Weekend Surprise – Chapitre 6
J’installa Cécile au salon, je lui demandait de patienter 5 minutes avant de vêtir une tenue plus décente, je remontait les marches 4 à 4 pour prévenir Anaïs et Christine que la séance était terminé,
J’arrivais dans la chambre et je restait finalement en retrait pour les observer, Christine était allongé sur le dos un god ceinture vissé dans l’anus d’Anais qui lui tournait le dos, Christine lui empoignait un sein d’une main tandis qu’elle la masturbait de l’autre, Anaïs gemissait … Fort, un peu trop fort, je me devais d’arrêter ça … Pour l’instant.
– Les filles je suis désolé mais en fait nous avons de la visite, tu te rappelles Anaïs, la femme d’un vieux pote, ça m’était sorti de la tête, mais elle est la … Dans le salon …
– Bah fais la monter, me dit Anaïs dans un clin d’œil, cette femme avait vraiment changé, sa vie était devenu luxure, je ne sais pas si cela me plaisait toujours autant.
– dis pas de connerie c’est la femme d’un ami !
– Très bien qu’elle reste ou elle est ! Cependant si tu veux que l’on termine il va falloir me combler ! Au sens propre du terme ! J’ai un trou qui est encore disponible ! Même son langage était devenu différent, et le pire c’est qu’elles n’arrêtaient pas …
Je fit tomber le pantalon et je me présenta à l’entrée de son vagin.
– Un petit coup vite fait et stop et surtout pas un bruit !!
Anaïs acquiesça, et fermait les yeux de plaisir, la double pénétration semblait être le summum qu’elle avait connu, elle ne pût cependant pas arrêter de gémir je dût lui plaquer ma main sur sa bouche ce qui la rendu encore plus hystérique. Heureusement pour moi, l’incongruité de la situation à fait que l’excitation était trop forte et cela n’a pas durer.
Après une toilettes plus que rapide je redescendait en bas, dans une tenue plus adéquate, je rejoignit Cécile le sourire au lèvres.
– J’ai déjà entendu ce genre de gémissement il y a quelques mois, me fit elle
Embarrassé je n’avais pas de mots à dire si ce n’est que de rougir une fois de plus
– Ne sois pas embarrassé, j’ai trouvé ça excitant que tu couche avec la mère de Tristan, et ses parents sont d’ailleurs séparés aujourd’hui donc c’était pas bien grave,
– Ah merde ! Je suis triste de l’apprendre,
– Ne le sois pas ils n’étaient plus heureux et ça commençait à se voir et surtout à s’entendre ! C’est mieux ainsi, et sinon la demoiselle va descendre se montrer ?
– Oui je penses, elle ne va pas tarder, et toi alors comment vas tu, tu as fait bonne route ?
– Ouais on a pas mal roulé, un peu fatigué mais ça va.
– On ? Tu es venu accompagnée ??
– Bah oui ! Je suis venu avec Tristan ! Tu as pas reçu le message ? Il a eu des jours de congés finalement et a voulu m’accompagner, officiellement pour revoir sa région natale, officieusement il veut me surveiller, mais j’espère qu’on ne dérange pas car si c’est le cas vra…
– Je te coupe tout de suite, non j’ai pas eu le message, mais bien sur que non ça ne me dérange pas bien au contraire. Mais pour le coup les jumeaux sont avec vous ? Et lui, il est où ?
– Il m’a dit qu’il voulait se balader un peu avant de venir, fait souvent ce genre de choses depuis que ses parents se sont séparés, il en parle quasiment jamais mais je crois que malgré l’âge, il ne le supporte pas bien, et pour les jumeaux je les aient laissé à mes parents, ils sont ravis.
J’écoutais son histoire, mais quelque chose ne collait pas, elle n’y croyait pas elle même, quelque chose se cachait la dessous, mon instinct professionnel reprenait le dessus mais je ne désirais pas insister, c’est le moment que choisi Anaïs pour descendre.
Je fis les présentations et demanda discrètement à Anaïs où se trouvait Christine, elle m’apprenait qu’elle s’était discrètement glissée dehors, ce qui m’arrangeait il faut bien l’avouer.
Tristan arriva une heure plus tard, je lui présentait Anaïs, il eu du mal à ne pas rougir en la voyant, elle faisait toujours cet effet la et ça me rendait fier, nous sommes aller au restaurant, pour nous éviter la honte d’avouer que le frigo était vide et que l’on avait oublié leur venue.
Posé au restaurant, je me rappelait la discussion d’avec Cécile et décidait de tester Tristan.
– Au fait, j’ai appris pour la séparation de tes parents je suis désolé, tu tiens le coup ?
– Ouais t’inquiète pas, tu sais j’ai ma vie, ma femme et mes enfants, c’est dommage mais en soit, ils n’étaient plus heureux, ça se voyait même si j’ai pas trop compris au début, ça c’est passé peu de temps après que tu sois venue d’ailleurs, ma mère en a eu marre et elle est partie, vous avez bien discuter tout les deux elle ne t’avais pas donné cette impression ?
Voilà que ça se retournait contre moi et je me sentais de nouveau mal à l’aise.
– On avait pas tant discuter de ça et surtout elle voulait prendre des nouvelles de ma famille et se remémorer nos souvenirs de jeunesse mais rien qui m’ai fait penser qu’elle souhaitait quitter ton père non (Excepté peut être venir dans ma chambre et me sauter dessus en pleine nuit)
– Ouais bah je sais pas c’est un mystère, surtout que ce soir là ça devait encore allez bien vu comment on les as tous entendu … Cette honte laisses tomber, mon père à essayer de m’en parler, je l’ai rembarré immédiatement tellement j’avais honte …
En bref j’étais rouge comme les rideaux d’opéra …. Et on étais passé à deux doigts de la catastrophe, est ce que ses parents s’étaient sépare à cause de moi ? Toujours est il que sa mère était seule désormais .. Je me rendais compte de suite de l’imbécilité de ma pensée …
Le dîner continua tranquillement et nous rentrèrent boire un dernier verre, zanis ne fit pas long feu et parti se coucher à l’étage, elle avait eu selon ses termes une journée exténuante. Ce qui fit sourire Cécile …
On resta à discuter tous les trois sur le canapé, regardant une débilité à la télé et j’étais de plus en plus perturbé, je me trouvais à une extrémité, Tristan a l’autre à moitié en train de somnoler et Cécile à côté de moi, qui m’offrait malgré elle une vue plongeante sur sa poitrine, qui semblait plus grosse que dans mon souvenir, un moment un vint se blottir contre Tristan et sa jupe remontant j’avais maintenant une vue directe sur sa petite culotte. Je commençais à être excité, depuis que madame Blanc était entre dans ma vie, je voyais n’importe quel hasard comme une opportunité ou un appel.
Je ne sais pas si Cecile remarqua mon regard mais elle descendit un peu sa jupe, ce qui n’empêchait en rien la vue que j’avais de ses dessous. Elle finit par se lever pour aller au toilettes. Puis revint 5 minutes plus tard. Elle repris sa position, et je le concentra avec difficulté sur la Tv.
Mais la chair est faible et je ne pût m’empêcher de regarder de nouveau en sa direction et la quel fut mon choc, je ne voyais plus sa petite culotte, car elle en avait plus, la jupe était remontée et j’avais une vue direct sur son sexe, Poilu juste ce qu’il faut, elle était de plus naturellement blonde, ça donnait qu’une envie c’est d’y mettre la langue, je voulus me retirer et allez me coucher, ce qui ne se fait pas en tant qu’hôte mais j’étais tellement excité que je voulais monter rejoindre Anaïs.
– Bon bah moi je vais me coucher, C’est Tristan qui avait parlé, avec la route je suis Ko, tu viens chérie ?
Cécile me regarda, et lui répondit qu’elle n’était pas encore fatigué et qu’elle préférait veiller un peu pour ne pas subir d’insomnie. Tristan l’embrassait et alla se coucher dans la chambre d’amis jouxtant le salon. Je me retrouvais seul avec Cécile ….
Elle s’était rassis correctement mais me dévisageait, il y avait de la luxure dans son regard, ça ne faisait plus aucun doute …
– Tu as aimé ce que tu as vu ? Je décidais de jouer l’ignorant
– Je ne comprends pas de quoi tu parles, elle se mît à rire
– Je parle de ça ! Et en joignant le geste à la parole elle remontait sa jupe devant moi m’offrant le spectacle de son sexe sans aucun obstacle, je restait fixé dessus avant de trouver le courage de lui chuchoter d’arrêter.
– Enfin Cécile qu’est ce qu’il t’arrive tu es la femme de Tristan tu ne peut pas me faire ça !
– Écoutes je t’ai bien entendu l’année dernière et ce matin aussi, en général avec toi on prends du plaisir, alors je ne vais pas te sauter dessus ce soir, mais j’avoue que l’idée est plus que tentante, et puis après tout on en a jamais reparler mais Tristan serait peut être content d’apprendre ce qui a réellement fait que ses parents se sois séparés … Tout en parlant elle commençait à se masturber
J’étais coincé … On dit que tout se sais toujours, et que l’on récolte se que l’on sème, la situation m’excitait mais malgré tout les événements passé il me restait une morale.
– Enfin Cécile tu as pensé à toi et Tristan ? Tu penses pouvoir lui faire ça ?
– Bah justement ! Il agit vraiment bizarrement, elle commença à s’insérer un doigt, tout en continuant à parler, et je connais ton travail, tu pourrais également fouiner un peu, et me dire si j’ai raison ou non …
Elle commençait à se masturber fort, la à un mètre de moi … Mon érection était visible et elle la fixait, je devais trouver une parade alors je tentais quelque chose.
– Écoutes Cécile, on va faire un deal, pour ce soir il ne se passera rien,
Elle fit la moue mais m’incita à continuer, je compris que c’était plus de la provocation qu’autre chose, j’avais un coup à jouer.
– Je vais fouiner du côté de Tristan, en payement tu me promet de rien lui dire sur moi et sa mère, puis si il apparaît que tu as raison, je m’engage à ce que cela se produise une seule fois. On a un accord ?
J’étais de mon côté persuadé que Tristan n’avait rien fait, je le connaissais depuis l’enfance ce mec était plus carrée que moi, enfin plus carré que moi avant … Cécile me toisa, elle semblait hésité mais c’est vrai qu’elle tenait un fabuleux moyen de pression sur moi, et ce que je lui proposait était ni plus ni moins qu’un pari …
– D’accord, mais pour sceller notre accord tu dois faire un geste. Tombe le pantalon et le caleçon avec …
J’avais simplement pas le choix, je me levais, face à elle, je libérais mon sexe trop à l’étroit et le laisse fier devant elle. Elle le scruta puis s’en empara elle le masturba délicatement de haut en bas, mis son pouce à la bouche et y déposa de la salive, puis elle massa le bout de mon gland avec son pouce plein de salive c’était terriblement bon.
Elle n’arrêta jamais de se masturber si bien qu’elle sembla avoir un orgasme.
Elle stoppa s’approchait de mon gland et y déposa un léger et tendre baiser, elle se leva vient se coller à moi nos deux sexes presque en contact elle s’approcha de mes lèvres et me dit
– Elle et moi n’en avons pas fini …
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