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un super spectacle

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Au spectacle

* * *
Un soir l’idée me vint d’amener ma femme à un concert. Je savais que, dans la foule dense, souvent bon nombre de voyeurs, de frotteurs, voire de dragueurs y cherchent une aventure ou, au minimum, reluquent les femmes des voisins pour se remplir la tête d’images érotiques, de moment fugaces de plaisir, qu’ils exploitent dans leurs fantasmes nocturnes.
Ma femme l’avait deviné et m’avait devancé : elle avait mis une jupe et des bas, adopté une tenue légèrement sexy… au cas où.
« Il y aura peut-être des types à exciter »…

Déjà dans la file d’attente conduisant au guichet, je pus avec plaisir constater que plusieurs paires d’yeux de mecs lorgnaient en direction de ma femme, détaillant ses jambes bien campées sur ses escarpins ou appréciant sa jupette moulante. En attendant, ma femme, de manière un peu insidieuse, aguichait quelques mecs l’air de rien, jouant avec ses escarpins, cambrant ses reins… Des types cherchaient le meilleur angle pour la reluquer à loisir –tout en jetant un œil inquiet dans ma direction pour chercher à savoir si j’étais de mèche ou pas-, d’autres zigzaguaient dans la foule pour essayer de se rapprocher le plus possible d’elle. Observer le manège de tous ces mâles, à la chasse à la femelle sexy, m’amusait et m’excitait au plus haut point. Je me régalais… à un point tel que je ne pus m’empêcher d’enfoncer le clou :
« T’as vu, quand même, il y a plein de mecs qui te matent… ils doivent te trouver sex… ils s’imaginent plein de trucs probablement »
Ma femme ne me répondit pas mais, à son regard « bizarre », je compris que rien ne lui avait échappé. Elle se savait sexy et elle en usait… pourvu qu’elle vienne en abuser !

Un mec un peu hardi, la cinquantaine environ, avait réussi à s’infiltrer pour se placer juste derrière ma femme dans la file d’attente. Je n’en perdais pas une évidemment… et je dédouanais le gars avec un clin d’œil complice –se doutait-il que j’étais le mari ?… En tout cas, je le vis avec une montée d’adrénaline s’enhardir derrière elle au milieu de cette foule, qui, en fait, devenait complice en empêchant ma femme de réagir trop fort lorsque le mec laissa négligemment aller sa pogne à la rencontre de ses jolies fesses moulées par la jupe.
Je la vis tout juste avoir un haut-le-corps lorsqu’elle sentit la main du type venir caresser son cul à travers le tissu de la jupe. Elle se tourna dans un petit tressaillement, eut un regard circulaire : personne n’avait réagi, personne n’avait rien vu… sauf moi !
Je tirais un peu la tête pour mieux voir la main du gars qui maintenant paluchait carrément les fesses rebondies sous le tissu… et elle se laissait faire – je crois même qu’elle répondait à la caresse précise en tendant bien sa croupe en arrière, veste bien dégagée pour permettre au gars de s’affairer contre son cul. Le gars, appliqué et ne laissant pas passer l’aubaine, y allait de plus en plus fort, sa main totalement ouverte flattant les fesses de ma femme, avec une insistance appuyée de ses doigts repliés dans la vallée formée par sa jupe triturée entre ses fesses. Il me regarda un petit coup avec un sourire un peu crispé, auquel je m’empressai de répondre avec un air béat du mari comblé de voir sa femme paluchée en public et quelque peu obligée de se laisser faire.
Ma femme, sensible à cette main inquisitrice, commençait à onduler imperceptiblement et répondait à l’attouchement fugace. Je me régalais. Alors, le gars, sentant que ce plaisir allait bientôt se terminer, s’enhardit encore un peu plus : je vis son autre main venir au rebord de la jupe et très lentement ses doigts agiles remonter au contact du bas sur sa cuisse, caressant doucement le doux nylon. J’étais aux anges.

Hélas ! pour lui –peut-être pour elle aussi cette coquine- et pour moi, notre tour de passer arriva et cette entrée en matières sexy s’arrêta.

Le spectacle était bien parti, ma foi.

Nous nous installons donc sur nos fauteuils en attendant ce concert. Plein de types, pour mon plus grand plaisir, –certains avaient peut-être entr’aperçu l’entrée en matières- vinrent s’installer non loin de nous.

Pour eux, le spectacle fut tout autant dans les gradins que sur la scène. En effet, ma femme n’avait rien perdu de ces approches stratégiques et, de plus probablement émoustillée par le paluchage dans la file d’attente, se régala tout au long du concert de jouer avec ses jambes croisées et décroisées, de l’impertinence de ses escarpins battant l’air ou encore des angles de vue décoiffant sur ses longues cuisses et ses bas, voire sur son entre-jambes et sa culotte impertinente. Le nombre de mecs qui la mataient –à la dérobée ou ostensiblement- et le nombre de fois où ils la reluquèrent fut tout simplement dantesque. J’en triquais d’aise.

***
Aussi, à la fin du spectacle, feignant de savourer l’instant et d’éviter une cohue de départs, je dissuadais ma femme de partir illico :
« Attends, on reste un peu… on va laisser la cohue se décanter ».

Alors, ce que j’espérais se produisit. Les types, surexcités par les matages en règle et répétés que leur avait offerts ma femme, se rapprochèrent imperceptiblement de nous pour nous encercler. Elle comprit bien… mais trop tard : ils étaient là autour de nous par dizaines et je reconnus parmi eux bien évidemment son palucheur de la file d’attente.

En me reculant de trois mètres d’elle, je déclarais les « hostilités ». Le cercle se resserra peu à peu autour d’elle. Une première pogne s’aventura sur ses fesses, un autre commença à soulever sa jupe, trois, quatre, cinq autres vinrent se basarder sur ses formes. Elle était cernée ! elle était en de bonnes mains !
Alors ce fut une belle bousculade car c’était à celui qui pourrait en toucher le plus et le plus longtemps : fesses, cuisses, seins mais aussi hanches, épaules, mollets furent les cibles des pognes des types affamés et surexcités. Elle avait presque disparu à mes yeux, totalement cernée par l’attroupement des types… qui la paluchaient de toutes parts et commencèrent à se débraguetter, joignant le geste à la parole.

« Putain, qu’elle est belle »
« Ouais, ouais, moi je lui ai maté la culotte pendant le spectacle »
« Elle a des bas, c’est une salope… »
« Tu nous a montré ta culotte, hein cochonne, va ! »
« Elle en veut oui, elle est sexy, ouais ! »
« Qu’il est ferme son cul sous cette jupe, elle a l’air bonne »
« Qu’elle est bonne, oui ! »
« Allez, on va se la faire, on va lui donner de la queue, elle en veut »

« Tiens suce-moi un peu cochonne »

Et la première bite à sucer se présenta à son visage. Entourée, cernée, poussée fermement vers la queue par les pognes des autres, ma femme dut se pencher en avant et commença à emboucher cette première queue qui se présenta. Bientôt, dans une forte odeur de bites en rut, ce furent près d’une dizaine de queues qui sortirent des braguettes pour venir danser autour d’elle en quête d’une de ses menottes délicates ou de sa bouche gourmande. Les mecs se branlaient en attendant leur tour et cela me plaisait de voir tous ces types bander pour elle.
Les mecs affluaient de toutes parts, attirés par l’attroupement, et le nombre de queues que ma femme branla, soupesa, suça fut vraiment impressionnant. Je me régalais de ce spectacle. Pour moi, c’était le VRAI spectacle. Dix, vingt, trente bites pour elle seule. Le pied !

Je voyais ses mains s’agiter sur les tiges, qui se bousculaient. Je voyais des gros, des petits, des vieux, des moches la butiner de tous côtés. Elle s’attardait sur les bites les plus grosses, les flattant avec langueur, elle soupesait ou griffait des paires de couilles pleines et velues, elle suçait des glands bien luisant et rouges, elle pompait de longues tiges drues. Les mecs, attendant leur tour de prise en main ou en bouche, caressaient ses fesses, ses bas, ses seins mis à nu, pognaient ses hanches, frottaient leurs queues dans ses cheveux ou contre ses flancs, tapotaient ses joues.
Elle semblait s’enivrer de cette avalanche de bites autour d’elles… il faut dire que l’odeur était enivrante et me transportait d’aise : ça sentait fort la queue ! Les commentaires allaient bon train, j’étais aux anges.

Des types hyper excités, n’attendant pas la suite des événements, commencèrent à décharger de bonnes rasades de foutre un peu partout. Sa jupe et son cul furent les cibles préférées des juteurs pressés. Mais d’autres, impatients d’aller plus loin, la firent se relever car l’envie de la fourrer sauvagement avait gagné le groupe.
« Attendez, attendez, on va la choper cette chienne »
« Ouais, ouais, on va tous se la faire »
« Elle en veut de la queue ! tu vas voir ce qu’on va te mettre »
« Allez, tourne-toi, montre ton cul et ta chatte »
Alors, sa jupe prestement retroussée, ils l’enfilèrent sans rémission. En levrette, de face, à califourchon, elle passa de queue en queue. Ce fut un défilé scabreux dans et sur ma femme. Les pognes avaient été remplacées par les bites des mecs qui se succédaient en elle à un rythme effréné. Ses trous humidifiés n’étaient plus un problème et ce fut un défilé incessant de bites dans sa chatte d’abord. Puis, comme elle commençait à gémir de plaisir, son cul devint aussi la cible… des mecs se mirent à l’enculer… puis elle fut prise en sandwich par d’innombrables doublettes.
Un type se coucha sur le dos, la fit venir pour qu’elle s’empale sur sa queue et les fesses écartées par les pognes des autres son cul fut bien dégagé pour qu’une autre bite vienne la prendre en sandwich.
Baisée par deux types en cadence, on lui présenta une troisième queue à sucer… elle obtempéra de bonne grâce ondulant des reins et de la tête en suçant le mec, alors que les deux autres la besognaient ardemment, tandis qu’un cercle de bites astiquées attendaient leur tour.

Une vision d’extase me fut offerte à plusieurs reprises : ma femme, baisée profondément en sandwich, suçant une grosse queue et branlant deux autres bites de chaque côté de son poitrail, paluché par des pognes, avec une armée de tiges flottant autour de ce groupe hard et odorant.

N’attendant pas leur tour, des mecs giclaient sauvagement sur ce petit monde copulant ; d’autres impatients hurlaient leur plaisir en déchargeant « Ahhh ! je lui jute dans la bouche à cette chienne »
« Putain, j’en peu plus, ahhh ! je lui remplis la chatte, ahh ! »
« Qu’elle est bonne, tiens je t’arrose le cul salope ! »
Quelques mecs déchargèrent dans ses cheveux, d’autres arrivaient à venir essuyer leur gland sur ses bas, dans sa jupe. De temps en temps un gars la saisissant par le menton, lui enfournait la bite congestionnée dans sa bouche et déchargeait en beuglant. Beaucoup lui aspergeaient le visage et les seins, ceux qui l’avaient bourrée choisissaient ses fesses.

Les plus endurants l’étendirent alors à même le sol et vinrent vider leurs couilles sur elle, en proférant des bordées d’insanités… qui me remplissaient d’aise. Ma femme fut remplie et couverte de sperme. Les tiges se succédaient au-dessus d’elle. Les mecs lui déchargeaient sur la figure et les seins, d’autres maculaient sa toison pégueuse ou ses miches déjà maculées, certains s’essuyaient le gland dégorgé sur ses bas ou dans sa jupe, d’autres décoraient sa chevelure de chiennasse.

Il me fut impossible de compter le nombre de types qui l’avaient baisée, de bites qu’elles avait branlées, de queues sucées, de litres de foutre répandus et de giclées qui remplirent sa chatte et son cul.

MAIS ! quel spectacle !

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