Alors que j’avais 20 ans et étais étudiante, je participais les week-ends aux services de mariage avec un traiteur afin de financer mes études. En 3 ans, j’ai dû en faire une cinquantaine mais l’un deux fut exceptionnel.
Comme d’habitude, le traiteur nous imposait une tenue de service : chemisier blanc, mini-jupe noire et moulante, collant fin noir et ballerines. Je rappelle que je fais un taille 42 pour un 1m65 avec un bonnet C et je ne suis pas très à l’aise dans cette tenue où mes seins et mes fesses sont bien visibles.
A l’apéritif, je suis chargée de passer entre les gens pour resservir en champagne. Je croise à peu près tous les 200 invités et échange quelques mots avec tout le monde dont un homme d’une quarantaine d’années qui me drague ouvertement.
Lors d’un deuxième passage, je sens une main passer sur mes fesses à mon passage près de cet homme mais je ne sais pas si c’est dû à un mouvement de foule ou si c’est volontaire. Lors d’un troisième passage, je sens encore plus clairement une nouvelle main sur mes fesses et arrive à identifier immédiatement le fautif, mon dragueur un peu lourd mais beau gosse dans son costume. Pour ne pas faire de scandale et nuire à la soirée, je m’éloigne sans rien dire.
Plus tard, à table, je repère mon homme qui se trouve être marié avec une belle femme blonde hyper classe et fine dans sa belle robe de soirée, tout le contraire de moi et je me demande ce qu’il peut bien me trouver s’il me trouve quelque chose. Mon doute est confirmé lorsque je viens débarrasser la table de mon homme juste à côté de lui. Sans gêne et alors que sa femme est en face de lui, il pose une main derrière le haut de mes cuisses sur mon collant et la remonte pour caresser mes fesses sous ma jupe. Etonnée, je suis restée immobile pendant les quelques secondes ou sa main s’aventurait sur mes fesses. J’ai ensuite vite fini de débarrasser et suis reparti avec ma pile d’assiettes sans rien dire.
Pour le restant de la soirée, j’ai essayé d’éviter cet homme séduisant et qui me plaisait beaucoup mais qui avait 20 ans de plus que moi, marié et bien éméché au cours de la soirée. Je voulais surtout ne pas attirer l’attention sur moi et rester professionnelle. Dans ma petite tête par contre, des idées coquines trottaient car je dois avouer que je me sentais assez coquine à l’époque mais mon physique n’attirait pas les hommes. Ma formation étudiante avec beaucoup de filles n’aidait pas aux rencontres et c’est comme cela que j’étais célibataire et surtout sans sexe depuis près de 6 mois.
Je finis mon service à 3h du matin et sors de la salle par les cuisines quand je vois mon homme 5m plus loin en train de fumer ou plutôt de m’attendre.
Rapidement, il engage la conversation :
« -alors on a fini le service, pas trop fatiguée ?
— Si un peu.
— Ok, je voulais m’excuser pour tout à l’heure. Ce n’était pas très élégant de vous passer des mains
— Surtout devant sa femme…
— Oui, mais il faut dire que vous êtes ravissante dans cette tenue de serveuse et avec l’ambiance de la soirée, je me suis emballé.
— D’accord, j’accepte vos excuses. Maintenant, je vais rentrer chez moi.
— Laisse-moi t’accompagner, car le parking est noir pour me faire pardonner »
Je ne sais pas pourquoi mais j’accepte qu’il m’accompagne 50 mètres plus loin en m’éclairant avec son téléphone. En chemin, j’apprends que sa femme est partie se coucher avec leurs enfants en bas-âge. Une fois arrivée à ma voiture, il éclaire la serrure pour que j’ouvre ma voiture et tandis que j’allais ouvrir ma portière, je sens ses mains m’agripper par la taille et il me souffle à l’oreille « allez, embrasse-moi, je sais que tu attends que ça ».
Et là, j’avoue que je ne sais pas pourquoi, mais je me suis retournée et ait acceptée de l’embrasser. Le baiser est rapidement devenu fougueux et je me suis complètement abandonnée à cet homme deux fois plus vieux que moi dont je ne connaissais même pas le prénom.
Rapidement, il m’a caressé les fesses et remonté ma jupe au niveau de la taille. Il a ensuite passé ses mains sur et sous mon collant pour découvrir que je portais un string-ficelle :
« Alors comme ça, on bosse avec un string-ficelle, petite coquine ?
-c’est juste pour qu’on ne voit pas la marque d’une culotte avec cette jupe moulante. »
Il enlève ensuite ma petite veste, puis déboutonne mon chemisier pour caresser mes seins à travers puis sous le soutien-gorge. Je me laisse faire tout en l’embrassant jusqu’à ce qu’il ouvre sa ceinture et défasse son pantalon. Je m’accroupis alors et commence à le branler à travers son caleçon avant de sortir un long sexe fin et de commencer à le lécher.
Là, il change de comportement et devient plus brutal en me prenant la tête pour que j’enfonce sa queue au fond de ma gorge. Il me félicite et profère des insultes salaces que je n’apprécie pas au début. Même si j’aime bien faire des fellations, être forcée de cette manière est étrange et pas vraiment à mon goût.
Puis il me relève, me retourne contre le capot de la voiture, baisse mon string et mon collant jusqu’à mes genoux et caresse ma vulve avec ses doigts. J’ai encore droit à une insulte quand il voit que je suis trempée avant de me faire pénétrer sans ménagement. Ses coups de reins sont efficaces et je commence à reprendre du plaisir qui avait disparu depuis la pipe forcée.
Ce moment dure assez longtemps puis il me retourne et m’allonge sur le capot froid de ma saxo et me fait mettre les jambes en l’air. Mon collant gênant ce mouvement, il m’enlève rapidement une chaussure, mon collant et mon string d’une seule jambe et me laisse l’autre vêtue. Ainsi, il me pilonne rapidement me faisant tirer des petits cris jusqu’à un orgasme. Lui n’a pas joui et me fait remettre debout. Je remets ma chaussure pour ne pas avoir mal aux pieds sur les graviers et veut enlever le collant qui me couvre encore un mollet mais il ne m’en laisse pas le temps et me remet à plat ventre contre le capot, les fesses en l’air. Les insultes continuent alors :
« -hmmm, tu es vraiment une bonne petite salope. Maintenant, je vais enculer ton gros cul.
-NON, je ne veux pas. J’aime pas ça ! (En fait, je n’ai jamais essayé mais cela ne m’attire pas plus que ça)
— Ta gueule, je suis sûr qu’une jeune chienne comme toi adore ça »
Là, il me pénètre avec un doigt puis deux et crache à plusieurs reprises sur ma rondelle. Cette sensation me paraît bizarre mais n’est pas réellement désagréable. Je change d’avis lorsque son gland me perfore d’un coup sec puis lorsqu’il me baise sans ménagement derrière. Je prends alors réellement conscience de ce que veut dire l’expression « se faire défoncer le cul ».
Je n’ai plus aucun contrôle et pousse apparemment des cris bruyants puisqu’il me demande de me taire pour ne pas attirer du monde. Après peut être deux minutes qui m’en parurent 15, il finit pas déverser sa semence dans mes fesses avant de se retirer. Je reste abasourdie quelques secondes tandis qu’il se rhabille déjà. Je sens son sperme couler de mon anus et me sent complétement souillée. Je reprends ensuite mes esprits et remets ma jupe en place hyper honteuse de ce qu’il vient de se passer. Alors que je remets mon string, mon homme veut récupérer mon collant « en souvenir ». Je lui donne sans savoir ce qu’il va en faire puis remonte rapidement dans ma voiture et m’en vais sans un mot gentil de sa part.
Au cours du trajet retour de 20 minutes, je sens le sperme couler et souiller mon string et ma jupe mais la honte du départ est remplacée par une certaine fierté d’avoir vécu le moment sexuel le plus intense et le plus hard de ma courte expérience. Je suis finalement heureuse de ce qu’il a pu se passer et assez fière de plaire à un homme de 40 ans.
Finalement, en rentrant chez moi et alors que mes parents dorment, je décide de ne pas me doucher pour ne pas réveiller mes parents et m’endors comblée avec ce sperme qui ne cesse de couler entre mes cuisses.
Cette expérience m’aura en réalité donné goût à la sodomie.
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