deux autres accélèrent les va-et-vient dans ma bouche et mon anus pour ne pas être en reste.
Je dois les remettre en forme en les masturbant et suçant ce qui est facile pour deux d’entre-eux mais plus difficile pour le troisième.
Ils essayent de me prendre dans le même orifice à deux ensemble mais même en insistant ce n’est pas concluant et ils abandonnent.
Ils se relaient pour me sodomiser sans conclure et avec mes mains et ma bouche je dois m’occuper d’entretenir l’érection de ceux qui attendant leur tour.
L’un finit par éjaculer dans mon cul pendant que les deux autres continuent à me défoncer pendant un bon moment avant de se soulager dans mes intestins.
Je remets encore chacun leur tour en forme les deux qui souhaitent continuer, je masturbe et ne suis pas avare avec les fellations, j’arrive à un résultat et de nouveau mon anus est investi.
Ils donnent des coups de reins violents et ils se remplacent souvent pour faire durer l’accouplement, ils me défoncent très longtemps le cul avant d’éjaculer dedans.
Je n’ose pas penser à l’état de mon anus qui doit être bien ouvert.
Satisfaits ils partent en me remerciant pour le plaisir qu’ils ont pris, ils ferment la porte à clé.

Je me lave au lavabo puis je replie le lit et m’allonge dessus, j’attends que mon maître vienne me bâillonner et m’immobiliser avec les sangles.Ce qu’il vient faire au bout d’un moment.
Fatiguée je réussis à m’endormir.

Le mardi matin mon maître vient me chercher et comme pour les jours à venir le rite est le même: je lui fais une pipe et j’avale son sperme, je déjeune. Je vais me laver, me maquiller sans modération pour avoir l’air de la prostituée que je suis réellement depuis lundi matin.
Je m’habille, aujourd’hui c’est mini jupe et bustier rouges ainsi que des cuissardes noires, donc pas de culotte ni de soutien gorge.
Mathieu inspecte ma tenue, soulève ma jupe extra courte.
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Je prends mon sac avec les affaires de rechange et celui qui contient mon repas.

Nous sortons de la maison et gagnons sa voiture.
En route nous restons pratiquement silencieux.
Il stoppe au même endroit que la veille.
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Pendant qu’il s’éloigne je vais mettre mes sacs à l’abri des regards et poser les préservatifs et mouchoirs en papier sur le lieu ou je soulage les hommes.
Je me positionne au bord de la route pour être bien visible des automobiles.
Je vois le regard des conducteurs et passagers se tourner dans ma direction quand ils passent devant moi puis j’observe le manège des voitures qui ralentissent à ma vue et font demi-tour pour repasser devant moi puis s’arrêter sur le bas-côté.
Le matin les gens semblent plus affairés et j’ai moins de clients que l’après-midi ou par moments plusieurs autos stoppent devant moi presque en même temps et dans ces moments la je ne traîne pas pour pouvoir faire jouir un maximum d’hommes.
Ils sont toujours surpris, quand en levrette, avant de pénétrer ma chatte, ils soulèvent ma jupe et voient que je n’ai pas de culotte. Je dois à chaque fois leur dire qu’il est inutile que j’en mette une.
En fin de journée mon maître arrive et se gare sur le bas-côté attendant que j’en aie fini car plusieurs hommes viennent encore me voir pour que je les fassent éjaculer avec ma bouche ou dans ma chatte.
Enfin il me fait signe de le rejoindre, je vais chercher mes sacs puis je traverse la route et je monte dans sa voiture.

De retour chez Mathieu je me déshabille il compte les billets que m’ont rapportées mes passes puis c’est le comptage des préservatifs qui ont servi, c’est moi qui le fais car il ne veut pas se salir avec des capotes polluées par du sperme qui d’après lui n’est pas forcément sain.
Il compare avec ce que j’ai gagné et convient que c’est correct et que je n’ai rien détourné.
Je me mets à genoux sur le canapé jambes écartées et il me prend en levrette, sa queue pénètre ma chatte dans laquelle elle fait des aller-retour pendant un moment puis elle en sort et vient buter contre mon anus.
D’une forte poussée elle force l’entrée puis s’enfonce dans mon cul en repoussant les chairs. Quand ses testicules viennent buter contre mes cuisses il donne des coups de reins et je ressens les aller-retour du pénis dans mes fesses.Il me défonce un bon moment s’arrêtant quand il est sur le point de jouir.
Je ressens du plaisir mais pas jusqu’à la jouissance car quand il décide que ça suffit il me dit:
<< retournes toi et prends la dans ta bouche que je l'arrose>>.
Il se recule et rapidement je lui fais face, j’enfonce sa verge dans ma bouche et je lui fais une fellation avec des aller-retour rapides. Il ne faut que peu de temps pour que sa queue augmente de volume et prise de tremblements envoie des giclées de sperme dans ma gorge. Après avoir avalé « sa liqueur », comme une bonne salope, je continue à sucer puis à lécher son membre pour le rendre propre jusqu’à ce qu’il repousse ma tête.

Puis c’est le repas avant qu’il ne me remette le collier pour chien et m’affuble des grosses chaînes.
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Je mens pour éviter de lui déplaire car j’ai honte de ce que je fais avec le chien.
De nouveau bâillonnée, accroupie à ses pieds j’attends .

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