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Petite-fille et fille, perverses ou nymphos ?

Petite-fille et fille, perverses ou nymphos ?



Après une longue absence je reviens sur ce site et j’espere faire plaisir à de nombreux lecteurs et lectrices

Petite-fille et fille, perverses ou nymphos.

Mon récit, mélange de souvenirs et phantasmes. A vous de voir quand c’est vraiment arrivé ou quand ce n’est qu’un fantasme qui aurait pût se réaliser. Ou parfois un mélange des deux.

Chapitre 1 : Laurine a grandi.

Cette année ma petite fille est venue passer ses vacances chez moi sans sa mère retenue pour son boulot. Elle vient de passer son BAC avec succès et mention bien.
Je suis surpris qu’une jeune fille de son âge ait envie de passer ses vacances avec son grand-père, jeune retraité qui vit seul depuis que ma femme s’est tirée avec un jeunot il y a 5 ans. Probablement parce que je ne m’intéressais pas assez à elle et à sa libido.
Mais je me dis qu’elle a sûrement des idées pour occuper son temps en dehors de ma piscine et elle sait que je cède souvent à ses caprices de jeune fille, ce qui peut être une raison de son choix.
Quand elle arrive je ne reconnais plus la gamine que j’avais en mémoire. Dans sa petite jupe qui moule parfaitement ses fesses et son haut qui emprisonne une belle poitrine, je ne vois plus l’adolescente qui est venue 2 ans auparavant, mais une jeune fille, très belle, qui ressemble un peu à Eva Longoria en plus jeune. Mais la ressemblance, au même âge, avec ma belle-fille Martine, fille de mon ex que j’ai reconnue à 6 mois, est frappante.
Ce qui surprend chez elle c’est qu’elle a un corps splendide de jeune femme mais son visage a encore un air enfantin qui la fait paraître beaucoup plus jeune qu’elle n’est. Surtout de face avec ses hanches étroites et quand elle ne se maquille pas. Car de côté, elle a de belles fesses bien rebondies. Elle est vraiment belle ma Laurine et je suis fier d’elle.
Rentrant du magasin de bricolage ou je suis passé prendre des vis et des ampoules de rechange, je ne vois personne à la maison, ni vers la piscine. Ma petite-fille est sûrement partie faire un tour sur la plage qui n’est située qu’a 700 m de chez moi.

Je vaque à mes occupations quotidiennes puis je m’allonge sur le divan pour me relaxer un moment. J’ai dû m’assoupir car je me réveille en croyant entendre le bruit de la douche mais je n’entends rien. Je ne bouge pas tout de suite et quelques minutes plus tard, je suis sûr d’avoir entendu un léger bruit.
Serait-ce ma petite-fille qui serait rentrée pendant que je dormais ?
Je vais dans le couloir qui mène aux chambres et à la salle de bain et en passant devant la chambre de Laurine, je remarque que la porte est entrouverte et une douce musique se diffuse dans sa chambre. Laurine est bien rentrée et il me semble que je dois la laisser tranquille si elle se repose. Je m’apprête à retourner dans le salon lorsque que j’entends une sorte de gémissement. Un peu inquiet je m’arrête et j’écoute plus attentivement. Un autre gémissement filtre par la porte entrebâillée et là, je me demande si elle va bien.
Je pousse la porte et je reste figé. Dans la glace de l’armoire, j’aperçois Laurine allongée sur son lit, complétement nue, les cuisses écartées et sa main qui tient un gode rose qu’elle fait aller et venir dans sa petite chatte.
Je suis tellement surpris par ce spectacle que je reste planté sur mes jambes et je continue de regarder ma petite fille se masturber alors que je devrais partir sur le champ.
Mais elle est tellement belle dans cette position que malgré ma bonne volonté j’admire ses longues jambes, ses cuisses bien pleines, sans défauts, d’une beauté éclatante. Sa chatte n’a aucun poil et on distingue bien ses grandes lèvres bombée écartées par le gode luisant de cyprine.
Mes yeux remontent sur son corps, son ventre plat, pour se fixer sur ses seins magnifiques. Ils ne sont probablement encore pas à leur taille définitive mais on dirait deux grosses pommes, parfaitement rondes, surmontées d’un bourgeon que de loin je trouve gros et long, pointant sur des aréoles roses foncé.
Je la trouve sublime et désirable. Si ce n’était pas ma douce petite fille, je ne sais pas si je me serais retenu.
Ses yeux sont fermés et un autre gémissement sort de sa bouche aux lèvres rose et pulpeuses.
Elle se donne du plaisir en croyant probablement que je ne suis pas là puisqu’elle n’a pas pris soin de fermer sa porte en revenant de sa douche.
Lentement elle se baise sa chatte avec son gode et par moment elle titille son clito en haut de sa chatte. Ce n’est sûrement pas la première fois qu’elle se fait plaisir ainsi car elle se caresse en experte du sexe féminin.
Comme un vieux pervers, je reste là, mâtant ma petite fille qui se laisse aller à ses besoins sexuels d’adolescente. Je suis voyeur dans ma propre maison. Je sais, je devrais arrêter, mais je n’en ai pas la force, ni l’envie, car Laurine est si sexy que je mets ma main sur mon sexe entre mes cuisse et je m’aperçois que je bande comme un cochon lubrique.
Dommage que je n’ai pas mon portable car la vue est tellement belle, tellement torride, que j’aurais gardé un souvenir dans ma broîte à secrets. Espérant qu’elle ne s’arrête pas tout de suite, je vais le chercher, sans faire de bruit.

Quand je reviens, elle se branle toujours la chatte d’une main pendant que l’autre presse un de ses seins.
Je vois sa mouille qui brille sur ses grandes lèvres intimes. Vite, mode vidéo et je film pour capturer ce moment si intime et probablement me branler devant cette vidéo un peu plus tard. Un moment de honte est vite passé !
Mais j’entends un cri et je vois que Laurine m’a surpris en ouvrant ses grands yeux bleus.
– Papy ! Putain ! Ferme la porte ! Qu’est-ce que tu fais là !
– Excuse-moi chéri, je craignais que tu n’ailles pas bien en t’entendant gémir lorsque je suis passé devant ta porte.
Laurine tire le drap sur elle et à ma réflexion, je vois dans ses yeux qu’elle ne sait pas depuis combien de temps je joue au voyeur.
– Laurine…ça va … tu vas vraiment bien…
– Oui…non…ça va…je suis désolée de t’avoir inquiété.
– Bien ma puce. Ne soit pas désolée. Ne m’en veux pas d’avoir violé ton intimité car j’ai compris ce que tu faisais. Et j’ajoute d’une voix calme et rassurante.
– C’est normal à ton âge. Tu dois avoir des poussées sexuelles… à assouvir…
Elle ne dit rien, me regarde d’un air interrogatif… puis un léger sourire apparait sur ses lèvres. Du coup au lieu de filer à l’anglaise j’ajoute
– Tu sais, Laurine, toutes les femmes se sont masturbées lorsqu’elles ont eues ton âge. C’est normal, c’est la nature. Et les jeunes garçons font pareil. Et je m’excuse une nouvelle fois de t’avoir interrompu dans ce moment si intime.
– Papy…heu… Mamy elle se masturbait aussi ?
– Bien sûr, ma puce. A ton âge elle faisait pareil. Ensuite elle le faisait devant moi pour m’exciter.
– C’est vrai Papy !
– Oui… quand nous étions jeunes mariés. Ensuite elle a arrêté, à mon grand regret. Je lui ai demandé de le faire plusieurs fois mais elle n’a jamais voulu alors qu’elle aimait bien le sexe. Je n’ai pas compris tout de suite, mais quand elle m’a quitté, elle m’a avoué perfidement qu’elle avait un amant beaucoup plus jeune qu’elle et surtout que moi et qu’il était très performant.
Ma petite fille me regarde en semblant réfléchir et je vois apparaître un drôle de sourire sur ses lèvres, presque coquin.
– Papy… si tu me promets de garder tes mains dans tes poches et de ne pas me sauter dessus… Heeeuuuuuuu… Tu peux me regarder jusqu’à ce que je finisse… de me calmer…
Dit-elle. Puis toujours souriante mais d’une façon qui me semble plus perverse elle ajoute.
– Ca m’excite beaucoup plus quand quelqu’un me regarde.
Je n’en reviens pas de ce qu’elle vient de me proposer. Mais ma bite si, car elle a des soubresauts et je réponds sans me rendre vraiment compte de ce que je dis.
– Je devrais dire non, ma chérie mais je ferais un mensonge. Mais il faut que ça reste un secret entre nous. Tu n’en parles jamais à personne !
– Promis, Papy. T’es cool !
Et elle repousse le drap et commence à caresser son corps en partant de ses cuisses, frôlant sa chatte sans poil car elle doit se raser, pour finir sur ses seins, qu’elle prend en coupe, et les roule l’un sur l’autre.
Je me suis assis sur une chaise et j’essaye de cacher mon érection qui déforme mon short d’été.
– Papy, si tu jures de ne pas me toucher, tu peux baisser ton short car tu dois être à l’étroit vu la bosse que j’aperçois. J’ai déjà vu des sexes d’homme…tu sais…
Comme un con, je ne trouve rien à dire et je baisse mon short pour faire jaillir ma bite devant ma jolie petite fille, qui rougit quand même un peu en regardant ma bite en pleine érection.
Dès qu’elle voit ma bite elle saisit son gode quelle avait posé et elle l’enfonce dans sa jeune chatte, les yeux fixés sur ma virilité éclatante.
Puis une de ses mains caresse ses seins tandis que l’autre fait aller-venir le gode dans sa chatte. Apparemment elle ne va pas trop loin et je me demande si elle est encore vierge.
Sans m’en rendre vraiment compte je prends ma bite en main et quand je commence à me branler, Laurine pousse un gémissement.
Je ne sais si c’est de me voir me branler ou de se fouiller la chatte, mais en se regardant, nous travaillons nos sexes à la même cadence. Des petits gémissements sortent de sa bouche qui se crispe un peu et moi je sens que je vais jouir.
– Laurine ! Tu vas me faire jouir !
– Jouit dans mon slip, papy.
Geint-elle en me balançant son slip rose qui est à côté d’elle.
Je l’att**** au vol et grognant comme une bête, j’éjacule et envoie des giclées de sperme dans son slip soyeux pendant qu’elle jouit en criant, dès qu’elle aperçoit les premiers jets de jus blanc atterrirent sur sa culotte.
– Papy…papy… Aaaaaahhhhh…
Son slip est rempli de sperme et je regarde ma petite puce qui continue de frotter sa chatte malgré les spasmes de son corps provoqués par un bel orgasme.

Puis, ouvrant ses magnifiques yeux bleu brillant de plaisir, elle me sourit et dit.
– Oh la vache ! Je n’ai jamais jouis autant ! Ce sera notre secret papy… promis…
– Oui, ma puce, si on peut encore le faire…
Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire ça et je m’apprête à me reprendre, mais ma petite fille me regarde avec un grand et franc sourire pour me dire.
– OK, Papy ! Quand tu veux !
Je crois que son séjour s’annonce sous les meilleurs hospices.

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