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Soumis à ma belle-mère (7)

Soumis à ma belle-mère (7)



Exigence totalement compromettante

C’est bientôt l’anniversaire de ma belle-mère. Béatrice va avoir 71 ans et je me réjouis déjà de fêter cela avec ma Maîtresse vénérée. Je la trouve en belle forme et je vis notre relation intime avec bonheur. Alors, je lui demande simplement ce qui lui ferait plaisir.

– Jean, je voudrais te retrouver dans notre hôtel la veille de mon anniversaire. Tu viendras avec ton collier et ta laisse de soumis, et ta cage de chasteté posée. Je t’interdis de jouir pendant les 4 jours précédents. J’apporterai le martinet ainsi que ma petite caméra car je veux que tu me fasses des déclarations que je vais enregistrer. Tu comprends ce que cela veut dire ?

– Oui, Maitresse adorée, Vous voulez garder des souvenirs de ma passion pour Vous. Cela me touche et je suis bien disposé à Vous déclarer mon amour total. Tout pour Vous faire plaisir.

– Non, Jean. Ma demande va plus loin que de simples souvenirs que nous garderions pour nous. Je conserverai ces enregistrements et je te préviens que je m’en servirai si un jour tu me quittes ou si tu me trompes. As-tu compris à quoi tu t’engages si tu acceptes ?

Mon sang se glace car je sais que ma belle-mère est familière des montages photos et films pour sa famille, notamment pour ses petits-enfants. Elle peut très facilement mettre les meilleurs extraits vidéos de notre intimité sur clé USB pour me faire chanter ou dévaster toute tentative que j’aurais de tomber amoureux d’une autre femme. Je suis tellement « accro » d’elle que j’accepte. Je l’aime tant et je veux la garder avec moi quel que soit le coût. C’est une nouvelle étape décisive dans ma soumission absolue à ma belle-mère.

Une bourgeoise vraiment perverse

Nous nous retrouvons enfin dans notre chambre d’hotel. J’ai porté ma cage depuis deux jours et n’ai pas joui depuis une petite semaine comme Béatrice me l’a demandé. Mon esprit est totalement obsédé par le désir que je porte à ma belle-mère. Je suis amoureux et j’aime tout d’elle, sa voix, sa peau tendre, ses manières fermes et ses avis péremptoires. Je me penche vers elle, et nous nous embrassons longuement. Mon sexe souffre de ne pouvoir se déployer dans sa cage.

Je me mets totalement nu ne gardant que ma cage. Béatrice pose mon collier de chien et accroche la laisse à l’anneau du collier. Elle reste habillée, vêtue d’un T-shirt de coton blanc manches longues, d’une jupe noire droite et collant noir, et d’escarpins à talons bas. Maquillée, portant des boucles d’oreille et ses lunettes, je la vois préparer la caméra qu’elle pose sur la tablette proche du lit. Elle m’ordonne de na pas mentionner son prénom ni son statut de belle-mère pendant tout l’enregistrement. Enfin, Béatrice pose sur son visage un loup noir qui la rend anonyme. Je comprends que je suis exposé en pleine lumière mais qu’elle restera une amante inconnue: la caméra tourne.

Je m’agenouille devant elle et nous procédons à notre rituel habituel. Ma belle-mère tire sa jupe par les cotés vers le haut, att**** les cotés de sa culotte de coton blanc qu’elle retire puis me la tend. Elle rabat sa jupe. Je la regarde dans les yeux, pour une fois d’en bas, et je porte l’entrejambe de sa culotte à mon visage. Je hume son tissu parfumé de sa chatte et ses odeurs piquantes d’urine puis lèche le gousset sale de son entrejambe. La caméra filme cette scène scabreuse.

Elle me fait allonger sur le lit et me sort de son sac à main un godemichet. Elle le lubrifie avec du gel, me demande de relever mes jambes, et de me pénétrer moi-même le cul avec le joujou qu’elle me tend.

Me voici, le gendre nu, allongé, les jambes repliés, ma cage en place, à me goder le cul devant ma belle-mère debout et habillée. Je la vois souriante et moqueuse. La caméra enregistre…

Puis Béatrice relève sa jupe et vient s’assoir sur mon visage tandis qu’elle tripote ma cage. Sa chatte humide, odorante et poilue se pose sur ma bouche et je commence un ballet de mes lèvres et de ma langue sur sa vieille vulve et son clitoris adorés. Je lèche tous les plis de ses lèvres. Je la sens attentive à toutes les sensations. Après un instant, elle avance son bassin, et je comprends qu’elle offre son anus à ma bouche. Béatrice m’enjoint de sa voix aigue d’enfoncer ma langue. Je suffoque de désir et de manque d’oxygène, et je m’éxécute. Je fais pénétrer la pointe de ma langue dans son anus qui s’ouvre sous la poussée. Ma langue va et vient maintenant à l’intérieur de son anus et cette scène est totalement perverse. J’ai très mal à mon pénis encagé.

Ma belle-mère est sadique

Enfin, Béatrice se léve, rabat sa jupe, et vient ouvrir le cadenas de ma cage. Mon pénis endolori gonfle aussitôt. Je la prends dans mes bras et l’embrasse. Nous savons que ma langue fouillait son anus il y a quelques instants et maintenant nous mêlons nos langues à plenes bouches. Sa perversion me donne le vertige. Je regarde la caméra et déclare que j’ai adoré pénétrer l’anus de mon amante de ma langue car je suis fou d’elle.

Béatrice se met à 4 pattes sur le lit, dégage l’arrière de sa jupe pour que je la pénètre. Je vais et je viens très doucement dans sa chatte. Le soulagement de mon sexe libéré et les sensations ressenties à la baiser en levrette sont fantastiques. Je fais tout pour ne pas jouir et prolonger mon désir. Ma belle-mère très excitée halète, gémit comme une salope et jouit.

Après quelques instants de calme pour reprendre ses esprits, elle me demande de me tenir debout devant elle, les mains croisés derrière ma nuque. Elle att**** son foulard et vient fixer mes poignets ; je suis à sa merci. Me voici soumis, nu sauf le collier et la laisse, les bras relevés, mis à sa disposition. Mon sexe est tendu. Elle le décalotte puis prend en main son petit martinet. Voici un homme mince, grand et poilu, la cinquantaine élégante devant une femme âgée, menue, plutôt petite, habillée BCBG, un martinet à la main. La caméra enregistre la scène.

Béatrice me pince les tétons durement et longuement tandis que je l’en remercie et lui exprime une litanie de compliments et de serments d’amour. Béatrice fouette maintenant mes têtons, mon ventre, mes cuisse, mes fesses et mon dos de coups de martinet. Après deux claques de sa main sous mes testicules qui m’arrachent deux cris brefs, elle abbat son martinet de façon légère mais continue sur mon sexe. Un coup à gauche, un coup à droite, en dessous, par dessus, je gémis de douleur tout en disant face caméra :

– Vous êtes ma Maîtresse à laquelle je me soumets (je prends soin de ne pas dire son prénom). Merci de me faire mal. Je veux que Vous me preniez et me gardiez comme Votre esclave. Je m’abandone totalement à Votre volonté et Vos désirs. Je suis un mâle obsédé par Vous. Merci Maitresse de Vos coups. Je Vous aime infiniement. Je suis Votre chien aimant. Mon esprit et mon corps Vous appartiennent.

Sous les coups légers mais répétés de ma belle-mère, mon pénis et mes testicules finissent par rosir. Je me dis qu’on est dingues tous les deux, mais c’est si bon. Enfin, ses coups cessent. Elle va chercher un verre, me caresse délicatement le pénis et je finis par éjaculer dans un râle au fond du verre qu’elle tend pour recueillir les jets de sperme. Enfin, elle me détache et me permet de baisser les bras. Elle m’ordonne de boire le verre. Je m’éxécute. Je suis son gendre vicieux et soumis.

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