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Mon père est un cochon 1/2 (Trouvée sur le net)

Mon père est un cochon 1/2 (Trouvée sur le net)



Ça fait un moment que les études me pompent et que je me heurte à l’incompréhension familiale. Dans ma tête, j’ai la ferme intention de passer une année sabbatique. Mon père qui est médecin et qui a une haute opinion de lui-même ne l’entend pas de cette oreille. Depuis un an, c’est-à-dire l’époque de mon coming-out, nous nous disputons sans arrêt pour un oui et pour un non. Ma mère qui a quitté mon père depuis cinq ans est moins agressive avec moi, elle m’a engueulé pour la forme mais finalement, comprend très bien qu’à 18 ans, on ait d’autres préoccupations que les études.

Depuis trois mois, je me suis trouvé un copain très chaud qui a six ans de plus que moi. Mourad est Tunisien et il vit dans un quartier peu sûr. Je passe régulièrement le voir dans son appartement mais je n’y ai pas encore passé une nuit complète. Mon père me fait trop peur. Je le sens capable de me faire du mal. Il me bassine constamment avec ses grandes théories sur la vie, le travail et la famille. Il veut que ma sœur et moi réussissions dans la vie et que nous devenions des gens bien aux yeux de tous. Il peut fanfaronner, lui. Qu’a-t-il fait de sa famille?

Un jour, mon père m’a suivi. Il devait soupçonner que j’avais un petit ami et que j’avais avec lui des relations sexuelles. Il devait me soupçonner de fréquenter quelqu’un qu’il ne juge pas «comme il faut». Il m’a donc suivi jusqu’à la cité. En entrant dans le bâtiment où vit mon mec, je l’ai repéré au loin et j’ai fait semblant de rien. Furieux, je suis allé voir deux copains de Mourad et je leur ai expliqué la situation.

— Je ne veux pas qu’on lui fasse de mal mais j’aimerais qu’on lui foute la trouille…

Mon père était habillé, comme d’habitude, d’un costume trois pièces irréprochable. Une tenue qui ne cadrait pas vraiment avec l’endroit où il m’avait suivi.

Ahmed, un de potes de Mourad, est sorti du bâtiment et s’est dirigé vers mon père.

— Jeune homme!? a crié mon père.

— Ouais! J’peux faire un truc pour vous?

Mon père a sorti deux billets et a posé sa question:

— Un jeune homme vient d’entrer là-bas. Il a dix-huit ans et s’appelle Antoine. Ça vous dit quelque chose?

— Ah oui, Antoine, le pédé!

— Euh… c’est ça…

— Si vous voulez le sauter, faudra patienter… Il est allé rejoindre son mec! Il est passé près de moi pour acheter du shit car je dois l’avouer, cet Antoine et son mec aiment faire l’amour sous l’effet de la drogue. Je peux vous dire qu’ils leur arrive de gueuler comme des porcs!

Mon père a commencé à s’énerver et a voulu sauter à la gorge du beur. C’est à cet instant que sont apparus tous les autres.

— Qu’est ce que tu viens foutre ici, sale bourge, tu ferais mieux de te casser et vite fait!

— Je suis venu chercher mon fils et le ramener chez nous!

— Ah oui? Et ton fils, il est d’accord avec ça?

— Laissez-moi passer, bande de…

— Bande de quoi, papy?

— Ce n’est certainement pas des petits loosers de votre espèce qui vont m’empêcher d’accomplir mon devoir de père de famille.

— Oh, putain, mais vous entendez ce conard nous traiter de loosers! Pour qui il se prend, lui? On va lui montrer qui on est, nous!

Ils sautèrent sur mon père d’un coup et il eut beau gueuler, il se retrouva immobilisé. Deux des gars le saisissent par les bras et l’entraînèrent de force dans une cave humide de la cité. Mon père se débattait mais ne pouvait rien faire contre ces jeunes gars solides et vigoureux. Cachés derrière une fenêtre au deuxième étage, j’entendais les cris de mon père hors de lui. Je suis alors descendu à la cave… Je voulais voir…

La cave était répugnante. Les murs étaient recouverts de graffitis et il y règnait une odeur d’urine et de tabac à vous faire vomir. Les cris avaient repris de plus belle. Dans la cave, il y avait un hispano tatoué du nom de Ténébro. Ce mec me faisait peur rien qu’en le voyant.

— Eh, les gars, vous l’avez chopé où cette pute?

— On sait que tu préfères les vraies chattes mais, désolé, mec, on n’a trouvé que ça!

— Après tout, un trou est un trou.

Mon père s’était tu. Il devait vraiment se sentir mal.

— Figure-toi que cette salope est soit disant venue chercher son fils et elle nous a insultés! lança Ahmed.

— Beau costard! Mais il va falloir l’enlever!

J’ai entendu un bruit de crachat. Mon père venait plus que certainement de cracher à la figure de l’hispano. Putain, ça allait mal finir!

— On veut faire le malin et bien on va te montrer!

Que pouvais-je faire? La situation était plus que claire. Pouvais-je intervenir pour empêchant mon père de se faire violer où laisser faire en guise de punition pour m’avoir suivi?

De toutes manières, c’était trop tard. Les gars l’avaient entraîné dans leur antre et ils le jetèrent sur un matelas pourri.

— Je vous préviens… eut-il le temps de dire.

Un coup vola et lui arracha un cri. Il ne dit plus rien. J’étais là, à une dizaine de mètres, et j’observais. Il y avait suffisamment d’ombre pour qu’on ne me voit pas. Mon père sanglotait alors qu’on lui arrachait ses vêtements. Il se retrouva en slip et chaussettes. Les mecs riaient et faisaient leurs commentaires douteux. Ils lui ont écarté les bras et il a été maintenu avec fermeté par deux mecs. Il appelait doucement au secours en se débattant.

Ténébro s’est approché et lui a craché à la figure:

— Je te le devais, salope! Tu peux crier tant que tu veux. Crois-moi, c’est stupide… même si on t’entend, personne n’osera rien dire ici, par peur des représailles. Alors tu peux toujours gueuler comme une truie, tu arriveras juste à t’ épuiser… Garde tes forces pour d’autres choses!

Les choses prenaient des proportions que je n’avais pas imaginées. J’aurais peut-être pu m’interposer entre Ahmed et ses compagnons et leur intimer l’ordre d’arrêter mais une pulsion perverse m’empêcha d’intervenir. J’étais à la fois excité, paralysé et subjugué par la scène qui se déroulait devant mes yeux. Mon père s’est retrouvé là, au milieu des arabes, complètement à poil. Il crachait sa haine et son dégoût sous les injures de ses bourreaux. C’était la première fois que je le voyais ainsi.

Les mecs l’ont d’abord chahuté puis les choses sérieuses ont débuté. Mon père s’est retrouvé avec une bite d’Arabe dans la gueule. Il a bien menacé et même essayé de mordre mais lorsque Ténébro lui a donné un coup de poing sur le nez, il s’est calmé. Au bout d’un moment, je me suis retourné pour vomir. Je n’étais pas fier de moi. Pourtant, une part de moi était satisfaite… C’était comme un exorcisme… Mon père qui détestait les pédés et les Arabes se faisait baiser la gueule et le cul par ceux-ci. Je le découvrais en tant que femelle soumise, contrainte et dominée. Lui, d’habitude si arrogant, si fier et imbu de lui même! Je ne revenais pas de ce que je voyais… Mon père, à quatre pattes, gémissant, en train de se faire baiser comme une chienne par une bande de jeunes maghrébins.

— Allez, salope, pompe mieux que ça! Tu en es capable!

Ça faisait plus de vingt minutes que mon père subissait les assauts de ces grosses bites. Je constatait qu’il bandait et surtout qu’il avait fini par ne plus se révolter. Baisé par devant et par derrière, il subissait. Cette vision provoqua en moi une bouffée de chaleur et je sentis ma queue se raidir comme jamais. J’aurais presque voulu me toucher et me libérer de cette excitation contre nature.

Dans l’autre cave, Ahmed s’amusait à soupeser et à malaxer les deux couilles pendantes de mon père. Celui-ci était passé par tous les stades: d’abord les cris et la révolte; ensuite les pleurs et les soubresauts… enfin il semblait résolu.

Mon père goba la bite de Ténébro qui lui tenait les oreilles pour imprimer son rythme. Il tétait avec conviction et ressemblait à un bébé assoiffé de lait.

Ténébro serait le dernier à baiser celui qu’il considérait comme un sale con de bourge doublé d’ une salope à révéler. Il avait décidé de faire de lui sa truie.

— Ça suffit pour le pompage! Ma bite en veut plus, salope! Couche-toi!

Il le força à s’allonger sur le matelas crasseux. Ne voulant pas se faire pénétrer par une bite aussi grosse et aussi longue, mon père tenta à nouveau de se débattre mais deux potes d’Ahmed l’immobilisèrent et lui écartèrent largement ses cuisses.

Ténébro inspecta la raie qui avait déjà été visitée et préparée par cinq ou six autres bites. Il déboutonna son pantalon pour laisser son énorme sexe turgescent se dérouler sur sa paire de burnes rasées. La vue de cet engin en excita plusieurs qui ne pouvaient plus tenir. Un des Arabes éjacula sur le visage de mon père et une partie de son sperme chaud coula sur ses yeux et dans son nez.

Je n’oublierais jamais cette image: mon père complètement à poil sur le matelas avec les jambes écartelés, attendant d’être sailli par un étalon arabe. Ténébro passa sa main dans la raie poilue de sa victime:

— Hé, on dirait qu’elle mouille, la salope. Je savais qu’elle finirait par aimer ça, se faire baiser à la chaîne comme une pute.

Il pénétra mon père avec v******e et le laboura longtemps de son énorme sexe. L’exercice dura fort longtemps et le plus curieux, c’est que mon père ne put contenir son plaisir. Il couina, gémit jusqu’à hurler de bonheur. À l’instar des autres voyeurs, j’ai commencé à me masturber devant cette scène surréaliste. Mon père, ce xénophobe, devenait une salope à arabes et prenait son pied à se faire violer. Ténébro retira enfin sa queue du trou béant de mon père et ordonna à ses copains de le mettre à quatre pattes.

— Je veux le finir comme une chienne! C’est juste ce qu’il est…

Il introduisit à nouveau son énorme sexe dans le cul ouvert et pilonna avec hargne. Un autre Arabe présenta sa bite et mon père le suça. On peut même dire qu’il le fit avec délectation. Il l’ engouffra goulûment au fond de sa gorge. Le «sucé» le saisit par les cheveux et lui imposa sa cadence. Les autres gars qui n’avaient plus à l’immobiliser décidèrent de participer. Mon père les y encouragea même.

— Profitez bien de la salope! Allez-y… fourrez-moi à la crème!

J’étais bouche bée. La scène dura plus d’une heure, les mecs se relayant dans les deux trous offerts. Mon père d’abord non consentant était devenu à ma grande surprise une pute très réceptive. Il suçait à tout va et se laissait pénétrer.

J’avais éjaculé depuis longtemps lorsque l’abattage de mon père se termina. Je me sentais tout penaud de m’être branlé en voyant mon père se faire violer puis prendre son pied. Tout en se rhabillant, Ténébro lui lança:

— Tu reviens quand tu veux et tu seras accueilli comme tu le mérites… en bonne pute!

Je me suis éclipsé avant qu’ils quittent la cave et je suis rentré chez nous. Lorsque mon père est rentré, il fit semblant de rien. Aujourd’hui, nos rapports ont changé. Nous nous entendons beaucoup mieux et nous avons une meilleure complicité. Il tolère mon mec et m’encourage à la fréquenter. Je sais qu’il retourne régulièrement dans la cave pour recevoir sa dose de coups de bites. Mon père est un cochon et j’en suis très fier.

A suivre…

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