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Chap. XVI « Dressage de Viviane 2 »

Chap. XVI  « Dressage de Viviane 2 »



Chap XVII

petit rappel : ces histoires sont vécues même si parfois cela parait sur réaliste

Viviane semblait avoir trouvé en moi le complice idéal pour assouvir ses désirs, au passage j’assouvissais aussi les miens, du moins je découvrais et j’assouvissais des penchants que je n’avais pas totalement soupçonné.

Avec Patricia je m’étais découverts des envies masochistes assez poussées que j’assumais parfaitement. Me livrer aux mains d’une femme experte qui me faisait subir des sévices même parfois un peu extrêmes ( je pensais alors qu’ils étaient extrêmes.. je compris plus tard que c’était bénin) était pour moi un plaisir assumé.

Par contre j’avais plus de mal à assumer le fait que de devenir le maître, l’exécuteur était un peu plus difficile pour moi. Non pas que je n’appréciais pas, bien au contraire je sentais confusément que j’aimais trop cette relation. Mais j’avais du mal à accepter que je frappais une femme, chose que je n’aurais jamais envisagé sans doute si je n’avais pas rencontré Viviane.

Mais j’étais amoureux fou d’elle. Nos jeux prenaient de plus en plus de place dans notre vie, Viviane avait toujours au creux du ventre cette envie de subir, c’était une seconde nature. Elle trouvait tous les prétextes possibles pour prendre des coups, pour souffrir. Elle réclamait sa dose quand par hasard elle ne l’avait pas eue. Je me rendis bien vite compte que sans cette drogue qu’était la v******e elle ne prenait pas de plaisir, du moins elle n’atteignait pas les sommets qu’elle recherchait.

La douleur était une composante incontournable du plaisir pour Viviane, bien sur nous faisions l’amour disons normalement sans accessoires ou liens d’aucune sorte. Mais je savais que si je voulais qu’elle prenne son pied à un moment ou un autre je devrais la cogner, donner quelques gifles, lui torde les tétons ou l’étrangler. Et moi je savais que quand je serais en train de lui faire subir ces sévices mon plaisir allait enfler. Petit à petit nous ne savions plus à qui ces jeux violents étaient nécessaires..

Pire il m’arrivait de ne même pas avoir besoin de lui faire l’amour, la travailler, la pousser dans ses retranchements suffisait assez fréquemment à me faire connaître le plaisir. Je ne compte plus les fois où j’arrivais à l’éjaculation sans même la moindre caresse.. Petit à petit mes désirs évoluaient et c’est au travers de la souffrance et de l’humiliation de Viviane que je prenais mon plaisir car elle atteignait elle aussi des sommets de l’extase. Viviane était plus physique que cérébrale, si la mise en scène, l’humiliation, la sensation d’être un objet contribuais à son plaisir, c’était bel et bien la douleur qui lui procurait les frissons et les orgasmes.

Viviane, me fit connaître un monde que j’avais commencé à entrevoir avec Patricia mais là j’allais me plonger, m’immerger dans cette autre vie. J’allais faire des rencontres, découvrir jusqu’où l’on peut aller, jusqu’où l’homme peut être capable d’aller chercher une forme déviante du plaisir. J’avais un temps espéré que Viviane si elle aimait être soumise aurait aimé aussi me soumettre mais il n’en était rien.. Si elle acceptais de pratiquer certaines choses, comme la sodomie ou le fist jamais elle ne consenti à me fouetter par exemple. Elle n’appréciait guère non plus de me voir soumis, mais là elle n’avait pas le choix dans certaines soirées et c’était mon désir qu’elle assiste à mes tourments.

Plus le temps passait et plus j’entrais dans les délires de Viviane, plus j’allais au devant de ses désirs, parfois même allant au delà. Au début de notre relation j’avais joué le jeu, je prenais plaisir à la voir souffrir.. Puis petit a petit j’avais besoin de sentir sa souffrance, sentir qu’elle acceptais tout ce que je lui demandais, j’avais l’impression de la pousser au delà de ses limites alors que c’était elle qui insidieusement me poussait à toujours plus de cruauté. J’aimais particulièrement la fouetter, de toutes les activités SM c’est une de mes préférées sans doute, car une femme liée, recevant le fouet, les contorsions de son corps, les marques qui naissent sur la peau, simples traces roses, virant au rouge puis au grenat pour finir dans un entrelac de petites plaies d’où sourdent quelques gouttes de sang c’est pour moi une vision idylique.

C’est souvent lors de séances de flagellation qu’il m’arrivait souvent de jouir sans avoir besoin de la moindre caresse. C’est hypnotique, d’autant plus quand on à déjà été à la place de la victime. Je sais, je sent comme elle la mrosure du fouet, les sensations qui irradient dans tout le corps, l’attente , attendre le prochain coup, se tendre dans l’espérance de la douleur. Viviane jouissait de l’attente, de la description des sévices que j’allais lui infliger. Je l’ai vue un nombre incalculable de fois agitée de tremblements, parfois avoir des orgasmes dans l’attente des coups.

Souvent elle me suppliait de la frapper, encore et encore quand elle était aux portes du plaisir elle demandait des coups quand elle jouissait il fallait la frapper le plus fort possible, sa capacité à supporter la douleur quand elle avait un orgasme était incroyable.. décuplé est un faible pronostic.

Quand Viviane était en plein orgasme je pouvais lui faire ce que je voulais, la mutiler , la couper la bruler elle acceptais tout et jouissait encore plus.. LE retour sur terre était le plus souvent difficile à supporter car la douleur qu’elle pouvait accepter dans l’orgasme elle avait beaucoup de mal à la supporter dans le reflux du plaisir et souvent c’était une réaction violente à la limite de la crise de nerf ou également des pertes de connaissance.

Ajoutons que pour dépasser ses limites Viviane usait et abusait d’alcool et de drogues douces ou dures. J’ai vécu toute cette période avec une épée de damoclés au dessus de la tête.. Allions nous allez trop loin vers des choses irréversibles, allait elle tenir le coup.. Certaines syncopes on duré plus que de raison. Il est vrai que nous étions dingues et que nous jouions avec la vie,sa vie.

La situation devint de plus en plus difficile quand Viviane fut submergée par son désir d’auto destruction.. Elle réclamait explicitement une mise a mort réelle mise en scène, une souffrance de plus en plus forte dont le point culminant serait sa mise à mort la plus horrible possible, la plus douloureuses possible.

Il arrivait fréquemment que nous fréquentions des boites spécialisées, des clubs privés, mais également certaines séances étaient totalement improvisées et parfois disons sur le domaine public.

Elle me fit également rencontrer des amis qu’elle avait connu avec son précédent « maitre/amant » En particulier un couple d’âge mûr, Peter le mari était très soumis et maso,également bisexuel, elle Flora était surtout dominatrice en particulier avec les femmes, mais également les hommes qui aimaient vraiment souffrir et elle était gâtée avec son mari. Ils étaient ont peut le dire de vieux routiers du sado-maso et aimaient les soirées à 4 ou plus.

Viviane me présenta également Marina une belle femme, la quarantaine qui était elle une professionnelle du SM du moins elle en avait fait son fond de commerce.. Prostituée? Si on veut oui mais elle exerçait uniquement dans le SM ce qui n’implique pas forcément de rapports classiques. Ses proies favorites étaient les hommes masochistes. Les femmes c’était pour elle une affaire privée. Avant que je ne rencontre Viviane, quand la pression devenait trop forte c’était avec Marina qu’elle assouvissait ses désirs et je me rendis vite compte que Marina était non seulement experte mais poussait ses sujets au bout de leur ressources, pour avoir vécu entre ses mains des heures à la fois douces et terribles qui me font encore aujourd’hui bander et frissonner.

La première soirée très hard est rapidement arrivée, en compagnie de maitresse Flora et de Peter. Soirée à quatre, pas encore une soirée avec une douzaine de personne cela viendrait plus tard. J’avais déjà fais connaissance avec eux, sans qu’il ne ce soit rien passé, soirée au restaurant plein de discussions autour du SM mais rien de concret. Ce soir là nous étions invités chez Flora et Peter, viticulteurs ils habitaient une superbe maison dans un petit village, hauts murs, grande propriété discrète ce qui permettait de tenir des réunions et de pratiquer en plein air parfois. Également qui dit viticulture dit cave, le cadre parfait pour le SM, cave aménagée avec tout le confort pour maitres et esclaves.

Viviane était magnifiquement apprêtée, ses longs cheveux nattés soigneusement, un maquillage parfait mettait en valeur ses yeux gris limpides, autour de son cou elle portait un collier de cuir clouté qui lui serrait la gorge, le fait de glisser un doigt sous le collier la faisant suffoquer. La laisse pendait au mousqueton du collier. Elle portait une longue robe noire, largement fendue sur chaque hanche, décolletée jusqu’au nombril et le dos nu. Dessous elle ne portait que son porte jarretelle et ses bas, plus une paire de pinces reliées à une chainette, les pinces écrasait ses tétons et la chainette se balançait entre ses seins, visible dans l’échancrure de son décolleté. Avant de partir, je lui avait enfilé un plug de 4cm dans l’anus et une paire de boules de même taille dans la chatte.

Les quelques km de trajets avait largement suffit à la chauffer suffisamment pour qu’elle soit aussi en chaleur qu’une chienne. J’avais avant de descendre de voiture vérifié tout cela, et son clitoris était saillant, son entrecuisse chauffé à blanc était déjà moite et les lèvres de sa chatte ourlées d’écume. Viviane était prête à tout accepter, on avait parlé le long du chemin et elle m’avait dit ce qu’elle attendait de la soirée, son désir était au plus fort, elle voulait subir tout ce qu’elle pourrait supporter et même plus.
Nous avions comme toujours notre mot qui mettait fin à toute choses « Rouge ».

Au moment ou nous passions la porte, Viviane savait qu’elle devenait uniquement mon esclave et non ma compagne. A partir du moment ou nous entrions chez nos hôtes le jeu commençait. Et il commençait également pour Peter qui lui était le soumis de Flora. La soirée en fait c’était ma rencontre avec Maitresse Flora et nous étions chacun accompagnés de nos esclaves.

Flora avait une cinquantaine d’années, on remarquait de suite chez elle sa chevelure rousse flamboyante, qui n’était pas naturelle mais qui lui allait comme un gant. Ses yeux bleus marine semblaient ne jamais ciller, son regard avait une dureté naturelle en parfait accord avec le rôle qu’elle aimait tenir. Sa plastique pour son âge était plus que flatteuse, un peu forte, une poitrine généreuse et des hanches larges faisait d’elle une parfaite dominatrice. Ajoutons que le maquillage outrancier qu’elle affectionnait en faisait presque une image d’Epinal.

Sa tenue était en adéquation avec la soirée qui nous attendait. Un bustier de cuir extrêmement serré à la taille faisait pigeonner ses seins lourds, on apercevait même la naissance des aréoles foncées. Une longue jupe de cuir fendue jusqu’à la taille laissait voir des jambes bien faites perchées sur des bottines aux talons d’une hauteur vertigineuse. De longs gants de satin noir lui donnait une élégance raffinée. Elle avait un sourire carnassier en observant la chienne que je tenais en laisse. Elle avait déjà plusieurs fois gouté à mon esclave.

En fait j’étais il faut bien le dire plus ou moins en apprentissage. Je l’avoue j’étais excité et cela se voyait, ma queue était tendue et la bosse qu’elle faisait naitre n’était plus invisible. Je suis comme çà, mon esprit va plus vite, s’emballe je vis parfois à l’avance les moments a venir. Je pressentais que les heures a venir seraient exceptionnelles… et elles le furent.

Une fois à l’intérieur, Flora s’installa dans un large fauteuil de cuir fauve, m’invitant à m’installer dans celui qui lui faisait pendant de l’autre côté de la cheminée. J’indiquais à Viviane sa place, à genoux à côté du fauteuil. Elle obéis instantanément, et elle croisa ses mains sur sa nuque comme elle devait. Peter le mari et esclave de Flora fit alors son entrée. Il faut quelques explications. Peter effectivement est soumis et esclave de Flora, mais c’est uniquement dans le cadre de nos jeux sexuels. Dans la vie de tous les jours c’est un entrepreneur, responsable et loin de la vision qu’on à d’un soumis ou un esclave. Il est difficile pour qui ne connais pas ce milieu de faire le distinguo. Il arrive certes que la soumission déborde du cadre sexuel. Dans ce cas j’aurais tendance a trouver cette ambiance malsaine.

Viviane dans la vie courante n’étais pas soumise, mais notre problème est que peu à peu les jeux sexuels ne s’arrêtaient plus la mettant dans un état de soumission permanent et dans une recherche de sensations de tous les instants.
Peter fit donc son entrée, sa tenue était sans équivoque, cagoule de cuir noir, torse nu, une chainette et des poids accrochés aux anneaux qui perçaient ses tétons très gros pour un homme. Il portait un string en cuir qui masquait tout juste son pénis. Peter était glabre mais pour le moins dodu, la soixantaine il était doté d’un « durillon de comptoir » , une bedaine sans doute un cadeau de la bonne chaire et de la bière. Entravé, un collier autour du cou, il déposa un plateau avec deux coupes de champagne, avant de s’agenouiller auprès de sa maîtresse.

Flora et moi avions engagé la conversation de la façon la plus mondaine qui soit sans nous préoccuper de nos soumises et soumis respectifs. J’avais un peu de mal à dissimuler non pas mon émotion mais mon excitation. Flora en était parfaitement consciente et rapidement m’indiqua que je serais mieux si j’étais à l’aise. Elle ordonna à Viviane de me mettre à l’aise. Ce qu’elle fit dégrafant mon ceinturon et ouvrant mon pantalon. Ma queue était gonflée et dure, je bandais déjà comme un malade.
« Tu est en forme » me dit Flora en voyant ma queue dressée

« Comment ne pas l’être? « Répondis-je

« C’est vrai, regarde ta petite salope elle a envie de te manger la queue. »

En effet Viviane ne quittait pas ma verge tendue du regard. Je savais pourquoi. Je fis signe à Viviane d’approcher encore elle comprit immédiatement. Elle engloutit ma queue et descendit lentement m’avalant a fond dans sa gorge. Je posais mes mains sur sa tête la pressant contre mon bas ventre.

« Regardez elle adore étouffer comme çà. » Dis je

Viviane s ‘étouffait sur ma queue. Je maintenais la pression pour qu’elle ne puisse pas s’échapper. Les contractions de sa gorge massaient mon gland, je donnais de petits a coups pour pénétrer plus loin. Viviane commençait à baver, son nez coulait les yeux baignés de larmes. Flora avait écarté les cuisses et ses doigts caressaient sa fente que je devinais déjà très humide.

Elle se leva et approchant de nous elle posa ses doigts sur mes lèvres. Ils étaient bien humides et odorants. Je léchais le bout de ses doigts. Elle vint appuyer sur la tête de Viviane qui émettaient des gargouillis de plus en plus prononcés. Elle m’inondait les bas ventre de salive, son nez faisait des bulles. Elle étouffait vraiment, suffoquait, n’arrivait plus à reprendre son souffle.

« Elle va te faire jouir j’en suis sure » dit Flora en me regardant.

« Je crois oui dis-je dans un souffle »

En effet dans mon état d’excitation, le massage de mon gland par les contractions de sa gorge m’avait amené pas loin de l’explosion. Tandis que je maintenais la tête de Viviane, Flora ouvrit ma chemise. Elle avait l’expérience des hommes, en tout cas de ceux qui aiment les choses à la marge. Flora passa doucement ses doigts sur mes tétons tendus. Je suis hypersensible des bouts de seins, autant voir plus que certaines femmes. Les doigts de Flora s’emparaient de mes tétons, instantanément je sentis ma queue durcir encore plus, mon anus se resserrer. Elle me regardait avec une mine de chatte gourmande, se délectant de mes mimiques. Ses ongles maintenant s’incrustaient dans la chair tendre de mes pointes. On passait de l’agacement à la douleur. Flora avait senti qu’elle pouvait me maltraiter. Les ongles vrillaient mes pointes, je sentait la chair céder sous leur emprise. J’avais vraiment mal au point de crier.

Viviane était étouffée et agitée de spasmes. Si ce jeu continuais plus longtemps elle ne le supporterait peut être pas. Je sentis un peu de chaleur le long des mon torse. Flora avait tellement bien œuvré que mes tétons étaient en sang. C’est quand je sentis et vis les traces rouges du sang sur ma poitrine que je me libérais.. C était un orgasme violent, un soulagement.. Ma queue tendue me faisait mal et je giclais dans la gorge de Viviane.
Elle s’étouffait sur ma queue j’avais heureusement relâché mon étreinte quand j’ai jouis car Viviane était au bord de la perte de connaissance.

Flora semblait satisfaite d’elle.
Elle se pencha vers moi et me souffla dans l’oreille

«  Il faut qu’on se trouve un petit moment tous les deux… j’aimerais bien t’avoir comme soumis.. je suis sûre que tu aimerais çà »

Viviane reprenait ses esprits doucement, elle était haletante, mon sperme avait empli sa bouche et maculé ses joues, ses yeux étaient noyés de larmes son maquillage était parti en longues traces noires sur ses joues et sous ses yeux. Mais dans ses prunelles je voyais danser cette flamme annonciatrice des pires extravagances. Et avec Flora aux commandes c’était sans doute une soirée d’enfer que nous allions connaître.

Peter avait assisté à toute la scène sans broncher.. Du moins pas sans rester indifférent. Je glissais ma main dans son cache sexe, sa queue était dure et serrée, je l’extirpais de sa prison. Son gland était décalotté, gonflé et humide il portait un anneau de belle taille qui entrait par le méat et perçait le dessous du gland. Je descendais le long de la tige et empoignais ses couilles et les serrais fortement. Il se mit à geindre, je serrais plus fort il se mit a grogner et à se tasser sur lui même. Son gland oscillais et je voyais qu’il se formait une jolie perle.

« Ah mais tu aimes aussi les hommes?? »dit Flora

« Je ne déteste pas les queues soumises et a faire éclater des couilles » répondis-je en accentuant la pression sur celles de Peter avant de les lâcher.

Flora prit l’anneau entre ses doigts étirant la queue de Peter avant d’assener un coup de poing aux couilles gonflées. Il poussa un cri rauque et presque instantanément un long fil se mit à couler de son gland.

« Il aime çà en tout cas.. »dis-je

« Je suis sure que toi aussi… »lâcha Flora en me regardant avec intensité.

Pour toute réponse je me plaçais devant elle écartait légèrement les cuisses. Elle sourit devant ma queue encore dressée et luisante. Mes couilles étaient dures. Un petit regard en coin et elle lança son poing dans mes valseuses. Le coup me coupa la respiration, j’eus l’impression que mes couilles était rentrées dans mon ventre, la douleur irradiait mais je sentais monter le jus dans ma tige.

Flora comprit que ce ne serait pas juste une ondée limitée mais bien plus car mon gland lâcha un filet de sperme continu. Elle me frappa à nouveau cette fois déclenchant une éjaculation copieuse. Je manquais de tomber tant mes jambes tremblaient. Flora experte me donna un troisième coup moins fort mais tout aussi salutaire qui me vida les couilles cette fois. C’était la première fois que j’avais un orgasme de cette manière et je dois dire ce ne fut pas le dernier.

« Debout petite pute » dit Flora à l’attention de Viviane.

« Allez venez on va s’amuser »

Flora nous guida vers la salle des tortures. Cave voutée, mais ambiance chaleureuse, pas d’humidité suintante le long des murs. Brillamment éclairée la salle était parfaitement équipé et ressemblait trait pour trait mais en plus cossu à celle de Pat. J’avais digéré mon orgasme à coup de poings, même si franchement ma queue et mes couilles surtout me faisait mal. Flora était surprise qu’après çà j’avais toujours la queue en l’air. Certes pas autant qu’a certaines occasions mais je n’avais pas débandé et ce n’est pas l’activité que nous étions prêt à déployer en ce lieu qui arrangerait les choses.

Flora trainait presque Viviane par les cheveux, elle la malmenait vraiment. J’observais avec délice mon esclave dans les mains de cette maitresse experte. Il faut bien avouer que j’étais alors un novice. Elle gifla violemment Viviane avant de lui ordonner d’ouvrir grand la bouche et de lui cracher sur la langue. Sa main se serrait sur la gorge de Viviane qui tremblait de tous ses membres. Bien plus que quand j’étais à la manœuvre.

Flora me demanda de l’aider à attacher Viviane. Bracelets aux poignets et aux chevilles, puis elle assura les mousquetons au chaines venant du plafond et celles fixées au sol. Flora manœuvra un petit treuil et Viviane fut écartelée, les membres tendus.. Offerte à toutes nos envies.

Puis elle installa Peter sur une croix de saint André, pieds et poings liés sur le grand X. Elle avait ôté le cache sexe de ce dernier.. qui maintenant offrait à la vue et à nos mains sa queue et ses couilles. Elle lui plaçait un anneau qui enserrait son paquet et sa queue .. puis elle posa des anneaux en fait un montage mécanique en deux parties très lourd qui enserrait et allongeait son scrotum Ses couilles étaient hyper tendues lestées par cette appareil qui les éloignais. Elle prit ensuite une paire de pinces à un ratelier fixé au mur. Elle me donna l’une des extrémités et nous placions les pinces sur ses tétons, Peter grimaça et poussa un gémissement. Puis nous suspendîmes des poids importants à ses pinces.. Les tétons de Peter étaient gros et longs ils se courbèrent et s’allongèrent sous le poids. Cette fois il gémit longuement. Je savais combien ca faisait mal.. mais je voyais aussi commet sa queue était agitée de soubresauts. Flora lui plaça même une claque sur la tige.
Pourquoi le nier.. à cet instant j’enviais un peu Peter.

Viviane était totalement offerte, et se sentir ainsi entravée avait commencé à alimenter son désir. Je commençais à bien connaître mon esclave, elle jouissait d’une capacité à fantasmer la suite des événements que rien que la placer dans une posture, l’entraver ou bien lui décrire ce qu’elle va subir là met dans un état de transe. Plusieurs fois même elle atteignait l’orgasme sans que rien de vraiment physique ne lui ai été imposé.

En fait Flora avait envie de me montrer ce qu’il fallait pour commencer à pousser Viviane dans ses retranchements, atteindre les limites.. Elle avoua pourtant que jamais Viviane n’avait utilisé le safe word pour arrêter une séance.

Elle me souffla à l’oreille

«  Il faut faire très attention avec elle, tu pourrais aller trop loin sans qu’elle dise un mot. Méfies toi, tu sais bien que celui qui dirige en fait c’est le ou la soumise, pas toi. Ta petite salope est tout a fait capable de te faire faire des folies. Promet moi de faire attention. JE l’aime beaucoup et vous êtes vraiment bien ensembles.»

Sur le coup le pris le conseil à la légère, je mesure maintenant toute la portée des conseils de Flora

Nous étions deux à tourner autour de Viviane, sa respiration était rapide et saccadée on voyait sa poitrine se soulever de façon accélérée. Je passais mon pouce sur ses lèvres. Avec un regard de biche aux abois elle se mit à téter le bout de mon pouce.

Flora lui attrapa les cheveux et tira sa tête en arrière au moment ou je la giflais violemment. Elle poussa un cri et je profitais de cet instant pour cracher ma salive dans sa bouche. Instantanément elle se tut, me regarda avec cet air abandonné mais teinté de défi.. l’air de me dire .. ose faire plus.

Je passais ma main entre les cuisses de Viviane, ses lèvres pendantes étaient trempées, Flora me passa une paire de pinces que je plaçais sur les petites lèvres. Quand la première se ferma sur la crête de chair humide, Viviane poussa un long grognement, puis un vrai cri quand la deuxième se referma sur sa chair.

Levant les yeux je vis son regard qui se vrilla dans le mien.. Sans rien dire, elle annonçait la couleur.. je devais continuer.. elle était dans le trip.. il fallait maintenant que je ne flanche pas.. Je tirais la chaine reliant les pinces vers le haut.. entrainant les lèvres qui se distendaient.. Avant de lâcher brusquement la chaine, le poids aidant la tension imposée aux petites lèvres de sa chatte fut brutale et forte.

Elle ouvrit la bouche pour crier mais rien ne sortais.. qu’un petit souffle de douleur. Je crachais à nouveau dans sa bouche, avant de gifler ses seins. Ils commençaient à rougir. Flora s’accroupit et plaçà un poids à la chainette. Les lévres de son con étaient maintenant horriblement distendues. Les petites lèvres de Viviane étaient longues et souples, leur bord étaient assez foncé ce qui donnait un contraste avec le rose du reste de sa chair. Là elle était totalement tirées vers le bas la peau fine semblait prête a craquer. Ce qui n’empêchais nullement Viviane de distiller une mouille épaisse qui devenait au fil des minutes plus laiteuse.

Flora alla chercher 2 cravaches au bout assez large. Elle m’en confia une et se posta à droite de Viviane, je me plaçais à sa gauche. Un premier coup tomba sur l’intérieur de sa cuisse, je répliquais par un coup au même endroit sur l’autre cuisse.

Il faut savoir une chose c’est que les coups dans ce contexte doivent être équilibrés, jamais s’acharner sur un seul endroit un seul côté là c’est vraiment une horreur, j’ai subis parfois ce genre de chose et là on ne tiens pas 10mn alors que si on est frappé intelligemment on peut tenir longtemps on peut compter en heures.. Bien sur la force des coups entre en ligne de compte. La plupart du temps ils sont moins fort au début et on monte crescendo.

Au moment de l’orgasme le corps sécrète tellement d’endorphines qu’on peut supporter l’insupportable vous le verrez à plusieurs reprise plus tard. Flora et moi nous partagions le corps de Viviane qui se tordait de douleur dans ses chaines.. Cette vision m’excitait énormément et ma queue gonflais un peu plus à chaque coup. Je vis que Flora n’était pas insensible et avait souvent la main entre ses cuisses. Moi je ne me touchais pas de peur d’éjaculer mal à propos. Peter qui ne perdait rien de la scène avait aussi la queue dressée.

Les coups tombaient sur Viviane, l’intérieur de ses cuisses était rouge vermillon. Les cravaches laissaient une empreinte visible à chaque fois. Viviane agitée de tremblement, de spasmes criait de toutes ses forces les poids qui distendaient ses lèvres avait un mouvement de balancier qui était certes douloureux mais également les lèvres ainsi agitées massaient également son clitoris. Sa tête allait de droite à gauche, comme pour dire non..
Mais elle adorait le traitement en fait.
Elle criait mais entrecoupait ses plaintes de « oui encore » ou de « plus fort ».

Flora cessa, puis elle passa sa main entre les cuisses de Viviane. Elle ressortit des doigts luisants de liqueur.

« Tu mouilles!! petite pute!! ah tu aimes çà te faire cogner!! Tu va en prendre encore tu va voir!! Allez suces!! lèche mes doigts goutte ta chatte!! » hurlais Flora.

Viviane suçait les doigts avec avidité. J’avais entrepris de mon côté de prendre ses seins dans mes mains de les presser remontant vers les tétons que je pris entre mes doigts. Je serrais et tournait les pointes arrachant à Viviane un véritable hurlement. Elle adorait se faire travailler les tétons mais elle souffrait énormément à chaque fois. Son regard me transperça. Elle quémandais un peu plus encore..
A nouveau je tordais les pointes dans l’autre sens. Elle se cabra, lançant son ventre dans une danse heurtée. Viviane était presque parvenue à jouir sous mes doigts.

Flora me fit un petit signe et nous nous replacions chacun d’un côté de Viviane. Cette fois nos cravaches tombèrent sur les fesses et le dos de mon esclave. Rapidement elle fut couverte de belles marques rouges. Son corps ondulait sous les coups.. sa peau se couvrait d’une fine sueur qui faisait luire son corps. Entre les coups elle restait agitée de tremblements. Parfois nous la faisions attendre et son tremblement augmentait jusqu’à une quasi tétanie qui l’amenait le plus souvent au bord de l’orgasme.
En fait Viviane ne cessait de tenter d’avoir ce premier orgasme. Flora et moi guettions les signes pour justement lui refuser.. Ensuite nous allions la travailler plus précisément en lui ordonnant de se retenir de ne pas jouir.
En fait j’avais presque le même problème qu’elle car ma queue tendue laissait couler quasi en continu un fil épais. Flora l’avais vu et s’approcha de moi Elle prit soin de ne pas toucher mon sexe mais du bout du doigt elle recueilli la liqueur qui s’écoulait..

Elle approcha son doigt de la bouche de Viviane qui s’ouvrit avide de recueillir cette preuve de mon plaisir. Viviane adorait lécher cet avant goût de mon sperme, souvent elle allait elle même le chercher. En effet dés que je suis fort excité je mouilles énormément du gland.

Flora s’approcha de moi et à l’oreille me dit «  Il faut vraiment que je t’ai pour moi.. je sent que je vais m’amuser avec toi… »

C’était clair Flora avait envie de me dominer. Je dois dire que si elle avait décidé de m’attacher aux côtés de Viviane j’aurais accepté. Mais nous étions là pour nous occuper de nos esclaves. Comme Viviane était maintenant visiblement tellement sous pression qu’elle risquait de jouir à chaque instant.. Nous décidions de nous occuper de Peter.

Flora tourna un instant autour de Peter, puis d’une main elle souleva les poids qui tendaient la chaine des pinces à tétons. Puis regardant Peter dans les yeux elle sourit. Celui ci savait ce qui allait arriver Il secouait la tête comme pour dire non.. Flora hocha la tête et lâcha les poids..

La gravité fit son office en tombant les poids tendirent la chaine a fond et les pinces se serrèrent plus encore sur les tétons martyrisés. Il poussa un grand cri, sa queue se dressa presque contre son ventre avant de reprendre la position à l’horizontale. L’anneau qui perçait son gland était couvert de mouille qui pendait comme moi au bout du sexe gonflé. Ses couilles étaient lourdes gonflées et la verge noueuse les veines ressortaient bien étranglé qu’il était par les anneaux. Oh je connais cette sensation et j’adore les anneaux qui enserre la queue.. Je bande déjà très dur avec les anneaux c’est une folie.

« Surtout tu ne jouis pas!! esclave!! » ordonnait Flora.

Elle s’empara des couilles gonflées de Peter et se mit à les presser fortement. Il grogna ses genoux fléchirent . Son sexe oscillait comme si il allait gicler. J’avais une envie folle de le prendre dans ma main et de le finir.. J’aime voir gicler une queue, et celle là avec son anneau au gland me fascinait.. J’avais envie de la sentir dans ma bouche et même très envie de sentir la queue de Peter me défoncer la rondelle.

Flora tordait les couilles avec force, Peter s’affaissait sur ses jambes. Flora me tendit alors un god de belle taille en latex noir. Pas besoin de me faire un dessin. J’allais le lubrifier quand Flora me fit signe que non.. Elle mima simplement une introduction violente.

Comme Peter avait les genoux ployés son anus était assez visible. Je posais le gland du god sur son oeillet et je poussais d’un coup sec. L’engin entra de plus de la moitié alors que Peter poussait un soupir. Je vis alors un long filament laiteux couler de son gland..

Ma queue se tendit encore un peu plus et moi aussi je senti couler une grosse larme au bout de mon sexe. Flora passa derrière Peter et installa une tige sur laquelle se fixa la god que je venais d’enfiler.. dans ce cul. Ainsi Peter serait empalé et nous pourrions retourner vers Viviane.
Peter est empalé et il remue doucement son cul. J’observe sa queue qui coule de plus en plus.. Je doute qu’il tiennent longtemps avant de partir.

Viviane était toujours en proie à des tressaillements, de petits soubresauts. Ses yeux grand ouverts paraissaient un peu fous. Ce regard me hante ses yeux me disait le plaisir qu’elle prenait à être ainsi offerte, le désir qu’elle avait d’être frappée, torturée même. J’ai du mal à expliquer à montrer ce qu’était ce regard mais quand on est face à un tel appel on ne peut pas résister. Viviane m’a toujours envouté avec son regard me faisant faire les pires folies.. Je lisait dans ses yeux la gratitude qu’elle avait quand j’accédais à ses désirs malsains.

Flora lui assène deux claques magistrales sur les seins. Puis elle va chercher deux bougies de grosse taille qui brulent depuis que nous sommes arrivés dans la pièce. Elle font 8 ou 9 cm de diam et autour de la mèche c’est créé un puis qui contient de la cire fondue et brulante.

Je frémis ma queue se dresse. J’ai déjà vu dans des films mais jamais testé. Flora montre la bougie a Viviane, passe devant son visage, puis elle promène la flamme prés des seins, dessous elle pousse le vice jusqu’à laisser la flamme lécher le téton tendu . Viviane pousse de petits cris rauques. Je fais la même chose de l’autre côté. Manquant de pratique je laisse la flamme un peu trop longtemps immobile et le cri de Viviane est éloquent. Je viens de lui bruler le bout du sein cruellement, une cloque apparaît même rapidement. Je suis hésitant prêt à arrêter les frais

« C’est rien dit Flora. ».. Elle gifle Viviane dont la tête dodeline. Puis elle incline la bougie au dessus du sein.. La cire se met a ruisseler sur le haut du sein, dessine des rigoles suivant les courbes.. Viviane pousse des cris puissants. Je fais de même de l’autre côté. Viviane se débat dans les chaines. La cire ruisselle sur sa peau en longue coulées qui glissent en se solidifiant sur son ventre. Avec application nous vidons toute la cire.. les tétons sont vite englués dans une gangue de cire.. presque toute sa poitrine est couverte de cire..

Viviane à les larmes qui coulent le long de ses joues. Je caresse sa bouche de mes doigts, puis je profite d’un soupir pour investir sa bouche. Elle lèche mes doigts, les mouille. Je pousse mon exploration plus loin enfonçant 3 doigts dans sa bouche, sa langue s’agite, je parviens dans sa gorge.. Elle à un haut le cœur et je sort mes doigts..

Flora me tend un martinet elle en tient un autre dans sa main. Elle commence à frapper les seins de Viviane qui tressautent sous le coup, en fait les lanières couvre la surface des deux seins. Et nous alternons les coups.. jusqu’à ce que la cire finisse par avoir disparue. Ses seins sont striés de marques roses qui virent au rouge sombre.Viviane pousse des cris qui me vrillent les tympans.. Elle se débat dans les chaines.. Elle se tend se cambre, lance son ventre en avant..

Soudain elle pousse un vrai hurlement.. les pinces qui mordaient les lèvres de sa chatte viennent de ripper.. en fait une seule a ripé.. et tous les poids sont supportés par la petite lèvre droite de sa chatte. Là c’est violent.. elle à vraiment très très mal. Je m’agenouille pour enlever la pince .. la chatte de Viviane est ruisselante, pleine de crème son clito est saillant luisant rouge vif. Flora est passée derrière Viviane et de sa main ganté elle pousse 2 doigts dans l’anus de Viviane qui se cambre cette fois de plaisir.

Flora me fait signe de prendre le vibro sur la petite table. C’est un vibro secteur une manche avec un interrupteur et une tête ovoïde un peu plus petite qu’une boule de pétanque. Je le pose sur la chatte de Viviane qui se met à se frotter dessus, en fait elle cherche et m’appelle à la pénétrer. Il n’est pas question de lui donner satisfaction. Viviane le sait et tente d’arriver au plaisir. Flora lui fouille le cul avec 4 doigts maintenant et je promène le vibro sur sa chatte qui ruisselle maintenant plus que jamais. Elle gémit lance son ventre en avant. Son clito est totalement décalotté saillant comme une petite queue. Je fais attention de ne pas poser le vibro contre lui car Viviane aurait de grandes chances de jouir sur le champ.

Moi je suis aussi limite qu’elle et je pense que Flora également, accroupie de l’autre côté de mon esclave ses genoux écartés me laissent voir sa chatte, elle est trempé, les lèvres baillent et me laisse voir l’antre rose tout inondé de rosée. De mon côté j’ai la queue tendue à mort, le gland totalement décalotté est gorgé de sang, les veines sont de plus en plus saillantes, mes couilles sont lourdes mais remontent petit à petit à la base de la tige. Je regrette de ne pas avoir mis d’anneaux car maintenant ma queue serait étranglée prête à exploser et j’adore cette sensation et surtout voir ma queue dans cet état extrême. J’ai mal je ne le cache pas mais c’est une délicieuse douleur.

Flora cesse de défoncer l’anus de Viviane car celle ci est au bord de l’orgasme. J’arrête également. C’est un vrai apprentissage en fait Flora me guide pour que à l’avenir je puisse tirer le maximum de plaisir du corps de Viviane. D’ailleurs elle m’avait raconté déjà que Flora arrivait à la mener à des sommets, Viviane disait elle arrive à me rendre folle.

Et je commençait à comprendre. J’avais souvent été bien trop vite, il est indispensable que les tourments durent, que l’on refuse la jouissance à l’esclave le plus souvent possible pour que la pression monte.

Viviane semblait avoir perdu la notion de ce qui l’entourait, son regard était embrumé, sa respiration hachée, saccadée, son corps était en permanence tremblant et secoué de spasmes. Elle semblait avoir perdu le tonus dans ses jambes et se laissait pendre par les poignets. Sa chatte ruisselait l’intérieur de ses cuisses était strié de fins ruisseaux de liqueur. Entre les lèvres une mousse onctueuse était née. Quelques gouttes de mouille avait taché le sol et de longs filaments glaireux pendait de son con en ébullition. Son corps luisait comme s’il avait été enduit d’huile, mais ce n’était là qu’une fine sueur. Entre ses seins et les aisselles de grosses gouttes de sueur faisait de longes marques brillantes. Son front était emperlé également ainsi que sa lèvre supérieure. Qui ne cessait de vibrer.

Je devais me retenir pour ne pas la prendre là tout de suite. Flora le sentit et s’approcha de moi pour me murmurer à l’oreille.

«  Je suis sure que tu à envie de la baiser là maintenant »

Je hochais la tête.

« Attends, prend ton temps, tu va voir on va la faire danser un peu plus encore… » dit Flora avec un sourire carnassier.

J’avais envie de toucher cette maitresse .. Ma main glissa le long de sa cuisse, et remontant j’arrivais à son con trempé. Elle lança son ventre en avant.. Mes doigts se perdaient dans les profondeurs brulantes de sa vulve.
Elle posa ses lèvres sur les miennes et dans un murmure me dit

«  Pas tout de suite… mais j’ai envie aussi.. »

Et elle se sépara de moi avec un sourire. Je jetais un œil à Peter qui était toujours empalé sur le god, sa queue était gonflée prête a exploser aussi. Il matait et se défonçait le cul lentement.

Flora avait ouvert un petit meuble et sorti un panier rempli de papiers à première vue. Je compris seulement quand il fut posé sur la petite table. En fait il était repli d’aiguilles médicales. Flora me jeta un coup d’œil amusé. Je ne pensais pas que cela irait si loin.

« Tu va pas….. » commençais je..

« Oh si mon chéri!! Je vais.. et tu va voir que ta femelle adore… » dit elle.

Dans le même temps Viviane hochais la tête pour signifier son acceptation. Elle n’arrivait plus à parler.

« Tu vois elle dit oui.. mais quand je vais approcher elle va secouer la tête pour dire non.. elle va crier même.. supplier pas çà.. C’est normal.. Mais elle ne prononcera pas le safe word.. tu va voir. »

Elle rit une première aiguille, fine d’au moins 5cm de long. Elle s’approcha de Viviane et posa la pointe de l’aiguille sur le sein, la promenant, griffant la peau avec l’acier froid. Viviane semblait terrorisée, regardant l’aiguille se promener sur sa poitrine.
Ses mains avait agrippé les chaines de ses poignets. Ses articulations étaient blanchies tellement elle serrait. Les yeux de Viviane étaient braquées sur ce petit morceau d’acier qui dessinait des arabesques sur son sein droit. Flora arrêta de promener l’aiguille, puis regardant Viviane dans les yeux elle posa la pointe au dessus de l’aréole et poussa doucement. La peau se déforma un instant puis l’aiguille pénétra Flora poussai lentement et l’acier pénétrait la chair.
Viviane haletait regardait l’aiguille pénétrer son sein. Sa gorge émettait une plainte continue. Enfin Flora lâcha l’aiguille qui était totalement entrée seul le plastique dépassait incongru de la peau.

La poitrine de Viviane se soulevait au rythme saccadé de sa respiration. Je remarquais qu’une goutte de sang était nichée dans l’aiguille au débouché dans le plastique.
Voir en live cette aiguille entrer dans le sein de Viviane m’avait excité à mort. C’était à moi d’officier.
Je déballais l’aiguille, la débarrassais de son capuchon de plastique. Viviane ne me quittait pas des yeux. Cette fois ce n’étais pas l’aiguille qu’elle regardait mais mon visage. Son sourire m’engageait à continuer à la torturer, elle prenais plaisir à ces instants. Son bassin était agité elle mimait une pénétration, son pubis allait et venait comme si elle était empalée sur ma queue. Sa gorge laissait passer de petits râles. Elle rejetait sa tête en arrière comme si elle allait jouir.

Elle frissonna quand ma main gauche se referma sur son sein. De la droite j’approchais l’aiguille. Taquinais de la pointe son téton. Elle crut un instant que j’allais lui percer le téton elle se tendit et fit non de la tête.. Les yeux disaient oui.. mais sa tête demandais grâce. Je posais la pointe au dessus de l’aréole. Et je me mis à pousser sa peau se déroba un instant puis céda. Ses yeux me scrutaient, ils était intenses me demandait de ne pas faillir, elle voulait que mes mains la fasse souffrir.

C’est dur de pousser une aiguille dans un sein, plus dur que je ne le pensais. Mais aussi plus intense en sensations.. Je sentais comme un léger crissement alors que l’aiguille entrait dans la chair, sa respiration accélérait, elle s’agitait sa gorge râlait doucement. Enfin j’arrivais au plastique, l’acier était en elle. Ma queue n’arrêtais pas de tressauter comme si j’allais gicler.. Mon gland suintait comme jamais. J’avoue que le fait d’avoir fait pénétrer cette aiguille dans son sein m’a excité prodigieusement.

Flora s’approche de Viviane, passe ses mains sur les seins rougis et martyrisés.
Elle me glisse à l’oreille. « Vas y je te laisse faire occupe toi de ses tétons.. passe au travers elle adore.. »

Je sentis ma queue se dresser à l’énoncé de ce conseil. Je n’étais plus moi. Honnêtement tout cela j’avais l’impression de le regarder de l’extérieur. Jamais je n’aurais pensé que je prendrais autant d plaisir à ces agissements extrêmes. Et pourtant.. je bandais comme un âne à l’idée de transpercer les tétons de celle que j’aimais. Et je savais qu’elle n’attendait que çà. Flora restait près de moi, pour m’assister ou m’arrêter si je m’y prenais mal.
Elle m’avait conseillé de parler de dire à Viviane ce que j’allais lui faire.

« Tu vois cette aiguille.. salope ? Je vais te percer les tétons avec.. » dis je en montrant l’aiguille nue à Viviane.

Elle faisait non de la tête, sa bouche ouverte aspirait l’air comme un poisson jeté sur la rive. Je prenais son téton droit entre mon pouce et mon index. Je serrais le bourgeon charnu. Viviane gémit profondément. J’étirais le petit bout de chair, je posais l’aiguille bien droite contre sa peau. Viviane tremblait, ses yeux allant des miens à son bout de sein tendu. Je poussais lentement, la chair céda et l’aiguille pénétra profondément.  C’était plus douloureux, elle cria puis haletante regarda l’aiguille

«  Oh non… j’ai mal!! non!!! »

Encore une poussée et l’aiguille commença à étirer la peau sous le téton. C était hypnotisant voir la peau se tendre de plus en plus, puis d’un coup je sentis la résistance cesser.. Viviane poussa un cri et grimaça quand l’aiguille transperça le bout. Une petite goutte de sang perlait sur le haut de son téton.
Viviane me regardait avec un regard ou se mêlait la douleur la satisfaction et l’admiration. Elle avait une grosse larme qui coulait au coin de son œil.

« C’est bien petite pute… tu en veux encore? » demandais je.

« Ouiiii encore » dit Viviane dans un souffle.

Je pinçait son autre téton et je piquais l’aiguille. Cette fois ma main plus assurée transperça la chair tendre du téton d’un seul mouvement. Viviane se cambra, lançant son ventre en avant. Elle toucha ma queue tendue. Cela me fit l’effet d’une décharge électrique.

Flora gloussa.. et susurra « Ouh.. tu est bouillant.. j’ai cru que tu allais partir… »
Je lui jetais un regard en biais… Elle avait raison j’étais au bord de l’orgasme. J’étais dans un état un peu second.. ma queue était agitée de spasmes de plus en plus violents et rapprochés.. Je sentais monter la sève.

Flora m’engagea à poursuivre..
Viviane était haletante, son ventre dansais elle s’agitait provoquant un frottement des lèvres de sa chatte qui ruisselait de plus en plus. De longs filaments laiteux pendaient entre ses cuisses et son nectar glissait le long de ses cuisses. Je pris une aiguille et je perçais cette fois le téton à l’horizontale. Elle poussa un long cri quand l’aiguille rencontra celle qui le perçait verticalement. Ce cri fit monter le plaisir dans ma queue.. Je sentis que je coulais un peu plus.. un coup d’œil je vis un long fil blanchâtre qui pendait de mon nœud..

« Retiens toi ne jouis pas tout de suite » me murmura Flora.

Facile à dire.. les cris, les contorsions de Viviane, les aiguilles qui la perçaient tout concourrais à mon excitation. Viviane était méconnaissable, son visage grimaçait de douleur elel semblait près de la perte de connaissance.. Mais elle réclamais encore

« Perce moi encore… maitre.. perce moi »

Je pris encore une aiguille et prestement je perçais l’autre téton.. Cette fois j’eus du ma a passer au travers.. Forcé de sortir l’aiguille et de percer à coté. De la première tentative naquis un perle de sang qui se mit à couler sur le globe du sein. Voir ce sang aurais du me mettre mal à l’aise.. au contraire.. j’étais heureux et excité.. Viviane avait la même réaction.. voir son sang la mettais en transe. Flora me donna alors deux aiguilles plus longues et plus grosses. Et me montra comment les enfiler. Cette fois c’était plus étrange encore. Longue d’une douzaine de cm l’aiguille allait pénétrer le mamelon de façon frontale.

Viviane est dans un état incroyable, ses yeux papillotent et ses pupilles se retournent par instants.
Son sexe ruisselle vraiment, le sol est constellé de tâches humides. Je prend l’aiguille et pose la pointe sur le mamelon droit. Viviane elle même pousse pour faire pénétrer l’aiguille Elle me regarde et donne des accoups qui font entrer l’acier dans sa chair. Je pousse a mon tour et cm par cm elle entre plonge au centre du tétons. Viviane halète, crie, ses yeux sont révulsés.. un filet de bave au coin des lèvres donne la mesure de son état. Ma queue saute de plus en plus. L’aiguille est entrée presque totalement et dépasse incongrue au bout de son sein.
Je passe ma main sur sa joue, elle me regarde et dit simplement « Enfile l’autre… »

Je pique l’aiguille dans le téton gauche. Elle entre lentement. Viviane est de plus en plus évanescente. La douleur est intense. Flora lui libère une main. Instantanément Viviane la met entre ses cuisses et se caresse. Tandis que j’enfonce la dernière aiguille a fond..
Flora me tends un martinet. Détache l’autre poignet de Viviane qui s’effondre à genoux, se branlant comme une folle. Elle laisse aller son buste en arrière, rejetant la tête. Flora me fait comprendre que je dois frapper.. ses seins. Je m’exécutes totalement hors de moi.. je me regarde frapper les seins de Viviane qui tressautent, elle hurle demande que je frappes plus fort. Je cognes comme un sourd les aiguilles sont bougées, enfoncées, retirés .. Rapidement de chaque orifice une fine rigole de sang se met à sourdre. Je frappes pourtant, les seins de Viviane sont écarlate maintenant.

Flora me retire le martinet des mains et me dit « Prend là!! »

Je me jette sur Viviane. Elle me sent écarte les cuisses.. je n’ai pas besoin de chercher ma queue la pénètre sans effort.. Je suis dans un antre bouillonnant. Elle ruisselle, son con est agité de convulsions je donne des grands coups de reins. Mes mains se plaquent sur les seins de Viviane qui crie et se débat. J’appuie sur les aiguilles, je me pique même mais je malaxe ses seins… un moment. Puis tout en donnant des coups de reins je retire les aiguilles une a une.. C’est incroyable.. le sang qui coule m’excite les longues aiguilles sont dures à oter.. Viviane tremble et s’agite.. Elle est maintenant tendue, arc boutée sur les épaules elle jouis comme une damnée.

Je sent d’un coup une pression sur mon anus.. C’est Flora qui glisse ses doigts dans mon cul.. C’est le signal pour moi.. je gicle à gros bouillons dans la chatte de Viviane. Un éblouissement.. un éclair.. je me retrouve affalé sur Viviane, mes mains sont rougies de sang, je lui barbouille le visage de sons sang qui coule toujours des blessures de ses seins. Elle à les yeux toujours révulsés et son sexe palpite follement enserrant ma queue. Je lèche ses seins, je goute son sang, ce goût cuivré est je le découvre enivrant. C’est dantesque. Viviane jouis toujours secouée de spasmes, se tétanise pour retomber sur le sol. Moi je me vide jets après jets en elle.
Nous finissons par retomber inertes sur le sol. Mon visage est contre celui de Viviane.. elle ouvre lentement les yeux.. me regarde avec une lueur de feu qui danse dans ses prunelles.

«  Merci oh merci c’était bon bon bon.. » susurre t-elle.

Je reprend lentement mes esprits. Viviane aussi .. Toujours dans le jeu elle s’agenouille, le buste bien droit, assise sur ses talons les genoux écartés, les mains posées sur les genoux paumes vers le haut. La pose de l’esclave qui attend le bon vouloir de son maitre.
C’est impressionnant. Elle à les seins écarlates a cause des coups mais aussi a cause du sang qui à coulé des blessures infligées par les aiguilles. En fait peu de sang à coulé mais avec mes mains je l’ai étalé sur elle. J’ai aussi toujours son goût sur mes lèvres et j’aime çà. Ce constat est inquiétant, cela me fait peur.. Je sent confusément que nous avons fait un pas en avant, tomber un tabou et que cela ouvre des possibilités que je ne sais pas si je vais apprécier.

Flora n’avait pas jouis encore. Elle s’installa sur un grand fauteuil, cuisses écartées et commençait à se branler enfonçant un god noir qui vite fut ceinturé d’un ruban d’écume laiteuse qui marquait la profondeur à laquelle il pénétrait.

Peter était très proche et il s’empalait comme un beau diable sur son god.. Sa queue ruisselait littéralement de longs fils laiteux pendaient depuis l’anneau qui perçait son gland.
Approchant d’elle j’avais encore la queue tendue. Je lui pris le god des mains et je la prit assez violemment, enfilant ma queue jusqu’à la garde . Elle poussa un cri et agrippa mes épaules. Sa chatte était large, elle était douce et pleine d’une mouille grasse et épaisse. Rapidement ma queue était couverte de yaourt.

Flora se frottais le clito avec force. Je m’emparais de ses bouts de seins tendus et les pinçais fortement, je jouais avec ses seins tandis qu’elle avait renversé la tête. Je ressortais ma queue et profitais de sa positon dans le fauteuil pour l’appuyer sur son anus. Un coup de rein et j’encule Flora qui apprécie. Je suis plus serré c’est bien meilleur. Sa chatte est béante.. j’y glisse mes doigts trois pour commencer.. Je sens ma queue au travers de la fine paroi qui sépare son sexe de son rectum. Flora ne parle pas, elle gémis, grogne, mes doigts la fouille profondément Maintenant 4 doigts sont engloutis.. Elle ruisselle vraiment.. chaque poussée fait jaillir un petit jet d’urine. Flora ne se retient plus. Ma main s’enfonce dans la cavité vaginale sans aucun effort. Ma queue laboure son cul tendit que ma main lui dilate la chatte. Sous mes doigts je sent le col de l’utérus je joue avec du bout des doigts.. Mon index taquine l’entrée de ce temple. Je sent qu’il palpite, s’entrouvre tandis qu’elle est de plus en plus agitée. Je pousse légèrement mon doigt entre légèrement ce qui tire un grondement à Flora.. 

« Oui oui enfile pousse!!! » me dit elle sa voix est cassée par l’excitation..

Je pousse un peu mon doigt entre sans doute pas très loin.. mais c’est incroyable.. son orgasme se déclenche instantanément. Elle hurle cette fois, ma mains est comme mâchée par son sexe.. C’est violent, puissant.. Tellement excité par cette réaction.. je gicle a mon tour.. c’est assez bref.. mais très fort.. Un instant j’ai un éblouissement. Ma main qui est dans sa chatte se ferme.. et je la retire assez vivement.. dilatant le sexe au maximum.. Rugissement de plaisir de Flora et dans un nouvel orgasme elle m’inonde, elle se vide la vessie en un seul jet ou presque qui s’écrase sur ma poitrine , sur mon visage puis passe au dessus de moi avant de retomber en pluie sur Viviane qui se trouve a 2 m derrière nous.

Le pauvre Peter est complétement hors de lui. Il se donne a fond sur le god, sa queue est presque bleue tellement il est serré et bande. Il fait des efforts désespérés pour enfin jouir. Mais il n’y arrive pas. Flora est évanescente et tente de récupérer. Je fais signe a Viviane de venir et lui ordonne de sucer Peter. Elle ouvre la bouche largement et avale le gland annelé. Je prends dans ma main les couilles de Peter et les presse. Il pousse un cri de douleur quand j’insiste. Mais je sent qu’il apprécie.

Viviane pompe la queue avec ardeur. Je la stoppe un instant et je prend la queue dans ma bouche. J’avais envie de sentir ce gland et cet anneau qui le perce sur ma langue. Et j’aime beaucoup la sensation. Peter mouille abondamment, en fait c’est son sperme qui s’écoule en un filet continu. Je le sors de ma bouche et presse la queue en remontant vers le gland, ramenant un gros grumeau de sperme que Viviane prend du bout de la langue.

Flora est venue nous rejoindre. Elle s’occupe des tétons de Peter. Viviane et moi nous faisons un duo de langue sur sa queue. C’est un régal. Je sent soudain la queue de Peter se dresser et tressauter. Ses couilles ne peuvent remonter et ca lui fait mal.. elles se contractent. Et il pousse un cri en s’empalant à fond sur le god. Viviane reçoit l’ondée dans sa bouche grande ouverte. Je suis a quelques centimètres, je vois les grosses giclées épaisses tomber sur la langue de Viviane qui garde tout dans sa bouche. Flora est venue murmurer quelque chose à l’oreille de Viviane. Je n’ai pas compris.

Viviane à la bouche pleine de sperme, elle se relève. Se place face à Peter et crache violemment tout le sperme sur le visage de Peter. Qui se pâme à nouveau. Lâchant même quelques petites giclées qui arrosent le ventre de Viviane.

La fatigue se fait un peu sentir, mais Flora n’a pas dit son dernier mot. Elle libère Peter qui commence à avoir des sérieuses crampes ca fait pas loin de 2h qu’il est accroché là.

Elle att**** Viviane par son collier et approche son visage de sa chatte en lui ordonnant de la lécher.
Puis elle me confie le martinet et me demande de fouetter cette chienne. Viviane se met à laper la grosse chatte ouverte de Flora. De mon côté avec le martinet je fouailles sont dos, ses reins ses fesses qui se marquent rapidement car je n’ai plus la retenue que j’avais toujours eu quand je donnais des coups.

Cette soirée m’avait un peu décoincé et maintenant j’agissais conformément aux espérances de Viviane. Flora semblait apprécier les coups de langue de Viviane. La chatte de flora était large et charnue. Les petites lèvres à peine marquées, cernaient un cratère rose, béant. On pouvait voir dans cette chatte le col de l’utérus agité de spasmes, et son méat très dilaté qui palpitait au haut de cette vulve.

Soudain Flora ordonna..
« Ouvre ta bouche petite pute!! »

Elle laissa gicler un long et puissant jet d’urine pile dans la bouche de Viviane..

« Avales!! bois!!! »

Flora se vidait dans la bouche de Viviane. A ce moment j’aurais bien pris sa place.. je continuais à frapper Viviane qui commençait a trembler.. je voyais sa main s’agiter entre ses cuisses.. La salope se branlait. Je prenais alors le collier et la fit choir sur le dos. Sa main ne s’arrêtait pas.. sa chatte moussait pleine de crème. Son clitoris saillant était l’objet de toutes les attentions de ses doigts.

Je levais le martinet et frappais entre les cuisses qu’elle gardait écartées. Le premier coup la fit bondir et hurler de douleur. Les autres également mais c’était des rugissement de plaisir et de douleur. Elle était au bord de l’explosion. Quelques coups plus tard.. Viviane se tétanisait, jouissant violemment et expulsant à son tour le contenu de sa vessie. Viviane est encore agité de spasmes..

Ma queue est raide et je m’agenouille prés d’elle en me branlant comme un fou.. J’ai envie de gicler dans sa bouche alors qu’elle est ruisselante.. En peu de temps l’orgasme monte.. je glisse ma queue dans sa bouche et la pénètre jusqu’à la glotte.. ou je finis par gicler abondamment.. Viviane étouffe.. recrache le sperme qui coule le long de ses joues.. Je me laisse tomber sur Viviane.. qui est essoufflée.. totalement dans les vaps.. moi aussi en fait.. la tête me tourne..

Après que nous ayons repris nos esprits.. Flora calme le jeu.. On boit un dernier verre salutaire.. Nos esclaves ont quitté ce rôle mais sont comme nous restés nus. Viviane est enchantée.. pourtant elle a le corps marqué. Les lanières ont tracé un lacis de marques roses et rouges parfois boursouflées. Les coups sur les seins ont laissé de grandes marques violettes de ci de là quelques plaies ouvertes Mais les aiguilles n’ont pas laissé de marques visibles a moins d’être le nez dessus. Par contre les coups sur la chatte que je lui ai donné.. ont laissé des traces visibles. Les petites lèvres sont tuméfiées et rouges sang. Le clito a pris une lanière de plein fouet et il est gonflé et tuméfie.

Viviane plaisante disant que pour le reste de la semaine elle pensera forcément à moi quand elle se branlera.

Flora, me fait encore une avance.. disant qu’elle aimerait m’avoir à elle pour un soir..
Viviane en accepte l’idée.. mais ne semble pas enthousiaste.

Flora nous guide à notre chambre, et nous précise que nous ne sommes pas forcés d’être sages. Elle n’en , à pas l’intention car Peter à été un peu oublié durant notre séance. J’avoue que j’aurais été tenté mais Viviane avait assez dégusté.

Une fois la porte fermée je trouvais Viviane devant la glace de l’armoire à contempler les marques qui couvrait tout son corps.

Elle avait une mine réjouie.

«  Merci c’était génial!!! » dit elle en se pendant à mon cou.

Je posais mes mains sur elle lui tirant une grimace..

« Tu à vu dans quel état tu est ma chérie? » dis je

« Oui j’adore ca prouve que je suis a toi tu fais ce que tu veux de moi.. et tu m’a fait jouir comme une folle.. et regarde toutes les marques de ton amour » dit elle en tournant sur elle même.

Que répondre à çà? Et puis comment ne pas avouer que j’ai pris un plaisir plus qu’intense à la torturer appelons çà par son vrai nom. J’ai pris mon pied à enfoncer des aiguilles dans ses seins.. j’ai pris mon pied à voir couler son sang, à le lécher.. C’est comme si j’avais fait un cauchemar mais c’est vrai.. et en plus évoquer cela me fait bander.
Et voir Viviane devant moi nue, marquée par les coups me donne envie de recommencer.
Elle me regarde.. et dit

«  Tu m’aime comme çà… j’ai senti que tu aimais ce que tu me faisais.. Et moi j’ai adoré.. On pourra faire mieux encore.. Tu sais il y a eu des moments ou je n’arrêtais plus de jouir.. »

Elle était devant la glace se mirant je m’approchais d’elle me pressais contre sa peau brulante des coups passés. Je mis ma tête sur son épaule et la contemplait un instant.

« Oui tu est magnifique chérie, je t’aime comme çà.. tu m’excite d’ailleurs » dis je

« Je le sent.. tu est tout dur contre mes fesses.. » dit elle.

Elle avait le poing fermé, elle le monta à hauteur de mon visage et ouvrit la main. Dedans une poignée d’aiguilles….

« Je les ai chipées en passant… on les utilise? »

Elle me regardait intensément.. Ses hanches se balançaient frottant mon sexe contre ses fesses.

Je hochais la tête. J’avais envie de voir de sentir encore une fois le métal percer sa chair.. C’était obsessionnel presque. Ce jeu est un de mes préférés.. J’en ai usé et abusé parfois..
C’était mes premiers pas dans un SM dur.. et encore ces quelques aiguilles c’était une broutille.

Une idée me vint.. cruelle.. perverse..

« TU va les utiliser.. Moi je veux te regarder.. Tu va te percer toute seule.. moi je vais me branler en te regardant.. Attends viens ici.. »

Je m’assis sur le lit, allongeait ma jambe droite.

« Viens frotte ta chatte sur ma jambe pendant que tu te perce ..salope »

Viviane avait les yeux qui brillaient.. Docilement elle se mit à genoux, posa son sexe contre ma jambe et commença à se frotter à petit coups de reins. Moi la main sur ma queue gonflée.. je m’astiquais doucement.
Je tendis la main pour récupérer les aiguilles, ainsi Viviane aurait les mains libres. Il y en avait une douzaine. Je vis les lèvres de Viviane qui tremblaient, signe de son état d’excitation. Parfois une grimace quand elle faisait aller et venir son sexe car ses petites lèvres étaient tuméfiées et elle souffrait. Mais elle mouillait aussi car je sentais une humidité grasse sur mon tibia.

Viviane prit une première aiguille.. Elle dessina des arabesques sur son sein droit a part les marques laissées par le fouet.. on ne voyait plus les piqures.Viviane d’un geste vif planta l’aiguille au dessus de son mamelon mais la retira aussitôt.. laissant perler une goutte de sang vermeil… Elle pressa son sein pour faire couler la goutte le long de son sein.

« Tu aimes mon sang? Moi j’aime quand il coule pour toi.. » dit elle d’une voix rauque

Je me penchais en avant et léchait la fine coulée rouge. Viviane avait planté à nouveau l’aiguille mais cette fois elle l’enfonçait jusqu’à la garde. Les 4cm d’acier étaient entrés dans son sein. Viviane prit une nouvelle aiguille. Le lent mouvement de son sexe contre ma jambe p

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