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Lou, la chambre d’hôtel

Lou, la chambre d’hôtel



Lou s’éveille dans un lit presque trop grand pour elle. La belle bourgeoise a dormi nue. Elle porte une main à sa chatte déjà trempée. Elle pense aux queues qu’elle aura peut-être l’occasion de sucer goulûment, à celles qu’elle pourra avoir au plus profond de son anus. Elle imagine aussi la tenue qu’elle va porter aujourd’hui. Rien que d’y songer, le contact du nylon et de la dentelle l’électrise. Lou sent que sa corolle s’inonde encore un peu plus. Elle a même laissé une large tache sur le drap.
La pute bourgeoise se lève, file vers la douche où elle ne manque pas de se caresser sous l’eau chaude. Puis elle se parfume avant de se diriger vers sa valise. Elle en retire les affaires qu’elle a prévues pour aujourd’hui. Un tailleur noir avec une jupe particulièrement fendue à l’arrière. Un chemisier magenta négligemment entrouvert sur ses seins gonflés de désir. Un collier de perles noires. Redresse-seins et porte-jarretelles rouges, bas couture noirs, tailleur gris et escarpins vermillons au talon aiguille ravageur de quatorze centimètres. Bien sûr, sa chaîne de cheville sera de la partie.
Lou prend son temps pour s’habiller. Elle savoure la texture de chaque vêtement, s’admire face au miroir. Elle parachève sa panoplie de salope fatale avec une couche épaisse de maquillage charbonneux au niveau des paupières. Elle termine avec la pose d’un vernis rouge sang sur ses ongles et d’un lipstick du même acabit. Lou est prête à faire tourner les têtes des mâles.
D’une démarche de reine, elle quitte sa chambre. Dans le couloir, ses talons claquent sur le marbre d’époque. Le bruit qu’elle produit fait s’ouvrir une porte juste dans son dos. Un client, encore en robe de chambre, s’avance et s’appuie contre le chambranle. Il ne se prive pas pour mater le postérieur divin de Lou, superbement mis en valeur par la jupe qui épouse chaque courbe, chaque mouvement.
La belle putain se retourne et considère son admirateur. Elle se dirige vers lui et, d’autorité, plaque sa main contre l’entrejambe du mec.
– Tu m’as l’air bien gâté par la nature, toi, fait-elle.
Passant une langue mutine sur ses lèvres pleines, elle repousse l’homme dans sa chambre, sans prendre la peine de fermer la porte. Sur la moquette, elle se met à genoux, attendant qu’il lui montre sa queue. Le mâle n’attend pas et s’empresse de retirer sa robe de chambre. Il exhibe une bite de très belle taille.
– Tu veux de la queue, tu vas en avoir, salope.
Lou ouvre la bouche et commence par lécher le gland. Sous ses coups de langue experts, la verge prend un peu plus de volume. À son regard exorbité, elle sait qu’il a envie de se faire pomper violemment, qu’il veut lui baiser la bouche, que sa salive coule en abondance jusque sur la moquette. Elle va lui donner satisfaction.
Lentement, centimètre après centimètre, la bouche de Lou parvient jusqu’aux couilles pleines qu’elle flatte de plusieurs coups de langue. Elle vient de gober l’intégralité de l’énorme bite tendue. Aux anges, le client lui maintient la tête dans cette position. Elle manque de suffoquer, de vomir mais elle tient bon. Quand le mâle la relâche, elle crache un énorme paquet de salive qui s’abat sur la moquette.
– C’est bien, fait l’homme. Très bien même. Tu es une bonne salope. Tu en veux plus ?
– Oui, défoncez-moi la bouche !!!
Son assaillant repose sa main sur l’arrière du crâne de Lou et l’autre au niveau de sa gorge et entreprend d’accélérer la cadence pour le plus grand plaisir de la pute bourgeoise. Il lui baise littéralement la bouche. Elle ne se contient plus, gémit d’un plaisir profond, multiplie les bruits de succion. Sa chatte inondée coule à grand jet sur la moquette.
Le client lui laisse un peu de répit :
– Tu es une sacrée pute, toi ! Tu en veux encore ?
Lou peine à reprendre son souffle, tellement la queue est grosse.
– Oui, je suis ta pute ! Fais de moi ce que tu veux !
Avec un sourire extatique, le mâle ne se le fait pas dire deux fois. De son regard de chienne, elle le supplie de s’enfoncer sans répit, sans relâche. Il reprend sa position, enserre la tête et la gorge de Lou et se plonge avec un bonheur total dans la bouche profonde. La pute bourgeoise a de telles capacités qu’il a l’impression d’être aspiré dans un puits sans fond. La belle putain est une experte dans ce domaine. Elle pompe comme si sa vie en dépendait, n’hésitant pas, lorsque son menton imbibé de salive vient cogner contre les couilles gonflées, à y donner de petits coups de langue.
L’homme grogne de bonheur, prend plaisir à maintenir la tête de Lou contre son ventre. Il est impressionné par la quantité de salive qu’elle recrache. Une mare humide s’est formée sur son chemisier ainsi que sur la moquette. De temps à autre, il s’autorise un commentaire :
– Bordel, tu suce mieux que ma femme et pourtant, c’est une bourgeoise comme toi. Tu suces mieux que toutes les putes de luxe que j’ai connues. Continue !
Lou, émoustillée par ces commentaires, reprend son rythme infernal. Ses bruits de succion résonnent dans toute la chambre et jusque dans le couloir. Le client, qui a pris appui contre un guéridon, sent qu’il va décharger. La belle garce l’a bien compris et accélère le rythme. Un imposant flot de sperme chaud vient tapisser sa bouche, se déverse au fond de sa gorge sans discontinuer. Lou avale tout et lape ce qui reste sur la bite encore tendue.
– On n’en a pas fini, toi et moi. J’ai tout mon temps. Et toi ?
– Je dois récupérer ma voiture dans un garage. Mais je n’ai pas d’horaires, fait-elle avec des yeux de chatte en chaleur.
– Parfait, mets-toi à quatre pattes.
Lou obéit, tend sa croupe dans un geste totalement naturel. Derrière elle, l’homme s’est penché. Les yeux exorbités, il contemple sa tenue.
– De vrais bas couture qui plissent, des escarpins de putain. T’es une vraie de vrai, toi !
Il passe une main avide sur le nylon, laisse traîner ses doigts sur la chaîne de cheville, descend jusqu’à l’escarpin, en flatte le talon.
– Parfait.
La main remonte avec lenteur, passe sous l’ourlet de la jupe, joue quelques instants avec une jarretelle avant d’atteindre la corolle dégoulinante de jus.
– Pas de culotte, ni de string. Très bien.
– Ça peut m’arriver, mais aujourd’hui, je n’en avais pas envie.
L’homme saisit les pans de la jupe et les relève intégralement pour révéler la beauté d’un fessier parfait. De la rondeur, de la cambrure, juste ce qu’il faut.
– Magnifique ! Quel cul !
Il glisse un doigt dans la chatte fiévreuse puis, s’enhardissant, la main entière. Le passage, imbibé d’une cyprine épaisse, est aisé. Le partenaire de Lou s’active, imprime un va-et-vient régulier et intense. La belle bourgeoise gémit, ne cherche pas à se retenir. Sa chatte bouillonnante explose de jus.
– Oui ! Encore !
L’homme accélère sa manœuvre tout en glissant son pouce dans l’anus de Lou. La putain crie de plus belle. Son corps est agité de spasmes violents. La pute bourgeoise se cambre encore plus.
– Oui ! Prends mon cul de putain !
– Attends, ma salope, tu vas y avoir droit à ma queue. Sois patiente…
L’homme, tout sourire, poursuit son mouvement. Il insère son index, puis son majeur. Il ne lui faut pas longtemps pour comprendre qu’il peut y mettre la main entière. Il fait de grands yeux. Jamais il n’a connu une salope au cul aussi dilaté.
Lou est trempée de partout. Ses tétons sont particulièrement tendus. Ses cris, ses gémissements se répandent jusqu’au couloir. Dans l’entrebâillement de la porte, un autre homme observe la scène en se palpant l’entrejambe. C’est le patron de l’hôtel. Il s’avance lentement, prend le temps d’admirer la superbe croupe tendue, les bas couture qui plissent, les talons aiguilles raffinés, l’écoulement de cyprine sur la moquette.
– Quelle merveille ! commente-t-il. On partage ?
– Faites-vous plaisir, répond l’occupant de la chambre.
Ni une, ni deux, le boss sort une queue déjà raide et se positionne face à la bouche offerte de Lou. D’emblée, il s’enfonce jusqu’à la gorge chaude. Trop heureuse, la belle bourgeoise bave et gémit de plaisir. Elle gobe la bite à un tempo régulier, manque à nouveau de s’étouffer. Dans son dos, le locataire s’est accroupi. Il a posé ses mains sur les jambes de Lou et s’évertue à caresser le délicat nylon tout en entreprenant de lui lécher l’anus. Ses coups de langue sont agiles et précis.
Lou, qui continue de pomper avidement, sent que des mains s’agrippent à ses jarretelles. L’homme s’est légèrement déplacé. Elle sent sa queue battre contre sa chatte enfiévrée. Il la pénètre d’un coup sec, sans le moindre effort, tant la cyprine a fait son œuvre. La grosse queue investit complètement son sexe trempé.
Pendant qu’elle commence à se faire pilonner à bon rythme, Lou suce, pompe, gobe la bite qui ne cesse de grossir dans sa bouche. La bourgeoise bave, mouille en abondance. Elle gémit encore plus, hurle qu’il faut la baiser encore plus fort. Ravis d’être tombés sur une salope exceptionnelle, les deux hommes s’activent de concert. Le patron de l’hôtel intensifie sa poussée dans la bouche de Lou pendant que le client de la chambre augmente la cadence de ses va-et-vient. La putain les sent grossir, devine qu’ils ne vont pas tarder à décharger. Elle reçoit une première flopée de sperme au fond de sa chatte. Une semence abondante qui vient se mélanger à son épaisse cyprine qui coule le long de ses cuisses. Sa bouche et sa gorge sont aussi bien remplies. Le boss lui a livré une dose conséquente de foutre. Consciencieuse, Lou se met à genoux puis essuie les deux queues à coups de langue précis mais elle n’est pas rassasiée d’autant plus que les deux hommes ne débandent pas.
Tour à tour, en reine de la gorge profonde, elle aspire chaque queue avec un entrain qui ne diminue pas. Sa salive toujours abondante dégouline en un flot continu sur son chemisier, sur ses seins offerts jusque sur la moquette. Les deux hommes ne tarissent pas de commentaires sur sa performance exceptionnelle.
– Quelle putain !
– Une suceuse comme ça, t’en rencontres une fois dans ta vie !
Flattée, Lou met plus que du cœur à l’ouvrage. Elle enfonce les verges à une allure infernale, au-delà du raisonnable, jusqu’à ce que les couilles encore gorgées de jus viennent buter contre son menton imbibé de sa propre bave.
– Regarde comme elle mouille, cette pute !
Sur la moquette, la corolle fiévreuse de Lou déverse un jus épais sans discontinuer. La cyprine se déverse toujours autant sur ses cuisses, jusqu’à ses bas couture.
– Je crois qu’il est temps de la baiser sauvagement.
Le client de la chambre se place sous la bourgeoise, en profite pour jouer avec ses gros seins aux tétons particulièrement durcis tandis que le boss s’installe derrière le cul de la belle. La double pénétration se fait avec vigueur. Chienne insatiable, Lou en redemande. Elle tient à se faire pilonner, à se faire défoncer sans ménagement. La bourgeoise est secouée en tous sens.
– Baisez-moi mes salauds ! Oouuii !!
Les deux hommes s’activent encore plus et s’échangent les orifices béants. Le client joue avec sa rondelle, rentre centimètre par centimètre dans cet anus profond, souple et particulièrement trempé. Puis il accélère la cadence tandis que le patron de l’hôtel libère son foutre sur le visage de la belle salope. Une dose épaisse et chaude.
Le client se retire et se place face à Lou. Quelque va-et-vient sur sa queue et il décharge sa semence dans la bouche de la bourgeoise. La belle putain met un soin particulier à bien nettoyer les deux queues. Elle est presque rassasiée mais sa journée ne fait que commencer…

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