J’ouvrais lentement la porte, complètement émoustillée, j’étendais mon bras sur toute sa hauteur, prenais un regard de braise et voyais les yeux de mon invité devenir ronds comme des soucoupes avec la bouche en cul de poule.
-Bonsoir, vous. Murmurais je sensuellement en levant un sourcil.
-Ouf ! Souffla t il. Heuuu… Eh bien bonsoir, mademoiselle, j’avais rendez vous avec quelqu’un, mais de toute évidence, j’ai dû me tromper de porte. Balbutiait il en vérifiant mon nom sur la porte d’entrée, jouant le jeu.
-Non, non, vous êtes au bon endroit, veuillez entrer, s’il vous plait, vous êtes attendu. Ajoutais je en soufflant sensuellement et l’invitant à venir avec un mouvement de l’index.
Il entra. Apparement, les premiers conseils de ma soeur ont fait leur petit effet sur lui car je croyais appercevoir une bosse qui déformait son jean lorsqu’l a pénétré dans l’appartement.
-Assieds toi, je t’en prie. Et fais comme chez toi, je reviens. Dis je en m’éloignant.
J’allais dans la cuisine pour apporter le plateau d’apéritif sur lequel j’avais ajouté 2 verres avec une bouteille de whisky, glaçons et un peu d’eau que je posais sur la table basse en faisant bien évidement attention de bien me pencher devant lui afin de lui offrir une magnifique vue de mon 85 C, au décolleté devenu plongeant, je fus certaine qu’il me regardait avec attention à ce moment là.
-Je te sers ? Lui demandais je en le regardant !
-Oui, merci, avec un glaçon, s’il te plait.
Je le savais, il avait le regard plongé dans ma poitrine, et il a changé de direction au moment ou j’ai relevé la tête. Je lui servis ce qu’il avait demandé, pris la même chose et m’assit à ses cotés.
-T’es tout simplement magnifique ! Me dit il. Je ne savais pas que tu pouvais te montrer si belle et si sexy.
-Oh arrête de mentir, espèce de vilain flatteur !
-Si, si, je t’assure, j’ai eu du mal à te reconnaitre habillée de cette façcon. Tu devrais venir au boulot dans cette tenue, tu feras tourner beaucoup de têtes.
-Oui, évidement, je risque surtout de déformer des pantalons et je me ferais engueuler par mon patron qui me dira que ma tenue est trop provocante, non règlementaire, que ca gêne la productivité, et patati et patata… Me moquais je.
-Non, si tu es convoquée par ton patron, je pense que ce serait pour une toute autre raison. Me dit il en souriant et en promenant ses doigts sur mes cuisses, ce qui commençait à m’exciter dangereusement.
-Ah oui ? Demandais je en posant mon verre sur la table basse. Et quelle serait cette raison… Hmmm… Monsieur le Directeur ? Ajoutais je un sourire complice, mes lèvres se rapprochant des siennes.
-Ce serait celle d’assumer vos actes, Mademoiselle. Dit il tendrement en m’embrassant doucement.
-Ca tombe bien, je suis tout à fait disposée à le faire. Répondais je en murmurant les yeux fermés.
-Excellente chose.
La machine était lancée, et pour rien au monde je n’aurais laissé qui que ce soit la stopper. Nous nous embrassions tendrement. Nos langues se touchaient, jouaient ensemble, je prenais son verre des mains pour le poser sur la table afin que nous puissions être tous deux libres de nos mouvements. Je me placais à califourchon sur lui et je sentais ses mains se balader sur mon dos, mon visage. Ses mains étaient douces, chaleureuses, ses gestes tendres, ca promettait pour la suite. Durant notre échange de baisers devenu passionnés, je déboutonnais sa chemise. Un à un, les boutons se détachèrent et il en faisait de même de son coté. Il se retrouva presque torse nu, juste couvert d’une chemise entièrement ouverte. La fièvre me gagnait, mes mains caressèrent son torse plutôt musclé, et mon chemisier transparent me fut oté. Je ressentais son émoi malgré son jean, je pense qu’il ne fallait pas trop tarder.
Ma bouche descendit, ma langue lui caressait les mamelons, continuait à descendre, je défis la boucle de sa ceiture, ouvrit complètement sa braguette et délivra de sa prison de tissu une superbe queue fièrement dressée, massive qui avait une forme ressemblant à une de batte de baseball. Sa queue dégageait un parfum à la fois agréable et enivrant qui me fit perdre tous mes moyens. Je me mettais à lecher cette superbe bite offerte comme si c’était une délicieuse glace. La massant, la couvrant de salive, la chérissant de tout mon coeur, je me sentais comme possédée depuis que je l’avais sentie. Une fois cette belle queue bien enduite de salive, je l’engoufrais dans ma caverne buccale pour la dévorer. Ca devait lui plaire, parce que je sentais une de ses mains me caresser les cheveux, et entendais ses râles de plaisir. Je le pompais avec douceur, je voulais prendre mon temps, lui procurer un maximum de plaisir et par dessus tout, me montrer très coquine. Pendant ma fellation, je ne pouvais m’empêcher de le regarder. Son visage déformé par le plaisir était une excellente preuve de mon savoir faire.
Je passais une main pour flatter et malaxer ses couilles qui étaient gonflées à bloc afin de complèter mes caresses. Je les prenais dans ma main, et ma bouche quitta sa queue trempée de bave et de salive pour lui lécher et sucer ses boules bien pleines comme si c’était de délicieux bonbons tout en continuant à le branler très délicatement. Sa queue tremblait, elle palpitait, son gland devenu violacé ressemblait à une jolie prune qui ne demandait qu’a être mangée, mais croquer ce fruit là aurait tout gaché. Ma petite pipe touchait à sa fin, je sentais que si je continuais encore un peu, il éclaterait, mais le moment fatidique n’était pas encore venu. Ma bouche revint à la hauteur de la sienne et il me gratifia d’un somptueux baiser. Je me replacais à califourchon sur lui, nos sexes n’étaient séparés que par le tissu de mon string trempé et devenu incroyablement gênant. En un geste rapide, d’une seule main, il dégrapha mon soutien gorge qui libera mes seins qu’il caressa du bout de ses doigts, jouant à agacer mes tétons, les faire ressortir.
Sans prévenir, il me prit les fesses, se leva presque d’un bond ce qui m’arracha un cri de surprise pour m’emmener dans ma chambre et me déposer dans une position allongée sur mon lit. Non seulement il avait l’air doué, mais il se révelait fort physiquement. Il m’arracha presque mon string, je ne me retrouvais vêtue que d’une mini jupe relevée avec des bas, les chaussures étant tombées à terre au moment ou il m’avait soulevée. Il me têta chacun de mes seins avec une certaine gourmandise, mais moi je ne tenais plus, je crevais d’envie, et le traitement qu’il m’infligeait était un délicieux supplice. Il descendait encore et encore avec sensualité et il arrivait enfin à mon abricot juteux et bien rasé.
-Elle est magnifique dis donc, bien rose, rasée, de jolies lèvres et en plus ton clito est bien dégagé. Constatait t il
-Non, arrête de me regarder, j’aime pas ça, s’il te plait. Lui dis je, assez gênée.
Il souffla un peu sur mon intimité ce qui me fit frissoner, et lécha mon minou ce qui m’arracha une plainte aigue. Quel bonheur indescrpitible, une de mes mains serrait les draps et mon autre main plaqua sa tête contre ma vulve.Il me lapait doucement, me buvait à la source, jouait avec mon clito qu’il faisait rouler avec sa langue. J’étais si sensible et en manque que mon orgasme ne mit pas longtemps à arriver. Je hurlais mon bonheur, mes muscles étaient contractés, mes fesses se soulevèrent, j’avais la sensation qu’une boule de feu éclatait en moi. Essouflée, pantelante, je fouillais sous les oreillers à la recherche d’une capote que je trouvais enfin et la lui tendis. Il l’enfila sans attendre, plaça sa queue à l’entrée de mon intimité et plongea en moi. J’étais pleine comme je ne l’avais jamais été avec mon fiancé. Avec des mouvements lents, il s’activa en moi, faisant presque sortir entièrement sa queue pour la remettre d’un coup sec, butant contre mon utérus.
Mes jambes étreignaient sa taille, nous ne faisions plus qu’un, malgré la séparation caoutchouteuse. Nous nous embrassions tendrement, je couinais sous ses coups devenus puissants et rapides, le lit grinçait à notre rythme, et tapait des fois contre le mur. Nos sueurs ne faisaient qu’une, il soufflait comme un boeuf, le plaisir nous submergeait, et il était tenace malgré ma pipe. Il nous fit alors rouler sur le coté et je me retrouvais alors sur lui. Ses mains se posèrent sur mes fesses qu’il caressait tendrement pendant que je montait et descendait à un rytme frénétique. Je voulais qu’il me défonce, je voulais qu’il me prenne encore et encore, je perdais complêtement l’esprit, il y avait quelque chose de magique dans notre rapport, plus rien ni personne ne comptait, il n’y avait que nous.
La pièce était remplie de cris, gémissements, grincements, il me prenait avec une force que je n’aurais jamais crue possible, m’imprimant la cadence en me prenant les fesses. Mes bras étaient autour de son cou, mes cuisses l’enserraient de nouveau, et je me rendais compte à ce moment que je chérissais cet homme bien plus que mon légitime. Jamais personne ne m’avait apporté autant de bonheur. Tout à coup, il se raidit, je sentais sa queue vibrer, il me serra fort contre lui, et étouffa ses cris dans ma poitrine. Je pris sa tête dans mes bras et lui caressais les cheveux en l’embrassant. Nous restions ainsi un long moment, à échanger des baisers tandis que sa queue de ramolissait et que ma chatte la laisse sortir. Je ne m’étais jamais autant éclatée, je dois l’admettre. Après avoir repris nos esprits, il se rhabilla, et moi, encore nue, je le raccompagnais.
-Bonne nuit. Me dit il tendrement.
-Bonne nuit à toi, et merci d’être venu, ça m’a fait plaisir.
-Partagé, alors. Dit il avec le sourire.
-Oui, tu n’as pas idée. Par contre, j’ai un service à te demander. S’il te plait, le matin, je préfère un thé.
-Entendu ! Allez, j’y vais. Dit il en m’embrassant. A demain.
-A demain.
Je ne voulais pas le laisser partir, mais c’était comme ça. Je refermais la porte, ramassa le chemisier tombé à terre et fonçais me coucher. Maintenant, ça risque d’être dur de faire comme si de rien n’était au boulot… Seulement, alors que je voulais regler mon reveil sur mon telephone, je remarquais 5 appels manqués de Denis. La tête dans le cul, morte de fatigue, je décidais malgré tout de l’appeler pour le rassurer.
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