21h30, la soirée va être encore longue et je n’en peux déjà plus de ces conversations d’adolescentes. Quelle idée j’ai eu d’avoir accepté auprès de mes parents de chaperonner Malory la fille d’un couple d’amis a mes parents le jour de la fête de son 18ème anniversaire. C’est sur cette pensée, que je décidai de prendre une bouteille de vin et de filer me réfugier au calme dans sa chambre. Je me servis un verre m’installais confortablement dans son lit.
Quelques paisibles minutes plus tard,c’était Malory. Pour que vous puissiez vous en faire une idée, Malory est tout juste âgée de 18 ans et quelques semaines, elle doit mesurer près d’1m70, pour 65 ou 70 kg, elle a quelque rondeur, mais ça lui donne un certain charme. Malgré son jeune âge, la nature la dotée d’une énorme poitrine qu’elle ne manque jamais de mettre en valeur par de formidables décolletés et des fesses bien rebondies, de quoi faire fantasmer un bon nombres de petits jeunes dans son lycée. Elle a de longs cheveux blond vénitien et des yeux verts.
Dans l’optique de la taquiner un peu plus et ne comprenant pas son comportement, je lui dis que boire cul sec un verre d’un si bon vin ne faisait pas d’elle une adulte, mais une idiote.
Puis elle s’approcha de moi, s’assit à mes côtés sur mon lit, se pencha vers mon visage et m’embrassa.
Je n’eus d’autre réflexe que de la repousser en lui disant qu’elle était folle et que cela ne se faisait pas, car j’étais plus qu’elle et en plus comme je l’avais vue grandir . Cette explication n’eut pas l’effet escompté étant donné qu’au lieu de la décourager, ça l’a incitée à réitérer l’expérience, mais d’un degré supérieur, puisqu’en plus de m’embrasser à nouveau, elle me grimpa dessus étant donné que j’étais resté allongé sur mon lit. Couchée sur moi, elle m’embrassa à nouveau.
Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir cette jeune langue dans ma bouche ou alors de sentir sa poitrine contre mon torse, mais je n’eus pas la force de repousser ce deuxième assaut et bien pire, je sentais mon sexe se durcir de plus en plus alors que j’étais honteux d’adorer ça.
C’était comme si j’étais envouté, comme si mon corps ne m’obéissait plus, alors que je luttais contre mon érection avant qu’elle ne la remarque, mes mains instinctivement se glissèrent sous sa blouse et lui caressèrent le dos. Ses lèvres toujours contre les miennes m’embrassant à pleine bouche, je sentis qu’un sourire coquin se formait contre mes lèvres.
Elle se releva, mais resta assise en califourchon sur mon sexe en érection. Il était d’ailleurs impossible qu’elle ne sente pas ma bite dressée tel un barreau. Elle se frotta un peu contre mon bassin et elle décida de m’enlever mon pantalon et mon boxer. Totalement perdu entre l’excitation et la honte, je la laissais faire. Mon engin était là tendu devant elle et totalement à sa merci, il ne fallut d’ailleurs pas plus de trois secondes pour qu’elle le prenne en main et commence à me branler.
Ses mouvements de poignets étaient assez timides et lents dans un premier temps, mais très vite elle trouva ses marques et surtout son rythme et commença à m’astiqua de plus en plus rapidement. Je sentais la pression monter en moi et l’excitation fut à son comble lorsqu’elle se pencha sur mon sexe et le mit en entier dans sa bouche. Je sentais sa langue enroulée autour de mon gland et les va-et-vient de ses lèvres ne mirent que quelques minutes à me faire jouir alors qu’elle me faisait cette merveilleuse pipe. Je fus très gêné de n’avoir pu me retenir, mais encore plus d’avoir répandu tout mon foutre dans cette si jeune bouche.
Alors que je m’attendais à la voir s’arrêter pour tout recracher et se choquer de ce que je venais de lui faire, elle eut une tout autre réaction. Sans s’arrêter de me sucer, elle avala tout mon sperme dans un gémissement de plaisir et me suça de plus belle encore. Mon sexe n’eut même pas le temps de ramollir qu’une nouvelle érection m’excita de plus belle. Aucune fille ne m’avait jamais fait prendre mon pied de la sorte.
Voulant me racheter de ce que je venais de faire, mais surtout pour lui procurer autant de plaisir que j’en avais eu, je lui demandais de s’allonger à son tour de me laisser prendre les choses en mains. Je voulais y aller doucement pour faire monter la pression en elle comme elle l’avait fait plus tôt pour moi. Si bien que je commençais par m’attaquer à ses énormes seins que je libérais de cette blouse et de ce soutien-gorge qui les oppressaient.
Ils étaient là devant si fermes et si énormes à la fois, on aurait dit deux pamplemousses sur lesquels trônaient deux petits tétons roses et durcis par l’excitation. Je me mis alors à lui sucer les seins, faisant tourner son mamelon autour de ma langue et le mordillant de temps en temps. Tout en m’exécutant, une de mes mains se mit à descendre vers son jeune minou pour commencer à le caresser à travers son pantalon. Son entre jambe était tout chaud et humide, je n’avais plus qu’une idée en tête; enlever son pantalon et son string pour gouter son jus. Je décidais donc de descendre doucement en faisant un baiser tous les dix centimètres sur son ventre jusqu’à arriver au bouton de son pantalon que j’ouvris sans me faire prier.
Une fois son pantalon ouvert et envahi par l’excitation de voir quelle agréable fruit se trouvait sous celui-ci je ne pus me résoudre de lui ôter.
Le point de non retour était franchi, j’avais cette jeune femme allongée dans mon lit avec juste un string noir en dentelle, légèrement transparent qui laissait deviner un sexe imberbe et aussi doux que jeune.
L’attente faisant monter le désire, je pris sur moi l’envie de lui arracher la lingerie fine qui était le dernier rempart à mon envie de pénétrer sa petite grotte et remontai au niveau de son visage pour l’embrasser. Avant de m’exécuter, je pris soin d’enlever ma chemise que j’avais gardée jusque là pour me mettre dans une tenue plus adéquate à ce qui allait suivre.
Nos langues se collèrent et entrèrent dans une danse sensuelle. Allongé sur elle, je sentais son opulente poitrine contre mon torse, ce que je dois avouer à toujours eu le don pour m’exciter. Mon sexe, qui à cause de ça était de plus en plus dur et tendu, se trouvait tout contre son entre-jambe comme s’il voulait déjà pénétrer la fine fleur qui s’offrait à lui. D’ailleurs je ne pouvais m’empêcher de le frotter contre son string pour qu’elle sente bien mon membre désireux de s’enfuir au plus profond de son être.
Intransigeant je refusai toujours mais pour lui montrer que je compatissais, je décidais de redescendre au niveau de ses cuisses pour commencer à m’occuper de son intimité.
Posant tout une série de baisers sur ses cuisses et me rapprochant de son sexe, en passant mes doigts sous l’élastique de son string, glissant contre ses cuisses et puis le reste de ses jambes, révéla comme je l’avais deviner un vagin totalement rasé, tout rose dévoilant deux lèvres aux forme appétissante auxquelles je croyais bien ne plus pouvoir résister longtemps.
Je ne fis rien de cela, je posai juste un baiser à l’intérieur de sa cuisse gauche à mi-chemin entre son sexe et son genou. J’en posais ensuite un sur sa jambe droite à quelques centimètres de sa petite grotte, une dizaine plus ou moins. Elle ne tenait plus, je la voyais déjà au bord de l’orgasme alors que je n’avais pas encore touché son minou. Le troisième baiser fut décisif dans le sens où quand je lui fis sur l’aine à peine à deux centimètre de son petit trou, elle m’attrapa par les cheveux et proposa ma bouche à son sexe.
Ma langue dans un premier temps commença par la lui laper l’ensemble de sa fente, je montais et redescendais. Elle gémissait déjà très très fort et levant les yeux vers elle entre deux coups de langue, je vis qu’elle prenait tellement de plaisir qu’elle se caressait les seins de son propre chef.
Voulant encore faire monter la pression. C’est ce moment que je choisis pour bien écarter ses grandes lèvres pour glisser ma langue dans son trou. Plus ma langue s’enfonçait en elle, plus je sentais sa mouille envahir ma bouche, j’avalais d’ailleurs tout ce que je pouvais trouvant ce gout délicieux tout comme elle l’avait fait plus tôt pour mon foutre. Son orgasme étant passé, je ne voulus lui laisser aucun repos, si bien que ma langue se dirigea vers son clitoris que je commençais à éprouver en alternant sucions, mordillement et léchage. Elle n’en pouvait plus, ses cris étaient de plus en plus intenses. Je remercie d’ailleurs la musique qui allait fort à l’étage du bas et qui a permis de couvrir le bruit de son extase.
Ne voulant pas laisser sa petite grotte en reste, j’enfonçai mes doigts en elle d’abord l’index qui fut vite rejoint par le majeur après seulement quelques va-et-vient. Un énorme râle sortit du plus profond de sa gorge lorsque j’enfonçais ceux-ci au maximum en elle. Le deuxième orgasme qui l’accompagna fut d’ailleurs bien plus gros que le premier.
Elle n’en pouvait plus, moi non plus d’ailleurs si bien qu’au moment ou elle me redemanda de la prendre. Je n’eus plus la force de lui refuser. Récoltant un peu de sa mouille malgré tout avant de quitter de la bouche son vagin, je m’empressai d’aller la déposer dans sa bouche pour faire en sorte qu’elle sache qu’elle goût elle a.
Le baisé fut aussi fougueux qu’enragé sans doute car nous étions tous deux comme des bombes prêtes à exploser et que la gout de sa cyprine était un peut comme lé détonateur qui fit que nous perdîmes tout contrôle. Pendant ce baiser, elle ne put s’empêcher de prendre ma bite en main et après quelques va-et-vient la mettre à l’entrée de sa chatte trempée.
Puis simplement en arrêtant de m’embrasser.Malory introduit ma bite en elle.
C’était chaud, humide et très serré. Quelle sensation agréable est ce de se retrouver à l’intérieur d’un si jeune vagin et de sentir à l’étroitesse des lieux qu’on l’est l’un des premiers à y entrer. La voyant quelque peu grimacer, sans doute à cause de la douleur, je me dis qu’au moins au début j’allais y aller doucement pour ensuite accélérer le rythme et donner des coups de reins de plus en violents dans un missionnaire des plus classiques. Voyant que je lui avait procuré un nouvel orgasme et le missionnaire étant une position qui m’a toujours très vite ennuyé, je lui proposai de se mettre sur moi, elle ne se fit d’ailleurs pas prier pour accepter. Je m’allongeais donc attendant de me retrouver à nouveau en elle.
Sans doute étais-ce par rancune ou simplement encore pour faire monter la température de nos corps,qu’elle me regarda d’un air sadique,elle reprit mon sexe en main et recommença à me branler. A peine quelques mouvements de poignet plus tard, elle se pencha, enfourna de nouveau mon manche dans sa bouche et me suça d’une manière bien plus soutenue que la précédente. Jamais au grand jamais, une fille ne m’avait fait autant de bien, je n’avais jamais pris mon pied comme ça et dire que c’était une fille sans expérience pour ainsi dire qui me faisait ressentir tout ca.
Elle me fit une branlette espagnole avec sa poitrine énorme qui plus est, je ne pus m’empêcher de lui demander de placer ma bite entre ces magnifiques collines de plaisir. S’arrêtant sur le chant de me sucer et sans me dire un mot, elle s’exécuta et vint entourer mon dard douloureux tellement mon érection était énorme entre ses deux seins. Il ne me fut pas plus de quelques va-et-vient pour avoir l’envie de me répandre à nouveau mais cette fois-ci sur ses seins.
Voyant mes joues rougir, sentant que je contractais mon sexe pour repousser au plus loin l’orgasme, elle s’arrêta net et elle monta sur moi, m’autorisa à nouveau l’accès en elle et commença à se faire aller. Je la tenais par les hanches pour l’accompagner dans ses mouvements qui étaient malgré tout un peu gauches au début. Ses mains à elle, était posées chacune sur un de ses seins et les malaxaient plus ou moins fort au rythme de ses reins. Ces gémissement de nouveau de plus en plus forts laissaient présager qu’elle était également sur le point d’atteindre le Nirvana à nouveau. C’en était trop, je n’en pouvais plus, mon sexe ne tarderait pas à exploser si je ne le libérais pas de l’orgasme que je retenais depuis un certain temps. Nous atteignirent le septième ciel en même temps exprimant chacun un énorme cris de plaisir, j’espérais d’ailleurs ne pas avoir été entendu par les « gamines » d’en bas. Une quantité insoupçonnée de sperme lui remplit sa grotte, se qui augmenta l’intensité de son orgasme à elle.
Tous deux épuisés, elle s’effondra sur moi et resta allongée comme ca quelques instants, laissant mon sexe en elle se ramollir pour profiter encore un peu en quelque sorte de ma présence. Nous restâmes comme ça plusieurs minutes, nos corps enlacés.
Puis ensuite on redescenda pour que Malory souffle les bougies de son gateau et qu’elle ouvre ses cadeaux.Plus part dans la soirée Malory me dit avec un regard complice que c’est moi qui lui avait fait son plus jolie cadeau.
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