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Une copine ronde et frustrée.

Une copine ronde et frustrée.



Parmi nos amis proches, nous avons un couple, très beau, dont M. semble plus gay que vraiment porté sur les femmes (même si c’est juste une impression) et madame, ronde, qui semble un peu frustrée.

En effet, lui minimise toujours son rôle, nous fait comprendre toujours en plaisantant qu’il en a une petite mais qu’il assume, alors que Mme est une sorte de femme plantureuse de partout, pas « grosse » mais charpentée avec surtout une paire d’obus ÉNORME qu’elle met toujours en valeur de façon outrageuse et qui semble vouloir croquer la vie à pleine dent.

Ma femme et moi en plaisantons souvent : Sylvie (nom d’emprunt) à l’air d’avoir le feu au cul, délaissée par son top model de mari (il est beau, corps sculpté, bronzé, etc). Ma femme fait ma propre pub quand on parle sexe : elle dit que je suis toujours chaud, pas mal monté et no tabou. Ça chauffe un peu Sylvie qui a toujours un mot coquin, « pour rire » bien sûr.

Ma femme est très mince, pas de seins pas de fesses, lèvres fines, de peau clair et Sylvie est son inverse total : cul volumineux, ronde, deux seins complètement incroyables qui semblent terriblement fermes, une grosse bouche qui fait directement penser à une grosse séance de pipe. Hormis le fait en commun d’être féminines et désirables, ces deux femmes sont à l’opposé de l’échelle de la séductions. Avoir les deux au lit en même temps doit être un bon trip.

Un jour je visite mes amis seuls, allant leur emprunter du matériel hifi. Nous résidons à 30 mn l’un de l’autre et les visites sont commodes. Le mari de Sylvie travaille et elle est seule à la maison. La petite quarantaine, tous deux sont de très bon niveau social et la grande maison paraît bien vides : pas d’enfants, pas l’habituelle ribambelle d’invités dans le grand jardin. Juste elle et moi.
Ma femme m’a souvent demandé si je pensais que Sylvie voudrait que je la baise, sentant sa frustration sexuelle avec un mari pas très porté sur la chose. Je répondais « je ne sais vraiment pas ». Mon épouse s’en amuse… Nous sommes très complices et assez ouvert. La suite allait apporter des informations sur la question.

Sylvie est donc seule. Et pour une fois, pas de « petit haut ajusté » : elle revêt toujours des « tops » qui font qu’on voit pour ainsi dire la majeure partie de sa poitrine hallucinante, espérant sans doute concentrer ses regardes ici et pas sur son cul, il est vrai vraiment gros et pas de forme hyper sexy. Même si son corps est globalement bien « constitué », le haut en harmonie avec le bas, c’est quand même un gros modèle.

Bref, en début d’après midi ce jour là, elle a une tenue qui la couvre totalement, fine et légère. Le détail qui tue : elle n’a pas de soutien gorge et ses deux globes monstrueux se déplacent sous le mince tissu de façon à ce que je choppe la gaule immédiatement. Mon regard ne peut se déplacer de ses deux tétons qui pointent et bougent non stop.
Ma femme m’a souvent demandé si ceux deux seins énormes ne me tentaient pas, pareillement exposés, car on se voit souvent et elle fait tout pour me les mettre sous le nez, sous le regard amusé de son mari. J’ai toujours répondu que bien sûr, ça donnait juste envie de mettre le nez au milieu, puis autre chose que le nez.

Donc Sylvie est là, et rien dans sa conduite ne pousse à croire qu’une partie de cul va s’en suivre. Elle me demande ce qu’il me faut comme matériel d’emprunt, on badine légèrement, sans plus. Je suis super tendu par sa tenue et je n’ai envie que d’une chose, la plaquer contre un mur et lui bouffer les seins. Mais keep cool, c’est une amie et je dois rester calme. Même si je crois commencer à discerner chez elle une petite provocation a se tortiller son gros cul devant moi sans cesse. Et puis elle ne peut avoir que conscience que ses deux gros melons en liberté m’excitent à fond.

En vient le moment ou l’on aborde ce qui est au programme de la suite de la journée. Je plaisante une nouvelle fois sur le sexe en disant que puisque ma femme et moi sommes seul ce jour là, sans enfants, que la journée est belle, nous allions nous adonner à notre sport favori.
Là, l’ambiance change d’un cran et elle me dit, accrochant ses cheveux en arrière et positionnant ses deux seins de façon hallucinante devant moi, que décidemment « ma femme a bien de la chance ».

Je souris et je sais que là, il va se passer quelque chose. Je lui dit que oui, elle a de la chance et que j’en ai aussi. Je lui explique notre « semi liberté » sexuelle et surtout le fait que nous n’ayons pas de tabou particulier. Et de lui demander bien sûr juste après si elle, de son côté, avec son mari.

Elle me coupe net et me dit « laisse tomber Stéphane (son mari), ça ne l’intéresse pas du tout mais moi je n’en peux plus ». Et elle lève son haut et je découvre le rêve de tout homme : deux seins ÉNORMES, bronzés avec des tétons bruns surexcités, raide comme du bois.

Je m’approche et lui suce les seins et elle gémit déjà ! Des mois, des années peut-être de frustration sont passés par là. Elle me touche le barreau à travers le jean. On a tant parlé de queue qu’enfin elle veut la toucher. Je ne me lasse pas de malaxer ses boules d’enfer. Elle se baisse et se jette littéralement sur ma pine.

Avec ma femme, j’ai l’habitude d’être le dominant au lit. Je lui fourre ma queue au fond de la gorge et me plait à lui défoncer sa petite chatte sont son petit trou du cul sans limite. Mais là… ça va être une autre chanson. Sylvie me bouffe la queue à m’en faire mal. Moi debout, elle a genoux, je ne comprends plus rien. Quand ma femme enfourne avec peine la moitié de ma queue, elle englobe tout, tout d’un coup. Et elle ne s’arrête que pour me lécher les couilles à m’en faire mal. Je sens que je vais cracher la purée en 40 secondes à ce rythme et ma réputation va en prendre un coup. Je décide donc d’essayer de prendre les choses en main.

Je la relève et lui baisse son pantalon. Elle enlève son haut, nous sommes dans sa cuisine, contre l’ilôt central. Je découvre alors un gros cul tout bronzé, assez sympa, et j’écarte ses fesses pour découvrir une raie monstrueuse, de par sa taille. Mon épouse a un cul mini mini et quand je pose ma queue dans sa raie, j’ai l’impression d’être le roi du monde. Là, mon appendice est perdu entre deux globes bien plus imposants… Plus qu’à espérer que mon engin fasse malgré tout son effet.

Elle m’att**** le nœud et me dit « ça c’est une queue ». Me dit que son mari est mal loti et que donc elle aussi. Sans transition je lui fourre dans le minou et ramone vigoureusement. Je mise tous mes espoirs sur le fait de la faire jouir vite, sinon c’est moi qui va cracher rapidement. Je lui lime la chatte par derrière et j’ai vraiment l’impression que ma queue est perdue dans ce corps beau, ferme et imposant. Elle commence à gémir fort et à gueuler.

Je stope une minute le temps de lui lécher le trou du cul et il me vient une idée. Mon pantalon est à mes chevilles et je récupère dans ma poche arrière mon téléphone sur lequel j’ai enregistré de nombreuses vidéos de ma femme et moi en train de baiser. En doigtant le cul de Sylvie, ce qui a l’air de bien lui plaire, je choisi une vidéo ou ma femme me sucer la pine et ou elle avale à la fin comme une morte de faim. Ma video favorite. Je met en route et pose le tel devant Sylvie, appuyée contre le meuble de cuisine et continue de m’attarder sur son gros cul. Ses gros seins passent totalement à l’as, mais tant pis, je ne peux pas être partout.

Sylvie est surprise mais n’arrête pas la vidéo, ça lui plait, donc. On voit la petite bouche de ma femme lécher mon gros gland durant 3mn avant de pomper ma purée. Sylvie est totalement excitée et un liquide coule le long de ses cuisses. Je replante ma queue dans sa chatte étonnement très serrée. Je lime doucement pour ne pas jouir tout de suite. Je tente de planter ma queue dans son trou du cul qui ne sera pas plus étroit que sa chatte ai je l’impression. C’est quitte ou double et je vais voir si elle aime se faire sodomiser. Bingo, elle décolle comme une folle et décharge comme une dingue en gueulant. L’atmosphère retombe, la vidéo n’est pas terminée et Sylvie regarde ma femme se goinfrer de bon foutre. Elle se retourne, elle a joui. Elle enlève son haut, se rebaisse, nettoie ma pine avec un essui tout (dommage) et l’enfourne à nouveau dans sa grosse bouche.

Je jouis comme un dingue totalement au fond de sa gorge. Elle continue de me branler en léchant toutes les petites gouttes qui suintent de mon sexe. Elle admire mon joujou, pourtant de taille moyenne. Je mesure combien elle est frustrée à la maison.
Je sais que ma femme n’est pas tentée par les parties à 3 et pas tentée par les femmes. Sylvie non plus sans doute. Dommage, il y aurait vraiment un truc à faire.

Nous remballons nos affaires, je léche encore ses seins et lui dit que je regrette bien de ne pas avoir joui dessus. « Une prochaine fois » lâche t’elle, signe qu’il y aura une suite. Je viens de trouver une bonne « fucking friend » et elle le moyen de prendre son pied. Elle me dit n’avoir jamais trompé son mari et je la crois volontiers. Je pense et j’imagine qu’il serait d’ailleurs sans doute suffisamment open pour comprendre ce que nous venons de faire… je me trompe peut être. S’il était branché cul, ma femme lui ferait bien sa fête, c’est un bel homme, mais il semble loin de tout ça. Dommage.

Une bien belle expérience avec une femme magnifique…

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