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Une famille en Or (11)

Une famille en Or (11)



Enfin, notre première vraie grande partouze en famille!

Vendredi 28 juin 1991

Nous arrivons à Luynes en début d’après-midi et pour nous montrer qu’elle n’a pas froid aux yeux, Sève vient nous ouvrir à poil, mais en restant derrière la porte pour ne pas être aperçue de la rue. En entrant, Ju lui claque les fesses en lui faisant la bise:
— Salut, toi ! Joli ticket de métro! Quel changement, dis donc!
— C’est pas toi qui va me le reprocher, non? Bon, vu l’heure, on a encore le temps de piquer une tête avant de manger. Allez vous mettre à l’aise.

Nous la rejoignons dans la piscine. Puis elle s’étend au soleil dans une position qui nous expose bien son intimité. Je lui propose de prendre quelques photos et elle accepte de poser pour bien montrer qu’elle est complètement décontractée. Ju bande dur et ne s’en cache pas:
— Ça change vraiment tout. J’adore ton nouveau style…
— A voir ton érection, je n’en doute pas! Tu sais comme j’aurais été choquée il y a pas si longtemps, mais maintenant, je me sens plutôt flattée…
— Justement, puisque c’est toi qui en es la cause directe, si tu reprenais où tu t’étais timidement arrêtée la dernière fois?

Il se place pile devant elle et lui fourre sa bite dans la main. Elle me regarde en rougissant, attendant que je vienne à son secours, mais au contraire, je lâche:
— Il a raison, tu lui dois bien ça, et ça ne te coûte pas grand chose…

Du coup, elle se met à le branler, d’abord timidement, puis vigoureusement, les joues toujours écarlates. Il en profite un petit moment, mais ne la laisse pas conclure:
— Tu vois, tu fais ça très bien. Mais pas la peine d’aller plus loin, on est quittes. Et je préfère ne pas gaspiller déjà mes cartouches.

Pour faire diversion et la conserver dans l’ambiance, je m’allonge sur le ventre:
— Dis donc, Sève, tu veux bien me passer l’huile solaire dans le dos?

Tout va sans problème jusqu’à ce qu’elle arrive à ma raie, qu’elle évite. Je réclame:
— Eh, tu oublie entre les fesses!
— Ça me gêne un peu de te toucher là…
— Allons, pas de chichis entre nous.

J’écarte un peu plus les jambes, et elle me badigeonne la fente rapidement, en n’insistant pas. Quand elle se met elle aussi sur le ventre et essaie s’enduire le dos en se contorsionnant, Ju lui propose:
— Attends, je vais le faire, ça sera plus facile.
— Euh, bon, volontiers, merci!

Il se met à genoux entre ses jambes, lui masse bien tout le dos, puis enfin les fesses. Lorsque ses doigts s’insinuent un peu plus dans le sillon, elle réagit :
— Non, arrête, pas là!

J’interviens:
— Allez, laisse-toi faire, tu me l’as bien fait!

Ju lui caresse longuement l’intérieur des fesses, sans trop insister, mais en s’enfonçant de plus en plus dans le sillon qui les sépare. Elle s’abandonne peu à peu et il atteint enfin sa rondelle, qu’il masse doucement, puis sa fente ou ses doigts ne rencontrent plus de résistance. Elle soupire de plus en plus. Il la branle franchement pendant un bon moment, et enfin l’embroche en douceur.

Elle subit d’abord passivement son assaut, puis il la fait retourner sur le dos, et elle envoie d’elle-même son bassin à la rencontre de ses coups de bite. Il me prend l’envie de les rejoindre. Je lui malaxe ses grosses doudounes, et elle se laisse faire. Elle se cramponne aux hanches de Ju et brame sa jouissance. Il ne lui laisse pas le temps de récupérer:
— Tu vois, tu disais que ma bite t’intéresserait plus que le gode. Eh bien, chose promise, chose due! Et maintenant, tu vas pouvoir me faire une caresse que les petits tétés de ta sœur ne permettent pas.

Il glisse sa bite entre les seins, et s’offre une branlette espagnole. J’encourage ma sœur en lui caressant les épaules.Puis j’estime qu’il est temps de poser mes doigts sur son clito. Elle réagit à ma caresse:
— Caro, pas ça, tu es ma sœur…
— Oublie ce détail, et prend ton pied!

Je la branle à fond, et Ju sort d’entre ses nichons pour lui donner son gland à sucer. Elle s’y met sans rechigner, et même assez volontiers pour une première fois, jouant aussi de ses mains sur la tige et les couilles. Il reste bien au fond de sa bouche pour éjaculer. Elle est surprise par l’abondance de la giclée, et en recrache une partie qui coule sur son menton et sa poitrine. Je la rejoins:
— Ce serait dommage de laisser perdre tout ça!

Je lui lèche le menton, puis continue à ramper au-dessus d’elle, me plaçant tête-bêche, aspirant le sperme entre ses seins. Elle a une dernière protestation lorsque j’approche ma bouche de son clito, mais je n’en tiens pas compte. Tout en la broutant, je lui frotte ma fente sur la bouche, et elle cède enfin. Elle se met à me lécher aussi en se tenant à mes fesses. Ju ne veut pas être en reste:
— Comment voulez-vous que je débande devant un tel spectacle!

Il vient derrière moi et alterne sa queue dans ma chatte et dans sa bouche. Elle jouit encore sous ma langue, et nous inversons nos places. Elle ne fait plus de manières pour venir mettre sa tête entre mes cuisses et me bouffer le clito pendant que Ju l’achève en levrette. Elle hurle son bonheur dans ma fente.

Pour le final, il s’assoit dans un fauteuil, et nous le suçons à deux. C’est encore Sève qui recueille le fruit de cette action. Puis nous reprenons des forces dans le calme. Je la mets au courant du programme que j’ai prévu, mais en ne lui dévoilant qu’une partie de la vérité:
— Tu sais que Valy doit venir demain avec Nico et Ben. On aura pas à se gêner, on a déjà fait du naturisme avec eux.
— Pas de problème.

Le soir, c’est encore mieux. Maintenant elle est prête à toutes les expériences et nous remettons ça avec des accessoires. Elle se laisse enfin sodomiser par Ju après que je l’aie bien préparée avec mes doigts. Je lui prête mon strapon, et c’est elle qui vient me baiser pendant que Ju m’encule. C’est une bonne recrue pour nos parties à venir.

Samedi 29 juin 1991

Ben est tout de même surpris de me voir leur ouvrir à poil, et sortant presque dans la rue heureusement déserte en ce début d’après-midi. Il constate rapidement que dans la piscine Ju et Sève sont nus eux aussi. Comme Valy et Nico les imitent tout de suite, il ne fait pas de chichis pour se dévêtir à son tour.

Un peu plus tard, après un peu de chahut aquatique, il est assis au bord, les jambes pendantes dans l’eau. Ju sort et s’assoit à côté de lui. Je l’ai un peu tripoté sous l’eau pour qu’il bande et Ben est un peu soufflé de le voir arborer son érection sans aucune gêne devant tout le monde. Il est encore plus abasourdi quand je commence à branler Ju sans me gêner de leur présence à tous. Evidemment, ça le met lui aussi en érection assez vite. Je le regarde dans les yeux:
— Tu aimerais la pareille, hein? T’inquiète, Ju n’est pas jaloux!

Sans attendre sa réponse, j’empoigne sa queue. Il ne sait plus ou se mettre lorsque je me mets à les branler en duo. Mais comme personne ne semble s’en offusquer, il se laisse faire. Nico sort à son tour et s’assoit à côté de lui, aussitôt accaparé par Valy qui vient ensuite prendre ma place pour s’occuper de Ju et qui va plus loin en le suçant. Du coup je fais la même chose à Ben. Ma sœur se lance et propose à Nico:
— Il ne reste plus que nous, alors autant nous y mettre aussi!

Il ne se fait pas prier et elle lui gobe le gland. Ben ne tient pas bien longtemps et gicle dans ma bouche. Il ne met pas longtemps non plus à rebander en regardant sa sœur sucer Ju. Nous sortons de l’eau pour prendre nos aises sur la terrasse.

Je reste avec Ben, car je me suis promis de le dépuceler. Il est un peu fébrile, mais tout heureux de s’enfoncer en moi. La vision de sa sœur chevauchant Ju et de Sève prise en levrette par Nico contribue à sa dureté, et comme il a déjà joui une fois, il devrait tenir la distance.

J’ai envie de varier un peu les plaisirs, et Sève vient volontiers me remplacer. Je me place en soixante-neuf sur Valy, et nous nous léchons pendant que Ju continue à la bourrer et que Nico vient me prendre par derrière. Ben a comme ça la confirmation de nos échanges lesbiens qu’il n’avait qu’imaginé l’autre fois à travers la cloison de sa chambre. Il finit par ne plus s’inquiéter de rien et profite d’une situation qui dépasse ses fantasmes les plus osés.

Sève se sert de ses nouveaux talents en lui prodiguant une branlette espagnole, puis elle me re-laisse la place et va sucer Ju et Nico à la fois, pendant que Valy lui branle les deux trous par derrière. Je chevauche Ben un bon moment, puis je sens qu’il vient, et je m’enlève pour recevoir son éjaculation sur les seins. Les autres partenaires finissent aussi bientôt, et c’est le moment pour un repos bien mérité. Ju et moi faisons amende honorable pour nos petites cachotteries aux uns et aux autres, mais vu le résultat ils ne nous en veulent pas. J’ai vraiment une famille en or.

Après un bon dîner, c’est moi qui relance la machine en me caressant le bouton dans le canapé du salon et en tripotant Ben à mes côtés, ce qui le remet en érection.Les deux autres mecs sont très vite dans la même configuration. Je demande aux filles:
— Vous permettez que je réquisitionne les trois un moment? Je vous les rends juste après. Approchez, les gars!

Je branle les trois mecs pour achever de les durcir avec quelques coups de langue, puis je fais allonger Nico et je m’empale sur lui tandis que Ju vient m’enculer.

Je préfère garder Ben pour ma bouche, car je peux mieux le contrôler pour éviter qu’il ne parte trop tôt. Ils se démènent en cadence, et les filles se masturbent en nous regardant. Je pars sur un maxi orgasme, puis je continue à m’occuper d’eux. Je les suce ensemble, et je m’amuse à mélanger leurs fluides en frottant les glands l’un contre l’autre, ce qui affole un peu Ben. Ju lance la suite en branlant Ben tout en demandant la pareille à Nico. Le temps que Ben réalise, je prends sa main et l’oblige à branler Nico. Comme lui-même ressent de bonnes choses, il n’ose pas refuser.

Puis Nico va s’occuper des nanas, et Ju s’agenouille devant Ben. Il panique un peu quand il commence à le pomper. Mais il ne se retire pas et je lui doigte un peu le cul pendant que Ju s’active.

J’attends la bonne occasion, quand Valy est tête-bêche sur Sève et se fait bourrer par Nico. Nous libérons Ben, et je fais signe à Nico de laisser sa place. Valy ne voit rien de la manoeuvre dans la positions où elle est. C’est au bout d’un moment qu’elle réalise que c’est son frère qui la baise:
— Salopards, vous m’avez bien eue!

Mais elle s’avoue vaincue et se laisse faire. Elle finit même par accepter de le sucer. Elle tient tout de même se plaindre de mon stratagème:
— J’avais dit pas mon frère! Comment je vais faire maintenant à la maison?
— Eh bien, après tout, une bite, c’est une bite, et je crois que Nico ne sera pas jaloux. Au moins, il saura avec qui tu baises.

Pendant ce temps, Ju et Nico offrent son premier sandwich à Sève. Cette fois, tout le monde est complètement vidé.

Dimanche 30 juin 1991

Ce matin, tout le monde est de nouveau en grande forme, il n’y a plus de réticences. Valy accepte volontiers son frère et lui offre même sa première sodomie.

Et dans le feu de l’action un peu plus tard, Ju réussit à se faire sucer par Ben, qui lui doit bien ça et ne se dérobe pas au moment d’avaler. Bref, de belles journées en perspective. Mais en milieu de journée, il est grand temps de se séparer car mes parents doivent rentrer en fin d’après midi. Sève m’a donné son accord pour publier ses photos dans notre magazine habituel.

A suivre…

A propos de l'auteur

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