Après plusieurs années de mariage, une soirée au restaurant en couple peut être empreinte d’une certaine monotonie. Quand mon mari me proposa donc de dîner au restaurant, je décidai de sceller cette soirée sous le signe de l’amusement. Je sentais que mon inspiration était foisonnante.
Le restaurant était spacieux, j’incitai volontairement mon mari à choisir une table excentrée, à l’abri de regards un peu trop curieux.
Telle une matador, je souhaitai atteindre mon but étapes par étapes, en conjuguant élégance et force, j’imaginai déjà mon mari ne ressemblant plus qu’ à un bovidé décontenancé par ses pulsions qui lui seraient préjudiciables. il sera alors totalement à ma merci. La matador pourra alors s’offrir la queue de son taureau en guise de trophée.
Après avoir commandé. En attendant que nos entrées soient servies, je me décidai à lancer ma première banderille. Prétextant une envie pressante, je me rendis dans les toilettes pour retirer ma culotte. A mon retour, je la posai sur la table et langoureusement lui déclarai : « Chérie je préfère être à mon aise ce soir, je te confie ce petit bout de tissu qui me faisait office de culotte, tu vas la prendre puis la sentir afin que tu aies un avant gout de ce qui va t’attendre.”
Surpris et paniqué, mon mari jeta un rapide coup d’oeil sur nos différents voisins de tables et s’exécuta avant de la ranger dans sa poche.
Faisant abstraction de cet épisode, après avoir fini nos entrées, j’avais remarqué, dans le dos de mon mari légèrement en biais, deux jeunes hommes d’allure sportive avec un physique plutôt à leur avantage. L’alcool les incita à leur insu à monter le volume de leur conversation ce qui me permit de récupérer quelque bribes de leur dialogue. Je compris qu’ils venaient de participer à une course d’aviron et qu’ils avaient battu tous les records.
Celui qui me faisait face n’avait de cesse de poser ses yeux sur mes jambes et les effluves avinées ne lui permettait plus de se comporter avec discrétion. Avait-il assisté à notre petit jeu érotique ou était-ce simplement mes jambes qui le fascinait ? Je sentais chez ce jeune homme une certaine gène de ne pouvoir maîtriser ses regards, beaucoup de timidité aussi. En me redressant sur ma chaise, je m’aperçu également qu’il avait doucement écarté ses jambes. Les deux jeunes sportifs ayant des pantalons extrêmement moulant, cela me permit de deviner un membre vigoureux.
Alors que nous finissions nos plats principaux, je commençai à poser mon regard de manière plus insistante sur le jeune sportif. Ce dernier pris l’information immédiatement, ce qui semblait le gênait. Mon mari n’avait toujours rien remarqué, je décidai de pimenter un peu plus notre dîner. Doucement j’écartai mes jambes afin de laisser entrevoir le haut de mes cuisses au jeune homme. Puis, me sentant plus audacieuse, je continuai pour lui en laisser voir encore un peu plus à travers ma jupe fendue. Ses yeux étaient fixaient sur mes cuisses, il avait certainement pu voir une partie de ma fente. J’insistai en le fixant des yeux puis en jetant quelques regards rapides au niveau de son bas-ventre. Cette fois c’étais certain, il avait une érection monumentale, son sexe semblait trop à l’étroit dans son pantalon. C’est à ce moment là que je décidai de faire entrer mon mari dans mon petit jeu.
– Chéri, tu m’as toujours dis qu’un de tes fantasmes était de me voir faire l’amour avec un autre homme ? parce que ce soir je pourrai bien mettre cette idée en action.
En lui faisant cette proposition, je continuai à fixer le jeune homme, ce qui permit à mon mari de se rendre compte de la situation. Il vit ma jupe remontée et comprit très vite ce qu’il en était.
– ‘Mon amour’, dit-il, je ne suis pas prêt, je préfère vraiment que cela reste à l’état de fantasme.
Sa réponse me rassura car moi-même je ne me sentais pas de passer à l’acte, mais je continua à bluffer.
– Dommage car je pense que j’aurai vraiment passer un très bon moment quand je vois ce que je pourrai m’offrir.
Je sentais son visage rasséréné, mais je renchéris immédiatement
– Donc tu refuses ! très bien, en contrepartie, pour ne pas gâcher cette fin de soirée, j’ai envie m’amuser et même si cela ne va pas te plaire tu vas m’obéir. Tu vas commencer par aller payer la note puis tu iras seul dans la voiture et tu t’installeras sur la banquette arrière en m’attendant.
Il ne broncha pas et s’exécuta. Au moment de sortir du restaurant il me jeta plusieurs regards pour essayer de deviner ce que j’avais manigancé.
Me retrouvant seule à ma table, le champs de vision était plus ouvert pour toiser le jeune sportif. Après plusieurs minutes d’échanges de regards, je me levai et au moment de passer devant sa table, je me penchai à son oreille pour lui chuchoter
– Alors jeune homme, avez vous apprécié votre repas ?
Il était rouge pivoine et pu juste me bredouiller quelques mots
– Oui madame … très bien …il fait juste un peu trop chaud …
Je laissa le jeune homme tout penaud et alla rejoindre mon mari.
Arrivé à la voiture, je pris le volant et commençai à prendre la route. Mon mari me regardait avec inquiétude, je savais qu’il craignait le pire sur la façon dont je pouvais avoir occuper le quart d’heure qu’il avait passé en m’attendant seul. Je le laissa quelques instants avec son inquiétude que mon sourire ne faisait qu’accroître. Puis je décida de m’amuser un peu
– Mon amour, ne t’inquiète pas, ce n’est ce soir que tu seras cocufié, cela viendra surement il faut t’y attendre, mais comme tu as refusé que je m’amuse avec le jeune garçon, cela sera avec toi que je vais m’amuser et de manière très originale. Tu vas donc commencer par te déshabiller et poser tes affaires à mes cotés.
Il s’exécuta puis quand il fut entièrement nu je m’arrêtai sur un bas coté de la route juste à l’abri d’un chêne. Je déclenchai l’ouverture du coffre arrière puis me levai pour ouvrir la portière arrière
– Maintenant tu vas aller te mettre dans le coffre, c’est la place réservée normalement aux chiens désobéissants … je pense que tu mérité cela. Allez ouste !
Décontenancé puis résigné, Il rentra dans le coffre en s’allongeant en position foetale. Je fermai le coffre puis reprit la route complètement détendue. La sensation était remarquable. Conduire en ayant placé son mari dans la coffre arrière comme un petit chien était très agréable. Je mis la radio et tranquillement profitai de cet instant sublime.Je ressentis l’envie de prolonger ce moment, il n’était que 23h30. Je savais que deux amies de travail était dans une soirée karaoké dans un bar situé à 5 minutes de chez moi. Je décidai de les rejoindre pour un court instant.
Je me garai sur le parking du bar et après avoir arrêter le moteur j’entrouvris le coffre juste assez pour qu’il ne puisse deviner l’endroit où nous nous étions arrêtés puis après lui avoir donner une petite tape sur les fesses je refermai le coffre en lui demandant d’être sage.
Je retrouvai mes amies dans le bar. Arès un mojito et une demi-heure plus tard je les saluai pour rejoindre la voiture. J’entrouvris à nouveau le coffre pour vérifier dans quel état était mon petit mari
– Je n’ai pas été trop longue ? je ne t’ai laissé qu’une demi-heure seul. Tu sais en une demi heure on peut faire beaucoup de chose.
Son regard paraissait inquiet, je lui caressait la tête pour le rassurer
– Ne t’inquiète pas, je suis resté sérieuse
Je fermai le coffre puis reprit la route. Arrivés devant notre maison, je vérifiai aux alentours si des personnes pouvaient nous voir. C’était le calme plat, notre quartier était tranquille et tout le monde avait baissé pavillon.
Je décidai donc de ne pas en rester là dans mon petit jeu. Je récupérai dans la boite à gant une laisse de chien, puis fis sortir mon mari du coffre, lui enfila la laisse autour du cou et lui demanda de se mettre à quatre pattes au sol. Il s’exécuta en jetant des regards apeurés sur les fenêtre des maisons voisines.
– Ne t’inquiète pas, à cette heure ci, tout le monde est couché. Allez viens suis moi !
Mon mari n’avait pas voulu que sa femme s’amuse ce soir avec un inconnu, il fallait donc que je lui montre que son refus ne devait pas rester impuni. je le traîna ainsi en laisse jusqu’à notre porte palière. Quand nous fumes rentrés chez nous je le sortis dans le jardin et lui fit faire encore une petit tour. Cela me donnait une sensation de pouvoir que je souhaitais faire perdurer encore quelques instants.
– Alors mon chéri, t’amuses-tu autant que moi ? cela me plait beaucoup en tout cas Contrairement à que je pensai, ce n’est pas si désagréable d’avoir à sortir son canin le soir. D’ailleurs j’y pense, il faudrait peut être que tu soulages un peu. Allez suis moi vers le cerisier au fond du jardin.
Il me suivi toujours à quatre pattes sans broncher et arriva sous le cerisier.
– Et bien vas-y, tu vas lever la patte et je veux te voir faire pipi comme un petit chien à sa maîtresse.
– Non chéri je …
Je l’interrompu immédiatement
– Non, non non, je ne veux rien entendre.Tu vas faire ton petit besoin sous cet arbre. Tu veux une femme fidèle, et bien je respecte ton souhait mais par contre en échange je t’ordonne d’être très obéissant et si ce soir j’ai envie que mon mari soit mon petit chien, tu n’as rien à redire à cela. Allez, lève ta petite patte.
Afin de l’encourager, j’enjoignit à mon invective une petite caresse sur sa tête.
Il se positionna correctement sous l’arbre et fit son petit besoin comme un bon petit chien.
– Et bien tu vois ce n’est pas si difficile. Je suis très satisfaite de toi, Allez viens il commence à faire frais, rentrons dans la maison.
Tout en continuant à le traîner en laisse, je le monta dans la salle de bain, je lui demanda de me déshabiller puis de m’enfiler ma nuisette. Je le fis venir ensuite dans les toilettes et après m’être assise sur la cuvette je plaça son visage à quelques centimètres de mon entre-jambe. Après avoir complètement vider ma vessie je l’attrapa par les cheveux pour lui demander un dernier petit service.
– Mon chéri, tu sais ce que dois faire le petit chien à sa maîtresse quand elle a fini son envie pressante
– Chérie .. tu es certaine que …
– Ne discute pas veux-tu, tu vas nettoyer la chatte de ta maîtresse ! tendrement et dans tous les recoins.
Il s’employa à sa tâche pendant plusieurs minutes, je faisais durer le plaisir puis je l’emmenai dans notre chambre toujours en le traînant par la laisse.
– Mon chéri, cette soirée au restaurant fut exquise, mais pour finir en beauté et surtout dans la continuité de ce qui s’est passé, je pense que mon petit chien va aller rejoindre sa place pour cette nuit. Sais-tu où est la place du chien à sa maîtresse ?
En l’interrogeant je fixa du regard le sol pour l’aider à bien comprendre, et je commença à lui caresser les testicules pour lui faire accepter plus facilement.
– Oui mon amour, ma place ce soir est à tes pieds au sol.
– Parfait ! c’est exactement ce que je voulais entendre.
Je pris sa laisse puis l’attacha au pied du lit afin qu’il ne puisse pas s’échapper.
Puis je sentis un élan de générosité venir en moi, je lui proposa donc une petite grâce.
– comme tu as été finalement très docile je vais te faire un petit cadeau. Au regard de l’état de ta queue, je sens que tu es très excité. Je t’autorise à vider tes petites couilles. Tu va le faire en me regardant m’endormir allongée seule sur notre lit. Attention cependant je te laisse seulement 1 minute. Passé ce délai tu dormira la queue raide. Allez mon petit chien Remue la queue !
Il ne se fit pas attendre, il se masturbait à genoux de manière très énergique. Je m’étais placé sur le ventre les jambes légèrement écartées, Ses yeux étaient fixés sur mes fesses. Il ne lui fallut que 40 secondes pour éjaculer. Un jet puissant sortit de son membre, le sol était maculé de taches de sperme sur plus d’un mètre. Sa bouche était entrouverte, je devinais que son plaisir avait été intense.
– Tu vois que cela te réussit bien de jouer le petit chien à sa femme. Par contre, tu ne peux pas laisser le sol rempli de ta souillure. Tu vas donc immédiatement nettoyer tout cela mais pas n’importe comment. Tu sais que les chiens savent très bien se servir de leur langue, tu vas donc nettoyer le sol avec ta langue.
Je devina une petite grimace de réprobation, cela ne m’étonna pas, les mâles ont beaucoup de mal à rester dociles juste après l’orgasme. Je le pris par les cheveux de la main droite puis par les testicules de la main gauche pour lui faire faire sa besogne. Une fois terminé je m’allongea seule confortablement dans le lit, caressa une dernière fois mon chien sur sa tête et m’endormit en toisant mon mari au sol.
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