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Un glorieux sauna

Un glorieux sauna



Merci Patrick de Rêve Bébé.

Découverte

Après bien des mois de propositions, de persuasion, j’ai enfin réussi à convaincre ma compagne d’aller avec moi dans un sauna mixte. Ce qui est déjà, en soi, une grande victoire, croyez-moi !

Durant tout ce temps, j’ai évité d’être trop bourrin, trop lourd. J’ai préféré la technique de l’allusion, ce qui est plus soft, et moins contraignante. Je sais pertinemment que si j’avais trop insisté, Axelle (ma compagne) se serait fermée comme une huître. De plus, ayant déjà utilisé cette approche pour lui faire découvrir certains pratiques sexuelles, je savais qu’il y avait une grosse probabilité que j’arrive à mes fins, si je savais être patient.

Tout vient à point pour celui qui sait attendre…

J’adore ma femme, qui a cinq ans de moins que moi, ses grands yeux noirs me font souvent fondre, et ses courbes aussi. Ces derniers temps, elle laisse pousser ses cheveux qui scrollent, lui donnant un air encore plus juvénile. Mais même si j’aime énormément Axelle, j’aspire aussi à découvrir d’autres horizons, mais je n’ai pas envie de tout flanquer par terre pour une simple lubie. Donc je marche sur des œufs quand j’aborde certains sujets.

Après avoir casé les enfants chez ma mère, nous nous rendons au sauna. À l’accueil, on nous explique gentiment les règles, ce qu’il faut savoir, faire et ne pas faire. J’ai bien vu que, dans ce sauna, ils ont l’habitude d’avoir des néophytes, ce qui, dans le cas d’Axelle, est un point largement positif.

À l’écoute de certaines règles, ma femme a tergiversé un peu, mais finalement, elle a accepté d’être nue sous sa serviette. Et nous sommes ensuite rentrés de plein pied dans les profondeurs moites de l’établissement. Me tenant fermement la main tandis que nous pénétrons dans ce nouveau lieu étrange, elle me demande :

— Alex, on… on fait quoi ?
— On visite, on regarde ce qu’il y a. Puis on avisera…

Nous faisons le tour, découvrant diverses activités. Il y a en effet un sauna, un hammam, diverses pièces dont je ne comprends pas bien la fonction, peut-être des chambres pour s’isoler, trois cabines côte à côte réservées aux glory holes, deux bains à bulles, ainsi qu’une petite piscine. Sans oublier un coin douche et un bar. Ci et là, accrochés aux murs, des vases noirs. Intrigué, je m’approche et je découvre dedans des préservatifs. Bonne initiative ! J’en aurais bien profité pour en prendre quelques-uns, mais où les mettre sur moi ?

Le circuit que nous venons de faire a la forme d’un P majuscule. Vues les activités qu’on y rencontre, je dirais plutôt que ce circuit a la forme d’un q minuscule…

— Alors, t’en penses quoi, ma chérie ?
— Il y a un peu de tout… je ne voyais pas ça si grand.
— Ce n’est pas non plus si immense que ça, on va dire que c’est à la bonne taille. Je te propose de commencer par ceci…

De la main, je lui désigne un bain bouillonnant circulaire, je sais que ça ne peut que lui plaire. Ce qui est justement le cas. Elle se détend à fond, ayant laissé la serviette sur le bord, totalement nue sous les bulles qui explosent en surface. L’un en face de l’autre, nous parlons un peu de tout et de n’importe quoi.

Environ cinq minutes plus tard, un autre couple plus âgé vient nous rejoindre. Sans complexe, la femme, plutôt mature avec de belles courbes appétissantes, est totalement nue, aucune serviette ne la voile, et son homme solidement charpenté l’est tout autant. Intimidée, Axelle s’enfonce un peu plus dans l’eau, ce qui m’amuse. Les nouveaux arrivants nous saluent, nous répondons. La femme s’installe posément à mes côtés, et l’homme en fait de même avec Axelle. Puis celui-ci demande :

— Vous deux, vous êtes nouveaux ici, il me semble.

Sans perdre du coin de l’œil la nouvelle arrivante qui laisse carrément ses seins un peu lourds flotter à la surface de l’eau bouillonnante, j’acquiesce :

— Oui, c’est notre première fois.
— Première fois ici, ou en général dans un sauna ?
— Pour ma femme, c’est sa toute première fois, en général. Pour ma part, j’ai déjà mis les pieds dans un sauna, mais ça commence à dater.
— Ah OK. Eh bien, soyez les bienvenus parmi nous ! Et bonne découverte des lieux !

Puis le grand homme blond désigne sa compagne :

— Ma femme, Anne, et moi, c’est Pierre.
— Axelle et Alex…
— Ah, ça nous fait beaucoup de A ! Axelle, Alex, Anne… De plus, vos prénoms sont phonétiquement très proches, la deuxième syllabe étant inversée…
— Oui, c’est vrai. Vous êtes prof ou quoi ?
— Pourquoi cette question ?
— Votre façon de parler…
— Non, désolé de vous décevoir, mais ma femme et moi, nous ne travaillons pas pour l’Éducation Nationale, ni même pour l’État.

Anne ne dit rien pour l’instant, elle regarde, elle écoute. Elle s’amuse surtout à regarder ses seins flotter et se faire ballotter par les remous du bain. Je reconnais que c’est un spectacle assez étrange mais excitant, car plus bas, une certaine partie de mon anatomie durcit.

Pierre commence à nous expliquer diverses petites choses. C’est une conversation intéressante, j’y apprends des trucs que j’ignorais. Parfois, Anne complète ce que son mari vient de dire, ajoutant en général une anecdote personnelle, parfois assez leste. Quelque chose me dit que ces deux-là ne sont absolument pas des débutants, contrairement à nous. Axelle écoute avec application, elle semble avoir oublié qu’elle est nue face à deux inconnus.

Soudain, je sens une main se poser carrément sur mon sexe, et ça ne vient pas du côté de ma femme. Je fais comme si de rien n’était. Mais il est indéniable que ma queue grossit indéniablement sous les doigts qui la branlent doucement. Est-ce que Pierre fait la même chose à ma femme ? Je ne pense pas… mais on ne sait jamais. Par contre, si Axelle découvre que ma voisine me fait une petite branlette, sa réaction ne va pas être triste ! J’ai de la chance, elle regarde plutôt son voisin qui continue ses explications :

— Ah oui, j’oubliais ! Il y a une salle noire, ici.
— Une salle noire, c’est quoi ?
— Une salle complètement plongée dans l’obscurité. On n’y voit rien. Pour les personnes un peu… timides… c’est une bonne idée.
— Oui, c’est vrai. Merci du tuyau.

Pierre s’adresse posément à moi :

— À ce propos, il faut que je vous explique deux, trois petites choses…

Ce qu’il fait durant quelques instants, pendant que sa femme s’amuse toujours avec une partie bien rigide de mon anatomie. Puis l’explication finie, Pierre lance :

— Ce n’est pas tout ça, nous vous laissons découvrir les lieux. C’est mieux que vous le fassiez par vous-mêmes dans un premier temps.

Et sans complexe, Pierre se lève, mettant son sexe plutôt volumineux à la même hauteur que les yeux de ma femme. Alors qu’il s’apprête à sortir, il nous lance :

— Si ça vous dit, on peut se rejoindre dans une demi-heure au bar.
— Bonne idée…

À son tour, s’appuyant sur mon épaule, sa femme se lève, mettant ses seins ruisselants à deux doigts de ma bouche. Dans d’autres circonstances, je les aurais bien gobés, mais avec ma femme en spectatrice, il y a des choses qu’il vaut mieux éviter de faire sous son nez !

Main dans la main, le couple s’éloigne. Je confie à ma femme :

— Des sacrés, ces deux-là !
— Mouais ! J’ai bien vu que cette salope t’avait mis ses nichons pendouillants sous ton nez.
— Et moi, j’ai bien vu que Pierre t’avait mis sa grosse queue sous ton nez.
— J’ai rien demandé, moi !
— Moi, non plus, je te signale !
— Oui, mais un homme, ça aime bien ça !
— Ah oui ? Il me semble bien que, de ton côté, tu n’as pas détourné la tête…

Elle ne répond rien, mais n’en pense pas moins. Je m’approche d’elle :

— Écoute ma chérie, on ne va pas se disputer, n’est-ce pas ?
— On va éviter, oui…

Me penchant sur elle, je lui fais un petit bisou de réconciliation. Axelle s’emporte parfois vite, même si elle n’avouera jamais qu’elle est jalouse. C’est un mot qu’il vaut mieux éviter de prononcer devant elle, même si elle en a tous les symptômes !

Obscurité

Ainsi donc, il y a une chambre noire en ces lieux ? Je propose à ma compagne d’aller y faire un petit tour. Je vois bien qu’elle n’est pas très chaude, mais elle me suit quand même, après s’être enveloppée de sa serviette.

Arrivé sur place, j’ouvre la porte, nous nous engouffrons ensuite dans une sorte de sas. Je découvre, grâce à un petit texte lumineux rouge que c’est seulement quand cette première porte est refermée que la suivante peut s’ouvrir. Nous entrons. Le moins que je puisse dire, c’est que noir, c’est noir ! On n’y voit rien de rien, sauf une légère lueur derrière nous qui indique la sortie. Le sol est mou, sans doute une sorte de matelas ou de tapis de gymnastique. En allant sur la droite, je découvre à tâtons une sorte de banc assez mou, lui aussi.

— Viens ici, ma chérie, là, voilà !
— Tu parles ! On ne voit rien !
— C’est le but du jeu, tu sais…

Je n’en mettrais pas ma main à couper, mais je suppose qu’il y a au moins deux personnes qui sont déjà dans cette pièce obscure. Peut-être même plus. Car il me semble bien entendre quelque chose comme de ténus soupirs, sans doute un couple qui se fait du bien. Ce qui me donne illico des idées, mais j’avais prévu de faire plus ou moins la même chose…

Je commence à caresser ma compagne qui n’oppose pas beaucoup de résistance, sans doute excitée et protégée par l’obscurité. C’est alors que je découvre avec étonnement que j’arrive à distinguer quelques faibles contours. Il est vrai que je n’aime pas trop les hautes lumières, mais que je sais parfaitement me diriger la nuit. Axelle, c’est plutôt le contraire, et je parie qu’elle ne doit rien voir du tout, sauf la faiblarde lumière qui indique la sortie.

Tandis que je m’occupe de ma compagne, je distingue à présent quatre silhouettes assez floues, un couple sans doute, ainsi que deux autres formes, dont je suis incapable de dire si elles sont masculines ou féminines.

Après quelques bisous voluptueux tandis que je pelote ma femme, je quitte ses lèvres pour descendre dans son cou, puis sur sa poitrine. La respiration de ma femme s’accélère, ce qui est bon signe pour moi. Avide, je presse ses beaux seins, tout en les couvrant de baisers et de petites morsures légères.

Passant à la suite des événements, je m’agenouille entre les jambes bien écartées d’Axelle, je sais que c’est un petit plaisir qu’elle adore. Pour me permettre de mieux accéder à sa belle fente, ses pieds reposent sur le banc, me laissant ainsi une large ouverture dont je profite aussitôt.

J’adore la lécher, faire virevolter ma langue entre ses lèvres déjà humides, aller taquiner son petit bouton si sensible, et plein d’autres choses plus ou moins cochonnes. Au-dessus de ma tête, elle soupire déjà d’aise, d’autant qu’une de mes mains lui caressait voluptueusement un sein, et je sais qu’elle adore ça aussi.

Tandis que je m’active entre les jambes de ma femme, je sens une main se poser sur mon épaule, et un doigt taper deux fois sur ma peau, puis recommencer. Si j’ai bon souvenir des explications de Pierre, c’est un code pour « je peux ? ». C’est une bonne question… est-ce je vais laisser un inconnu lécher l’intimité de ma femme ? Et si elle s’en rend compte, comment réagira-t-elle. Il n’y a qu’un seul moyen de le savoir…

Alors je me recule afin que l’inconnu prenne ma place. De mon côté, je continue toujours à peloter un doux sein de ma compagne. D’après ce que je crois discerner, il s’applique de la même façon que moi, comme s’il m’avait observé durant un certain temps. Ce qui est peut-être le cas, ou bien, c’est par hasard que lui et moi avons la même façon de faire.

Est-ce qu’Axelle a réalisé la substitution ? Je ne sais pas. Toujours est-il qu’elle ne dit rien, se laissant faire, cambrée en arrière. Même si je ne distingue pas bien, c’est excitant de voir, ou plutôt d’imaginer, sa femme se faire lécher par un autre…

Je ne sais pas si c’est le contexte, la situation, ou si cette langue est experte, mais je constate à certains gémissements que ma femme n’est plus très loin de la jouissance ! Elle explose quelques secondes plus tard, bruyamment. Je ne vois toujours rien, mais je devine sans problème son corps secoué par le plaisir !

Tandis que ma femme récupère, j’explique muettement à mon remplaçant que je souhaite reprendre ma place. De bonne grâce, il s’exécute sans problème. Tandis que je suis à nouveau face à ma femme, je me demande si j’ai finalement bien fait de tenter cette expérience…

Ouvertures diverses

Nous sortons de la pièce obscure. Une fois dans le couloir, je constate que ma femme me regarde d’un drôle d’air. Nous nous dirigeons vers le coin douche. Quelques secondes plus tard, nous sommes tous les deux sous une pluie chaude. Ça fait du bien !

— T’es quand même un sacré salopard !
— Hein ? Tu dis quoi !?
— Fais pas l’innocent ! T’as profité que j’étais à deux doigts de jouir pour changer de place avec un autre type ! Quand j’ai réalisé la chose, il était trop tard !

Donc, elle s’en est rendu compte, mais trop tard, dit-elle. J’en suis moins certain qu’elle. Je ne serais pas étonné qu’elle s’en soit rendu compte un peu avant, alors que sa jouissance montait et non pas quand elle était prête à éclater. Mais le résultat reste le même.

Pragmatique, je lui fais remarquer :

— Ce qui ne t’a pas empêchée de jouir…
— Et ça t’amuse, petit salopiaud ? Tu m’as réservé un tour de cochon !
— Non, mon amour, un tour de cochonne…
— Et en plus, ça l’amuse vraiment, ce p’tit con !

Me planquant impudiquement sur elle, je la capture dans mes bras, elle se défend faiblement. J’en profite pour lui susurrer :

— En tout cas, ma belle cochonne, tu as bien joui et c’est le principal.
— Et alors ? C’est une raison pour me coller la tête d’un inconnu entre mes jambes ?
— Ç’aurait pu être sa queue, par exemple !
— Ça t’aurait bien plu, n’est-ce pas, espèce de gros cochon !

Je la fais taire à ma façon en l’embrassant. Elle répond à mon baiser de façon assez vorace, en me mordillant souvent. L’eau coule sur nous, nous sommes indifférents à ce qui nous entoure…

Main dans la main, nous refaisons un tour. J’ai dans l’idée d’essayer le glory hole, c’est un fantasme que je caresse depuis un certain temps. Je constate que la cabine du centre est libre, celle de gauche est déjà occupée par un couple qui s’amuse à sa façon. Quant à celle de droite, je ne sais pas car elle est dotée d’une porte qui est fermée alors que les deux autres sont dotés simplement d’un rideau qui ne descend pas jusqu’au sol. Pourquoi la cabine de droite est-elle différente des autres ? Mystère !

— On essaye ?
— Tu… tu veux vraiment te faire sucer par une autre femme ?
— L’idée est plaisante, mais ce n’est pas une obligation… Et puis, toi aussi, tu peux profiter de ces trous, soit pour donner ou soit pour recevoir… En attendant, je te propose d’aller zieuter ce qu’il se passe dans la cabine…
— On sait très bien ce qu’il s’y passe, dans cette cabine !
— Oui, mais là, ça sera en direct live !

Même si je vois bien qu’elle n’est pas enthousiaste, elle m’accompagne quand même dans la cabine du centre. J’en profite pour mater tant bien que mal le couple voisin qui continue ses turpitudes impudiques sous mon regard, puis sous celui de ma compagne qui se prend un peu au jeu. On ne voit pas grand-chose, on devine surtout une belle levrette vue de dos, et ça fait allègrement travailler l’imagination, bien aidée par la bande son saturée des langoureux gémissements de la femme qui se fait joyeusement sauter.

Excité, j’en profite pour caresser ma femme qui finit par me branler un peu en retour. Je sens qu’Axelle se détend petit à petit, la semi-obscurité et le côté intimiste de notre cabine doivent beaucoup aider. Y compris les gémissements bien audibles…

Soudain, je réalise que les personnes qui sont dans la cabine d’à côté ne sont d’autres qu’Anne et Pierre. Ou plutôt, il me semble bien avoir reconnu la femme. J’attends un peu pour avoir confirmation : oui, c’est bien elle. Je murmure à l’oreille de ma femme :

— Regarde bien, on dirait que c’est le couple de tout à l’heure…
— Ah bon ? Comment t’as vu ça ?

Je préfère ne pas avouer l’exacte raison, je biaise donc :

— Regarde bien le bonhomme, cette carrure, elle ne te rappelle rien ?
— Ah si ! Maintenant que tu le dis…

Le couple semble avoir fini sa prestation, et récupère. Soudain, venant de la cabine d’à côté, nous entendons une voix féminine un peu éraillée et assourdie (dont je reconnais quelques intonations) nous dire :

— Je ne serais pas contre une petite queue en dessert…

Appâté par cette formulation, je me plaque contre la paroi, mettant mon sexe bien dressé dans l’un des trous situés à bonne hauteur. Presque aussitôt, une main féminine le capture et commence à me masturber. Axelle gronde en sourdine :

— T’es qu’un petit salaud de profiteur !
— Tu peux faire la même chose, tu sais !
— J’ai pas de zob, moi !
— Mais t’as une chatte…

Elle me lance un œil noir. Néanmoins, avec un air de défi dans les yeux, elle s’approche de la paroi, en lançant à haute voix pour qu’on l’entend bien de l’autre côté :

— Puisque Madame s’occupe de mon homme, Monsieur peut-il s’occuper de moi ?

Aussitôt une réponse muette survient, une main masculine jaillit d’un trou pour venir impunément caresser l’orée des lèvres de ma compagne. Celle-ci respire plus fortement, mais elle ne chasse pas pour autant cette main taquine. Un peu étonné que ma femme ne dise rien, je confirme :

— La preuve que tu as une chatte…
— Donnant-donnant…

Puis elle avance un peu plus vers la paroi. La main baladeuse commence à lui faire des privautés, elle se laisse toujours faire. De mon côté, je reconnais être bien astiqué. Je ne fais plus trop attention à cette main qui lutine ma femme, le plaisir que je reçois me fait sombrer dans une béate quiétude peu propice à la réflexion. Il faut dire que la femme qui s’occupe de moi sait particulièrement bien s’y prendre et que ses doigts puis ses lèvres sont parfaitement rodés à ce genre d’exercice !

Du coin de l’œil, je vois bien que ma compagne s’offre à cette main qui la masturbe à présent avec frénésie ! Elle est juste à côté de moi, son bassin projeté vers la paroi, ses mains accrochées à divers trous, penchée en arrière, soumise et conquise sans aucune honte à cet inconnu qui lui offre visiblement tant de bien-être !

Nous jouissons, elle et moi, presque de concert. C’est la première fois que ça nous arrive de jouir ensemble, mais séparément ! Quelque chose me dit alors que j’ai franchi le Rubicon à ma façon. Et ma femme aussi.

Épuisée, Axelle est adossée à la paroi, un air alangui que je ne lui connaissais pas, alors que je ne compte plus le nombre de fois où j’ai pu lui faire l’amour et la faire jouir ! Je dirais bien quelque chose, mais je suis encore trop sous le coup de ma jouissance, et je me sens très raplapla ! Néanmoins, je souffle à l’attention de ma bienfaitrice :

— Ça, ce fut de la jouissance, merci beaucoup…
— Pas de quoi, cher Monsieur ! J’aime faire plaisir…

Ma femme réagit aussitôt :

— Merci beaucoup, belle main !
— Tout le plaisir fut pour moi…
— Oh, je crois que le plaisir fut surtout pour moi ! Et à chacun son tour, ne croyez-vous pas ?

Un peu plus tard, à ma grande surprise, je vois ma compagne qui s’agenouille, face à la cloison. De l’autre côté de la paroi, Pierre (je suppose) passe alors son sexe bien raide à travers le trou qui fait face aux lèvres d’Axelle. Je dois reconnaître que c’est un beau morceau qu’elle a en bouche à présent ! Pour la première fois de ma vie, ma femme va sucer un autre que moi. Étrange situation que j’ai néanmoins recherchée.

Je constate que ma salope de femme s’applique autour de la verge offerte. C’était bien la peine de faire tant de manières pour ensuite sucer la première bite venue ! Ah ces femmes ! Néanmoins, je constate avec un certain plaisir qu’Axelle vient de franchir une nouvelle étape, et je crois que l’avenir pourra être nettement plus libertin qu’avant.

De mon côté, c’est à mon tour de faire jouir la femme qui m’a fait jouir. Je découvre du bout des doigts une chatte bien juteuse dans laquelle je folâtre sans peine. Après avoir câliné ses petites lèvres intimes, je remonte taquiner un clitoris qui n’attend que ma venue.

Anne (je suppose que c’est bien elle) accompagne ma masturbation en faisant onduler son bassin autour de ma main. Je comprends vite qu’elle désire que j’alterne caresses et pénétrations. Je m’enfonce avec facilité dans sa chatte détrempée. J’agace délibérément un clitoris qui ne demande que ça. Quelques instants plus tard, la femme s’empale carrément sur ma main afin de jouir de forte façon.

Entre-temps, ma femme est venue à bout de la résistance de Pierre, qui éjacule à son tour dans sa bouche avenante. Et je constate que ma femme avale tout, comme si de rien n’était, alors que d’habitude, elle fait des manières avec mon sperme !

Sex-machinery

Le couple de la cabine d’à côté est en train de sortir de celle-ci. Je suis intrigué par qui ça peut être, mais en même temps, j’ai un peu peur de voir qui ça peut bien être ! Pourquoi avoir cédé si facilement ?

À notre tour, nous sortons de la cabine, ma femme s’étant à nouveau enveloppée de sa serviette. Nous sommes accueillis par une voix grave et joyeuse :

— Vous voyez, vous vous êtes vite mis dans le bain ! Ce qui est normal dans un sauna !

Nous découvrons alors nos partenaires improvisés : il s’agit bien du couple du bain bouillonnant, Anne et Pierre. Sur le même ton enjoué, je réponds :

— Je me disais bien que je vous avais reconnus malgré la pénombre… C’est pour cela que nous avons participé, n’est-ce pas, ma chérie ?

Pris un peu de court, Axelle bafouille :

— Ah euh… oui…

Avec naturel, Pierre s’approche de ma femme :

— Un grand merci, Axelle, pour cette marque de confiance. Savez-vous que vous avez une bouche très suave ?

Surprise par ce leste compliment, ma femme rougit sous ce compliment évocateur. Ce qui ne l’empêche pas de répondre :

— Et vous, une main très agile…
— Merci, merci !
— Et… euh…
— Et, quoi donc, chère Axelle ?
— Euh, aussi un sacré morceau entre les jambes…
— Merci, merci ! Aimez-vous les gros gabarits ?

La réponse fuse, spontanée :

— Ben… ça change !

Pierre et Anne rient tous les deux. Pour ma part, je préfère rester zen. De plus, je ne suis pas certain que les aptitudes buccales de ma femme soient du même niveau que celle d’Anne. Ma femme continue sur sa lancée :

— Faut dire que je… que je l’avais un peu reconnu…
— Vous parlez de mon sexe ?
— Oui ! Vous m’avez offert un gros plan dessus, tout à l’heure !
— Ah bon, j’ai osé faire ça ?
— Oh, juste un tout petit peu, fugacement…

Amusé, Pierre se penche alors à l’oreille de ma femme pour lui murmurer quelque chose. Celle-ci le regarde un peu étonné, elle hésite un peu, puis elle s’engouffre à nouveau dans la cabine centrale. Durant ce temps, la femme m’entraîne un peu plus loin. Un peu inquiet, je demande à ma nouvelle compagne de jeu :

— Il se passe quoi, là ?
— Oh, rien de spécial. Mon mari explique sans doute le pourquoi du comment de la porte de la troisième cabine.

Quelques instants après, ayant fini, l’homme nous rejoint, ayant laissé derrière lui ma femme. C’est à lui que je pose ma question :

— Pierre, je peux savoir ce qu’il se passe ?
— Votre femme va peut-être s’offrir une nouvelle expérience. Si elle le souhaite, bien sûr. Attendons un peu pour voir si elle se décide ou pas.
— Et c’est quoi, cette expérience ?
— Vous le saurez bientôt…

Pour me faire patienter, en plein beau milieu du couloir, Anne s’agenouille devant moi, et sans chichi, elle enfourne mon sexe qui reprend à nouveau du poil de la bête. C’est une agréable façon d’attendre, en effet ! Goguenards, certains clients nous regardent, laissant fuser quelques remarques.

— En v’là une qui a pas froid aux yeux !
— Plutôt à la bouche, qu’elle n’a pas froid !
— Waow, elle a faim, la dame !
— Moi aussi, j’ai ma pov’ nouille qui a besoin de soins !

De mon côté, entrepris de la sorte par cette femme très chevronnée, je sens que je vais avoir un mal de chien à résister ! Je m’en ouvre à son mari :

— Votre femme est experte ! Elle est drôlement efficace !
— Et encore, vous ne savez pas tout !
— Je ne sais pas quel métier elle fait, mais comme prof de fellation, elle aurait un succès fou !
— Je sais, je sais. Vous n’êtes pas la première personne à me le dire…
— C’est la preuve que c’est la vérité.
— Oh, ça, je le sais depuis longtemps, figurez-vous ! Je suis aux premières loges depuis des années !

Les fesses de ma compagne sont bien plaquées contre la paroi qui sépare sa cabine de celle de droite, celle qui possède une porte fermée. Je constate qu’elle remue énormément du bassin, se trémoussant d’une façon impudique, sous mon regard étonné, et sous le regard amusé du mari de ma suceuse. Je n’aime pas ne pas savoir, alors je demande carrément :

— Vous pourriez me dire de quoi il retourne ? C’est ma femme qui est dans cette cabine, quand même…
— Votre femme est en train de vivre une grosse expérience, et c’est le moins que je puisse dire, car dans la cabine d’à côté, il y a une sex-machine en action !
— Une sex-machine ?
— Oui, pour celles qui veulent essayer les gros calibres…
— Les gros calibres ? Vraiment gros ?

Mon voisin rigole carrément :

— Énooormes, même… J’ai expliqué à votre dame que le trou à mi-hauteur sur la droite dans le coin cachait un bouton-poussoir. Et qu’en appuyant dessus, elle n’aurait que l’embarras du choix en terme de queue. Une nouvelle pression, une nouvelle queue.
— Vous êtes en train de me dire que ma femme est en train de se faire tringler par une machine à godes ?

Il rigole encore plus :

— Si c’est la machine à godes qui est dans la cabine… car parfois, elle est en réparation, hé-hé ! Ma femme a déjà eu la surprise de se choper dans les fesses une belle bite cent pour cent naturelle. Et ça ne lui a pas déplu…

Même si je suis très proche de l’explosion de jouissance suite à l’activité de la bouche experte de celle qui est toujours agenouillée devant moi, je ne peux m’empêcher d’être inquiet :

— Vous… vous rigolez ?
— Qui sait, Alex, qui sait… En tout cas, cette sex-machine est bien profitable pour les femmes qui voudraient bien mais qui n’osent pas. Se faire tringler, comme vous dites, par un gros gode, c’est moins dangereux pour un couple que de se faire baiser par une énorme queue naturelle, n’est-ce pas ?
— Je… je ne p-peux pas dire le c-contraire, en effet…

Soudain, j’entends ma femme jouir, elle se tortille, elle se débat, sans doute empalée sur ce fichu gode qui doit être d’une belle taille. Quelle sacrée salope qui cachait bien son jeu ! Cette pensée a raison de ma résistance, alors j’éjacule longuement dans cette bouche qui continue de me sucer malgré tout le sperme dont je la remplis !

Puis je sombre dans un brouillard réparateur.

Anne est à présent debout, sa bouche encore maculée de mon sperme. Me prenant par le bras, serrant son sein dessus, elle me dit d’un ton innocent :

— Vous êtes juteux, dites-moi !
— Ah… euh…
— Remarquez, c’est la preuve que je vous fais de l’effet ! Je n’aime pas quand un homme n’éjacule pas quand je le pompe, j’ai l’impression d’être arnaquée sur la marchandise.
— Dois-je comprendre que ma marchandise vous a plu ?
— Je ne vous mettrais pas une note négative, c’est certain.

Je m’attendais un peu à ce genre de réponse. Je me doute bien que cette libertine doit avoir des centaines d’heures de vol derrière elle. Néanmoins, je ne peux m’empêcher de répondre :

— Mais vous avez connu mieux, je suppose…
— Je suis obligée de vous dire oui. Seriez-vous maso à votre façon ? Mais, faut dire aussi qu’ils avaient des lances à incendie hors norme et de sacrés réservoirs !
— Du hors norme, en effet.
— Ça fait du bien, mais comme pas mal de choses, il ne faut pas abuser.

Toujours voluptueusement accrochée à mon bras, elle m’entraîne un peu plus loin. Alors que nous arrivons à un coin du couloir, je tourne alors la tête vers la cabine où se tient toujours ma femme. D’une voix débonnaire, Anne me rassure :

— Ne vous inquiétez pas, mon homme s’occupe d’elle…
— Vous… vous voulez dire quoi par là ?
— Ce que je viens de dire, tout simplement. Rassurez-vous, Pierre sait très bien s’y prendre avec les débutantes. C’est bien ce que vous cherchiez à faire quand vous êtes venu ici avec votre femme, n’est-ce pas ?

Je me gratte la tête, un peu confus :

— Ben… comment dire…

Anne presse son sein contre mon bras, tout en tapotant ma main avec la sienne :

— Ça va plus vite que prévu ?
— Oui, il y a un peu de ça. Je ne m’attendais pas à ce que ma femme se dévergonde si vite. En même temps, ça me… enfin… ça me plaît.
— Vous êtes tiraillé, n’est-ce pas ?
— Un peu quand même. On rêve de certaines choses qu’on estime improbables, puis un beau jour, la réalité vous dépasse…

Tournant dans le couloir, nous nous éloignons des cabines réservées aux glory holes que je perds à présent de vue. Toujours accrochée à mon bras, me faisant bien sentir ses appas, Anne répond sereinement :

— Ne vous inquiétez pas, Alex, votre femme est entre de très bonnes mains… Et je ne dis pas ça parce qu’il s’agit de mon mari. Je parle d’expérience, mon précédent mari était nul !
— Dans de bonnes mains jusqu’à quel point ?
— Et vous aussi, vous êtes dans de bonnes mains…
— Je n’en doute point, Anne !
— Merci de me faire confiance, Alex.

Poussant une porte entrouverte, Anne m’entraîne dans une cabine dont le sol s’avère être un énorme matelas. Avec un petit rire, elle me pousse au sol, puis elle s’allonge impudiquement sur moi de toute sa longueur. Son nez sur le mien, elle susurre :

— J’espère que ces deux petits pipes ne vous ont pas coupé vos moyens, Alex ?
— Vous constaterez sur votre ventre que… que mes moyens sont encore d’attaque.
— Hum-hum, je sens ça ! Je vais être claire avec vous, Alex, je compte profiter à fond de vous, et je suis exigeante.
— J’avais cru comprendre… Je vais me montrer à la hauteur de votre exigence, ce qui ne sera pas difficile, car je reconnais que vous me faites sacrément bander !

Ce disant, je plaque une main dans son dos et l’autre sur ses fesses que je découvre plutôt fermes. Féline, elle demande :

— Malgré le fait que j’ai quelques années de plus ? Sans doute dix de plus que vous ?
— Dix de plus ? Vous voulez rire ! Si nous avons cinq ans d’écart, c’est le grand maximum !

Elle m’avoue son âge, je suis étonné par ces 12 ans d’écart :

— Eh bien, permettez-moi de vous féliciter ! Vous êtes étonnamment jeune !
— Merci, Alex, vous êtes flatteur. Mon âge ne vous fait pas peur ?
— Je crois me souvenir que c’est dans les vieilles marmites qu’on prépare les meilleurs ragoûts…

Elle sourit curieusement, tout en fronçant des sourcils :

— Tss-tss, ce n’est pas très galant, mon petit Alex…
— Excusez-moi, Anne, mais c’est ce proverbe qui m’est venu en mémoire. Pour me faire pardonner, je vais vous prouver que vous me plaisez énormément, peu importe les années !
— Eh bien, allez-y, faites-vous pardonner !

Je pense que j’ai réussi à me faire pardonner, même s’il a fallu chercher au fond de moi la moindre ressource pour rester à la hauteur de mon exigeante amante, mais il faut reconnaître que ça en valait largement la peine ! Ce fut un beau feu d’artifice !

Est-ce que ça a été la même découverte pour ma femme ? S’est-elle déchaînée, elle aussi ?

Quatuor au bar

Une heure plus tard, nous nous retrouvons tous les quatre au bar, mais en mode échangé. En effet, Axelle est collée contre Pierre, comme si elle était sa jeune compagne, et moi, je suis en compagnie d’Anne, comme si elle était la mienne. Je constate que ma femme a les yeux un peu cernés, je suppose qu’elle aussi s’est déchaînée de son côté.

Je remarque aussi que la pudeur de ma femme s’est définitivement envolée, ça ne la gêne absolument plus d’être nue sous le regard de tout le monde. Tous les quatre, nous devisons comme si rien n’était, comme si Axelle était l’officielle de Pierre, et moi celui d’Anne. Étrange mais excitante situation !

Puis à un moment, ma femme, la vraie, s’adresse à moi, d’un ton badin :

— Alex, tu peux venir, j’ai un petit truc à te demander.
— Euh, d’accord.

Un peu inquiet, Pierre libère néanmoins ma femme, celle-ci le remercie d’un petit bisou sur les lèvres, ce qui me fait comme un coup au cœur. Je vois nettement qu’il se détend. M’éloignant du bar, j’accompagne ma femme. Chemin faisant, je la questionne :

— On va où ?
— Direction les toilettes, comme ça je ferai d’une pierre deux coups !

En parlant de pierre et de coups, ma femme a acquis tout récemment de l’expérience en la matière, mais je me garde bien de le lui dire. En chemin, farouchement, elle m’injective :

— Je suppose que tu as bien profité de ta pute ?
— Je suppose que tu as bien profité du mari de ma pute ?
— Si tu veux tout savoir : oui ! Il est peut-être plus âgé, mais c’est un bon amant, attentif et endurant avec ça ! Je présume qu’il en est de même pour ta putain ?
— Je te signale que tu as sûrement fait la même chose que ma putain, comme tu dis. Es-tu une putain pour autant ?

Agacée, elle s’énerve :

— Ah, on peut pas discuter avec toi !
— C’est surtout avec toi qu’on ne peut pas discuter ! Je ne pensais pas que tu allais jeter ton bonnet par-dessus les moulins si facilement !
— Parle pour toi ! La moindre salope à nichons pendouillants, et hop, tu lui sautes dessus !
— Le moindre gus à grosse queue, tu sautes dessus aussi !

Soudain, à ma grande surprise, elle s’effondre en pleurs dans mes bras :

— Mais qu’est-ce qui nous arrive ?
— Je pense que tu es désorientée, et… un peu jalouse aussi !
— Parce que toi, t’es pas jaloux ?

Je le serre un peu plus contre moi :

— Si, quand même ! Je reconnais avoir été dépassé par les événements ! En t’amenant ici, j’espérais en effet te décoincer un peu, mais pas autant. Oui, je suis dépassé par les événements.
— Moi aussi, je ne me comprends plus… pourquoi j’ai fait ça ?
— Dis-toi que tu as assouvi une envie, c’est tout.

Elle renifle bruyamment :

— On va le dire comme ça… On fait quoi ?
— On finit la soirée. D’ailleurs, au fond de toi, tu as vraiment envie de faire quoi ?
— Ben…
— T’as pas envie de profiter encore un peu de Pierre ? Je me trompe ?
— Euh… si quand même… mais c’est pas…
— Honnêtement, au fond de toi, tu as eu honte avec Pierre ?

Toujours collée contre moi, elle grimace étrangement :

— Franchement, je n’ai même pas eu le temps d’y réfléchir ! Tout ça me semblait si… si naturel, si évident. Mais avec un peu de recul, je suis effrayée par tout ce que j’ai pu faire avec Pierre !
— Tu regrettes ce que tu as fait ? Honnêtement ?

Elle marque un certain temps pour réfléchir, puis finit par se décider en soupirant :

— Ben… non… je suis surtout terrifiée par la facilité avec laquelle j’ai pu faire tout ça… naturellement, comme si je le connaissais depuis toujours…
— Bienvenue au club. Moi aussi, j’ai eu l’impression de glisser sans effort sur une longue pente savonneuse.
— Oui, tu as raison, il y a de ça…
— Je crois que nous avons peut-être trouvé nos compléments sexuels…
— C’est quoi encore, cette salade ?

Je pars dans mon explication, qui vaut ce qu’elle vaut :

— D’après certaines études faites sur le monde a****l, et applicables, paraît-il, à l’être humain, il semblerait que nous ayons deux grands types de partenaires : ceux avec qui vivre et ceux avec qui se reproduire.
— Ah bon ? C’est nouveau ?
— Non, c’est assez ancien, j’avais déjà lu ça quand j’étais étudiant, mais c’est revenu sur le devant de la scène, il n’y a pas longtemps.

Axelle réplique perfidement :

— Une façon pour légitimer les infidélités ?
— Tu as mieux comme théorie, ma chérie ! Tu en as une autre qui dit que les hommes veulent aller semer leurs gênes dans toutes les femmes aptes à avoir de beaux enfants.
— Ah, celle-là, elle doit être vraie !
— Et que les femmes choisissent de leur côté le meilleur reproducteur capable d s’occuper d’elles et de leur progéniture.

Elle dodeline de la tête :

— C’est… c’est pas entièrement faux… revenons à ta première théorie…
— Ce n’est pas ma théorie…
— Si je te comprends bien, nous, on serait un couple pour vivre ensemble, mais pas pour le sexe ? Pourtant, ça se passe bien au lit entre nous, non ?
— Oui, ça se passe bien au lit entre nous, mais avoue que tu as un gros faible pour Pierre…

Ma femme se mord les lèvres :

— C’est… c’est pas faux ! Mais pourquoi ?
— On va dire que tu as été sexuellement programmée pour aimer ce genre d’homme.
— Sexuellement programmée, tu as de ces expressions ! Et toi dans tout ça ?
— Moi, je suis ton mari, le père de tes enfants, celui avec qui tu vis.

Affichant un sourire carnassier, elle ironise :

— Tu te contredis, mon chéri ! D’après ta théorie, c’est avec Pierre que j’aurais dû faire TES enfants !

La serrant plus fort, je gronde :

— Je te déconseille de faire le prochain avec lui !
— Ah, enfin une marque de jalousie venant de la part de monsieur mon époux ! Excuse-moi, mais je dois aller quelque part où tu ne peux pas aller à ma place !

Je la libère après avoir déposé un baiser sur son front. Elle s’absente quelques instants pour aller au coin toilettes. Quand elle revient, je lui trouve une lueur un peu étrange dans les yeux. Elle s’approche de moi, et me dit simplement :

— Embrasse-moi !

Il ne faut jamais contrarier une femme qui vous réclame un baiser. Je la prends dans mes bras et je l’embrasse passionnément. On dirait que le fait qu’elle m’ait trompé la rend encore plus désirable ! Non, elle ne m’a pas trompé, puisque j’étais au courant…

Quand nos lèvres se séparent, elle me dit simplement :

— Merci, j’ai eu la réponse que j’attendais…

Je n’ai pas trop osé lui demandé quelle était cette réponse. Quelques secondes après, nous revenons au bar où nous attendent Anne et Pierre. Sans se forcer, ma femme se remet à côté de Pierre qui l’enlace naturellement. Idem pour Anne qui s’empare de moi, comme si je partageais sa vie depuis longtemps. Verre en main, Pierre énonce, tout en pressant Axelle contre lui :

— Alex, vous avez là une bien jolie femme ! Félicitations ! N’oubliez pas de la choyer !
— Je n’y manquerai pas ! Merci du conseil…

À présent, Pierre caresse ostensiblement les fesses de ma femme qui ondule doucement sous sa main. Je contemple le corps nu d’Axelle, pour y découvrir des nouveautés, alors que je suis avec elle depuis bien des années. Pourquoi faut-il qu’on redécouvre sa femme quand on sent qu’elle vous échappe ?

— Eeeh !?
— À dada sur mon cheval !

Axelle vient de pousser un petit cri. En riant, Pierre vient juste de la soulever pour la faire ensuite s’asseoir sur ses genoux. Puis, possessif, il la plaque contre lui. Je comprends qu’il ait encore envie de profiter de ma femme, je ne peux pas lui donner tort.

De son côté, Anne me fait savoir qu’elle souhaite profiter à nouveau de moi. Ça ne me dérange pas d’être un peu « drivé » de temps à autre, surtout de la part d’une femme aussi bandante et experte qu’Anne. Je ne dénigre pas ma femme, c’est avec elle que je veux vieillir, mais pour le sexe pur et dur, Anne est un cadeau tombé du ciel !

— Allez, viens, Alex ! Laissons-les jouer au dada. Moi, je préfère les sports aquatiques.
— Ça tombe bien, moi aussi.

Quelques minutes plus tard, Anne et moi sommes dans la piscine, collés l’un à l’autre. Peu après, sans se soucier du regard des autres, tandis que je suis assis dans l’eau contre un bord, elle me chevauche pour venir s’empaler sur mon sexe garni de latex, ses seins écrasés contre ma poitrine, sa bouche contre la mienne. Je me demande comment j’arrive encore à bander ! Mais cette belle salope d’Anne me fout dans des états pas possibles !

Tandis que nous faisons l’amour impunément dans l’eau, nos bouches toujours rivées l’une à l’autre, nos yeux fermés pour mieux savourer, j’entends un petit remue-ménage à côté. Quelques secondes s’écoulent, puis je jette un coup d’œil pour voir ce qui se passe, je découvre alors que ma femme et Pierre sont exactement dans la même posture que nous.

Je baise sa femme, il baise la mienne.

La vie continue, différemment

Nous revoyons souvent cet autre couple, et à chaque fois, nous échangeons nos partenaires. Il est même arrivé que l’échange soit total, l’un allant habiter chez l’autre pour quelques jours, quand les enfants sont absents.

Après avoir rapidement pratiqué un dépistage MST pour vérifier si tout allait bien, nous avons décidé d’un commun accord de laisser tomber les préservatifs, à condition de ne pas aller voir ailleurs. Ce qui me semble la moindre des choses. Ce qui a fait encore monter d’un cran nos relations torrides.

C’est Pierre qui avait expliqué le deal qui nous lie tous :

— Je reconnais que ma femme et moi avons eu une vie un peu débridée, depuis un certain temps…
— Oui, j’avais cru comprendre…
— Mais bon, c’est amusant un temps ; la fidélité a aussi du bon. Et puis avoir une jeune maîtresse qui en devient presque ma jeune femme, c’est excitant ! Ceci dit, Anne reste ma femme.

Amusée, celle-ci était intervenue :

— J’espère bien que je reste ta femme !
— Sois sans crainte ! Une extraordinaire femme comme toi, il n’en existe pas deux !
— Je suis très contente de te l’entendre dire ! Toi aussi, tu es mon seul et unique mari. Mais avoir un boy-toy n’est pas pour me déplaire…

Axelle avait alors ajouté son grain de sel :

— Va pour le toy-boy, du moment que je puisse profiter de mon daddy !

Et c’est ainsi que notre étrange relation s’est établie.

Je fais toujours l’amour avec ma femme, mais elle comme moi, nous trouvons d’autres satisfactions plus intenses avec l’autre couple. Si nous pouvions le faire, nous vivrions tous sous le même toit, ce serait plus pratique ! Hier soir, chez eux, ce fut très hot ! Officiellement, nous étions sortis au théâtre. À la place, côte à côte, Pierre et moi avons joyeusement enculé la femme de l’autre, offerte à quatre pattes, cul en buse ! J’ai vécu le délice de m’enfoncer dans les profondeurs obscures de ma maîtresse attitrée, tandis que je voyais ma femme se faire prendre de la même façon, sous mes yeux, là, juste à côté. Ce fut extraordinairement jouissif, indescriptible ! J’ai déversé des tonnes de foutre dans ce cul offert à ma concupiscence ! Et j’en reste là pour les confidences, car le reste ne fut pas triste, lui aussi.

Sur le chemin du retour, j’ai dit à ma femme :

— Eh bé ! Tu t’es royalement déchaînée aujourd’hui ! Je te découvre à chaque fois !
— Moi-même, je m’étonne ! Un beau jour, on va finir par tourner un film X.
— C’est déjà plus ou moins le cas, Pierre adore tout filmer, ce qu’il a fait encore cette fois-ci.
— Je sais, mais c’est juste pour ses archives, pas pour vendre !

Je ne dirais pas non d’aller jeter un coup d’œil sur les archives de Pierre, je pense que j’y découvrirais des choses très olé-olé, surtout sur ma femme ! Curieux, je demande :

— Dois-je comprendre que ça te dirait de tourner un film cochon ?
— Honnêtement, si j’avais la certitude que ça n’atterrisse pas dans les mains de personnes qu’on connaît, je serais bien partante ! Y’a tant de choses à essayer !

Cette réponse spontanée m’avait laissé songeur sur le chemin parcouru depuis que nous avions mis les pieds dans ce sauna. Une petite boule de neige qui s’est transformée en avalanche… Et ce n’est pas fini ! Oh non !

Hier soir encore, Axelle m’a fait rappeler :

— Tu te souviens de ta théorie de ceux avec qui on vit et de ceux avec qui on baise ?
— Oui, c’était le jour du sauna. Pourquoi ?
— Elle doit peut-être être vraie… J’adore Pierre, mais c’est avec toi que je veux vieillir.
— Merci, mon amour…

Spontanément, nous nous sommes embrassés, et ça s’est terminé au lit de façon torride !

Je viens juste de relire ce que je viens d’écrire. Si, moi-même, je lisais ce genre de chose, je dirais que l’auteur a de l’imagination. Mais parfois, la réalité dépasse l’imagination, et croyez-moi, ce n’est pas plus mal.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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